Le chemin de croix - c’est pas comme vous le pensez…
Expérimenter quelque chose d’inoubliable ! Etre touché par l’Infini ! Transcender notre réalité quotidienne ! Prier avec les autres et pour les autres. Plusieurs groupes et communautés de Bruxelles vont se rendre à La Viale Europe pour célébrer le Chemin de Croix chaque vendredi pendant le Carême à 20 heures (l'église du St Sacrement: Chaussée de Wavre, 205 - 1050 Ixelles, Bruxelles).
Programme de la soirée : Chemin de Croix à mi- ombre des portiques de l’église, suivi de la vénération de la Croix avec la possibilité de se confesser (en différentes langues). Avant que ça commence il y a un peu de tohu-bohu : on arrange l’espace, on répète les chants mais quand l’heure vient tout le monde est prêt… à partir en chemin.
«Si quelqu’un veut marcher à ma suite, qu’il renonce à lui-même, qu’il prenne sa croix et qu’il me suive. »[1] Chaque chrétien suit Jésus à sa manière, c’est pourquoi différentes communautés se sont engagées à animer la célébration : Night Fever, Kristu Bolingo, Alléluia, Séminaristes, Communauté Philippine de St. Joseph, Foyer Catholique, La Viale... « La joie de l’Évangile » – nous rappelle le Pape François – « qui remplit la vie de la communauté des disciples est une joie missionnaire » et il ajoute « elle a toujours la dynamique de l’exode et du don, du fait de sortir de soi, de marcher et de semer toujours de nouveau, toujours plus loin. »[2]
Le chemin de croix a son origine dans la liturgie du vendredi saint qui est un mémorial de la passion du Christ. Cet exercice spirituel fait revivre les évènements de la passion de Jésus et nous fait réfléchir à leur signification pour nous. C’est une méditation qui éveille en nous un sentiment de compassion et de gratitude envers le Seigneur qui nous a tant aimé et le désir de l’aimer, aimer celui qui est le chemin Lui-même.
Spiritualité - Page 429
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BXL, à partir du vendredi 20 février : chemins de croix du Carême à La Viale
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Saint François de Sales (24 janvier)
saint François de Sales (24 janvier) : BELGICATHO
belgicatho.hautetfort.com/.../temp-7b57f58e5bb162b27a0d92b06fc89f5...24 janv. 2014 - Lors de l'audience générale du mercredi 2 mars 2011, Benoît XVI évoquait la figure de François de Sales que l'on fête aujourd'hui : Chers...24 janvier, fête de saint François de Sales, patron des ...
belgicatho.hautetfort.com/.../24-janvier-fete-de-saint-francois-de-sales-pa...24 janv. 2011 - "Dans le contexte de la post-modernité dans lequel nous vivons, un des défis culturels les plus important concerne la manière d'entendre la...François de Sales, un champion de la Contre-Réforme ...
belgicatho.hautetfort.com/.../francois-de-sales-un-champion-de-la-contre...24 janv. 2012 - Source : Hérodote.net Fêté le 24 janvier, François de Sales naît en... ... siècle, le «Siècle des Saints» (qui est aussi le siècle du libertinage !).Lien permanent Catégories : Au rythme de l'année liturgique, Eglise, Foi, Spiritualité 0 commentaire -
Chroniques Mariales: Apparitions de Lourdes et Fêtes de la Vierge
De zenit.org :
Nous sommes heureux de vous présenter le nouveau livre de ZenitBooks, « Chroniques mariales - Apparitions de Lourdes et fêtes de la Vierge », par Mgr Jacques Perrier.
Mgr Jacques Perrier a été évêque de Tarbes-Lourdes pendant quinze ans (1997-2012), il a accueilli deux papes à la Grotte de Massabielle: saint Jean-Paul II en 2004 et Benoît XVI en 2008.
Il se consacre aujourd'hui à approfondir le message que la Vierge Marie transmet à l'humanité, et dans ce livre, il rassemble des chroniques écrites pour ZENIT. On y découvre Bernadette, au fil des apparitions, racontées à la date anniversaire, avec sens du concret et profondeur spirituelle.
Il y rassemble aussi ses chroniques sur les fêtes mariales pour vivre l'Evangile à la suite de Marie, tout au long de l'année.
Un ouvrage indispensable qui aide à comprendre le cri de saint Bernard : "De Marie, jamais assez!"
Vous pouvez commander tout de suite votre premier exemplaire:
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En islam, la représentation de Dieu est interdite, non celle de son prophète
Pour l’opinion courante, représenter le Dieu de Mahomet ou son Prophète et en faire la caricature est doublement sacrilège aux yeux de l’Islam.Dans le Christianisme, religion de l’incarnation, rien n’interdit que la Sainte Trinité, ni le Père, ni a fortiori le Fils, ni l’Esprit qui procède des deux, soient abondamment représentés. Reste que le culte des icônes du Christ et des Saints a bel et bien été l’objet de violentes contestations (qu'elles soient byzantines ou protestantes) parfois justifiées dans la mesure où c’est l’image elle-même qui a pu faire l’objet d’une idolâtrie « magique » apparentée à celle, tout aussi abusive, des reliques et liée au concept d'image « achéiropoïète » hérité du paganisme antique.
Ne jetons donc pas trop vite la pierre aux musulmans mais reconnaissons que leur conception même de Dieu ne les porte pas à faire les distinctions finalement apportées par la théologie chrétienne.
Un article publié par le journal « La Croix » tend cependant à montrer que la sacralisation iconoclaste du prophète Mahomet serait un développement tardif (JPSC) :
[…] QUELLE EST L’HISTOIRE ?
Avec l’interdit posé par le Décalogue – dont l’islam a hérité –, le judaïsme rompt avec l’habitude établie jusque-là de représenter les dieux, aussi bien dans la peinture que la sculpture. Les spécialistes y voient le noyau voire l’essence même du monothéisme : « Il n’y aura pas pour toi d’autres dieux devant ma face ».
De cette interdiction juive qu’il a reprise, l’islam ne s’est jamais écarté en ce qui concerne Allah. Mais, selon les lieux et les époques, il a été « tenté de l’étendre, mais pas partout ni toujours, à la figuration du prophète voire à celle de tous les prophètes », écrit le P. François Boespflug, dans « Le Prophète de l’islam en images : un sujet tabou ? » (Bayard, 2013).
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Où va le Synode sur la famille ? témoignage de Monseigneur Léonard à l’Université de Liège
Encore quelques jours pour s’inscrire au lunch débat du mercredi 28 janvier 2015, 18h00 avec Mgr Léonard : Ulg, salle des professeurs, place du XX août, 7 à Liège 1er étage - accès par la grande entrée : parcours fléché.
Inscription nécessaire au plus tard trois jours ouvrables à l’avance (23 janvier 2015) :
soit par téléphone : 04 344 10 89 ,
soit par email : uniondesetudiantscatholiqueliege@skynet.be
soit sur le site internet :www.ethiquesociale.org

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Manille : distribution de la sainte communion à la messe du pape François
"Catholicisme ? Fétichisme ? Ces méga-liturgies seraient à reconsidérer tant l'Eucharistie y perd son sens et tant sont grands les risques de profanation"(Denis Crouan, site "Pro Liturgia").
JPSC
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Canonisation du premier saint sri lankais
Colombo (Sri Lanka) - Agence I.MediaSri Lanka : Le père Joseph Vaz proclamé saint lors d’une grande messe sur le front de mer à Colombo.
Face à une foule immense, à Colombo, le pape François a proclamé saint le prêtre et missionnaire indien Joseph Vaz (1651-1711), premier saint sri-lankais, dans la matinée du 14 janvier 2015. Sur cette île multiethnique et multi religieuse, le pape a mis en avant la figure de ce prêtre du 17e siècle capable de “dépasser les divisions religieuses pour le service de la paix“ et réaffirmé que “la liberté religieuse est un droit humain fondamental“.
C’est dos à l’Océan indien, sous un immense pavillon typiquement asiatique construit pour l’occasion, que le pape a célébré la messe devant plus de 500 000 fidèles, dont certains avaient passé la nuit sur la plage pour être présents. Au cours d’une messe où s’alternaient les chants et les textes en cinghalais, en tamil, en latin et en anglais, le pape François a canonisé le prêtre indien Joseph Vaz, 20 ans tout juste après sa béatification célébrée au même endroit par Jean-Paul II (1978-2005), le 21 janvier 1995.
Sur le Galle face green, une longue étendue de sable et d’herbe au cœur du quartier commercial et financier de Colombo, de nombreux fidèles avaient revêtus des parures colorées, en l’honneur du pape.
Dans son homélie en anglais, dont des résumés en cingalais et tamoul étaient lus à la foule, le pape a évoqué la figure du premier saint sri-lankais, “grand missionnaire de l’Evangile“, et son “incitation à persévérer sur la voie de l’Evangile, à grandir (…) en sainteté, et à témoigner du message évangélique de réconciliation auquel il a consacré sa vie“. Le pape a alors montré en exemple ce prêtre oratorien originaire de l’Inde qui fut “un prêtre exemplaire“, capable de “dépasser les divisions religieuses pour le service de la paix“, ainsi qu’un “exemple de zèle missionnaire“.
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L’évêque de Liège, la liturgie et le chant grégorien
L'évêque de Liège, Mgr Jean-Pierre Delville, est licencié en histoire de l’université de Liège, théologien diplômé en sciences bibliques de l’ Université grégorienne à Rome et de l’Université catholique de Louvain (U.CL.), où il fur professeur ordinaire chargé du cours de l’histoire de l’Eglise et du christianisme ; il aussi obtenu un prix d’orgue au conservatoire royal de Liège.
Pour la revue trimestrielle « Canticum novum » (in n°71, décembre 2014), organe de l’ « académie de chant grégorien » (Belgique), Jacques Zeegers a interviewé Monseigneur Delville sur la place des mélodies grégoriennes dans les rites latins de la liturgie catholique :
- Que représente pour vous le chant grégorien ? Comme prêtre et évêque tout d’abord ?
- Comme prêtre et évêque, c'est-à-dire comme homme d’Eglise, je considère le chant grégorien comme le chant fondamental de l’Eglise. Dans des célébrations plurilingues, par exemple, c’est le chant grégorien qui peut faire l’unité. C’est évidemment le cas dans les liturgies du Vatican, mais aussi en d’autres occasions, dans de grandes rencontres internationales, par exemple. Cela postule bien sûr qu’on ait appris le répertoire par ailleurs car on ne peut avoir la maîtrise du chant uniquement pour ces occasions-là. Mais comme ces occasions sont médiatisées, elles sont aussi porteuses de formation. Cela, c’est l’aspect pratique du chant grégorien, à savoir la référence commune. Mais il y a aussi un aspect plus fondamental lié à son style : c’est un chant méditatif qui porte à la contemplation et qui est donc bien adapté à l’objectif de la liturgie. Il a donc une qualité importante au niveau spirituel.
- Et comme historien ?
- Comme historien, je pense que le chant grégorien constitue un patrimoine extraordinaire, tant au niveau des paroles qu’au niveau des mélodies. Il déborde d’ailleurs de la liturgie actuelle car pas mal de pièces n’y sont plus chantées aujourd’hui, par exemple celles qui faisaient partie des rites locaux. J’y vois le témoignage de la créativité de notre Eglise. Je pense aussi au Dies irae qui est l’expression d’une vision de foi, d’une vision dramatique. Tant les paroles que les mélodies reflètent l’histoire de l’Eglise. Sans doute le Dies irae ne correspond-il plus à notre mentalité contemporaine. C’est en tout cas le sentiment qu’on a eu en le supprimant de la liturgie dans la mesure où il insistait plus sur la condamnation (le jour de colère) que sur la miséricorde qui y est pourtant présente. Mais quand on parle du jugement, on ne peut s’exprimer que par métaphores et ce n’est pas parce que les métaphores ont un côté violent qu’elles n’ont pas une signification pour la vie spirituelle ; elles ne sont pas une photographie des réalités spirituelles mais des images qui doivent être interprétées et éveiller la vie spirituelle.
Pas mal de pièces du répertoire ne sont plus utilisées, mais il est important de les redécouvrir par d’autres biais, que ce soit par la recherche musicale ou par des enregistrements de caractère plus historique. Il est aussi intéressant de voir comment, à certaines époques, on a ajouté de nouveaux textes, par exemple les intercessions à l’intérieur du kyrie (les tropes dont on retrouve la trace dans les titres du Kyriale) qui permettent d’apprécier la créativité de chaque époque.
Kyrie tropé "orbis factor":
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Liège, samedi 10 janvier 2015 à 17 heures : Solennité de l’Epiphanie (missel de 1962) à l’église du Saint-Sacrement
Alleluia « vidimus stellam », grégorien (avant l’an mil) :
« Gaudete, gaudete », Piae Cantiones, (anonyme, 1582):
Extrait de la « missa tertia » de Michaël Haller (1840-1915):
The Lord bless you and keep you, John Rutter (1945-):
Liturgie de saint Jean Chrysostome de Piotr-Illich Tchaïkovski (1840-1893) :
L' Epiphanie est une Fête de la Lumière.
"Debout! Jérusalem! Rayonne! Car voici ta Lumière et sur toi se lève la Gloire du Seigneur" (Isaïe 60, 1).
Avec ces paroles du prophète Isaïe, l' Eglise décrit le contenu de la Fête.
Oui, Il est venu dans le monde Celui qui est la vraie Lumière, Celui qui rend les hommes lumière.
Il leur donne le pouvoir de devenir enfants de Dieu (Saint Jean 1, 9.12).
Le voyage des Mages d' Orient est pour la liturgie le début seulement d' une grande procession
qui continue tout au long de l'histoire.
Avec ces hommes commence le pèlerinage de l'humanité vers Jésus-Christ -vers ce Dieu qui est né
dans une étable; qui est mort sur la Croix et qui depuis Sa Résurrection demeure avec nous
jusqu' à la fin du monde (Saint Matthieu 28, 20)...
Les Mages d' Orient inaugurent la marche des peuples vers le Christ. Quel genre d'hommes étaient-ils?
Les experts nous disent qu'ils appartenaient à la grande tradition de l' astronomie qui
à travers les siècles s' était développée en Mésopotamie et y fleurissait encore...
Seul ce petit nombre
s'est mis en route et a suivi l' Etoile en laquelle il avait reconnu l' Etoile de la Promesse,
celle qui indique la route vers le Vrai Roi et Sauveur... Ils étaient, pourrions-nous dire, des hommes de science,
mais non seulement dans le sens où ils voulaient connaître beaucoup de choses : ils voulaient davantage.
Ils voulaient comprendre ce qui compte dans l' être humain... C'étaient des personnes au coeur inquiet,
qui ne se contentaient pas de ce qui paraît et est habituel. C'étaient des hommes
à la recherche de la Promesse, à la recherche de Dieu. Et c' étaient des hommes attentifs,
capables de percevoir les signes de Dieu, Son langage discret et insistant. Mais c'étaient encore des hommes
à la fois courageux et humbles : nous pouvons imaginer qu' ils durent supporter quelques moqueries
parce qu' ils s' étaient mis en route vers le Roi des juifs, affrontant pour cela beaucoup de fatigue.
Pour eux, ce que pensait d'eux celui-ci ou celui-là ou encore les personnes influentes ou intelligentes,
n' était pas déterminant. Pour eux, ce qui comptait était la Vérité elle-même, et non l'opinion des hommes...
Ce fut leur courage humble qui leur permit de pouvoir s'incliner devant
le Petit Enfant de gens pauvres et de reconnaître en Lui le Roi promis
dont la recherche et la reconnaissance avait été le but de leur cheminement extérieur et intérieur...
Le Coeur de Dieu est inquiet pour l' homme. Dieu nous attend. Il nous cherche.
Il n' est pas tranquille lui non plus tant qu' Il ne nous a pas trouvés.
Le Coeur de Dieu est inquiet, et c'est pour cela qu' Il S' est mis en chemin vers nous
- vers Bethléem, vers le Calvaire, de Jérusalem à la Galilée et jusqu' aux confins du monde.
Dieu est inquiet à notre égard, Il est à la recherche de personnes qui se laissent gagner
par Son inquiétude, par Sa passion pour nous...
On a beaucoup discuté sur le genre d'étoile qu' était celle qui avait guidé les Mages.
On pense à une conjonction de planètes, à une Super nova, c' est-à-dire à une de ces étoiles
au départ très faible en qui une explosion interne libère pendant un certain temps une immense
splendeur, à une comète, etc. Que les savants continuent de discuter!
La grande étoile, la véritable Super nova qui nous guide, c'est le Christ Lui-même.
Il est pour ainsi dire, l'explosion de l'Amour de Dieu, qui fait resplendir sur le monde,
le grand éclat de Son Coeur... Les Mages d' Orient, de même que les Saints en général, sont devenus
eux-mêmes petit à petit des constellations de Dieu, qui nous indiquent la route.
En toutes ces personnes, le contact avec la Parole de Dieu a, pour ainsi dire, provoqué une explosion de Lumière,
à travers laquelle la splendeur de Dieu illumine notre monde
et nous indique la route. Les Saints sont des étoiles de Dieu, par lesquelles nous nous laissons guider
vers Celui auquel notre coeur aspire".

Pape Benoit XVI.
Homélie du vendredi 6 janvier 2012
à saint Pierre de Rome.
Tous renseignements:
http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com
Tel. 04.344.10.89
JPSC
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Prédication du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine pour la fête de l'Epiphanie
Prédication du 8 janvier 2012 par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine – Fête de l’Épiphanie (Lc 2, 1-12) / http://www.delamoureneclats.fr /
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Solennité de l'Epiphanie du Seigneur
HOMÉLIE DU PAPE FRANÇOIS
Basilique vaticane - Lundi 6 janvier 2014 (source)
“Lumen requirunt lumine”. Cette expression suggestive d’un hymne liturgique de l’Épiphanie se réfère à l’expérience des Mages : en suivant une lumière ils recherchent la lumière. L’étoile apparue dans le ciel allume dans leur esprit et dans leur cœur une lumière qui les pousse à la recherche de la grande Lumière du Christ. Les Mages suivent fidèlement cette lumière qui les envahit intérieurement, et ils rencontrent le Seigneur.
Dans ce parcours des Mages d‘Orient se trouve symbolisé le destin de tout homme : notre vie est un cheminement, nous qui sommes illuminés par les lumières qui éclairent la route, pour trouver la plénitude de la vérité et de l’amour, que nous chrétiens nous reconnaissons en Jésus, Lumière du monde. Et tout homme, comme les Mages, a à sa disposition deux grands « livres » d’où tirer les signes pour s’orienter dans le pèlerinage : le livre de la création et le livre des saintes Écritures. L’important est d’être attentifs, de veiller, d’écouter Dieu qui nous parle, qui nous parle toujours. Comme dit le psaume, se référant à la Loi du Seigneur : « Ta parole est la lumière de mes pas, la lampe de ma route » (Ps 119, 105). Écouter l’Évangile, le lire, le méditer et en faire notre nourriture spirituelle nous permet spécialement de rencontrer Jésus vivant, d’apprendre de lui et de son amour.
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Mgr Léonard prêchera une retraite « Maranatha-Conversion » à Notre Dame du Laus
Lu sur cathobel :" Du 25 février au 1er mars 2015, Mgr André-Joseph Lénoard sera dans le cadre extraordinaire de Notre-Dame du Laus (photo), situé au cœur des Alpes. L’archevêque de Malines-Bruxelles, qui est aussi le fondateur de Maranatha-Conversion, sera l’animateur spirituel d’une retraite sur le thème « Le cœur de l’homme guéri par le cœur humain de Dieu ».
Comment oublier cette journée mémorable du 9 mars 2013 qui a rassemblé, à la basilique de Koekelberg à Bruxelles, plus de 2.000 fidèles ! Comment ne pas se souvenir avec émotion du pèlerinage en Terre Sainte, fin août 2013, qui a réuni plus de 550 pèlerins venus du monde entier, auxquels s’étaient joints près du quart de la population chrétienne de la région, unis à tous les chefs religieux des différentes confessions chrétiennes présentes en Terre Sainte?
C’est avec ces souvenirs inoubliables dans le cœur que chacun est invité à venir à Notre-Dame du Laus, dans le diocèse de Gap, en France, du 25 février au 1er mars 2015, pour une retraite de Carême Maranatha – Mouvement international œcuménique et inter-religieux d’intercession pour la guérison de l’humanité. Mgr André-Joseph Léonard, fondateur de Maranatha-Conversion, sera l’animateur spirituel de cette retraite sur le thème « Le cœur de l’homme guéri par le cœur humain de Dieu ».
« Venez ! Pour qu’ensemble nous priions et réfléchissions à la manière dont nous pourrions tous nous engager concrètement à aider le Seigneur à guérir le monde ! », indique le communiqué annonçant cette retraite.
« Le cadre extraordinaire de Notre-Dame du Laus, avec la beauté pure des Alpes, et la profondeur du message reçu pendant 54 ans par la voyante Benoîte Rencurel (message reconnu par l’Église), ne peuvent qu’être porteurs dans notre démarche commune. Cette retraite de Carême, véritable « école Maranatha », permettra à ceux qui ressentent, dans le cœur, le désir de s’engager davantage, de devenir activement apôtre du Christ et de dire, avec saint Jean dans l’Apocalypse: « Maranatha ! Viens Seigneur Jésus ! », précise le communiqué de Mgr Léonard, qui précise que « cette retraite Maranatha-Conversion à Notre-Dame du Laus sera une démarche spirituellement très forte, surtout en cette période troublée de notre histoire ». Il invite à la faire connaître à vos proches!
Renseignements pratiques
Un autocar partira depuis l’Abbaye de Gistel et passera par Tournai. Un autre autocar partira de Bruxelles et passera par Jambes (Namur) et Arlon.
Ce pèlerinage est accompagné spirituellement par la Communauté « Moeder Van Vrede » (Mère de la paix) et par Mgr Léonard.
Pour vous inscrire, prière de verser 100 € d’acompte par personne sur le compte bancaire de l’abbaye de Gistel :
BE04 4783 3581 2131 Gemeenschap O.L.Vrouw, Abdijstraat, 84, 8470 Gistel,
comme confirmation de votre inscription. Le solde doit être payé, spontanément, avant le 15 janvier. Merci d’avance !
Prix :
Pour une chambre double avec sanitaires : 460 €
Pour une chambre individuelle avec sanitaires : supplément de 52 € par personne
Pour une chambre individuelle avec sanitaires extérieurs : supplément de 32 € par personne
Pour une chambre double avec sanitaires extérieurs : réduction de 28 € par personne
Une fois inscrit, vous recevrez plus d’informations dans le mois précédant le départ.
Ici : Mgr Léonard prêchera une retraite « Maranatha-Conversion » à Notre Dame du Laus
JPSC