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Société - Page 775

  • Belgique : quand l'euthanasie est pratiquée sur des mineurs

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    Source : Institut Européen de Bioéthique

    Des enfants mineurs régulièrement euthanasiés en Belgique ?

    Il est évident que l'euthanasie est pratiquée chez des mineurs et nous le savons tous», a indiqué mercredi en Commission du Sénat Dominique Biarent, chef de service Soins intensifs et urgences à l'Hôpital universitaire des Enfants Reine Fabiola alors qu'ont débuté les discussions sur l'extension de la loi actuelle.

    Oui, «il s'agit d'euthanasie active», a confirmé le docteur Biarent, interrogé par plusieurs sénateurs. Cette information a été confirmée par le docteur Joris Verlooy, spécialiste en hématologie et oncologie à l'hôpital universitaire de Gand. Il est« très difficile » de le dire publiquement, il faut être « très prudent », vu l'illégalité de tels actes, a-t-il précisé alors que la présidente de la Commission, Elke Sleurs (N-VA), également médecin, lui rappelait le caractère public de la réunion.

    Les deux médecins ont notamment évoqué des rapports d'enquête scientifique évoquant le phénomène. «Les médecins ont besoin d'un cadre légal», a lancé Dominique Biarent dans un appel aux sénateurs. Les médecins doivent pouvoir agir «sans devoir se demander si leurs collègues devront leur apporter des oranges», a-t-elle précisé.

    Certaines propositions de loi font état d'un âge limite, d'autres pas, se référant à la capacité de discernement de l'enfantLa commission réunie des affaires sociales et de la justice du Sénat a donc commencé ses auditions, en se posant la question, non du principe, mais de l’opportunité de mettre en place une limite d’âge légale. Certains proposent de retenir une définition plus floue : autoriser l’euthanasie sur un mineur dès lors qu’il apparaîtra comme ayant une capacité de jugement suffisante. La détermination d'un âge limite dans la perspective d'une extension aux mineurs de la loi sur l'euthanasie n'est pas évidente, selon les premiers experts entendus en Commissions de la Justice et des Affaires sociales du Sénat.

    Le commissaire flamand aux droits de l'Enfant, Bruno Vanobbergen, a évoqué l'âge de 12 ans alors que d'autres ont invité à se référer à la capacité de discernement de l'enfant. Le délégué francophone aux droits de l'enfant, Bernard De Vos, a évoqué l'âge de 15 ans, pour une prise de décision autonome des parents. S’opposant à cette façon de voir les choses, le professeur Chris Van Geet, spécialiste en biologie moléculaire à la KUL, s'est clairement positionnée contre une extension de la loi. Evoquant un "problème éthique énorme" dont elle s'est demandé s'il pouvait être résolu par la loi, elle a plaidé en faveur d'un meilleur encadrement de la formation médicale. Mme Van Geet a également justifié sa position en évoquant les statistiques officielles néerlandaises, mais également belges, selon lesquelles aucun enregistrement de cas d'euthanasie n'a été réalisé ces dernières années concernant des jeunes jusqu'à 19 ans.

    Alors que ni le CD&V ni le cdH n'ont déposé de proposition de loi, ces déclarations ont poussé le sénateur Rik Torfs (CD&V) à se demander si on ne se dirigeait pas vers une "loi-symbole". Source : La Libre.be

    Voir tous les projets de loi ICI

  • Liège, 19 mars : Les Droits de l'Homme au défi des progrès scientifiques et médicaux

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    Cycle de Débats : LES DROITS DE L'HOMME EN PERIL

    Dialogue entre Religions et Philosophies non confessionnelles

    Mardi 19 mars 2013 (18H00) :

    « Les Droits de l’Homme

    au défi des progrès scientifiques et médicaux »

    table ronde avec le Pr Vincenzo d’ORIO, Doyen de la Faculté de Médecine de l’Université de Liège, et le Dr Bernard ARS, Président de la Société Médicale Belge de Saint LucModérateur : Pr Paolo SIMONI de la Faculté de Médecine de l’Université de Liège.

    Les progrès scientifiques (nouvelles technologies) et médicaux (avancées biomédicales) ont-ils modifié la donne au point de nécessiter un réajustement des droits de l'homme? Quels sont ces progrès et en quoi constituent-ils des changements dont il faudrait tenir compte au niveau de la formulation des droits de l'homme?

    La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, 
    Place du XX août, 7, 1er ét.
     (accès par la grande entrée : parcours fléché)

    Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h30.

    P.A.F : 10€  (à régler sur place).

    Inscription obligatoire trois jours ouvrables à l’avance

    par e-mail adressé à  info@ethiquesociale.org  ou Tel 04.344.10.89

     RSVP avant le 15 mars 2013 

     

  • Stéphane Hessel : des bémols s'imposent

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    Et Ivan Rioufol (Le Figaro) s'y emploie : 

  • Violences dans les écoles : des chiffres inquiétants

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    AGRESSIONS À L’ÉCOLE : UNE HAUSSE DE 30% EN SIX ANS (Enseignons.be)


    "Les chiffres présentés ici sont issus de la cellule des accidents de travail à la Fédération Wallonie-Bruxelles : en 2012, 300 enseignants ont dû subir une incapacité de travail à la suite d’une agression verbale ou physique dans le cadre de leur travail.

    16 FAITS DE VIOLENCE PAR JOUR

    Les statistiques sont rares sur le sujet. Les dernières remontent à 2007… et 250 cas d’agressions avaient alors été répertoriés. On peut donc en déduire que, loin de s’améliorer, la situation se dégrade un peu plus chaque année. La hausse est ici de 30% en seulement six ans. Interpellant? Plutôt, oui… Car, bon, même si on peut relativiser les chiffres en notant que nos écoles comptent plus de 100.000 enseignants, on ne parle quand même que des agressions ayant entrainé une incapacité de travailler. Et les autres? Elles sont beaucoup plus difficiles à quantifier. Combien d’enseignants victimes de violence osent en informer leur direction? Et combien de chefs d’établissement choisissent de se taire, ne faisant pas remonter l’information vers leur pouvoir organisateur, pour ne pas entacher la réputation de leur école? Aucune info! Normal, au fond…

    Mais en cherchant un peu, il est possible d’exhumer d’autres chiffres. En 2011, le Ministère de l’Intérieur confirmait que, en Belgique, en moyenne seize faits de violence étaient signalés quotidiennement, les jours d’école, dans lesétablissements scolaires. Dans quatorze cas sur seize, il s’agit de coups et blessures volontaires. Et il y a en moyenne plus d’un fait d’abus sexuel signalé par jour d’école. Notez que, en chiffres absolus, 2.916 faits de violence ont été signalés en 2008… et 2.994 en 2009. C’est en Wallonie que l’on compte par ailleurs le plus grand nombre de plaintes de violences scolaires." (...)

  • L’ Eglise et son nombril

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     Lu dans la « Libre » cet entretien de Jean-Paul Duchâteau avec Raphaël Jacquerye  et Eric de Beukelaer (extraits)

     Recto :

    Entretien avec Raphaël Jacquerye Auteur de "Tempête au Vatican" (paru en 2000 chez DDB et Racine) et du site Internet www.pourunefemmepape.com

    Quels sont les changements prioritaires que le successeur de Benoît XVI devra affronter ?

    Un des premiers points à régler sera l’ordination d’hommes mariés(…).Ensuite, la position de l’Eglise vis-à-vis des divorcés remariés devrait pouvoir être rapidement réglée pour peu que le Pape soit rénovateur (…)

    Il y a tous les problèmes éthiques, aussi ?

    On peut comprendre que l’Eglise catholique refuse une banalisation de l’euthanasie, mais est-ce le meilleur moyen en s’en prenant aux personnes ? (…) Faut-il excommunier une femme qui se fait avorter après avoir eu la certitude de mettre au monde un enfant atteint de maladie grave et incurable ? Si l’Eglise fixe des barrières, elle doit accepter une liberté de conscience.

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  • Japon : interdire l'avortement pour rétablir l'équilibre démographique ?

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    Via le Salon Beige, nous découvrons dans notre presse nationale (7/7.be) cet article significatif :

    "Le faible taux de natalité constitue un gros problème au Japon. En effet, il y a de moins en moins de contribuables pour payer les retraites, et la population active diminue rapidement, ce qui a un effet négatif sur l'économie nationale.

    Seiko Noda, législateur à la Chambre des représentants japonaise depuis 1993, travaille sur le sujet depuis des années. C'est une femme expérimentée mais sa nouvelle proposition est plutôt inhabituelle et quelque peu exagérée. Dans une interview au journal le plus lu du Japon, Asahi Shimbun, elle a déclaré: "Si on veut que les gens fassent plus d'enfants,  il faut interdir l'avortement". Son projet est tout à fait cohérent d'un point de vue économique si l'on estime que personne n'a recours à l'avortement pour des raisons financières ou autres. De plus, les coûts entraînés par cette mesure pourraient annuler ses effets bénéfiques étant donné que l'Etat serait responsable des enfants issus de ces grossesse non désirées. Enfin, il faut considérer que forcer des femmes à garder leur enfant n'aura pas d'effet négatif sur leur productivité. En effet il pourrait par exemple s'agir de jeunes étudiantes contraintes d'arrêter les études ou d'abandonner leur emploi, voire les deux.   

    Mme Noda a déclaré: "Il faut commencer par résoudre le problème de la natalité. J'ai l'intention d'en parler lors du Comité spécial sur le déclin de la population après les élections de la Chambre haute. Non seulement on interdira l'avortement mais plutôt qu'une simple interdiction, nous devons aussi créer des lois pour gérer l'adoption, et faire en sorte que les enfants grandissent dans un environnement statisfaisant." Le simple fait qu'elle envisage une telle solution est le signe que les dirigeants japonais considèrent le taux de natalité comme un enjeu national. Les indicateurs leur donnent raison, bien qu'il ne soit pas certain qu'obliger des femmes à garder leur enfant ait un réel impact sur l'économie, que ce soit à court terme ou à long terme."

  • Quand on s'enfonce dans l'hiver religieux ... (mise à jour)

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    L'emprise du matérialisme ambiant est de plus en plus forte. Ce que nous lisons sur La Dernière Heure confirme le désenchantement spirituel :

    "Selon un sondage réalisé en janvier 2010 par Le Soir , près d’un Belge sur trois – 31 %, précisément – disait n’avoir aucune religion (ce chiffre intègre aussi les personnes ayant coché la case “sans avis” ). À peine trois ans plus tard, le baromètre de La Libre/RTBF/Dedicated indique que le chiffre a grimpé à quelque 46 % (dans le détail, 37 % ne se considèrent “d’aucune religion” et 9 % sont “sans avis” )!
    À l’exception du bouddhisme qui est passé de 0 à… 1 % des croyants entre 2010 et 2013, toutes les religions ou croyances trinquent. 49 % des sondés se considèrent aujourd’hui comme catholiques, contre 60 % trois ans plus tôt. Les musulmans sont passés de 4 à 2 %, les protestants de 2 à 1 % et les juifs de 1 à 0 % –, les décimales ne sont pas précisées dans les résultats du sondage."

    Le reste du sondage (sur les attentes en prévision de l'élection du futur pape) est sans intérêt et relève des techniques de manipulation inhérentes à ce genre d'enquête.

    Cependant, une amie nous envoie ses observations :

    "Ce sondage parait le résultat d'un pur amateurisme. 1% de bouddhistes ? ce sont souvent des personnes peu informées sur cette religion qui vous disent "ah oui c'est sympa, il n'y a pas de dogmes et puis eux ils sont tolérants hein". Le nombre de musulmans diminué de moitié en trois ans ? Vraiment ? Ils feraient bien d'aller interroger le milieu enseignant de la CF sur l'augmentation chaque année de la fréquentation du cours de religion islamique. Les protestants de 2% à 1%. Difficile à gober quand on pense que rien qu'à Bruxelles il y a 17O églises évangéliques contre une vingtaine il y a à peine une décennie. O% de juifs ? Est-ce seulement plausible ? A croire que les enquêteurs n'ont jamais mis les pieds à Anvers. Si tout est du même tonneau, notamment en ce qui nous concerne, ce sondage est tout simplement non crédible."

  • 700.000 pétitionnaires français envoyés sur les roses (mise à jour 27.2)

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    "Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a jugé mardi 26 février irrecevable sur le fond la pétition des opposants au texte de loi légalisant le mariage et l'adoption pour les homosexuels, rassemblés dans le collectif La Manif pour tous, qui souhaitaient l'ouverture d'un débat au sein de cette instance."

    Tout l'article est ici : http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/02/26/la-petition-des-anti-mariage-gay-jugee-irrecevable_1839173_3224.html#xtor=RSS-3208

    Mais, quand on apprend que le président du CESE a contacté le premier ministre pour savoir que faire de cette pétition, on ne s'étonne plus...http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/02/27/01016-20130227ARTFIG00474-mariage-gay-quand-le-cese-sollicitait-l-avis-de-matignon.php

  • Trois conférences à la cathédrale de Liège sur "Religion et violence"

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    L'association "Cultures, Cité et Église" vous convie cordialement à assister aux trois conférences consacrées au thème "Religion et violence" organisées à la cathédrale Saint-Paul à Liège

    Dans un monde violent, les religions sont souvent accusées d’être un facteur de violence, d’identités meurtrières. Les religions monothéistes plus souvent que les autres.

     

    Elles se veulent pourtant un facteur de justice et de paix. À quelles conditions les religions penchent plutôt du côté du renforcement de la violence ou de la paix ?

     

    Trois conférences sont proposées 

     

    ■           Dimanche 3 mars 2013 à 14h30

                  Religion, facteur de violence ou de paix ?

     

                  Un débat entre Pierre Somville, doyen honoraire de la Faculté de Philo et Lettres de l’ULg et Jean-Pierre Delvillle, professeur d’histoire du christianisme à la Faculté de théologie de l’UCL.

     

    ■           Dimanche 10 mars 2013 à 14h30

                  La violence et le Sacré

     

                 Le Sacré a-t-il partie liée avec la violence ? La justifie-t-il dans la pratique du sacrifice cultuel où la victime serait responsable de tous les maux ? Que nous apprennent les sources chrétiennes ?

     

                  La question a été abordée dans l’œuvre de René Girard, professeur à Stanford (USA). Elle sera reprise par Pierre Verjans, professeur d’histoire politique à l’ULg.

     

    ■           Dimanche 17 mars 2013 à 14h30

                  Le politico – religieux, source de violences ?

     

                  Le politico-religieux ou l' "Un sacral" met les religions en situation d'affronter les discordes avec pour effet de les pousser à recourir à la violence. Par sa « sortie de la religion » le christianisme occidental s’inscrit-il dans un nouveau rapport avec la violence ? Une attention particulière sera apportée aux religions séculières.

     

                  L’œuvre de Marcel Gauchet, professeur à l’EHESS, sera sollicitée. C’est Jean-Marie Lacrosse, professeur de sociologie à l’ULg, qui abordera ce questionnement.

     

    Invitation à tous !

    Entrée libre.

     

    Informations : Chanoine Lambert Wers - 04 220 53 73

  • Droits de l'homme : une mise au point énergique du cardinal Mamberti

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    Droits de l'homme : le Saint-Siège met les points sur les i
    Intervention de Mgr Mamberti à l'ONU - Anne Kurian

    (Zenit.org) - Dans une déclaration très ferme, Mgr Dominique Mamberti, Secrétaire du Saint-Siège pour les Relations avec les Etats, rappelle que les droits de l'homme sont « antérieurs à leur reconnaissance par les Etats » car fondés sur « la nature et la dignité innée de la personne humaine ».

    L’archevêque, qui est intervenu ce 26 février 2013 dans le cadre de la 22e session du Conseil des droits de l'homme à Genève, préconise « une attention particulière au droit à la vie, à sa promotion et à l'approfondissement de notre compréhension de ce droit » reconnu, mettant en garde contre la tentation des débats actuels du CDH d’imposer de « nouveaux droits » (cf.Zenit du 11 décembre 2012).

    Encore beaucoup à faire

    La Conférence mondiale de Vienne sur les droits de l'homme en 1993 a proclamé « l'indivisibilité et l'universalité de tous les droits de l'homme », rappelle Mgr Mamberti, qui constate qu’« il reste beaucoup à faire pour que l'indivisibilité des droits de l'homme devienne une réalité », évoquant de « larges segments de la population mondiale » auxquels manquent l’accès aux médicaments nécessaires, l'éducation adéquate, l'eau potable, l’alimentation suffisante, le statut politique, la sécurité, ou encore la liberté d'expression et la liberté religieuse.

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  • Une fiche didactique sur la déclaration anticipée en fin de vie

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    L'Institut Européen de Bioéthique continue à faire de l'excellent travail :

    Nouvelle fiche didactique! Déclaration anticipée en fin de vie :  ICI

    La Déclaration anticipée en fin de vie, aussi appelée par certains, testament de vie,  est le document dans lequel la personne exprime par écrit son souhait d’être euthanasiée selon les conditions de la loi si elle n’était plus en mesure d’exprimer sa volonté du fait d’une situation de coma prolongé. Nous n’aborderons pas dans cette fiche didactique cet autre document que sont les directives anticipées relatives au refus de traitements, qui, elles, relèvent de la loi sur les droits du patient du 22 août 2002.

    QUE DIT LE DROIT ? - APPRÉCIATION CRITIQUE

    Expression d'un choix concernant une situation future incertaine - Difficultés d'interprétation et risque de conflits pour l’entourage et les soignants - Volonté du patient vs Serment d'Hippocrate - Extension à la démence : quelles limites ? - Principe d'autonomie : un leurre ?

  • Comme ils sont vilains, les anti-IVG !

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    Le Figaro, organe de la bienpensance conservatrice, dénonce La stratégie insidieuse des anti-IVG sur le net. C'est renversant :

    Se présentant comme neutres et ressemblant à des sites officiels, des sites présentent l'IVG comme un acte douloureux et aux conséquences psychologiques irrévocables. (la suite sur le site du quotidien)

    Ainsi se trouvent dénoncées des initiatives visant à secourir des femmes tout en leur proposant d'autres solutions que le recours à l'avortement. Tout cela va-t-il aboutir à la criminalisation de ces initiatives soupçonnées d'abuser de la détresse ou de la naïveté des femmes pour les détourner de l'avortement ? Et ensuite à interdire ou à poursuivre ces horribles personnages qui s'obstinent à dire que l'IVG n'est pas insignifiante, que c'est bel et bien un acte douloureux, qu'il s'agit bien de l'élimination d'un petit d'homme et que la femme n'en sort jamais indemne ?