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Société - Page 850

  • De la dictature des médias

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    L'Observatoire sociopolitique de Fréjus-Toulon met en ligne cette tribune libre "hexagonale" de Grégory Soodts - tout à fait applicable dans notre pays - intitulée  "Le « péril médiatique »":

    La médiacratie, de média et kratos« souveraineté », semble connaître ses heures de gloire en notre pays, comme ailleurs dans le monde. Sortant à peine d’une campagne électorale et nous apprêtant à entrer dans une autre, nous avons vu et voyons avec effroi se profiler une couverture  médiatique omnipotente. Les faiseurs de roi seraient-ils  toujours les rédacteurs en chefs ou directeurs de journaux, qui peuvent dire à la suite de Maurice Bunau-Varilla, directeur du journal « le Matin » : « Mon fauteuil vaut trois trônes » ? La démocratie qui conduit le peuple à choisir ses responsables est-elle une médiacratie ? 

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  • L'engagement écologique des évêques de France

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    Nous lisons sur le blog de l'Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon : L’Eglise de France s’engage pour l’écologie, sous la plume de Falk van Gaver, délégué de l’Observatoire :

    Le Groupe de Travail Ecologie et Environnement de la Conférence des Evêques de France vient de publier un bref rapport sur la question. Lecture.

    « En quoi la crise écologique dans laquelle nous sommes entrés concerne-t-elle l’Eglise ? Certains, eux-mêmes engagés, attendent qu’elle dise quelque chose à ce sujet et trouvent qu’on ne l’entend pas assez. Quelle parole spécifique a-t-elle à proposer aux chrétiens et plus largement à tous ceux qui cherchent à définir de nouveaux modèles de développement ? »

    C’est sur cette interrogation que s’ouvre le bref document que propose après 2 ans de travail le groupe Ecologie et Environnement de la Conférence des Evêques de France, composé d’une douzaine de personnes – pasteurs, économiste, théologien.

    « Cette responsabilité implique que l’Eglise ne doit pas se limiter à faire des discours généraux sur l’importance de se préoccuper du « développement durable ». »

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    Voir aussi : Peut-on être catho sans être écolo ?

  • Euthanasie : la Belgique, pays du flou (confirmation)

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    Toujours aux aguets, Jeanne Smits relève une tribune publiée dans De Standaard par Wim Distelmans, oncologue, spécialiste des soins palliatifs et de l'éthique, militant de l'euthanasie et, un temps, membre de la commission d'évaluation de l'euthanasie en Belgique.

    "Il s'y inquiète de nouvelles manières de donner la mort, et plus précisément nombre de « sédations palliatives », qui ne sont pas « encadrées » par la loi sur l'euthanasie, et qui sont en train de prendre des proportions importantes jusqu'à représenter 10 % des décès en Belgique aujourd'hui, comme je l'annonçais il y a quelques jours ici. Le flou de la frontière entre l'euthanasie et la sédation palliative est enfin devenue un sujet. ...

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  • Controverse avec un assistant des Facultés Notre-Dame de la Paix au sujet de l'avortement

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    Un ami, Ludovic Werpin, reprend les termes (en italiques) de la lettre de Nathanaël Laurent,  http://www.belgicatho.be/archive/2012/05/29/quandun-assistant-aux-fundp-namur-nous-adresse-un-courrier.html  publiée sur ce blog et en fait le commentaire (en gras) :

    Madame, Monsieur,

    Permettez à un modeste observateur de formuler quelques remarques sur votre blog à l'occasion de la lecture amusante, dont j'ai pu faire l'expérience, de propos qui me concernent. Je suis effectivement cet assistant aux FUNDP qui ne défend pas le moins du monde la liberté d'avorter, mais que des lecteurs rapides, non suffisamment instruits (M. Laurent, faut-il vous envoyer nos CV et vous montrer nos bibliothèques ? ), et surtout un peu trop endoctrinés (cela signifie ne pas être en accord avec votre opinion qui, bien sûr, ne repose sur aucun préjugé ) ont considéré à tort comme: un anti-catho (oui, il y a de l’anti-catho dans des positions comme la vôtre), pro-avortement, mauvais opinioneur, planteur de patates, et j'en passe... Amusant n'est-ce pas? (non, il n’y a rien de moins amusant qu’une discussion sur ce sujet) D'abord un commentaire sur votre blog qui - nouvelle technologie le permettant - permet à un microcosme belgico-catholique de se former. Qu'y trouve-t-on? Un relai filtrant très efficace d'informations émanant de l'actualité, et des commentaires prenant la forme de prêches tournant en rond. Rien de plus facile en effet que de prêcher pour sa chapelle auprès d'autres membres de celle-ci. Mais qu'en est-il par contre du courage - pourtant inhérent aux pionniers de votre belle religion (« votre religion » ; plus loin, vous vous dites catholique, est-ce la vôtre aussi ?) - de prêcher ailleurs? Ce blog est un exemple de ce qui risque - comme d'autres lieux de rassemblement de sa catégorie - de rejoindre les catacombes de notre mémoire collective... qu'il a lui même creusées. Un tel lieu d'échanges pourrait pourtant être à l'opposé un lieu de ressourcement, où ses membres les plus fervents puiseraient le courage d'affirmer leurs opinions, d'animer une véritable discussion, d'aller jusqu'au bout d'une réflexion. Point de tout cela ici me semble-t-il. (Il est clair que l’assistant n’a jamais suivi les nombreuses interventions de contradicteurs qui ont eu sur Belgicatho largement la parole) (...)

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  • 10 ans d'euthanasie en Belgique : une carte blanche de Mgr Léonard

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    Catho.be (JDD) fait état de la carte blanche de Mgr Léonard publiée dans la Libre de ce mercredi 30 mai intitulée « Euthanasie : 10 ans après, où est le bien commun ? »

    En voici quelques extraits.

    Mgr Léonard estime d’entrée de jeu que dix ans après l’entrée en vigueur de la loi relative à l’euthanasie, un bilan s’impose, tout en rappelant qu’en 2002, les évêques de Belgique avaient déjà exprimé leurs craintes, notamment « celle d’une grave menace quant au respect non seulement des personnes les plus vulnérables, mais aussi des soignants ».

    Mgr Léonard estime d’entrée de jeu que dix ans après l’entrée en vigueur de la loi relative à l’euthanasie, un bilan s’impose, tout en rappelant qu’en 2002, les évêques de Belgique avaient déjà exprimé leurs craintes, notamment « celle d’une grave menace quant au respect non seulement des personnes les plus vulnérables, mais aussi des soignants ».

    L’archevêque de Malines-Bruxelles entend d’abord redire la sympathie que chacun éprouve à l’égard des personnes qui souffrent intensément, minées par la maladie et bouleversées par la perspective d’une mort prochaine. « Qui pourrait demeurer indifférent à leur désarroi ? », interroge-t-il. Pour lui, toute « demande de mort doit le plus souvent être décryptée comme un appel au secours ». Et de poursuivre : « Ce cri de détresse ne doit donc pas nécessairement être interprété comme une volonté de mourir à proprement parler. La réponse appropriée est alors de soutenir le désir de vivre en dignité qui se cache derrière la demande de mort. Et lorsque toute thérapie se révèle vaine ou, en tout cas, disproportionnée, des soins palliatifs de qualité doivent alors prendre la relève. Il importe de leur donner les moyens, encore insuffisants aujourd’hui, de se développer afin de permettre de vivre et de mourir dans la dignité et la sérénité. On évitera ainsi de mettre fin délibérément à la vie et de transgresser l’interdit, essentiel à toute société, de faire mourir intentionnellement une personne innocente ».

    Admettant qu’il existe des cas où, d’un point de vue technique, « la distinction peut sembler mince entre certaines pratiques palliatives et certaines pratiques d’euthanasie », Mgr Léonard estime que « c’est  le contexte humain, la nature précise des moyens employés et l’intention qui font toute la différence ».

    Il rend aussi hommage « au dévouement admirable et compétent des membres du personnel soignant qui, refusant tout acharnement thérapeutique, luttent contre la douleur, soulagent la souffrance et à, avec beaucoup de cœur, accompagnent  jusqu’au bout les malades et leurs proches ».  Il ajoute : « Je salue aussi le courage des soignants qui, malgré d’éventuelles pressions, exercent leur droit à l’objection de conscience et refusent de pratiquer l’euthanasie ou d’y participer ».

    Liberté individuelle ?

    Partant de l’argument souvent avancé pour plaider en faveur de la dépénalisation de l’euthanasie, à savoir la liberté individuelle de disposer de sa vie et de sa mort, Mgr Léonard estime que « dix ans après, on perçoit mieux que l’euthanasie n’est jamais une décision concernant seulement la liberté de ceux qui la demandent ». Et de préciser que, selon lui, que les craintes exprimées il y a dix ans sont aujourd’hui réalité. « À l’époque, plusieurs précautions avaient été prévues par le législateur afin de circonscrire strictement le champ d’application de la loi. Mais une fois la porte entrouverte, l’entrebâillement s’élargit inévitablement. Aujourd’hui, la Commission fédérale de contrôle est quasiment obligée de fermer les yeux sur des pratiques non conformes à la loi et avoue d’ailleurs explicitement son impuissance à contrôler efficacement son application », écrit-il..

    Ce qui le conduit à s’interroger pour savoir s’il est raisonnable d’envisager un nouvel élargissement du champ d’application de la loi, sachant que des pratiques incontrôlables vont ensuite forcer le législateur à envisager de nouvelles extensions ? « Il est des domaines où le bien commun exige que des « oui » ou des « non » très clairs soient prononcés (…). Dans le domaine de l’accompagnement de la souffrance et de la mort, le « oui » résolu à une présence compétente et aimante auprès des malades et des mourants est le véritable avenir de nos sociétés. Et le développement toujours perfectible des soins palliatifs nous en donne la possibilité ».

    Pour l’archevêque, renoncer à l’euthanasie peut sembler à certains une diminution de leur liberté individuelle, il admet que ce l’est en un sens. « Mais il s’agit, à plus long terme, d’une contribution majeure au bien commun de tous », conclut-il dans les colonnes de La Libre.

    source : http://info.catho.be/2012/05/30/mgr-leonard-revient-sur-les-dix-ans-de-la-loi-sur-leuthanasie/

    Sur Radio Vatican, Mgr Léonard s'exprime sur le même sujet : http://www.radiovaticana.org/FR1/articolo.asp?c=595735

  • Une Marche pour la Vie à Czestochowa

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    Pologne : une marche en faveur de la vie et de la dignité humaine

    2.000 polonais dans les rues de Czestochowa

    ZENIT.org - Don Mariusz Frukacz - Traduction d’Océane Le Gall

    Près de 2.000 habitants de la ville de Czestochowa ont participé dimanche dernier, 27 mai, à la "Marche pour la vie et la famille" qui était organisée au centre-ville, à la lumière de la prochaine Rencontre des familles de Milan.

    Cette marche était une initiative du Bureau pastoral pour les familles de l’archidiocèse de Czestochowa, du Conseil des mouvements et associations catholiques de l’archidiocèse et de la Fondation Jean-Paul II pour la vie et la famille, sous le patronage de l’archevêque métropolitain de la ville, Mgr Wacław Depo, qui a célébré une messe en la basilique cathédrale de la Sainte-Famille.

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  • Mardi 29 mai : commémoration de la prise de Constantinople par les Turcs

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    C’était, hier, 29 mai, le jour anniversaire de la prise de Constantinople. Selon une dépêche de l’Agence Apic datée de ce jour « des milliers de militants islamistes ont manifesté, le 27 mai 2012, à Istanbul pour réclamer la réouverture au culte musulman de la basilique Sainte-Sophie. Un petit groupe de musulmans s’est à nouveau rassemblé pour une prière devant les portes de l’édifice, mardi 29 mai 2012, jour anniversaire de la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 ». Ici : Turquie : Des musulmans veulent récupérer la basilique Sainte Sophie de Constantinople

    Coïncidence : loin de ces agitations  (quoique…) un lunch-débat ouvert à un large public était organisé ce même jour à l’Université de Liège par l’Union des Etudiants Catholiques et le Groupe Ethique Sociale sur le thème « Religions et Etat dans l’Islam » avec  Vincent Legrand (professeur  à l’UCL, spécialiste du monde arabe, de l’étude des religions et de la laïcité) et Maximos Botros, diacre de l’Eglise catholique copte d’Egypte.

    Aux propos sympathiques mais empreints d’un humanisme irénique un peu décalé du Professeur Vincent Legrand répondaient ceux, beaucoup plus tranchés de Maximos Botros :  fondamentalement les minorités chrétiennes historiques d’Orient dénoncent le double langage du monde musulman, sans parler des violences et contraintes qui en bon français s’appellent des persécutions.

    Même contraste dans la salle : langage lénifiant  des intellectuels de l’Islam et des chrétiens arborant le rameau du dialogue et, de l’autre, vertes paroles de catholiques orientaux rejoints par leurs frères occidentaux beaucoup moins convaincus par la mise en perspective optimiste d’un certain discours  convenu dans les milieux « bien- pensants » du catholicisme officiel.

    Au total, une assemblée assez libre, où bien sûr les professions de foi des uns et des autres s’expriment plus abondamment que les vraies questions…Textes bientôt disponibles ici: info@ethiquesociale.org

  • Avortement : une déclaration forte du premier ministre turc

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    Synthèse de presse quotidienne de gènéthique (29 mai) (lefigaro.fr 25/05/12 - lci.tf1.fr 25/05/12)

    L’avortement : "un meurtre", selon le premier ministre turc.

    Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré vendredi 25 mai 2012 qu’il considère "l’avortement comme un meurtre." Il ajoute : "Personne ne devrait avoir le droit de l’autoriser. Que vous tuiez le bébé dans le ventre de sa mère ou [...] après sa naissance, il n’y a aucune différence."

    En Turquie, les femmes ont la possibilité d’avorter "au cours des dix premières semaines de grossesse", mais si celles-ci sont mariées, le "consentement [...] du père est également exigé."

    Cela rouvre le débat en Turquie où une proposition de loi restrective devrait être déposée par le gouvernement.

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 29 mai 2012

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    images (4).jpgSommaire

  • Euthanasie : la Belgique, pays du flou

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    On lit sur le blog de Jeanne Smits :

    "Le nombre de personnes mourant en Belgique au bout d'une « sédation palliative » atteint désormais plus de 14.000 par an, soit 14 % des décès. C'est à la fois un moyen de soulager des souffrances ultimes trop insupportables, et de mettre volontairement fin à la vie par un moyen qui n'obéit pas aux règles de l'euthanasie. Autrement dit, la sédation palliative peut avoir un objectif euthanasique ou non, elle peut être moralement illicite ou non. Mais ce qui apparaît aujourd'hui en Belgique, c'est que le médecin peut exercer à travers elle un pouvoir exorbitant sur la vie et sur les dernières heures de ses malades...."

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  • USA : Quand Planned Parenthood participe au "genrecide"

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    Nous lisons sur Nouvelles de France (Eric Martin) :

    C’est du lourd ! L’organisation d’investigation « pro-vie » Live Action a mis en ligne à midi, heure de Paris, la première vidéo d’une série intitulée : « Genrecide : La sélection du sexe en Amérique ». Réalisée en caméra cachée, elle a été tournée dans un centre d’avortement de Planned Parenthood à Austin (Texas). La puissante organisation qui condamne officiellement l’avortement tardif réalisé en raison du sexe de l’enfant (en gros, l’avortement des petites filles), l’encourage dans les faits, ainsi que le montrent ces images choquantes.

    De quoi « retourner » certaines féministes déjà choquée par la pratique de l’avortement sélectif des petites filles en Chine ? Affaire à suivre… De quoi, en tout cas, provoquer le buzz national évoqué par Lila Rose cette nuit. Dans la foulée, la jeune femme de 24 ans vient de lancer une pétition contre l’avortement basé sur la sélection par le sexe. Vous pouvez la signer sur ProtectOurGirls.com.

    Lire à ce propos le billet d'Adélaïde Pouchol dans l'Homme Nouveau.

  • Quand un assistant aux FUNDP (Namur) nous adresse un courrier

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    Nous avions signalé (19/04/2012) la publication, dans la Libre, d'une opinion signée par un assistant des FUNDP consacrée au respect de la vie : quand un assistant aux fundp namur defend le droit a l'avortement

    L'auteur réagit à notre publication et nous adresse le courrier suivant que nous publions avec son autorisation. Cette publication, puisqu'il en appelle au dialogue, ne manquera pas de susciter des commentaires et des réactions (controverse-avec-un-assistant-des-facultes-notre-dame-de-la-paix) :

    "Madame, Monsieur,

    Permettez à un modeste observateur de formuler quelques remarques sur votre blog à l'occasion de la lecture amusante, dont j'ai pu faire l'expérience, de propos qui me concernent. Je suis effectivement cet assistant aux FUNDP qui ne défend pas le moins du monde la liberté d'avorter, mais que des lecteurs rapides, non suffisamment instruits, et surtout un peu trop endoctrinés, ont considérés à tort comme: un anti-catho, pro-avortement, mauvais opinioneur, planteur de patates, et j'en passe... Amusant n'est-ce pas? D'abord un commentaire sur votre blog qui - nouvelle technologie le permettant - permet à un microcosme belgico-catholique de se former. Qu'y trouve-t-on? Un relai filtrant très efficace d'informations émanant de l'actualité, et des commentaires prenant la forme de prêches tournant en rond. Rien de plus facile en effet que de prêcher pour sa chapelle auprès d'autres membres de celle-ci. Mais qu'en est-il par contre du courage - pourtant inhérent aux pionniers de votre belle religion - de prêcher ailleurs? Ce blog est un exemple de ce qui risque - comme d'autres lieux de rassemblement de sa catégorie - de rejoindre les catacombes de notre mémoire collective... qu'il a lui même creusées. Un tel lieu d'échanges pourrait pourtant être à l'opposé un lieu de ressourcement, où ses membres les plus fervents puiseraient le courage d'affirmer leurs opinions, d'animer une véritable discussion, d'aller jusqu'au bout d'une réflexion. Point de tout cela ici me semble-t-il.

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