Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Culture - Page 327

  • Les psaumes traduits par Claudel et dits par Stéphane Daclon

    IMPRIMER

    psaumes_paul_claudel.gifUne belle manière d'entrer dans la semaine Sainte :

    découvrir les psaumes traduits par Paul Claudel, interprétés par Stéphane Daclon.

    Le spectacle reprend seize psaumes et sera présenté 
    à l'Espace de l'Hôtel de Ville, à Herve le lundi 2 avril 2012 à 20H 
    et à Wavreumont le mercredi 4 avril 2012 à 20H15.

    Réservations souhaitées au 087/ 88 10 33 (10 €) Renseignements: Céline Doutrepont, celinemmd@gmail.com

    Lire la suite

  • Gender : bannir le "il" et le "elle" ?

    IMPRIMER

    Source : synthèse de presse de genethique.org

    En Suède, après l'école Egalia (Cf. Synthèse de presse du 28/06/11), une crèche municipale de Stockholm a décidé de bannir de son vocabulaire les pronoms "il" (han) et "elle" (hon) et d'utiliser un pronom neutre, hen, lorsque le personnel éducatif s'adresse aux enfants.

    En pratique, si certains parents acceptent d'attendre plusieurs mois pour faire entrer leur enfant à la crèche Egalia, il s'avère que "la pédagogie qui y est pratiquée est loin de faire l'unanimité en Suède".

    Du point de vue institutionnel, le Conseil des langues (en charge du suivi de l'évolution du langage en Suède) s'est, dans un premier temps, opposé à l'usage du pronom neutre, avant de revenir sur sa position : selon Suzanne Carlsson, inspectrice, "nous continuons de penser qu'il vaut mieux utiliser d'autres stratégies, comme il/elle ou bien la forme passive, mais nous n'interdisons à personne de l'utiliser, et nous pensons même qu'il est respectueux de le faire quand quelqu'un qui ne se reconnaît dans aucun des deux genres le demande".

    Face à ce changement idéologique, certains auteurs réagissent. Ainsi en est-il d'Alsa Carlsson, blogueuse, pour qui "notre sexe dit certaines choses de notre identité, et c'est la raison pour laquelle c'est une information importante à donner, même si cette information seule, bien sûr, ne dit pas tout sur l'individu en question". Philip Hwang, psychologue, évoque les risques vers lesquels la neutralité peut conduire, "cela peut devenir problématique pour un enfant, très tôt conscient de son sexe". La neutralité utilisée par les parents dans le langage montre "qu'ils ne voient aucune différence entre les filles et les garçons, ce qui n'est pas le cas de l'enfant".

    Pour la philosophe et psychanalyste Anne Dufourmantelle, "créer un pronom neutre a un air égalisateur, mais c'est un acte sociopolitique qui risque surtout de générer de la violence".

  • L'"anthropologie de l'ouverture", remède au drame de notre temps ?

    IMPRIMER

    Sur ZENIT.org :

    « Le Christ, destin de l’homme. Itinéraires d’anthropologie filiale » : ce livre du secrétaire du Conseil pontifical pour la Famille, Mgr Jean Laffitte, évoqué sur ZENIT.org le 16 mars, a été présenté à Paris, au Collège des Bernardins, le mercredi 14 mars, entre autres, par le P. Olivier Bonnewijn, professeur à l’I.E.T. de Bruxelles.

    Le texte intégral de sa présentation figure sur le site de ZENIT.org : http://www.zenit.org/article-30433?l=french.

    Extrait :

    "(l') auteur (Mgr Laffitte) possède une vive perception du drame de notre temps : la fermeture à Dieu comme l’a spécialement analysé Gaudium et spes dans ses numéros sur l’athéisme, le rétrécissement individualiste de l’être humain et de la société. La gender theory en présente un symbole actuel particulièrement éloquent. Pourtant, « l’homme ne se limite jamais à l’horizon de ce monde. » « Il est incapable de se suffire à lui-même. (…) Il a une constitution que de nombreux auteurs (…) ont parfois qualifiée de structure dialogique. D’autres, comme Bruaire, sont allés encore plus loin en parlant de l’homme comme être-de-don. »

    D’où la question de fond qui traverse tous les chapitres : Comment échapper à cet emprisonnement ? Comment tracer des pistes - des « itinéraires » - pour parvenir à cette « anthropologie adéquate » dont parle Jean-Paul II ? Notre théologien pasteur part de très loin. Il commence par considérer l’embryon souvent prisonnier d’un regard très matérialiste et aboutit 560 pages plus loin au côté transpercé du Christ. « Il y a une contemporanéité du Cœur transpercé du Christ à l’homme de tous les temps », y compris à l’homme en son stade embryonnaire.Entre les deux, quel parcours ! La santé, le sida, la mort, le mariage, la famille, le corps, l’Eucharistie, la société, la paix entre nations, la démographie en Europe, l’objection de conscience et « la tolérance idéologique », la révolution sexuelle, l’inviolabilité de la conscience, la connaissance de Dieu et de la vérité, l’agir rationnel du croyant, le pardon. Toutes ces problématiques sont en réalité intrinsèquement reliées entre elles grâce aux rayons de cette anthropologie de l’ouverture."

  • La "Nuit des Cathédrales" à Liège, le 12 mai

    IMPRIMER

    entete_cathedrales_gauche_2010.jpgLa Cathédrale Saint-Paul de Liège

     
    17h45 Concert de carillon par Fabrice RENARD.
    18h00 * Temps de prière.
    * Vernissage de l’exposition « Le Mystère copte » avec la collaboration de l’Œuvre d’Orient.
    * Plage d’orgue par Joëlle SAUVENIERE.
    18h30 à 19h30 Temps musical par la classe de Musique de chambre de l’Académie Grétry
    Cloître et jardin de la cathédrale.
    18h30 Visite guidée de la cathédrale et de son Trésor.
    19h30 à 20h00 Plage musicale (à préciser)
    20h00 Conférence : Les coptes d’Egypte et les chrétiens d’Orient
    par Mr Christian CANNUYER, orientaliste, professeur à l’institut Catholique de Lille, directeur de la Revue Solidarité – Orient.
    21h00 à 21h30 Plage musicale (à préciser)
    21h00 à 22h30 Adoration dans la chapelle du chapître
    22h00 Plage d’orgue
    23h00 Prière de la Nuit
    23h30 Fermeture des portes

    Organisation : Conseil « Cultures, Cité et Eglise »

  • Le tueur de Toulouse : Ivan Rioufol pointe "ces moralistes qui ont couvé un monstre"

    IMPRIMER

    Sur son Figaro-blog, Ivan Rioufol s'en prenait hier à "ces moralistes qui ont couvé un monstre" :

    "Qui a couvé ce monstre ? A l'heure où j'écris ces lignes, mercredi matin, l'assassin des trois enfants juifs, d'un jeune rabbin et de trois parachutistes d'origine musulmane (rajout: dont un de religion catholique) ayant combattu en Afghanistan est toujours retranché dans un appartement à Toulouse, encerclé par le RAID. Ceux qui, dès lundi, ont accusé tout à la fois Marine Le Pen (Dominique Sopo, de SOS Racisme), les "pyromanes de l'identité française" (Bernard Henri-Lévy), "un climat de haine" (Corinne Lepage) ou "l'intolérance" menée par "ceux qui montrent du doigt en fonction des origines" (François Bayrou) se retrouvent confrontés à leur aveuglement et à leur lâcheté sur la montée en puissance de l'islam radical en France, si souvent dénoncé ici-même. Car le barbare, Mohammed Merah, 24 ans, Français d'origine algérienne, soutenu semble-t-il par un réseau familial, se réclame d'Al Qaïda, du jihad et de sa guerre menée contre l'Occident et les mécréants. Il est le prototype du nazislamiste qui avait fait se rapprocher naturellement, durant la dernière guerre mondiale, le grand mufti de Jérusalem, Haj Amin al-Husseini et Adolf Hitler (voir De l'urgence d'être réactionnaire, page 137). Ceux qui mettent en garde, en vain, contre les germes d'une guerre civile en France seront-ils enfin entendus ?

    Les accusateurs qui voulaient que la France silencieuse le redevienne vont devoir rendre des comptes. Ils sont les premiers responsables de cette tragédie qui était à redouter face à l'ampleur prise dans certaines cités par le repliement salafiste. Ce qui me rend furieux  est de voir les conséquences tragiques de la constante mauvaise foi de ceux qui, au nom d'une morale de pacotille,  ont toujours refusé de se confronter, comme Bayrou par exemple, à la crise de la cohésion nationale née d'une immigration impensée, d'un code de la nationalité angélique, de la survenue d'une idéologie totalitaire. Celle-ci trouve ses protections aussi bien chez les antiracistes au nom de la lutte contre l'islamophobie que chez Tariq Ramadan et ses alliés d'extrême-gauche au nom de la réislamisation des musulmans, de leur "visibilité" et d'un antisionisme suintant la haine du juif. Le livre de Stéphane Hessel, Indignez-vous !, exclusivement consacré à la mise en accusation d'Israël, est de ces conditionnements qui ne peuvent qu'exciter des esprits fanatisés par le mythe du juif tueur d'enfants, tel que l'affaire Al-Dura (l'armée israélienne accusée sans preuve d'avoir tué un enfant palestinien en 2000 sous la caméra de France 2) l'a propagé dans les médias. Aujourd'hui, les masques tombent enfin. A la campagne présidentielle de s'emparer sereinement du sujet."

  • Liège, 27 mars : Politique et religion dans la pensée grecque

    IMPRIMER

    Mardi 27 mars 2012 à 18h00

     Politique et Religion dans la Pensée grecque

     Présentation par

     André MOTTE

     Professeur hon. à l’Université de Liège

     Directeur de Kernos

     Revue internationale et pluridisciplinaire de religion grecque antique

    Le sujet est particulièrement intéressant parce que l'expérience des Grecs anciens, tout au long de leur histoire, n'a connu qu'une étroite imbrication entre le politique et le religieux. Dès lors, projeter dans leur culture des notions comme celle de neutralité étatique, de pluralisme ou encore de laïcité fait courir le risque d'un grossier anachronisme. On s'attachera d'abord à illustrer cette situation qui fut la leur et à tenter de l'expliquer.

    Chez plusieurs penseurs cependant, poètes ou philosophes, on observe certains phénomènes de distanciation à l'égard de la religion traditionnelle ou du complexe politico-religieux de l'époque, distanciation tantôt inspirée par l'humour, tantôt due à une volonté de critique voire de rejet, tantôt encore prenant la forme d'une véritable objection de conscience. On présentera quelques exemples concrets de cette distanciation qui préfigure peut-être certains aspects de notre modernité et, avant de conclure, on esquissera, s'agissant des rapports entre le politique et le religieux, les positions, très différentes, des deux penseurs grecs qui ont marqué le plus profondément le développement de la culture occidentale, Platon et Aristote.

    La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er ét. (accès par la grande entrée) . Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h00. P.A.F : 10 €  (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours ouvrables à l’avance par e-mail.

    RSVP le 25 mars 2012 au plus tard

     Tél. 04.344.10.89 ou info@ethiquesociale.org

     Internet : www.ethiquesociale.org

    Union des étudiants catholiques de Liège : Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42 – 4020 Liège (tél. 04 344 10 89;  e.mail  jpschyns@skynet.be)

    Groupe de réflexion sur l’éthique sociale : Elio Finetti, Quai Orban 34, 4020 Liège (tél. 0475 83 61 61;  e.mail : finetti@ethiquesociale.org)

    Calpurnia - Forum de conférences, débats : Philippe Deitz, Rue Henri Maus, 92 - 4000 Liège (tél. 04 253 25 15, e.mail: calpurnia.musee@gmail.com)

  • Liens du jour (20 mars 2012): place à l'Histoire...

    IMPRIMER

    19 mars 1882 : La Sagrada Familia (Herodote.net)

    Vichy face à la "Solution finale" (Herodote.net)

    Le génocide vendéen... et son mémoricide (Itinerarium)

  • Ce 23 mars à Verviers : un évènement musical exceptionnel

    IMPRIMER

    Quand les voix du King’s School de Canterbury s’unissent aux cordes du Conservatoire de Verviers et aux petits chanteurs de la chorale Sainte-Julienne

    Le vendredi 23 mars prochain, à 20H00, l’église Sainte-Julienne (Verviers) accueillera, pour la seconde fois l’ensemble « Madrigalia » du King’s School  de Canterbury ( http://www.kings-school.co.uk/ ) pour un concert unique, en collaboration avec l’ensemble « Scorzando » du Conservatoire de Verviers et les petits chanteurs de la chorale Sainte-Julienne de Verviers. Des jeunes musiciens d’un talent exceptionnel présenteront ainsi un programme varié de musique de la Renaissance et de la Période Baroque.

    Au programme, des œuvres de JS Bach,Banchieri, Boccherini,Byrd, Haendel, Mozart,Purcell,Quantz, Scarlatti, Vittoria.

    Institution dont l’origine (597) remonte à saint Augustin de Canterbury, the King’s School a reçu cette dénomination après la dissolution des monastères, sous le règne d’Henri VIII. Actuellement, le niveau musical de cet établissement jouit d’une très haute réputation.

    L’ensemble Madrigalia, dirigé par Nicholas Todd, est un chœur du King’s School  qui se concentre sur la musique de la Renaissance et des siècles qui la précèdent. Depuis sa fondation en 2006, Madrigalia voyage à l’étranger. En 2009, les choristes ont chanté le Requiem de Tomas Luis de Victoria dans le monastère de Santo Tomás  où le compositeur lui-même avait été élève ; en 2010, à l’Abbaye du Bec-Helloin en Normandie, la chorale a interprété les Lamentations pour le Vendredi Saint de Roland de Lassus.

    Scorzando est un ensemble de cordes composé de jeunes musiciens issus du Conservatoire de Verviers, qui se préparent à une carrière professionnelle, tandis que d’autres sont toujours aux études ou que d’autres, diplômés, prennent plaisir à y rester associés.

    C’est à l’occasion de l’animation d’une messe radio que la Chorale Sainte-Julienne est née. Depuis lors, les choristes se réunissent chaque semaine, le vendredi et samedi, afin de répéter de grandes œuvres classiques qui seront interprétées lors des messes spéciales tout au long de l’année.  La chorale a pour objectif de donner aux enfants le goût de « la Grande Musique ».  Les jeunes ici présents peuvent témoigner de l’enthousiasme qui règne lors des répétitions et des prestations.

    Ce concert d’une qualité qui promet d’être exceptionnelle bénéficiera de la très bonne acoustique de l’église Sainte-Julienne. L’entrée est gratuite.

    Contact : Julian Todd, Rue de France 36, Verviers
                  Tel : 087 22 38 90  -  0473 774 844 
    julian.todd@live.be

    L’église Sainte-Julienne est située avenue Léopold II à Verviers.

  • Une excellente recension du "Jésus" de Petitfils dans La Libre

    IMPRIMER

    Paul Vaute, sous le titre : "Jésus-Christ sous le scalpel de l’historien", publie dans la Libre de ce 19 mars une excellente recension du livre de Jean-Christian Petitfils que nous avons évoqué sur ce blogue.

    "Considérés avec ou sans la foi, les Evangiles sont une source historique solide.

    Spécialiste de la monarchie française des XVIIe et XVIIIe siècles, Jean-Christian Petitfils s’était déjà échappé avec bonheur de son domaine de prédilection. Le défi qu’il s’est imposé cette fois n’en était pas moins de taille, pour ne pas dire à hauts risques : aborder la figure de Jésus en tant que sujet d’histoire, avec les méthodes de la critique historique. L’entreprise s’est révélée être un succès en librairie. C’est aussi une réussite.

    Bien sûr, l’historien n’a ici ni à proclamer, ni à nier le credo chrétien. Face au surnaturel, il s’efface, ainsi qu’il s’en est expliqué dans un entretien à "La Libre" (29/2). Pas plus que Cabanis ne trouva d’âme sous son scalpel, il ne peut affirmer la virginité de Marie. Mais il constate l’existence, à l’époque, de ce vœu d’oblation religieuse, même dans le cadre du mariage. Il ne sait pas si une étoile a vraiment guidé les mages, mais il relève sa singulière coïncidence avec une conjonction astronomique dûment attestée depuis Kepler. Il n’enquête pas sur la filiation divine de Jésus, mais il souligne son originalité irréductible. Il laisse la résurrection au domaine de la foi, mais il observe que "ce troupeau de fuyards apeurés" qu’étaient devenus les disciples "s’est métamorphosé soudainement en un groupe non de fanatiques hypnotisés, mais d’hommes libres, brûlants de conviction, prêts à donner leur vie pour annoncer la Bonne Nouvelle". Et qu’on ne connaît aucun exemple dans l’histoire d’un phénomène d’affabulation ou de wishful thinking collectifs engendrant un mouvement d’une telle ampleur.

    Pour le reste, le chercheur fait prudemment la part des événements authentiques et symboliques. Ces derniers imprègnent surtout les évangiles synoptiques, alors qu’à l’encontre de l’opinion commune, c’est celui de Jean, longtemps considéré comme le plus théologique, qui offre aux historiens les points d’appui les plus solides. Avare de précisions, certes, il est pourtant celui qui décrit et situe au mieux les faits.

    Outre les sources écrites, y compris païennes, Jean-Christian Petitfils accorde une place particulière, qui le singularise, aux trois grandes reliques de la Passion que sont le linceul de Turin, le suaire d’Oviedo et la tunique d’Argenteuil. Les techniques de pointe mises en œuvre ces dernières années ont révélé des données et des convergences telles qu’on peut conclure à "un degré d’authenticité extrêmement élevé". L’examen médico-légal du linceul a ainsi permis d’établir le modèle de fouet utilisé lors de la flagellation (un flagrum taxilatum), la position du bourreau à un mètre de la victime, "frappant le côté droit par des coups directs et le côté gauche par des coups de revers". Et ce n’est qu’un exemple parmi d’autres.

    Ces avancées de la science restent pourtant inconnues du grand public."

    Jésus Jean-Christian Petitfils Fayard 673 pp., env. 25 €

  • Offrir aux jeunes des raisons de croire

    IMPRIMER

    arton9323-88b65.jpgC'est France Catholique qui fait cette proposition que nous relayons bien volontiers tant il est rare de trouver quelque chose de semblable dans l'univers de la culture "jeune". Il suffit de parcourir les rayons de BD dans les librairies pour en faire le constat et pour réaliser combien nos enfants sont en voie de déchristianisation complète.

    Offrons aux jeunes des raisons de croire … vérifiables. Double album « les indices pensables ». (Tomes 1 et 2)

    C’est la grande nouveauté et la grande raison d’espérer de ces dernières années : pour réfléchir à la question de Dieu, il y a du neuf, car désormais, nous disposons d’un bon nombre d’indices vérifiables.

    Nous pouvons y voir un véritable cadeau du Ciel, car ce que demande cette génération, de plus en plus formée à la démarche scientifique, c’est précisément de pouvoir vérifier toute affirmation.

    Non pas que les découvertes des sciences soient en mesure de nous parler de Dieu de façon directe, mais parce qu’elles nous y conduisent, de façon indirecte, en confirmant l’intuition de saint Augustin qui disait : il existe deux « Livres » pour connaître le Créateur. Celui de la Révélation (Ancien et Nouveau Testament) et celui de… la Création elle-même.

    Lire la suite

  • Quand Dieu est oublié, l'homme aussi se perd

    IMPRIMER

    Le président de la commission épiscopale italienne, Monseigneur Angelo Bagnasco a affirmé, lors d’une messe célébrée dans une usine de Gênes, que «quand Dieu est oublié, l’homme aussi se perd » (Vatican Insider, 16/03/2012)

    La culture du monde occidental doit revenir aux dix commandements. C’est l’exhortation adressée par l’archevêque de Gênes, Monseigneur Angelo Bagnasco, lors de l’homélie au cours d’une messe célébrée pour la troisième fois en quelques jours à l’usine Ansaldo de Gênes.

    L’archevêque a parlé des « difficultés inévitables et graves dues à la globalisation ». Il a invité les fidèles à revenir aux dix commandements. Car, fait-il remarquer, « les dix commandements ne sont pas seulement un discours religieux ou confessionnel. Ils sont le fondement, la base et lorsque la base est érodée tout le reste est corrompu. L’histoire ancienne et récente nous l’enseigne ».

    « Les pères de l’Europe : Schumann, Adenauer et De Gasperi, ont posé les bases du chemin européen sur les commandements de Dieu, non par ambition théocratique, mais par intelligence humaine. La culture moderne et l’homme, en Italie, en Europe et dans d’autres parties du monde, ont cru pouvoir se passer de Dieu et se gérer seuls. Nous voyons les résultats dans plusieurs domaines de la vie sociale et civile. Quand Dieu s’efface, l’homme se perd.

    Les dix commandements, outre le fait de constituer un discours spécifiquement religieux, sont aussi radicalement et profondément humains. Lorsqu’il y a de bonnes bases dans la vie d’une personne, d’une famille, d’une société, d’une entreprise, d’une culture, de la politique, de l’économie, de la finance, et que ces bases sont solides, rien ne pourra les ébranler ».

    C'est alors, conclut-il, « qu'il devient aisé de pouvoir résoudre les inévitables difficultés, parfois graves, que la vie, les circonstances, la globalisation suscitent ».