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Société - Page 854

  • Mais où sont donc passés les garçons ?

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    Le Salon Beige, dont nous saluons le travail remarquable, nous oriente vers une étude de Claire de Gatellier intitulée : "Mais où sont passés les garçons?" parue sur un site consacré à la famille (française).

    J'y renvoie à mon tour, me souvenant de ces innombrables conseils de classe auxquels j'ai participé et où les problèmes évoqués étaient le plus souvent ceux des garçons. De là à penser que "la mixité tue le mâle" comme je n'arrêtais pas de le rabâcher...

    Les statistiques tombent et enfoncent le clou. Quelques chiffres au hasard: les 2/3 des jeunes sortant du système éducatif sans aucune qualification sont des garçons. En médecine 62% des titres de doctorat ont été accordés à des filles (2008), à l’Ecole Nationale de la Magistrature 82% sont des filles. L’Ecole Vétérinaire de Maisons-Alfort compte, en 2012 80% d’étudiantes. Dans l’ensemble de l’enseignement supérieur, 56% de filles. 86% des femmes contre 80% des hommes âgés de 20-24 ans sont titulaires d'un diplôme de second cycle de l'enseignement secondaire .

    Il n’y a plus que dans les écoles d’ingénieur, de technologie ou d’informatique que les garçons soient largement majoritaires…pour combien de temps ?

    Les rapports internationaux Pisa et Eurydice soulignent le retard des garçons par rapport aux filles. Eurydice parle même de crise de la masculinité...

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  • Cour européenne : Une belle victoire pour la liberté de l’Eglise.

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    May 15, 2012 - Grégor Puppinck - Directeur de l’ECLJ (Centre Européen pour le Droit et la Justice).

    Strasbourg, le 15 mai 2012. - La Cour européenne publie aujourd’hui son arrêt dans l’importante affaire Fernandez-Martínez c. Espagne (requête no 56030/07) par lequel elle conclut, à six voix contre une, que le « choix de l’épiscopat ne pas renouveler le contrat d’un enseignant prêtre marié et militant du Mouvement Pro-célibat optionnel relève du principe de la liberté religieuse, protégée par la Convention ».

    L’ECLJ est intervenu dans cette affaire comme tierce partie (amicus curiae) et comme représentant légal de la Conférence Episcopale Espagnole, également tierce intervenante dans l’affaire. Grégor Puppinck, Directeur de l’ECLJ, salue une importante victoire pour la liberté de l’Eglise ; il se réjouit que la Cour ait énoncé avec force et clarté le principe de la liberté et de l’autonomie de l’Eglise. Cet arrêt reflète le raisonnement développé par l’ECLJ dans ses observations écrites du 20 octobre 2011.

    L’affaire concerne le non-renouvellement du contrat d’enseignant de religion et de morale catholiques d'un « prêtre marié », père de 5 enfants, à la suite de la publication d'un article rendant publique son appartenance au « Mouvement pro-célibat optionnel ». En Espagne, les professeurs de religion au sein des établissements publics sont des employés contractuels de l’Etat nommés sur désignation et avec l’agrément préalable de l’Evêque du lieu, celui-ci ayant le pouvoir de retirer ou de ne pas renouveler cet agrément, l’établissement public employeur étant lié par la décision de l’évêque.

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  • Quand le recours à l'affect dispense de penser...

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    Excellente réflexion de Natalia Trouiller sur son blog (Nystagmus) intitulée : "Mon nombril, mon bon droit et moi":

    Il est quelque chose qui me déplaît souverainement dans le débat public actuel. Une dérive qui s'apparente à une forme de totalitarisme : je veux parler de la mort de la pensée devant l'affect.

    Sur les questions dites ''de société'', depuis des années, c'est toujours le même schéma : on prend un cas particulier excessivement dramatique, et on le matraque partout de façon à ce que l'adversaire passe pour un épouvantable cœur de pierre s'il ose émettre un semblant de réflexion contradictoire. Le Pacs ? Il faut voir les débats de l'époque : la France était alors peuplée de personnes homosexuelles qu'aucune loi ne protégeait, qui se retrouvaient jetées à la rue sans possibilité de recours à cause de l'épouvantable famille de leur conjoint décédé qui captait leur héritage légitime. Jusque-là, les concubins hétérosexuels trouvaient bien le moyen de ne pas se marier sans que cela n'inquiète personne ; mais peu importe. On fit donc une loi pour pallier cette épouvantable atteinte à l'Amour.

    Avec le débat sur l'euthanasie, même chose. Voici un cas particulier, celui d'une mère contrainte ''d'aider son fils à mourir'' parce que l'on refuse au malheureux le DROIT de mourir. Nos chaumières, abreuvées du sublime façon Nous deux + un roman et tétanisées par les larmes de cette famille brisée, trouvèrent absolument admirable qu'une maman administre à son fils pour le tuer du pentobarbital de sodium, un produit que les Etats-Unis eux-mêmes récusent dans la mise à mort de leurs condamnés.

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  • Avortement : des évêques contre les diktats des Nations Unies

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    Il s'agit des évêques mauriciens qui s'adressent à leurs parlementaires pour s'opposer à un projet de loi autorisant l'avortement dans certains cas; ils dénoncent les pressions onusiennes :

    Avortement: Lettre ouverte aux parlementaires mauriciens

    Lettre ouverte de Mgr Piat, Mgr Harel et Mgr Ernest aux parlementaires mauriciens

    Le gouvernement a annoncé le 4 mai dernier sa décision de présenter un projet de loi qui autorisera l’avortement dans des cas spécifiques. Le gouvernement a raison de se préoccuper de la détresse des femmes qui vivent une grossesse non-désirée. Mais leur proposer l’avortement comme solution ne respecte pas leur dignité de femme.

    En tant que citoyens passionnément intéressés par le bonheur humain de nos frères et sœurs mauriciens, rodriguais et agaléens, nous, évêques, souhaitons prendre la parole dans ce débat. Nous le faisons parce qu’il y a ici de grands enjeux pour le progrès ou le déclin de notre société, comme l’avait écrit le Cardinal Margéot en 1983. Dans ce débat, nous ne voulons en aucune façon imposer une doctrine religieuse partisane mais plutôt apporter notre contribution au progrès de notre société.

    C’est pour cette raison que nous nous permettons d’adresser cette lettre ouverte aux ministres de notre gouvernement et aux députés de notre assemblée en faisant appel à leur conscience humaine.

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  • Sur un blog, les dérapages d'un "journaliste chrétien"

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    Nous nous sommes hasardés à déposer un commentaire sur le blog "d'un journaliste chrétien". C'était au sujet des "indignés". Simplement pour faire remarquer que ce mouvement, ou plus exactement ce regroupement circonstanciel, ne rassemble pas que des amis bien disposés à l'égard du christianisme (on a pu le constater lors des JMJ) et qu'il nous paraît illusoire d'y voir un phénomène prophétique auquel il conviendrait de s'associer. Nous n'en avons pas la même perception que notre archevêque à l'égard duquel, tous nos amis le savent, nous éprouvons le plus grand respect. Devons-nous pour autant souscrire à chacune de ses appréciations, qu'il s'agisse de politique, de culture ou de société?

    Notre amie de Benoît-et-moi est allée sur ce blog "d'un journaliste chrétien" et y a découvert avec stupeur la hargne des propos stigmatisant "Alceste" (votre serviteur). Elle relève le fait sur son blog et le commente avec justesse.

    Nous ajouterons que chacun peut, sur notre blog, déposer son commentaire du moment qu'il ne soit pas injurieux. Nous y répondons le cas échéant en nous efforçant de ne pas manquer de respect à l'égard de quiconque. En revanche, sur le blog de ce "journaliste chrétien", les commentaires sont strictement filtrés et exclus dès qu'ils ne rencontrent pas l'assentiment du maître des lieux, ou alors, ils sont publiés avec un titre qui les disqualifie, "contextualisés" et assortis d'un commentaire désapprobateur. C'est ainsi que les épithètes à notre endroit ont volé : sectaire, intégriste, ultralibéral, vaniteux... Et son "fan-club", lui emboîtant le pas, de surenchérir : paranoiaque, tartufe, mal informé qui devrait fermer sa gueule (sic!)... Apparemment, ces appréciations ont agréé au censeur qui les a publiées sans rechigner, feignant de s'étonner ensuite de la virulence de ces propos, avant de nous accuser  de nous "emparer de la visibilité catho sur le Net, pour entraîner les catholiques vers l'ultracisme politico-religieux".

    Nous avons bien tenté de contacter personnellement "le journaliste catholique" dont nous avons l'adresse électronique mais il ne daigne même pas nous répondre.

    Tout cela, à notre sens, ne relève ni de la charité évangélique ni même d'une bonne déontologie. Nous n'en dirons pas plus pour nous en tenir à ce à quoi nous sommes invités, c'est-à-dire à la la correction fraternelle.

  • Les évêques canadiens dénoncent le relativisme agressif hostile à la religion

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    (ZENIT.org) – La Conférence des évêques catholiques du Canada (CECC) publie, ce 14 mai, une lettre pastorale sur la liberté de conscience et de religion. Émise par le Conseil permanent de la CECC, la lettre manifeste de l’inquiétude à propos du « relativisme agressif » au Canada qui cherche à reléguer la religion dans la sphère privée.

    « Une laïcité légitime distingue entre religion et politique, entre l’Église et l’État» peut-on lire dans la lettre pastorale, mais est ouverte à l’engagement des confessions religieuses et des communautés croyantes au débat public et à la vie citoyenne. Le « laïcisme radical », par contre, exclut la religion de l’arène publique et ainsi « de participer au débat public nécessaire à la vie civile.»

    Ils dénoncent notamment certaines situations :

    "Pendant la dernière décennie sont survenues au Canada plusieurs situations qui amènent à se demander si notre droit à la liberté de conscience et de religion est toujours respecté. Il arrive en effet que des croyants soient contraints par la loi d’exercer leur profession sans égard à leurs convictions religieuses ou morales, voire à leur encontre. Cela se produit chaque fois que sont promulguées des lois – portant le plus souvent sur des questions reliées à la dignité de la vie humaine ou à la famille – qui limitent le droit à l’objection de conscience chez les professionnels de la santé et du droit, les enseignants et les politiciens.

    Par exemple, des collèges de médecins exigent de leurs membres qui refusent de pratiquer l’avortement qu’ils redirigent leurs patients vers un collègue disposé à le faire; ailleurs, des pharmaciens sont menacés d’être forcés de remplir des ordonnances de contraceptifs ou de « pilules du lendemain »; en Colombie-Britannique, au Manitoba, à Terre-Neuve et en Saskatchewan, les commissaires de mariage doivent désormais célébrer les mariages homosexuels ou présenter leur démission."

  • Gender : quand on manipule les mots...

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    Marguerite A. Peeters signe une réflexion sur la manipulation des mots dans l'Osservatore Romano du 14 mai :

    Lorsque l’on manipule les mots

    La culture dans laquelle nous vivons au début du troisième millénaire intègre les fruits positifs d’un processus historique marqué par la décolonisation, un puissant mouvement ayant accordé aux femmes un statut social qu’elles n’avaient jamais atteint auparavant, et l’effondrement du marxisme-léninisme. A une heure de mondialisation accélérée, elle semble célébrer, peut-être plus que toute culture précédente, l’égalité de tous les êtres humains. Notre génération a également la possibilité de découvrir et de s’émerveiller de la diversité fascinante des peuples et des cultures et de leur contribution spécifique et irremplaçable à l’humanité. Nous discernons un danger, cependant, dans un processus que nous pourrions qualifier de mondialisme s’imposant par en-haut qui, sous couvert de participation de la base, de droits égaux et de non discrimination, utilise les canaux de la gouvernance mondiale pour essayer d’agencer un assentiment mondial à des intérêts particuliers, à travers une utilisation manipulatrice du langage au cours de processus de construction de consensus. Nous ne pouvons nier l’existence d’un combat culturel, politique et juridique ayant cours dans ces fora concernant l’identité sexuelle, l’orientation sexuelle, le contenu des droits et le sens de l’universalité. Le langage est un facteur critique dans ce combat.

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  • Bulletin de l'Iinstitut Européen de Bioéthique - 14 mai 2012

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    images (4).jpgSommaire

  • Homophobie : la RTBF manipule l’information

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    D’Eric de Beukelaer, Doyen de Liège Rive-gauche, sur son « minisite » :

    J’ai quitté le débat « Mise au Point » de ce dimanche [13 mai 2012 ndlr] avec un goût amer à la bouche. Et après avoir vu les deux JT du jour, je suis carrément en colère. Une première – car d’habitude je participe à ce genre d’exercice sans état d’âme. Je connais les règles du jeu et du format médiatique (…).

    Je me suis levé à l’aube ce dimanche matin et j’ai fait un aller/retour Liège-RTBF – au cours d’un WE avec deux mariages en paroisse et des professions de foi – parce que je pensais que le débat permettrait de bâtir des ponts. Des ponts entre le monde des religions et la communauté homosexuelle. Et cela, non pas par irénisme. Je ne crains pas l’opposition. Mais – comme tant d‘autres – le meurtre du jeune Ishan par des paumés sur le territoire de ma paroisse, m’a profondément choqué. Je compte des homosexuels dans ma famille et parmi mes amis. Je ne souhaite pas qu’ils tremblent en sortant dans la rue.

    Bref, en arrivant à la RTBF ce dimanche matin, je ne craignais pas un débat musclé. Mais j’espérais aussi un peu d’écoute et de dialogue. Un dialogue sans langue de bois pour lequel je me suis toujours mouillé, sans jamais avoir eu le moindre mot de reproches de la part de la hiérarchie ecclésiastique. Ainsi, cette interview donnée en 2004 au site Gaybelgium.

    Mais voilà – une fois de plus les clichés bêtes et faciles ont pris de dessus : « les religions cassent du pédé ». Au lieu d’entrer en dialogue avec le musulman Yacoub Mahi – qui a courageusement répondu à l’invitation – chacun s’est cru autorisé de lui tomber dessus. Quant à votre serviteur, quand il essaya de ramener la balle au centre en parlant d’accueil et de non-discrimination, on lui envoya dans les gencives un mystérieux texte « haineux » contre les homosexuels du pape Jean-Paul II (qu’on se garda cependant bien de citer).

    Il y eut ensuite le traitement médiatique ultérieur du débat. Une dépêche RTBF qui souligne que mon appel au dialogue ne reflétait « pas forcément la position officielle de l’Eglise » et que le Vatican avait soutenu « dans les pays africains des initiatives législatives qui condamnent (juridiquement) l’homosexualité » (ce qui est archifaux). De la même veine fut la séquence du JT de dimanche midi, et plus encore celle de dimanche soir. En tant que représentant à ce débat de la première communauté religieuse de Belgique, face au découpage de mes interventions lors de ces JT, un seul mot me vient à la bouche : désinformation.

    Bref, au lieu d’être une occasion de bâtir des ponts, le débat du jour contribua à construire des murs. Les faucons l’ont emporté sur les colombes. La raison de tout ceci n’est pas difficile à chercher. Il y a, d’une part, la colère de nombre d’homosexuels face à ce qu’ils ressentent comme du rejet de la part des religions. Cela, je puis le comprendre. Mais il y a également la bonne conscience anticléricale d’une certaine culture bobo.(…)

    Tout le post ici : Homophobie – Triste débat à Mise au Point. Traitement médiatique peu éclairé (RTBF) 

  • Anticonformiste, le chrétien ?

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    Oui, si l'on en croit Benoît XVI :

    Il existe un anticonformisme du chrétien, qui ne se laisse pas conformer. Cela ne signifie pas que nous voulons fuir le monde, que le monde ne nous intéresse pas; au contraire, nous voulons nous transformer nous-mêmes et nous laisser transformer, en transformant ainsi le monde. Et nous devons garder à l’esprit que dans le Nouveau Testament, en particulier dans l’Evangile de saint Jean, le mot «monde» possède deux significations et indique donc le problème et la réalité dont il s’agit. D’une part, le monde créé par Dieu, aimé de Dieu, arrivé au point de se donner lui-même et de donner son Fils pour ce monde; le monde est une créature de Dieu, Dieu l’aime et veut se donner lui-même afin qu’il soit réellement création et réponse à son amour. Mais il y a également l’autre concept du «monde», kosmos houtos: le monde qui se trouve dans le mal, qui est au pouvoir du mal, qui reflète le péché originel. Nous constatons ce pouvoir du mal aujourd’hui, par exemple, dans deux grands pouvoirs, qui en eux-mêmes sont bons et utiles, mais dont on peut facilement abuser: le pouvoir de la finance et le pouvoir des médias. Tous les deux sont nécessaires, car ils peuvent être utiles, mais on peut tellement en abuser qu’ils deviennent souvent le contraire de leurs véritables intentions.

    Nous voyons que le monde de la finance arrive à dominer l’homme, que le fait de posséder et d’apparaître dominent le monde et l’esclavagisent. Le monde de la finance ne représente plus un instrument pour favoriser le bien-être, pour favoriser la vie de l’homme, mais il devient un pouvoir qui l’opprime, qui doit être presque adoré: «Mammon, la véritable fausse divinité qui domine le monde. Contre ce conformisme de la soumission à ce pouvoir, nous devons être anticonformistes: avoir ne compte pas, mais ce qui compte est être! Ne nous soumettons pas à cela, utilisons-le comme moyen, mais avec la liberté des fils de Dieu.

    Il y a ensuite l’autre pouvoir, le pouvoir de l’opinion publique. Nous avons certainement besoin d’informations, de connaissance des réalités du monde, mais cela peut ensuite devenir un pouvoir de l’apparence; à la fin, ce qui est dit compte plus que la réalité elle- même. Une apparence se superpose à la réalité, devient plus importante, et l’homme ne suit plus la vérité de son être, mais veut surtout apparaître, être conforme à cette réalité. Et contre cela également, il existe l’anticonformisme chrétien: nous ne voulons pas toujours «être conformés», loués, nous ne voulons pas l’apparence, mais la vérité et cela nous donne la liberté et la véritable liberté chrétienne: se libérer de cette nécessité de plaire, de parler de façon conforme à ce que la masse pense, et avoir la liberté de la vérité, et ainsi recréer le monde de manière à ce qu’il ne soit pas opprimé par l’opinion, par l’apparence qui ne laisse plus apparaître la réalité elle-même; le monde virtuel devient plus vrai, plus fort et on ne voit plus le monde réel de la création de Dieu. L’anticonformisme du chrétien nous rachète, nous restitue à la vérité. Prions le Seigneur pour qu’il nous aide à être des hommes libres dans cet anticonformisme qui n’est pas contre le monde, mais qui est le véritable amour du monde.

    Source :vatican.va

  • Succès de la seconde Marche pour la Vie à Rome

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    Sur le site italien :

    "La seconda Marcia Nazionale per la Vita che si è svolta la mattina di domenica 13 maggio a Roma è stata un successo che ha superato ogni più rosea aspettativa. Quindicimila persone, provenienti da ogni parte d’Italia, hanno percorso il centro della capitale, dal Colosseo a Castel Sant’Angelo, difendendo il diritto alla vita e proclamando il loro no senza se e senza ma alla legge 194, che dal 1978 ha legalizzato l’aborto nel nostro Paese..."

  • "L'un d'entre nous" : une initiative pour protéger chaque être humain depuis sa conception

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    V3_S2EW_CONSULTAZIONE.jpegJeanne SMITS présente une initiative pour protéger l'être humain, depuis sa conception, dans le cadre européen :

    “Uno di Noi” : Protéger l'embryon par le droit communautaire : on peut l'obtenir !

    Profitant d'une disposition du traité de Lisbonne qui autorise les « initiatives citoyennes » en vue de faire présenter des propositions par la Commission européenne (voir ici), un groupe de sept personnes d'autant de pays vient de lancer une proposition visant à assurer la « protection juridique de la dignité, du droit à la vie et de l'intégrité de chaque être humain depuis sa conception », là où l'Union européenne a compétence et où une telle protection peut s'exercer.

    C'est une des toutes premières initiatives citoyennes à avoir été présentées depuis début avril, date où la procédure est devenue effectivement possible, sous le titre Uno di Noi (« l'un de nous »). Et elle a déjà, rapidement – eu égard au délai maximum de deux mois dont dispose la Commission – été enregistrée par celle-ci en date du vendredi 11 mai. Cette première étape franchie autorise les signataires à procéder à la récolte des signatures, ce qui est déjà une victoire : la Commission doit en effet vérifier que toutes les conditions sont bien remplies et notamment sa compétence sur le domaine de l'initiative.

    Le défi est maintenant lancé : il va falloir récolter au moins 1 million de signatures en provenance d'au  moins sept pays de l'Union européenne, un minimum par pays étant fixé au pro rata de la population (55.500 pour la France, par exemple) ; l'objectif doit être atteint dans un délai de douze mois sous peine de rendre l'initiative caduque.

    voir la suite sur le blog de Jeanne Smits

    à suivre...