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Culture - Page 323

  • Un concert de chant grégorien à l'abbaye de Maredret, le 10 juin

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  • Quand l'art moderne fabrique des monstres...

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    9782070136681.jpgJean Clair vient de publier "Hubris, la fabrique du monstre dans l'art moderne, homoncules, géants et acéphales" chez Gallimard, dans la collection Connaissance de l'inconscient (mars 2012), 189 pages, 27 €.

    Résumé : A la croisée de l'histoire de l'art, de l'histoire des sciences et de l'histoire des idées, cette étude montre en quoi l'art devient l'expérimentation du monstrueux.

    Quatrième de couverture :

    Hubris

    L'art moderne s'est souvent voué à la laideur. Anatomies difformes, palettes outrées, compositions incongrues, volonté de surprendre et de heurter : qui oserait encore parler de beauté ?

    Faute de pouvoir en appeler à la raison historique et à la désuétude des canons anciens - des proportions de Vitruve à la perspective d'Alberti -, ne convient-il pas de rechercher ce qui a provoqué ce changement radical dans l'élaboration des formes qu'on appelle « art » ?

    S'appuyant sur les matériaux patiemment rassemblés depuis trente ans à travers de mémorables expositions, de « L'Âme au corps » à « Crime et châtiment » en passant par « Mélancolie : Génie et folie en Occident » et « Les années 1930 : La fabrique de "l'Homme nouveau" », Jean Clair propose une lecture anthropologique de l'esthétique moderne qui croise l'histoire de l'art, l'histoire des sciences et l'histoire des idées.

    Ainsi la seule année 1895 a-t-elle vu, simultanément, la naissance du cinéma, la découverte des rayons X, les applications de la radiotéléphonie (mais aussi la croyance en des rayonnements invisibles chez les tenants de l'occultisme), les premiers pas de la psychanalyse, l'essor de la neurologie : la sensibilité en est bouleversée, mais d'abord la façon qu'a l'artiste de se représenter le monde visible et singulièrement le corps humain.

    Paradigmes et paramètres, les modèles ont changé. L'art devient l'expérimentation du monstrueux et crée de nouvelles entités parmi lesquelles Jean Clair distingue trois figures directrices : le mannequin des neurologues, descendant des alchimistes et de Goethe, le Géant des dictatures, « l'Ogre philanthropique » dont Le Colosse de Goya est le prototype, l'Acéphale enfin, le nouveau dieu des avant-gardes célébré par Georges Bataille.

  • La prière de Jeanne d'Arc selon Péguy

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    images.jpgLes sites et blogs de la douce France ont largement fait écho au 6e centenaire de la naissance de Jeanne d'Arc. On fête aujourd'hui la sainte "Pucelle de Domrémy". Péguy n'est-il pas le meilleur guide que nous puissions suivre pour entrer dans la compréhension du mystère de cette grande sainte? Litteratureaudio.com propose d'écouter cette superbe prière placée dans la bouche de Jeanne par ce grand poète :

    PÉGUY, Charles – Le Mystère de la charité de Jeanne d’Arc (Extrait : Notre Père qui êtes aux cieux)

    Le Mystère de la charité de Jeanne d’Arc est une pièce de théâtre poétique, composée par Péguy, qui fait suite à son retour au catholicisme.
    Le Mystère ne révèle ni l’histoire de Jeanne, ni la pensée, fut-elle religieuse, de Péguy, mais sa prière. C’est, selon le mot de Bernanos « Jeanne écoutée par Péguy, la prière de Jeanne, telle que Péguy peut l’entendre sortir de son propre cœur, quand il cherche à représenter cette sainte, et à écouter sa prière. »

    Notre Père qui êtes aux cieux est la magnifique prière qui ouvre la pièce. Jeanne, seule chez elle, demande à Dieu de sauver la France.

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  • Des hérésies made in USA ?

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    Comment les hérésies modernes nous ont isolés et nous laissent inassouvis

    Par: Mgr. Charles Pope (sur le site de l'archevêché de New-York)

    J'ai mentionné ici un livre remarquable de Ross Douthat que je recommande comme lecture obligée pour quiconque veut saisir ce qui s'est passé dans le domaine de la foi durant la deuxième moitié du 20ème siècle et jusqu'à aujourd'hui. Il est intitulé "Bad Religion - Comment nous sommes devenus une nation d'hérétiques'. Dans ce livre, Douthat expose comment les Eglises (l'Église catholique et les Églises protestantes) ont augmenté de façon spectaculaire dans les années qui ont suivi la guerre, puis, tout à coup, se sont effondrées, et il décrit avec une grande précision comment elles ont été submergées par des vagues successives d'hérésies.

    Il utilise le mot hérésie tout à fait correctement pour désigner une version de la foi chrétienne qui détient une version incomplète de la pleine vérité. Ce que fait celui qui choisit certains points mais en en rejetant d'autres qui assurent l'équilibre et  complètent le tableau. Bien sûr, il y a souvent des tensions lorsqu'on veut garder ensemble toutes les vérités.

    Par exemple , comment pouvons-nous concilier la souveraineté de Dieu avec la puissance de notre liberté et notre capacité de dire non? Ou comment peut-on concilier la miséricorde d'un Dieu d'amour avec l'existence de l'enfer? L'approche orthodoxe consiste à maintenir les deux termes, et à laisser les tensions rester largement sans réponse, ou du moins à trouver un équilibre qui les respecte en même temps. L'approche hérétique est d'en choisir un, et de rejeter ou de minimiser l'autre afin d'échapper à la tension.

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  • La cible préférée des humoristes patentés

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    dieu-maitre-pape-reintegre-integristes-L-2.jpegIls sont à la une de la RTBF ou de RTL, ils déblatèrent sur les ondes, ils sont omniprésents sur les scènes de la ville ou de la province, ils sont censés nous faire rire et y parviennent parfois… Ils s’appellent de Warzée, Pirette, Theunis et consorts. Ils égratignent gentiment le monde politique ou médiatique, épinglent les travers de notre société, mais là où ils se « lâchent », c’est lorsqu’ils se déchaînent contre l’Eglise, la foi, la religiosité catholique. Ils pourraient tout aussi bien cibler les célébrations compassées du militantisme laïc, les débordements fanatiques des mosquées, les grimaces de la bienpensance politiquement et culturellement correcte, mais ce serait risqué, et d’ailleurs,  il vaut mieux ne pas cracher dans la soupe. En revanche, que risque-t-on à tourner en dérision des enfants faisant leur communion, des vieilles égrenant leur chapelet, les prêtres - tous pédophiles bien sûr -, le pape ou l’archevêque toujours ridicules, bien évidemment ? On sait bien que tous ces gens passés à la moulinette d’un humour destructeur n’intenteront pas de procès, qu’ils ne lanceront pas de fatwas, qu’ils ne déposeront pas d’explosifs, alors pourquoi se gênerait-on, d’autant que les portes sont largement ouvertes à ces « drôles » par tous ceux qui dominent le monde de la « culture » et du divertissement. Alors, même si « à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire », on y va de tout cœur, sans retenue. Derrière les rictus grimaçants de cet humour stéréotypé et convenu, se cache à peine un parti-pris antichrétien mais surtout anticatholique. Ce n’est pas nouveau; ainsi, lors de la révolution française, des carnavals furent organisés avec des ânes portant des ornements sacerdotaux, et les « oripeaux de la superstition » furent l’objet de parodies haineuses. L’humour corrosif, même lorsqu’il se fait bête ou médiocre, ne finit-il pas par tuer plus sûrement que de longs discours ?

  • Herve, Gerpinnes, Soignies... une religiosité populaire très dynamique

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    herve.jpg.h170.jpg.280.jpgSous le soleil, on a bien marché aujourd'hui. Au tout petit matin, à Herve, la traditionnelle procession "del Céqwemme" a parcouru le bocage menée par les tambours de la Garde Saint-Jean.

    A Gerpinnes, la procession en l'honneur de sainte Rolende, précédée des édiles communaux gerpinnois et des diverses compagnies de marcheurs s'est mise en marche aux sons des musiques.

    319512298_ID7753424_1sterolende2012100__20122_H3W0MK_0.JPGA Soignies, c'est Saint Vincent qui a mobilisé les pèlerins. "La procession historique qui solennise de 11h à 13h, dans les rues

    framer.jpgde Soignies, le retour des saintes reliques à la collégiale au terme du Tour Saint-Vincent, s'articule en deux parties. L'une fait revivre en riches tableaux coloriés les années 600, à travers les différentes étapes de la vie de saint Vincent et l'autre rassemble l'évocation des hommages rendus au saint au fil des siècles et jusqu'à nos jours."

    Ces manifestations de ferveur populaire dont les images vues à la télévision attestent le dynamisme montrent combien l'imprégnation chrétienne reste réelle malgré tous les discours ambiants. On peut se demander si ce patrimoine n'a pas été sous-estimé et si l'on n'a pas relégué un peu vite dais et bannières dans les armoires poussièreuses des sacristies. Mais peut-être n'est-il pas trop tard ?

  • Un guide du chrétien au pays des postmodernes

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    L'évangélisation impertinente, par le père Humbrecht

    Voir la présentation du livre du Père Humbrecht : "L'évangélisation impertinente"

  • Une ode à l'euthanasie primée à Cannes

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    Extraits de la note consacrée au film qui a reçu la palme d'or à Cannes par Vincent Malausa, chroniqueur cinéma du Nouvel Obs :

    "Avec "Amour", Michael Haneke a frappé très fort. Malgré son indécrottable sens de la manipulation, son film est un des plus sérieux concurrents pour la Palme. Par Vincent Malausa, critique aux "Cahiers du cinéma" et chroniqueur cinéma au Plus, sur place à Cannes.

    "Amour" commence par une très belle scène montrant le couple rentrer d'un spectacle et découvrir que la porte de l'appartement semble avoir été forcée. C'est un simple détail, dont on ne saura rien par la suite, mais qui scelle une fois pour toutes le destin des personnages. A cet instant, la mort est entrée dans l'appartement et tout le film va décrire chaque étape de la longue coulée vers le néant dont le récit se fait le tombeau. Le film bouleverse car la minutie de sa description est portée par un amour indéfectible et non par l'habituel mépris qui mobilise le cinéma d'Haneke.

    On n’est pas passé loin du chef-d’œuvre, malheureusement l’indécrottable sadisme hanekien se révèle sur la fin – au cours d’une insoutenable scène d’euthanasie – et renverse quelque peu le sens de certaines séquences limites du film. Haneke pouvait faire son plus beau film, mais son goût du pensum et son caractère foncièrement antipathique pèsent lourdement sur le résultat final. Mais le lyrisme qui sourd du film, son extraordinaire puissance souterraine ont l'effet d'un uppercut en plein cœur."

    Voir également le commentaire de Jeanne Smits

  • Apologie du "calme"

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    Mort il y a peu, Chenouda III, "pape des Coptes", a consacré une réflexion approfondie au calme. Dans toute cette effervescence provoquée par la crise économique, par le "printemps arabe", par les changements politiques, par l'agitation permanente de notre société qui vit dans l'immédiateté, par les évènements qui surviennent dans nos familles... il n'est sans doute pas inopportun de réintroduire le calme dans notre vie agitée, voire frénétique. Il y a des perles à découvrir dans cette réflexion.

    Extraits :

    "Peut-être les anges regardent-ils notre monde avec étonnement, et peut-être ils disent :

    Quel est tout ce vacarme sur cette planète ? !

    Et, pourquoi les gens vivent-ils dans un tel tumulte ? !

    Quand se calmeront-ils ?

    Il est certain qu'ils ne se calmeront que s'ils nous atteignent, car le calme est la manière de vie au ciel."

     

    "Le calme doit impliquer toute la vie de l'être humain : intérieurement et extérieurement ; ce qui est apparent et ce qui est caché. Donc, il doit inclure:

    1. Le calme intérieur : qui est fait de la tranquillité de l'esprit, la sérénité du cœur et le calme des pensées.

    2. Le calme du corps : qui consiste en la tranquillité des sens et le calme du mouvement.

    3. Le calme des nerfs : qui consiste en la sérénité des traits et en l'esprit de la gaieté.

    4. Le calme de la parole : qui contient aussi le calme de la voix.

    5. Le calme du comportement : qui consiste en une sérénité dans les affaires pratiques de la vie et dans le comportement privé, et en une approche calme à résoudre n'importe quel problème que l'individu rencontrerait."

    Lire cet enseignement

  • Le noeud de la crise frappant l'Europe provient de l'exclusion de Dieu

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    (VIS). Benoît XVI a reçu ce midi (24 mai) les évêques italiens, qui viennent de tenir leur 64 assemblée générale, évoquant les enjeux de la nouvelle évangélisation dans une société de plus en plus éloignée de Dieu: "La situation réclame un nouvel élan qui pointe à ce qu'il y a d'essentiel dans la foi et la vie chrétienne. Alors que Dieu est pour beaucoup devenu le grand inconnu, et Jésus un simple personnage historique, la relance missionnaire passe obligatoirement par une nouvelle qualité de notre foi et de notre prière... Conquérir les gens à l'Evangile implique que nous retournions avec profondeur à l'expérience de Dieu". Puis le Pape a rappelé le tout prochain cinquantenaire du Concile Vatican II, exhortant ses hôtes à en appliquer les enseignements "de manière à répondre aux mutations socio-culturelles en cours...qui ont des conséquences évidentes sur la dimension religieuse". Le sécularisme caractérise aujourd'hui les sociétés d'ancienne tradition chrétienne au point d'entamer un acquis culturel qui il y a peu encore en était la référence unifiant toute la vie, chacun de ses moments importants, de la naissance à la mort. Le patrimoine spirituel et moral dans lequel l'Occident plonge ses racines et qui est sa lymphe vitale n'est plus reconnu pour sa valeur première... Une terre féconde risque de devenir un désert inhospitalier".

    Parmi les préoccupations, a noté le Saint-Père, il y la diminution de la pratique et des sacrements, ainsi que la perte d'identité de tant de baptisés qui "ne connaissant pas l'essentiel de la foi pensent pouvoir l'adapter sans médiation ecclésiale. Certains doutent des vérités enseignées par l'Eglise tandis que d'autres réduisent le Royaume à quelques grandes valeurs qui, si elles ont évidemment à voir avec l'Evangile, ne constituent pas le coeur de la foi chrétienne... Malheureusement ceci fait que Dieu se trouve exclu de l'horizon de beaucoup de gens. Lorsqu'il ne s'agit pas d'indifférence, de clôture ou de rejet, ce qui touche Dieu est relégué dans le domaine du subjectivisme, réduit à un fait personnel et privé, marginal par rapport à la conscience publique. Le noeud de la crise frappant l'Europe relève de cet abandon, de ce manque d'ouverture à la transcendance". Face au phénomène, "les nouvelles méthodes d'annonce évangélique ou d'action pastorale ne suffisent plus à rendre plus attrayante la proposition chrétienne... Il nous faut donc repartir de Dieu, célébré, professé et témoigné". La mission première de l'Eglise demeure l'engagement à promouvoir ce qui est vraiment indispensable. "Les hommes vivent de Dieu, qu'ils recherchent inconsciemment ou vaguement pour donner son sens véritable à l'existence". Nous, évêques, a affirmé Benoît XVI, "avons le devoir de l'annoncer, de le rendre visible, de guider vers lui". Or la "première condition pour parler de Dieu et parler avec Dieu, est d'être toujours plus des hommes de Dieu, nourris par une intense vie de prière et pétris de sa grâce... Laissons nous prendre par Dieu afin de pouvoir faire approcher la Vérité à qui nous rencontrons... La mission qui est la notre aujourd'hui comme hier est de mettre les êtres humains en relation avec Dieu, de les aider à s'ouvrir coeur et âme à celui qui les cherche et veux se faire proche. Nous devons amener ces femmes et ces hommes à comprendre qu'accomplir la volonté de Dieu ne limite pas la liberté mais sert à être véritablement libres, à faire le bien" commun. "Dieu est le garant et non le concurrent de notre bonheur. Là où l'Evangile entre avec l'amitié de Jésus, l'homme comprend qu'il est l'objet d'un amour purifiant, chaleureux et rénovant, qui permet d'aimer et servir autrui avec l'amour divin".

  • Une lecture critique du Coran qui a coûté cher à son auteur

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    Paolo Branca, sur Oasis, situe la portée de la parution d'un livre de Nasr Hamid Abu Zayd (Edition italienne : Testo sacro e libertà. Per una lettura critica del Corano, introduzione di Nina zu Fürstenberg, Marsilio, Venezia 2012.)

    Ce qui est arrivé à Nasr Hamid Abu Zayd est paradigmatique pour comprendre la pensée islamique contemporaine, dans ses blocages et ses contradictions et dans ses potentialités insoupçonnables. Il a dû payer cher sa liberté de pensée, qui lui a coûté l’arrêt de sa carrière universitaire et une condamnation pour apostasie, l’obligeant ainsi que son épouse à prendre le chemin de l’exil.

    Ce qui rend son histoire particulière est le domaine d’études sur lequel il a conquis, de manière certainement involontaire, la palme peu enviable d’un tel “martyre”. Professeur de Littérature arabe à l’Université du Caire, en se fondant sur certains prédécesseurs illustres et en tenant compte des compétences herméneutiques acquises en Occident, il a osé affronter un thème des plus délicats : la critique de texte appliquée au Coran. On sait que les musulmans entretiennent avec leur Texte sacré un rapport presque “sacramentel” et donc la question de son interprétation a toujours été très délicate. La plupart des commentateurs du Coran se sont donc le plus souvent conformés à une attitude prudente, produisant surtout des travaux du point de vue linguistique et lexicologique. N. H. Abû Zayd a jeté un pavé dans la mare en s’efforçant de distinguer le sens ultime du message divin de la forme historique qu’il a prise pour pouvoir être communiqué aux hommes.

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  • Le Saint Suaire et le cinéma

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    Quel rapport entre le Linceul de Turin et le cinéma ? Telle est la question posée sur Zenit.org et à laquelle répond un Entretien avec un historien (Alberto Di Giglio) du cinéma sacré (ZENIT.org - Maria Chiara Petrosillo - Traduction d’Océane Le Gall)

    – Quel rapport entre le Saint-Suaire et le cinéma ? Alberto Di Giglio, historien du cinéma sacré, répond à cette question en soulignant que le cinéma christologique, à savoir la représentation de la figure du Christ, est un fil rouge dans l'histoire du cinéma.

    Un diplôme de spécialisation en Etudes sur le Suaire de Turin, a été présenté le 16 mai 2012, à Rome, à l’Université pontificale Regina Apostolorum (www.uprait.org). Parmi les intervenants, le professeur Alberto Di Giglio, spécialisé enHistoire du Cinéma sacré et religieux au Centre expérimental de Cinématographie - Siège Lombardie, qui a accordé cet entretien à Zenit sur le rapport entre le Saint-Suaire et le cinéma.

    Depuis 1990, Alberto Giglio est président de l’association culturelle Sindonis Cultores. Egalement fondateur du site web sindonologia.it et auteur du documentaire « Le Saint-Suaire, un Signe de notre temps », il aété de 1999 à 2003 directeur de « La Toile », une revue consacrée au Linceul de Turin qui paraît tous les 4 mois.

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