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Sexualité - Page 89

  • Troisième Marche pour la vie à Bruxelles : un appel convaincant de l’Association pour la Famille

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    Action pour la famille soutient la Marche pour la vie organisée par un collectif d’étudiants qui partira le dimanche 25 mars à 14h du Mont des Arts (près de la statue du roi Albert I) à Bruxelles. Pour plus d’informations http://www.marchforlife.be

    Malgré les campagnes en faveur de l’usage des contraceptifs et des cours d’éducation affective et sexuelle dans les écoles, le nombre d’avortements ne cesse de progresser en Belgique. Selon les chiffres du dernier rapport de la commission d’évaluation sur l’interruption de grossesse, nous sommes passés de 13 474 avortements en 2003 à 19 421 en 2009, alors que le nombre de femmes en âge d’avoir des enfants est en diminution constante. Plus inquiétant encore : la proportion de jeunes femmes (moins de 25 ans) qui subissent une IVG ne cesse d’augmenter.

    Ne nous voilons pas la face : que l’on soit pro-choice ou pro-life, nous devons admettre qu’il y a un problème de l’avortement en Belgique. Plusieurs décennies d’utilisation de plus en plus répandue et efficace de méthodes contraceptives nous montrent qu’elles sont impuissantes à enrayer cette tendance à la hausse.

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  • Quand le pape redit le sens du mariage et de la chasteté

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    A la suite de Jeanne Smits, nous reproduisons ces extraits d'un message adressé par le pape à une délégation d'évêques américains. A la lecture, on comprendra pourquoi.
    Cité du Vatican, 9 mars (VIS). Benoît XVI a reçu ce matin un groupe de prélats de la Conférence épiscopale des Etats-Unis d'Amérique, concluant leur visite Ad Limina, auxquels il a parlé de la crise du mariage et de la famille, « et plus généralement de la vision chrétienne de la sexualité humaine ». 
    « Il est de plus en plus évident que le mépris de l'indissolubilité de l'alliance matrimoniale et le refus diffus d'une éthique sexuelle fondée sur la chasteté ont créé de graves problèmes sociaux, ainsi qu'immense coût humain et économique... On doit citer à ce propos les puissants courants socio-politiques qui poussent à modifier la définition légale du mariage. Les efforts de l'Eglise pour résister à cette pression comprennent une défense raisonnée du mariage comme institution naturelle consistant en la communion de personnes enracinée dans la complémentarité des sexes et orientée à la procréation.  La différence des sexes ne peut être considérée comme secondaire dans la définition du mariage, et la défense de cette institution de dimension sociale relève en dernière instance de la justice. Il s'agit de sauvegarder le bien de la communauté toute entière, les droits des parents comme des enfants. » 
    Rappelant que les évêques lui ont fait part de leur difficulté croissante à communiquer l'enseignement de l'Eglise sur le mariage comme sur la famille, le Saint-Père déplore la diminution du nombre de jeunes qui recourent à ce sacrement. 
    « Nous devons reconnaître la déficience de la catéchèse de ces dernières décades, qui n'est pas toujours parvenue à communiquer le riche patrimoine de la doctrine catholique en matière de mariage, institution naturelle élevée par le Christ au rang de sacrement, ni la vocation des époux chrétiens au sein de l'Eglise comme de la société, ni ce qu'est la chasteté conjugale ».
    « La préparation au mariage doit être revue pour insister sur l'aspect catéchétique dans l'exposé des responsabilités, sociales et ecclésiales, du mariage chrétiens. On ne saurait oublier le grave problème pastoral que représente la pratique diffuse de la cohabitation, comme si on oubliait qu'il s'agit d'un péché grave, sans parler de ses effets négatifs sur la stabilité sociale. » 
    Puis Benoît XVI a encouragé ses hôtes a fixer des normes pastorales et liturgiques claires « pour une digne célébration du mariage, qui doit manifester objectivement la morale chrétienne tout en étant sensibles aux préoccupations des jeunes couples... Ce grand effort pastoral a besoin que la communauté chrétienne retrouve et apprécie la vertu de la chasteté... Il ne s'agit pas simplement de présenter des arguments hors de tout référence à une vision globale, cohérente et stimulante de la sexualité. La richesse de cette vision est plus solide et plus attractive que les idéologies permissives qui constituent chez les jeunes la force la plus destructrice de la catéchèse... Comme le dit le catéchisme, la chasteté, qui implique d'apprendre à se dominer, est une pédagogie de la liberté. Dans une société qui comprend de plus en plus mal, voir à ridiculiser, la dimension et l'essence de la doctrine chrétienne, les jeunes ont besoin d'être certains qu'on ne perd rien à faire rentrer le Christ dans sa vie. Absolument rien de ce qui rend l'existence grande, belle et libre ». 
    Puis il a évoqué le bien des enfants, « qui ont le droit à grandir dans une saine compréhension de la sexualité et de sa juste place dans les relations inter-personnelles. Les enfants étant l'avenir de la société, nous avons envers eux un devoir d'enseignement, de défense et de promotion des vertus morales qui sont la clef de la réalisation de la personne. J'espère donc que, malgré le malaise causé par des événements des dernières années, l'Eglise des Etats-Unis poursuive sa mission historique d'enseignement. En éduquant la jeunesse elle consolide la saine vie familiale, garantie de la solidarité entre les générations et de la santé de tout le corps social. »

  • Encore une attaque médiatique contre le célibat sacerdotal

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    Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage. Sur le site de “La Vie” Jean Mercier s’y colle à son tour, dans une “paposcopie” du 5 mars (extraits):

    “ C'est un documentaire qui promet une flambée d'audimat. Diffusé par France 2 le 6 mars, il a pour thème « La vie amoureuse des prêtres ». Il est si tentant de connaître la vie intime de ceux qui se sont volontairement astreints au célibat, et donc à la chasteté... Le moins qu'on puisse dire est que le film est croustillant. Il s'ouvre sur des images d'un couple en automobile. Un prêtre et une femme racontent comment ils se cachent pour se retrouver dans l'intimité, jusqu'à s'échapper à l'étranger.

    Kilien et Christine, dont les noms sont donnés en clair, auront sans doute sous-estimé l'impact de ces images sur un diocèse de Lille encore assez bouleversé par le départ de Kilien. Le téléspectateur apprend d'emblée que le documentaire a été tourné alors que Kilien était encore en poste. Il va donc assister en temps réel à la défection du curé... (…)

    Le cinéaste, qui ne brille pas par sa discrétion, ne répugne pas à nous faire entrer dans l'intimité d'un autre couple composé d'un prêtre septuagénaire, qui a attendu la retraite pour épouser celle qu'il aime depuis des lustres. L'ancien Père Gabriel raconte qu'il a demandé à Jacqueline de coucher avec lui – sans qu'ils soient déjà amoureux – et qu'elle a accepté. Là encore, était-il vraiment indispensable de nous partager cette confidence ? (…)

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  • L'enfance dénaturée

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    Notre société s'émeut à juste titre de voir des enfants victimes d'abus sexuels mais en même temps on y banalise l'hypersexualisation des enfants, des petites filles en particulier. Il est grand temps de s'en inquiéter. Le Figaro met en ligne aujourd'hui cet article :

    "La mode des lolitas dénoncée par un rapport parlementaire

    Remis lundi, il s'inquiète du phénomène d'hypersexualisation des petites filles.

    Soutiens-gorge ampliformes dès 8 ans, chaussures à talon en taille 30, ministrings, trousses de maquillage dès 12 ans, poupées en jambières… Véritable phénomène de société, l'hypersexualisation des jeunes filles provoque une telle inquiétude qu'elle fait aujourd'hui l'objet d'un rapport parlementaire pour tenter de mettre en place des garde-fous.

    La sonnette d'alarme est tirée par la sénatrice UMP Chantal Jouanno, ex-ministre des Sports, auteur de ce rapport remis lundi à Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale. Le phénomène, observé par les spécialistes sur les enfants prépubères de moins de 12 ans, se définit non seulement par la sexualisation de leurs codes vestimentaires mais aussi de leurs expressions, postures et intérêts, jugés trop précoces pour leur âge. Poussée par l'industrie de la mode et les médias, par le retour des stéréotypes dans les jouets et la souveraineté de l'apparence dans les programmes de téléréalité, l'hypersexualisation banalise la pornographie et la violence, constate le rapport parlementaire intitulé «Contre l'hypersexualisation, un nouveau combat pour l'égalité». Conséquence: elle fragilise les enfants dans leur équilibre psycho-affectif et leur construction identitaire.  L'intrusion précoce de la sexualité entraîne des dégâts psychologiques irréversibles dans 80 % des cas», affirment les spécialistes du dossier. Mais elle favorise aussi les conduites à risque comme l'anorexie et met en danger, à terme, l'égalité entre les femmes et les hommes qu'ils deviendront, s'alarme le rapport.

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  • Pédophilie dans l’Église de Belgique: environ 500 cas signalés ?

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    Selon les criminologues Ivo Aertsen et Nele De Ranter,  il y aurait, en Belgique, environ 500 cas d’abus sexuels au sein de l’Eglise qui ont été signalés.

    Un chiffre obtenu en recoupant les données des Commissions Halsberghe et Adriaenssens, du procureur fédéral, de l’association « Mensenrechten in de Kerk », des services CAW (Centra voor Algemeen Welzijnswerk), des évêchés, des ordres et des congrégations. Le nombre de prêtres et de religieux impliqués dans ces dossiers reste cependant inconnu.  Les faits remontent surtout aux années 60 et 70 et seraient trois fois plus importants en Flandre qu’en Wallonie. Ils se concentrent davantage dans les ordres et les congrégations.
    Les chercheurs estiment que 70% des cas ont fait l’objet d’une intervention policière ou judiciaire et qu’un cas sur trois a été condamné au pénal. Ils avancent aussi que les autorités ecclésiastiques ont ordonné, de leur côté, des tâches limitées et des conditions spéciales (dans 25% des cas), des mutations (15%) ou des interdictions d’exercer des activités pastorales (15%). Référence cathobel :
    Pédophilie dans l’Église: environ 500 cas signalés ?

     D’une part, le concile Vatican II puis mai 68 furent des événements sociétaux qui ont été compris comme une libération de toutes entraves, une levée des vannes. D’autre part, 500 dossiers, comme le remarque justement la note, ne signifient pas 500 personnes incriminées : un chiffre probablement très inférieur (plusieurs plaintes peuvent concerner une même personne et d’autres se révéler sans fondement). 

  • L'infidélité, c'est très "tendance"...

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    Et c'est là-dessus que "surfe" le site de rencontres Gleeden qui s'affiche sur 1500 panneaux publicitaires du Royaume : lalibre.be/actu/belgique/article/721340/l-adultere-plebiscite-en-ligne.html

    Extrait : "Ouvert depuis décembre 2009 dans 159 pays différents, le site se targue de réunir plus de 1 100 000 membres, dont 50 000 Belges. Le principe ? "Que vous recherchiez le frisson avec une femme mariée dans votre ville ou un amant à des milliers de kilomètres de chez vous, Gleeden accueille et met en relation les infidèles du monde entier", peut-on lire sur le site. Sa démarche, le site Gleeden.com la fonde notamment sur diverses statistiques ayant trait à l’infidélité. Ainsi, la Belgique serait le troisième pays le plus infidèle, après la France et l’Italie..."

  • Aimer librement : un week-end organisé par le Chemin Neuf

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  • Pow wow romain sur la pédophilie cléricale : Benoît XVI garde ses distances

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    De Jean-Marie Guénois, dans le Figaro de ce jour :

     « Le Pape ne recevra pas les participants au colloque sur la crise des prêtres pédophiles organisé à Rome.

    En organisant une conférence internationale sur la crise des prêtres pédophiles cette semaine à Rome, la Grégorienne, la prestigieuse université jésuite, entend avant tout faire le point après une bonne dizaine d'années de troubles dans toute l'Église catholique (…).

    En aucun cas donc cette université ne peut donner de leçons particulières sur un scandale qui va marquer durablement l'Église catholique, cet ordre religieux mais aussi beaucoup d'autres et combien d'Églises diocésaines. Ce n'est d'ailleurs aucunement l'état d'esprit de la rencontre dont l'ambition universitaire cherche au contraire, avec l'appui du Saint-Siège, à analyser ce qui s'est passé pour participer à la résolution du problème.

    Mais il y a tout de même un indice étrange dans ce rendez-vous romain. Benoît XVI, qui a l'habitude de recevoir les membres de colloques internationaux bien moins importants, ne recevra pas - sauf décision de dernière minute - celui-ci. (…). Cette discrétion du Pape est significative. Lui, effectivement, n'a pas ménagé sa peine pour prendre cette crise à bras-le-corps et… prendre tous les coups. Des demandes de pardon aux victimes, il en a fait - notamment le 11 juin 2010 devant 15.000 prêtres. Des réprimandes à l'Église aussi. Sans compter les renforcements juridiques internes pour contrer ces comportements. Tout se passe comme si Benoît XVI estimait que l'on avait assez parlé de ce drame et qu'il fallait surtout désormais agir. Voir ici : Pourquoi Benoît XVI garde-t-il ses distances?

    Un colloque de trop ? Le pape a raison : dans cette longue et triste affaire, le mieux est maintenant d’agir avec fermeté en cultivant -loin des « repentances publiques » itératives sous l’œil des médias- un véritable esprit de mortification, de conversion  intérieure silencieuse et des actes concrets de réparation.

  • Le cardinal Caffarra face à la déconstruction du mariage

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    Sous le titre : "La réflexion anthropologique, pour faire comprendre le mariage", Zenit.org nous partage la réflexion du cardinal Caffarra au sujet de l'actuelle remise en cause du mariage en Occident

    (ZENIT.org) – Trente ans après la publication de Familiaris consortio, le cardinal Carlo Caffarra, archevêque de Bologne, dresse, dans cette analyse, l’état des lieux de l’institution du mariage et de la famille en Occident et qualifie la situation actuelle de « tournant historique ». Analysant les défis que doit affronter la pensée chrétienne, l’archevêque italien préconise un approfondissement de la réflexion anthropologique introduite par l’exhortation apostolique. Il faut, dit-il, reconstruire « une vision de l’homme » pour « vraiment répondre aux questions de l’homme sur lui-même et sur son destin ».

    Réflexions du card. Caffarra

    Je pense qu’au cours des trente années qui nous séparent de la publication de Familiaris consortio, un changement radical s’est produit dans la manière dont l’Occident considère le mariage, et donc la famille ; il s’est opéré un tournant historique dans la culture occidentale. Je vais tenter de le décrire brièvement.

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  • Les prêtres suisses restent couverts par le secret professionnel

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    « Berne, 6 février 2012 (Apic) La Commission des affaires juridiques du Conseil national a refusé de toucher au secret de la confession. Selon les médias, lors de ses séances du 3 et 5 février 2012, la commission a refusé par 13 voix contre 5 de donner suite à l’initiative parlementaire de Carlo Sommaruga.

    Le Conseiller national socialiste genevois voulait obliger les prêtres à dénoncer à la justice, sous peine de poursuite, les abus sexuels dont ils auraient eu connaissance en confession. Selon la commission, il serait problématique d’établir une telle règle ne touchant qu’une seule profession et de déterminer une catégorie de faits punissables pénalement. En outre, le but de l’initiative ne serait pas atteint par la seule levée du secret de la confession sans pouvoir l’associer à la connaissance d’informations supplémentaires concernant le délit.(…)

     L’article 321 du code pénal [helvétique] qui traite les ecclésiastiques au même titre que les avocats, les médecins et les pharmaciens et leur accorde le secret professionnel, ne devrait pas être modifié, à moins que le parlement ne suive pas l’avis de sa commission. La loi prévoit néanmoins que lors de délits contre les mineurs, le secret professionnel est réduit. L’ecclésiastique qui a ainsi connaissance de comportements pédophiles peut être autorisé à l’annoncer auprès d’un procureur. » L’article ici : Suisse: La commission du National refuse de toucher au secret de la confession

     En somme l’approche suisse à cet égard demeure foncièrement la même que dans la législation pénale belge. Nous avions déjà parlé de cette question voici quelques jours sous ce titre : Le secret de la confession attaqué en Suisse

  • L’Eglise organise un symposium mondial sur le drame de la pédophilie.

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    Dans « La Libre »  d’aujourd’hui, Christian Laporte a noté qu’ "à partir de ce lundi 6 février et jusqu’au jeudi 9 inclus, plus de 110 représentants des conférences épiscopales du monde entier et 35 supérieurs d’ordres religieux participent à Rome à un symposium sur les abus sexuels dans l’Eglise. Cela se passera à la Grégorienne, l’université romaine pilotée par les Jésuites. Ce sera l’occasion pour les différents évêques référendaires - dont Mgr Guy Harpigny et Mgr Johan Bonny pour la Belgique - de débattre des lignes fondamentales adoptées par l’Eglise à son sommet afin de lutter contre les crimes pédophiles.

    Mais en même temps, ce sera un temps d’échange important sur ce qui a déjà été entrepris et la Belgique a ici plusieurs longueurs d’avance avec la mise en place d’un tribunal arbitral et le coup d’envoi d’une politique globale de mesures à tous les étages de l’institution. La confrontation-comparaison risque d’être intéressante lorsqu’on passera au peigne fin la ligne des différentes conférences épiscopales.

    Mais à côté du colloque et pour bien montrer la bonne volonté ecclésiale, sept responsables de l’Eglise provenant d’institutions dont sont issues des personnes coupables ou ayant commis des sévices "demanderont pardon" pour ces actes inqualifiables commis par des personnes investies de responsabilités morales au cours d’une veillée pénitentielle(…)." L’article est ici : Nouveau pardon et surtout des mesures concrètes

    Selon la déclaration de Mgr Charles  Scicluna à l’agence Zenit on donnera une place importante à la prévention, donc à la formation : « avant tout, la formation des agents pastoraux : nous parlons des clercs, mais aussi des laïcs engagés comme catéchistes. Une prévention qui doit partir de la base : pas seulement d’en haut, mais de la base. Et ceci est le plus important. Parce que la formation doit se faire aussi dans les familles, dans les écoles, dans les paroisses. Comment reconnaître les comportements à risque ? Comment aider les garçons et les filles, les jeunes, à se défendre contre toute atteinte malveillante venant d’autrui ? ».

    Pas de nouvelle évangélisation possible s’il n’y a pas d’abord, sur le terrain, un profond redressement doctrinal et moral dans l’Eglise postconciliaire.