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Culture - Page 324

  • Retour sur "ce sacré Constantin"

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    Nous avons abordé brièvement celui qui est souvent présenté comme une des figures inaugurales de la chrétienté.

    Celui qui voudra approfondir ce sujet pourra se reporter à un "focus" présenté par l'émission "le jour du Seigneur" concernant des publications sur ce personnage et que l'on pourra visualiser ici : http://www.lejourduseigneur.com/Web-TV/Focus/Rentree-litteraire/Portrait-de-l-empereur-Constantin

    Références :

    - Pierre Maraval, Constantin le Grand, Tallandier

    - Vincent Puech, Constantin, le premier empereur chrétien, Ellipses

    - Bernard Lançon, Constantin, PUF, coll. Que-sais-Je ?

    - Constantin, Lettres et discours, Belles Lettres

    - Marie-Françoise Baslez, Comment notre monde est devenu chrétien, Seuil, coll. Points

    - Paul Veyne, Quand notre monde est devenu chrétien, Livre de Poche

    On peut s'attarder sur l'ouvrage de M.F. Baslez qui introduit des nuances importantes dans l'étude de ces premiers temps du christianisme, ainsi que le souligne Pierre Lassave (ICI) :

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  • Ah ce Constantin ! En marge d'un 1700e anniversaire...

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    On commémore actuellement le 1700e anniversaire de la bataille du Pont Milvius et de l'Edit de Milan qui donna droit de cité au christianisme dans l'Empire romain. Un congrès est actuellement organisé à ce sujet à Rome.

    A propos de Constantin, on a écrit tout et n'importe quoi, notamment parmi le flot de sottises déversé lors de la parution du Da Vinci Code. On fait particulièrement le grief à cet empereur d'avoir "imposé" le christianisme en l'instrumentalisant au service de sa politique. On voit aussi dans l'Edit de Milan le "péché originel" de l'histoire du christianisme qui l'a irrémédiablement compromis en le faisant pactiser avec le pouvoir. La réalité est plus complexe et une mise au point s'impose. Mais, comme nos énergies sont limitées, nous vous renvoyons à une note concise, qui tend à l'objectivité et que l'on trouvera ici : Constantin_la_chretiente

    A propos du Da Vinci Code, on retiendra cette précision apportée par chrétienté.com :

    Da Vinci Code: L'empereur Constantin a commandé et financé une nouvelle Bible, laquelle omet les évangiles qui présentent Jésus comme étant un homme et a fait embellir les évangiles qui le présentent comme étant Dieu. Les évangiles originaux sont devenus interdits, rassemblés et détruits.

    La vérité: Tout d'abord, il n'y a jamais eu de nouvelle Bible commandée par l'empereur Constantin. L'empereur a simplement demandé à Eusèbe, évêque de Carthage, de faire 50 copies des écritures déjà existantes et largement acceptées par la communauté. De plus, il n'existe aucune évidence que l'empereur ou quiconque, ai demandé d'embellir les évangiles existants. Ensuite, il n'y a jamais eu aucun évangile brûlé. Les textes qui furent brûlés étaient d'Arius ; Arius était un évêque hérétique : aucun de ses textes n'était des évangiles. Par ailleurs, il n'y a jamais eu d'évangile avant les 4 évangiles bibliques que sont ceux de Matthieu, Marc, Luc et Jean. Les évangiles de la Bible, présentent aussi Jésus Christ sous ses traits humains, Ils le présentent tel qu'il était, 100% Dieu et 100% homme. Les évangiles nous parlent de l'humanité et des sentiments de Jésus (colère, fatigue, amour, mort), nous pouvons aussi voir les interactions relationnelles qu'il a avec sa mère, ses amis et ses disciples.

  • Les dérives de l'art contemporain

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    Un article téléchargeable sur le site "Défi culturel" mérite qu'on s'y arrête. Son auteure fait la lumière sur des aspects souvent ignorés de l'art "d'avant-garde".

    Présentation :

    L'art dit « contemporain » est pour le commun des mortels un objet de mépris ou, beaucoup plus rarement, d'admiration. Pour les uns c'est un ramassis de choses laides qui cultive la provocation, et pour les autres une nouvelle forme d'expression qui vaut bien l'art authentique.

    Christine Sourgins est historienne de l'art et conférencière. Son article aborde un sujet méconnu du grand public : la transgression de la loi par l'art dit « contemporain. » Ce moyen d'expression est en effet le seul qui ait le droit de bafouer, en toute impunité, les lois de la République.

    Prises d'otage, infanticides, sacrilèges... Cette étude, commandée en exclusivité par Défi culturel, révèle pour la première fois au grand public le statut incroyable dont jouit actuellement l'art dit "contemporain."

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  • L'Age d'Homme publie un "dossier H" consacré à Gustave Thibon

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    à L’Âge d’Homme


    PARUTION DU DOSSIER H. GUSTAVE THIBON

    conçu et dirigé par Philippe Barthelet

     

    Métaphysicien et poète, Gustave Thibon (1903-2001) est l’auteur d’une œuvre philosophique forte et originale. Il est pourtant moins lu en France que dans les pays de langue anglaise ou espagnole, où son importance a été reconnue dès le milieu du XXe siècle. On sait de lui qu’il est « un philosophe que tout le monde écoute et comprend », un philosophe paysan autodidacte (« j’ai fait toutes mes études chez moi »), ami de Simone Weil (1909-1943) qu’il accueille pendant la guerre et encourage à écrire La Pesanteur et la Grâce.


    La « clé de voûte de l’œuvre est l’exigence d’unité », « tel est le sens de cet aristocratisme spirituel », selon Philippe Barthelet.


    Textes inédits, articles, correspondance, poèmes, témoignages… :

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  • Le pessimisme de François Weyergans

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    "Rédacteur en chef d'un jour" à la Libre, François Weyergans fait part de son pessimisme dans une interview accordée au quotidien :

    extraits :

    Que pensez-vous de toutes ces émissions de télé-réalité qui produisent des artistes “clé sur porte” ?

    Ça évoque le problème plus général du triomphe de la médiocrité dans les moyens d’expression. Peut-être que ça me sert à quelque chose, les sept ans où je ne fais rien. Du coup, je vois mieux les contrastes. Et là je constate un public un peu abîmé. Lire Guillaume Musso et Marc Levy, ça vous abîme. Harlan Coben : j’en ai acheté deux pour savoir, ça me tombe des mains. C’est hyper mal écrit ou du moins mal traduit. Seule l’intrigue intéresse encore, je pense, on n’est plus dans le style. Il y a un amoindrissement certain. Mais je reste optimiste en me disant que, dans le vieux combat entre l’art et l’argent, l’art a toujours gagné, avec des hauts et des bas.

    Comment voyez-vous l’évolution des nouveaux médias ?

    On a vécu depuis plusieurs années sur l’illusion que l’évolution humaine était terminée. Or elle ne l’est pas. Il suffit de parler avec des neurologues ou des chirurgiens du cerveau. Moi, j’ai une théorie très pessimiste. Il y a peut-être une parenthèse de l’intelligence humaine, née 5 siècles avant Jésus Christ, qui se ferme sous nos yeux. Après tout, pourquoi pas un règne tout d’un coup d’obscurantisme ? Notre entretien tourne à un constat amer et désabusé sur une société dans laquelle on est content d’être quand même. Peut-être faut-il ramener un peu d’optimisme. Il y a quand même un certain optimisme à être pessimiste parce qu’au moins, on voit que les choses ne vont pas. On n’est pas atteint, résigné. Peut-être faut-il, chacun à sa place, le dire, le faire savoir sans relâche.

  • Neutralité ou Pluralisme dans l'Espace public

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    « Lunch-débat » à l’Université de Liège, le mercredi 25 avril à 18h00  

    DSC29.jpg 

    avec le Professeur Francis Delpérée

    delperee_photo.jpgDans le cadre de son cycle de rencontres 2011-2012, l’Union des Etudiants catholiques de Liège et le Groupe « Ethique sociale » organise avec le forum de conférences « Calpurnia », un lunch-débat sur le thème «Neutralité ou Pluralisme dans l’Espace public ».

    La parole sera donnée à un éminent spécialiste doublé d’un excellent pédagogue: Francis DELPÉRÉE, sénateur et professeur ém. de droit constitutionnel à l’Université Catholique de Louvain (U.C.L.)

    Les collectivités publiques peuvent-elles se passer de références fondamentales en amont de la loi positive qu’elles édictent ? Comment aboutir à un consensus sur la reconnaissance de ces valeurs ? Existe-t-il un droit naturel fait de postulats ou d’acquis irréversibles pour l’humanité ? Les Eglises, les communautés religieuses ou les organisations philosophiques ont-elles un rôle à jouer dans l’espace public pour construire les collectivités politiques nationales ou internationales qui rassemblent les citoyens ? Quel est le statut de ces Eglises ou communautés dans le droit belge ? Peut-on comparer leur rôle dans la société belge à celui du communautarisme aux Etats-Unis ? En quoi le régime des cultes en Belgique diffère-t-il de la laïcité de l’Etat qui prévaut dans le modèle français ?

    Réponse au lunch-débat que le Professeur Francis animera le mercredi 25 avril prochain à 18 heures à l’Université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (accès par la grande entrée, parcours fléché). Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h00. P.A.F :10 € (à régler sur place).

    conférence 23 novembre 025.JPGP1000040.JPG

     

    Inscription obligatoire le 23 avril au plus tard 

    par tél. 04.344.10.89 ou info@ethiquesociale.org 

  • La laïcité dans le cadre des institutions de l'Union européenne

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    article-3651-img1.jpgLe mardi 28 février dernier, Mgr Piotr Mazurkiewicz (1), secrétaire général de la COMECE (Commission des Episcopats de la Communauté Européenne)(2), était l’invité d’un lunch-débat organisé à l’Université de Liège par l’Union des étudiants catholiques liégeois et le Groupe éthique sociale, associés au forum de conférences Calpurnia. Le thème de la communication que Mgr Mazurkiewicz a prononcée, à titre personnel, portait sur la laïcité dans l’Union européenne (3). Ce thème s’inscrit dans le cadre d’un cycle de rencontres « Neutralité ou pluralisme : dialogue entre religions et philosophies non confessionnelles ».  Voici la transcription officieuse  de l’exposé réalisée par un auditeur (les intertitres sont de sa plume) :

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  • Un petit traité des grandes questions historiques

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    La remise en cause des « mythes » historiques est devenue une pratique courante à une époque qui voit à la fois l’imposition d’une certaine « doxa » historique, au moins concernant certains sujets, et la diffusion, plus ou moins souterraine, d’informations contradictoires. Il y a quelques années la revue La Nef avait ainsi publié sous le titre éloquent de « Grands mythes de l’Histoire », un hors-série qui a connu plusieurs éditions. Ce fut ensuite Jean Sévillia qui chez un grand éditeur de livres d’Histoire destinés au grand public s’était lancé dans la réfutation de l’Historiquement correct, titre même de son livre, lequel vient d’ailleurs d’être renforcé par la publication d’un nouvel ouvrage au titre proche : Historiquement incorrect.

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  • Ni cet excès d'honneur, ni cette indignité...

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    Nous avons mis en ligne, il y a quelques jours, deux photos présentant le nouveau mobilier "liturgique" installé dans la cathédrale Saint-Paul, à Liège. Des accessoires, somme toute, assez banals, comme on en a placé beaucoup dans nos églises depuis Vatican II. Pas de quoi en faire un évènement comparable aux ajouts de l'époque de la Contre-Réforme, de l'âge baroque ou de la période néo-gothique. D'ailleurs, on n'en a plus vraiment les moyens, sinon l'inspiration. Pas de quoi non plus en faire une occasion de scandale comme l'ont fait certains sur un forum catholique de discussion, où l'on s'adonne volontiers à des exercices de critique outrancière, assez peu inspirée par l'amour de Dieu et du prochain. De quoi dégoûter d'éventuels curieux d'aller plus avant dans la fréquentation d'une certaine "blogosphère" toujours prête, au nom d'une pureté dont on pense être les champions, à dénigrer tout et n'importe quoi, et à désigner à la vindicte des plus purs tout ce qui serait censé être contaminé par une vision qui ne correspond pas à la leur. Ce tour d'esprit est assez insupportable et nous sommes près de regretter d'avoir donné à ces censeurs impitoyables une nouvelle occasion d'épancher leur bile usque ad nauseam.

  • Liège, 28 avril : un grand concert Mozart et Haendel

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    affichechoeur2012_2012-02-27_10-55-58_590.jpg

    Grand Concert du Choeur Universitaire de Liège
    Église Saint-Jacques, Liège
    samedi 28 avril 2012 à 20 h

     

    COURONNEMENTS

    Messe du Couronnement de WA Mozart,

    3 Coronation Anthems de G.F. Haendel

    (Hymnes pour le couronnement du roi George II d’Angleterre et de la Reine Caroline) 

    Un concert original et jubilatoire, où chœur, musiciens, solistes et Grandes Orgues rencontrent dans un dialogue surprenant un saxophone (Rhonny Ventat) aux couleurs sonores chaleureuses et, fait exceptionnel, Haendel et Mozart en personne. «Quand Handel rencontre Mozart » ou quand le jeu des voix et de la musique suscite les propos insolites de deux Grands Maîtres...

    avec Céline Vieslet, soprano - Laura Balidemaj, alto
    Steve Laird, ténor - Pierre Luc Tremblay, basse

    Ensemble instrumental « Tempus Musicale »

     sous la direction de Patrick Wilwerth

    avec 

    Joëlle Sauvenière, grandes orgues
    Rhonny Ventat, saxophone
    Richard Faymonville, Jean-Philippe Renaud, récitants

    Réservations: 17€ (1re catégorie) et 22€ (2e catégorie)

    Réservations  par mail à choeur@ulg.ac.be
    ou par téléphone au  0498 42 34 17
    ou encore via FNAC  et  Belle-Île

  • La nature profonde de l'art sacré

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    En marge d'un débat un peu animé sur notre blog à propos du nouveau mobilier installé dans la cathédrale Saint-Paul à Liège, nous mettons en ligne ces réflexions du cardinal Cañizares Llovera publiées par ZENIT.org

    Cette réflexion sur « L’art sacré et sa nature profonde », est une introduction du cardinal espagnol Antonio Cañizares Llovera, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, à un livre publié en italien par Rodolfo Papa, intitulé “Discours sur l’art sacré” (“Discorsi sull’arte sacra”, éd. Cantagalli, Sienne, 2012)

    sagrada-familia-barcelona3.jpgIntroduction du card. Cañizares Llovera

             Voici une œuvre dont nous avions besoin et que nous attendions : celle de Rodolfo Papa qui étudie en grand spécialiste l’art sacré dans sa nature profonde et son identité. Il s’agit ici de la nature intime et de l’identité de l’art sacré, mais également de l’art en tant que tel, dans lesquels vérité et beauté sont inséparables et en quoi foi et art, foi et beauté s’embrassent dans une parfaite réciprocité et une union indéfectible; quelque chose de semblable à ce qui se passe entre foi et raison.

             C’est ce que le Pape Benoît XVI reconnaissait dans l’interview accordée aux journalistes en novembre 2010 dans l’avion qui l’emmenait à Saint-Jacques-de-Compostelle et à Barcelone pour la consécration de la basilique de la Sainte-Famille de l’architecte Antonio Gaudi. Il affirmait alors : «Vous savez que j’insiste beaucoup sur la relation entre foi et raison, que la foi, et la foi chrétienne, n’a son identité que dans l’ouverture à la raison, et que la raison devient elle-même si on la transcende vers la foi.

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  • Cançao Nova ? Qu'est-ce ?

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    Une découverte étonnante dans l'univers médiatique; à faire ici : http://webtvcn.fr/?page_id=33039

    Accueil du site : http://webtvcn.fr/