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Société - Page 683

  • Impressions d'un "Marcheur pour la Vie"

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    Alors que nos médias ne soufflent mot de ce rassemblement qui a eu lieu hier à Bruxelles, un participant nous confie ses impressions :

    "Nous devions être plus d’un millier, rassemblés sur l’esplanade du Mont des Arts, munis d’un ballon blanc, exhortés par de jeunes animateurs débordant d’enthousiasme et de spontanéité. La bonne nouvelle, c’est que ce public était largement constitué de représentants de la nouvelle génération et aussi de couples emmenant leur progéniture. Il y avait également des soutanes, des habits religieux, des « vétérans » du combat pour la Vie, et la présence courageuse de notre archevêque qui n’a pas craint de s’exprimer avec force et simplicité pour redire l’importance de ces mobilisations que d’autres projets de lois à venir rendront bien nécessaires. L’ambiance était bon enfant et conviviale : rien d’agressif ni d’excessif dans les comportements ou les slogans affichés ; beaucoup de bonne humeur sur des visages exprimant le simple plaisir d’être là, de se retrouver entre amis, de manifester sans détour un solide attachement à la Vie et au respect qui lui est dû, de refuser paisiblement mais résolument les dérives d’une société qui banalise l’élimination du petit d’homme en gestation et de l’être humain en fin de vie lorsque tout devient trop difficile… C’est dans ce climat que les manifestants se sont résignés sans mauvaise humeur à faire une marche symbolique de quelques centaines de mètres qui les a ramenés à leur point de départ. Telles étaient les limites imposées par la police chargée d’appliquer les restrictions justifiées par la présence dans la capitale du Président chinois qui a pourtant consacré son après-midi à visiter les pandas installés à Pairi Daiza. Hasard ou coïncidence : les organisateurs de la Marche pour la Vie avaient précisément placé cette manifestation sous le signe de ces sympathiques plantigrades qui lui ont conféré un caractère gentiment « bisounours ». Les ballons se sont envolés et nous nous sommes quittés en nous promettant de nous retrouver le 29 mars 2015 pour la prochaine Marche pour la Vie, s’il plaît à Dieu."

  • Le "Magnifique succès de la Marche Pour la Vie à Bruxelles"

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    ... le silence des médias n'en serait-il qu'une confirmation?
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    et le rendez-vous est déjà donné pour l'année prochaine:
    le 29 mars 2014!
  • Le dépérissement du catholicisme au Québec

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    Lu ICI :

    Au moins 60 % des Québécois se déclarent catholiques. Néanmoins, au-delà de cette référence identitaire, l’appartenance réelle à l’Église a fondu comme neige au soleil. Et leur foi vacille dangereusement. Bref, le catholicisme québécois se délite. Pendant ce temps, l’athéisme et l’agnosticisme progressent : 17 % se déclarent sans religion. C’est ce que révèle le sondage CROP réalisé pour l’émission Second regard de Radio-Canada diffusé dimanche. Il a été mené du 13 au 16 février dernier auprès de 1000 adultes au moyen d’un panel Web. La société d’État a bien voulu nous en communiquer les résultats complets.

    Premier constat majeur : la religion comme valeur est dorénavant l’affaire d’une minorité : 58 % des Québécois et 54 % des catholiques accordent peu ou pas du tout d’importance à la religion. Mais elle est une réalité complexe. Distinguons.

    La religion joue d’abord une fonction identitaire. Si 59 % des Québécois, pratiquants ou non, se déclarent catholiques, c’est qu’ils disent avoir été baptisés (59 %). Pourtant parmi ces derniers, le tiers ne se « considèrent » pas comme catholique ou ne savent pas trop.

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  • Le pape François est-il devenu un produit marketing ?

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    new-yorker-pape-francois.jpgSur le site « Figarovox », Paulin Césari, journaliste au Figaro-Magazine,  revient sur l'engouement médiatique autour de la personnalité du Pape. Il se gausse de la récupération par la société du spectacle d'un pape qui a pourtant fait du libéralisme et de la société de consommation des maux à combattre :

     « À les entendre, il semblerait que le nouveau pontife soit une synthèse improbable de Madoff et de Katsumi, de Guevara et de Mimie Mathy. Il serait venu libérer l'homme et le monde de cet effroyable carcan qu'ils appellent l'Église

    Si Benoît fut méchant, François est gentil. Ainsi court la rumeur dans le monde merveilleux des Bisounours. Ainsi parlent depuis près d'un an les manœuvriers conscients et les idiots utiles du système à broyer les âmes (le libéralisme triomphant et la société du spectacle qui en est l'expression la plus achevée). Ils se pressent autour du pape François, en qui ils croient voir l'incarnation de leur fantasme structurel: un pape enfin moderne. Comprenons: un domestique servant l'esprit du monde et le corps de ses habitants. À les entendre, il semblerait que le nouveau pontife soit une synthèse improbable de Madoff et de Katsumi, de Guevara et de Mimie Mathy. Il serait venu libérer l'homme et le monde de cet effroyable carcan qu'ils appellent l'Église. Et par là même, nous inciter à la dérégulation totale (économique et pulsionnelle), afin de nous confirmer dans notre hédonisme acéphale et nos hébétudes narcissiques. Bref, selon eux, François ne serait pas catholique, et c'est la bonne nouvelle qu'ils souhaitent nous annoncer.

    Les éloges ambigus se sont ainsi bousculés. Tous les représentants de l'ordre moral (journalistes, écrivains, essayistes, vedettes, politiques et autres «matons de Panurge») se sont ainsi succédé à la tribune. Chacun y allant de son encensement prescriptif, invitant le Pape à être contemporain, le sommant d'être actuel, l'assignant à la modernité.

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  • Chrétiens persécutés : une situation qui questionne « notre coma » spirituel

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    Marc-Fromager.jpgDu 24  au 28 mars l’association « Aide à l’Eglise en Détresse » (AED) a organisé la sixième édition de  « La Nuit des Témoins » : des veillées de prières et des témoignages dans quatre grandes villes de France (Strasbourg, Bordeaux, Marseille, Paris) pour partager ce que vivent les chrétiens dans leurs pays. Venant d’Egypte, de Centrafrique, d’Irak, de Syrie, ils sont présentés par Marc Fromager (photo), directeur d’AED France, dans une interview menée par Audrey Radondy pour Radio Vatican. Qui a vu hier soir sur la chaîne KTO la soirée de clôture à Notre-Dame de Paris a pu se convaincre de l’ampleur et de l’efficacité de cette initiative interpellante pour la foi étiolée de nos pays occidentaux sécularisés :

    Qui sont les grands Témoins pour cette 6ème édition ?

    Cette année, nous avons Sa Béatitude Mgr Sidrak, Patriarche de l’Église catholique copte, le chef des catholiques d’Égypte. Ça sera assez intéressant parce que l’Égypte aujourd’hui, on le sait, vit un moment un petit peu historique, un changement de régime. Donc, c’est intéressant d’avoir un témoignage de l’intérieur sur l’évolution de ce pays et l’espérance. Une espérance que j’ai moi-même constatée lorsque j’étais en Égypte la semaine dernière. L’espérance non seulement des chrétiens mais également d’une grande partie de la population égyptienne face à ce nouvel environnement qui s’ouvre à eux. Nous aurons également l’évêque de Mossoul, en Irak. Mossoul, c’est justement peut-être l’un des endroits les pires pour être évêque aujourd’hui dans le monde. Mgr Nona partagera avec nous ce qu’il vit là-bas, sa profonde détresse, la détresse de l’Église, des chrétiens dans ce pays et en particulier dans cette ville mais également les quelques raisons qui font qu’il y a tout de même de quoi espérer. Nous aurons également une religieuse syrienne qui viendra nous donner son témoignage sur la Syrie, sur ce que vivent les chrétiens là-bas, sur ce que vit toute la population syrienne. Et enfin, pour sortir un petit peu du Moyen-Orient, nous aurons Mgr Dieudonné Nzapalaïnga l’archevêque de Bangui en Centrafrique, qui viendra nous parler de la situation dans son pays et des efforts qu’il fait, que l’Église accomplit aujourd’hui pour ramener la paix dans ce pays.

     Quel est l’état des lieux concernant la situation des chrétiens dans le monde ? 

    Globalement, il est difficile de voir d’une année à l’autre les grands bouleversements. On a toujours de grosses difficultés au Moyen-Orient et dans la plupart des pays à majorité musulmane. On a également des soucis et des tensions croissantes dans certaines régions de l’Inde avec des fondamentalistes hindous. On a des problèmes dans des régimes totalitaires, en général des dictatures, souvent communistes comme la Chine, une bonne partie de la péninsule indochinoise avec le Vietnam, le Laos, sans évoquer la Corée du Nord. Des résurgences en Amérique Latine et centrale, comme à Cuba par exemple. Donc, cette situation est assez stable. Nous évaluons à près de 200 millions le nombre de chrétiens dans le monde qui ne sont pas entièrement libres de vivre leur foi ou en tout cas, 200 millions de chrétiens pour lesquels le simple fait d’être chrétien peut à un moment donné, leur compliquer la vie. C’est-à-dire que c’est 10% des chrétiens, puisqu’on est deux milliards, donc un chrétien sur dix dans le monde qui, à un moment donné, doit être prêt à payer le simple fait d’appartenir au Christ et c’est aussi pour eux que cette Nuit des Témoins, cette veillée de prière est destinée.

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  • Mineurs en fin de vie : euthanasie ou accompagnement jusqu'au bout ?

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org du 28 mars 2014 :

    Euthanasie des mineurs ou accompagnement "jusqu'au bout"? 

    Il y a presque douze ans, la Belgique autorisait l'euthanasie pour les adultes. En février dernier, c'est l'euthanasie pour les mineurs en fin de vie qui a été adoptée (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 14 février 2014). Dans un dossier, l'hebdomadaire Pèlerin a tenté de comprendre une telle évolution et met en parallèle une unité hospitalière française, qui, elle, choisit de soigner jusqu'au bout les adolescents en fin de vie. 

    Le politologue Pascal Delwit explique cette évolution par le fait que "depuis 2000, les démocrates-chrétiens ne dominent plus l'échiquier politique. Ceci reflète une déchristianisation récente mais forte de la population. [...] Désormais, ce sont des partis très laïques, liés à la franc-maçonnerie, libéraux de droite ou socialiste qui gouvernent". Désormais, déplore le P. Eric de Beukelaer, chanoine de Liège et blogueur, "le pragmatisme ultralibéral l'a emporté sur l'humanisme social. L'individu n'est plus vu que comme un être autonome qui fait ses choix seul". 

    Selon Marie-Geneviève Pinsart, vice présidente du Comité consultatif de bioéthique de Belgique (CCBB), cette nouvelle loi "crée un espace de liberté supplémentaire. Elle n'oblige personne. Et elle dépénalise sous conditions ce qui est très différent de distribuer un permis de tuer".

    Pour autant, des voix discordantes essayent de se faire entendre. Ainsi en a-t-il été de 200 pédiatres sur les 1200 que compte le pays, qui ont signé une pétition contre la loi ou encore du Pr Eric Sariban, cancérologue pédiatrique: "j'ai suivi jusqu'au bout 84 jeunes atteints de tumeurs cérébrales. Pas un ne m'a adressé une telle demande [i.e demande d'euthanasie]. Parce que nous savons désormais briser ces 'souffrances intolérables' dont parle la loi". 

    Pour d'autres, comme le pédopsychiatre Philippe Van Meerbeeck, c'est l'absence de limite d'âge qui est dangereux. Cette "liberté de choix sans limite d'âge ne vaut pas en droit, pour un enfant."On sait bien que ce sont ses parents et ses médecins qui vont décider" expliquent les juristes Etienne Dujardin et Drieu Godefrifi, fondateur du mouvement des Dossards jaunes.

    Alors que la Belgique étend l'euthanasie aux mineurs, certaines unités, elles, soignent "jusqu'au bout" des adolescents. Ainsi en est-il à l'unité Coquelicot de l'hôpital Saint-Louis à Paris. Le Pr Nicolas Boissel, chef du service d'hématologie pour "adolescents et jeunes adultes", explique: "je dirais que nos patients sentent la vie jusqu'au dernier instant". Cécile Perrier, Psychologue clinicienne précise: "Depuis cinq ans que l'unité existe, nous n'avons jamais eu de demande d'euthanasie ni même d'arrêt des soins". Dans cette unité, l'équipe s'interdit de dire: "C'est fini, il n'y a plus rien à faire". "Lorsqu'on n'est plus dans les chimiothérapies lourdes, les attentes de greffes, on privilégie leur confort et leurs désirs. Ce message-là, nos patients l'entendent souvent mieux que les parents". 

    source : Pèlerin (Sophie Laurant) 27/03/2014

  • Afrique centrale : le chaos continue

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    archeveque-bangui-centrafrique-360-x-200_article_large.jpgDans les années 1960, la France comme la Belgique a tout à coup jeté les populations d’Afrique centrale dans le bain de l’indépendance, un peu comme on jette les jeunes chiens à l’eau. L’idéologie « tiers-mondiste » était à la mode. Mais voilà, les hommes ne sont pas des chiens. Ils ont besoin d’apprendre. Après un demi-siècle de déconvenues et de régression sociale, le spectacle est désolant, de part et d’autre de l’Oubangui et de l’Uélé. L’archevêque de Bangui, Mgr Dieudonné Nzapalainga (photo), fait actuellement le tour des capitales européennes pour plaider la cause de la Centrafrique, en proie aux violences tribales sur fond de guerre de religions. Pour l’hebdomadaire « Famille Chrétienne », Jean-Claude Bésida l’a interviewé sur le présent chaotique de son pays  :

    Qu’êtes-vous venus demander aux Européens ?

    Je suis en Europe avec l’imam de Bangui pour demander l’intervention des Casques bleus. Et demander de l’aide humanitaire pour la République Centrafricaine. C’est ce que j’ai dit à tous mes interlocuteurs, que ce soit à Paris, Bruxelles, Londres, Rome ou La Haye. Tous m’ont écouté avec beaucoup d’attention. L’intérêt est là, indéniablement. Maintenant, nous avons besoin d’une aide au plan militaire, mais aussi aux plans financier et humanitaire.

    Comment jugez-vous l’opération Sangaris ?

    Sangaris, avec la Misca (mission africaine) a stabilisé la situation. Sans Sangaris, on aurait basculé dans le pire, c’est-à-dire le génocide. On sentait les cœurs des uns et des autres gorgés de vengeance et de haine. Au départ, la mission était de désarmer les ex-Séléka. Or, avec le 5 décembre, les données ont changé rapidement. Il y a eu en effet ce jour-là l’attaque coordonnée des anti-balakas, qui sont arrivés de partout avec machettes et couteaux sur Bangui. Tous ces jeunes ont commencé à pourchasser les ex-Séléka. Puis très vite, ils s’en sont pris à des familles musulmanes dans un élan de vengeance difficile à arrêter. Du coup, aujourd’hui, il faut beaucoup plus que 6 000 ou 7 000 hommes pour restaurer l’ordre dans le pays.

    Quelle est en ce moment la situation sur place ?

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  • Rencontre François-Obama : le pape a défendu le droit à la vie et à l'objection de conscience

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    Lu sur France24.com :

    Au Vatican, le pape François qui a reçu Barack Obama a évoqué le droit à "l’objection de conscience" des catholiques américains. L’avortement est un des points de discorde entre les deux hommes.

    C’est l’un des points de divergence entre le chef de l’Église et le chef de l’État américain. Jeudi 27 mars, à l’occasion d’une rencontre entre Barack Obama et le pape François au Vatican, le souverain pontife a défendu une nouvelle fois le "droit à la vie" pour les catholiques américains confrontés à des interruptions de grossesse.

    Le Saint-Siège n’a pas vu d’un très bon œil la réforme de santé de Barack Obama qui prévoit, entre autres, le remboursement par les employeurs de la contraception et de la pilule abortive – deux mesures qu’ils jugent contraires aux droits religieux. Ils demandent donc une nouvelle fois le droit à l’objection de conscience, notamment pour des médecins qui refuseraient de pratiquer des avortements.

    Les deux hommes ont également évoqué des sujets plus consensuels comme la lutte contre la pauvreté. À cet égard, le pape et le président américain sont tombés d'accord sur un "engagement commun pour l'éradication de trafic d'êtres humains dans le monde", selon le communiqué du Vatican. (...)

     

  • Le premier pape applaudi par l'opinion publique laïque

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    De Sandro Magister sur chiesa.espresso.repubblica.it :

    François, le premier pape applaudi par l'opinion publique laïque

    C’est l’aspect véritablement nouveau du succès de ce pontificat. Jean-Paul II et Benoît XVI ont connu, eux aussi, la popularité à un niveau très élevé et parfois même supérieur, mais uniquement de la part des fidèles. Les gens qui étaient en dehors de l’Église les ont durement combattus 

    ROME, le 27 mars 2014 – Le pape François vient de franchir le cap de la première année de son pontificat en étant soutenu par une immense popularité. Mais cela n’a rien de nouveau. En 2008, déjà, Benoît XVI avait atteint des niveaux d’approbation identiques. Et Jean-Paul II avait été encore plus populaire, cela pendant plusieurs années de suite.

    Ce qu’il y a de nouveau, c’est autre chose. Avec François, pour la première fois depuis des temps immémoriaux, un pape est applaudi non seulement par ses fidèles, mais presque davantage encore par les gens qui ne font pas partie de l’Église, par l'opinion publique laïque, par les médias séculiers, par les gouvernements et par les organisations internationales.

    Même le rapport publié au début du mois de février par une commission de l'ONU dans lequel l’Église est attaquée férocement l’a épargné, en s’inclinant devant ce "qui suis-je pour juger ?" qui est désormais universellement considéré comme la formule emblématique des "ouvertures" de ce pontificat.

    Il n’en a pas été ainsi pour ses deux derniers prédécesseurs. À l'apogée de leur popularité, ils étaient soutenus par le peuple chrétien. Mais le reste du monde était contre eux.

    Lire la suite sur chiesa.espresso.repubblica.it

  • En marge de la visite du président Obama au pape François

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    De nombreux articles paraissent dans le contexte de cette rencontre, parmi lesquels :

    Sur Radio Vatican :

  • Elections européennes : Voter pour la Famille

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    Communiqué de presse

    Bruxelles, le 26 mars 2014

    "VOTEZ POUR LA FAMILLE 2014"
    - La FAFCE lance
    une campagne de mobilisation
    pour des politiques favorables
    à la famille
    en vue des élections européennes!

    Aujourd'hui la FAFCE, la Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe, et ses membres ont lancé une campagne de mobilisation dans toute l'Union européenne pour des politiques favorables à la famille en vue des élections européennes. 

    La campagne Vote for Family 2014 (Votez pour la famille 2014) sera menée dans tous les Etats membres de l'Union européenne et vise à encourager les candidats aux élections européennes à promouvoir des politiques favorables à la famille s'ils sont élus. Les candidats seront invités à signer le Manifeste Votez pour la famille 2014 et leurs noms seront publiés le 15 mai, Journée internationale de la famille. 


    Un site web dédié à la campagne est lancé aujourd'hui:www.voteforfamily2014.eu
     
    . Il présente le manifeste électoral de la FAFCE dans toutes les langues de l'UE. 

    Une courte vidéo
     
     présente la campagne en quelques minutes.

    Toutes les familles peuvent participer à cette campagne. Soit directement, en utilisant les outils proposés et en prenant une part active dans la campagne, soit indirectement par l'intermédiaire des associations et organisations familiales, en contactant les candidats de leur circonscription, les invitant à signer le manifeste. 

    Une campagne pour tous! La FAFCE propose cette campagne à ses organisations membres mais plus largement à d'autres organisations ou associations qui souhaitent y prendre part. 

    Le Manifeste comprend 12 points et se fonde sur des instruments juridiques européens et internationaux. Il invite les futurs députés européens à reconnaître la complémentarité de l'homme et de la femme, à définir, respecter et promouvoir l'institution du mariage, la dignité humaine, le rôle des parents, premiers et principaux éducateurs de leurs enfants, à considérer la famille comme un sujet de droits, à promouvoir le "Family mainstreaming" et écouter les voix des familles, à reconnaître la valeur du travail invisible, à promouvoir l'équilibre entre vie familiale et vie professionnelle, notamment par un congé de maternité allongé, à mettre l'économie au service de la personne et la famille et œuvrer pour un travail digne, nécessaire pour chaque famille.  

    Après les élections les candidats signataires du manifeste ayant été élus seront contactés, au niveau national et européen, pour connaître leur intention quant à la mise en oeuvre de politiques favorables à la famille et leur faire part de propositions concrètes à cette fin.  

    Contact: 
    Maria Hildingsson, info@fafce.org+32 4 70 20 39 18
    www.voteforfamily2014.eu