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Spiritualité - Page 428

  • Pas de délégation officielle belge à la canonisation des papes Jean XXIII et Jean-Paul II : la Belgique passe à côté de l’Histoire !

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    Lu ce commentaire sur « CathoVox » (Extrait) :

    « Aucune délégation officielle belge ne s’est rendue à la canonisation des papes Jean XXIII et Jean-Paul II alors que de nombreux états y étaient officiellement représentés, dont la France qui se proclame pourtant très laïque.
    Que le gouvernement belge ne souhaite pas prendre part à une célébration religieuse, n’est pas choquant, ce n’est pas son rôle. En effet, une canonisation est en premier chef un événement religieux. L’Eglise catholique reconnaît ainsi publiquement qu’un de ses fidèles a suivi le Christ avec amour et constance dans toutes les petites choses de sa vie. Qu’il a vécu de l’Amour de Dieu, qu’il a été témoin de l’Espérance du Christ mort et ressuscité pour sauver toute l’humanité. En proclamant officiellement « saint » un homme ou une femme, l’Eglise donne ainsi son témoignage en exemple à tout le peuple des fidèles. Cet exemple indique concrètement que vivre du message d’amour de Jésus est possible, en vaut la peine et rend heureux.

    En même temps, la canonisation des papes Jean XXIII et Jean-Paul II  est bien plus qu’un événement religieux, c’est un évènement historique et planétaire et à ce titre une représentation officielle se justifie tout à fait (…). »

    Voir ici : Pas de délégation officielle belge à la canonisation des papes Jean XXIII et Jean-Paul II : la Belgique passe à côté de l’Histoire !

    Je ne vois pas pourquoi l’Etat belge sortirait de son rôle en participant à un acte religieux considéré comme  tel. C’est d’ailleurs ce qu’il fait, en corps constitués, lors des  « Te Deum » d’action de grâce que la Nation adresse à Dieu chaque année.  Les religions sont, pour notre droit,  une dimension reconnue de la personne humaine, privée ou publique, individuelle ou collective, y compris celle de l’Etat.

    L’Etat belge n’est pas "laïc" en ce sens qu’il serait porteur de valeurs "publiques" transcendant les religions "privées", ni obligatoirement agnostique devant le phénomène religieux : la laïcité est assimilée, par la loi, aux cultes reconnus, en tant que philosophie du « libre examen ».  Parler de séparation de l’Eglise et de l’Etat serait aussi inapproprié, si l’on entend par là qu’ils n’ont rien à voir ensemble. 

    Les dispositions constitutionnelles et légales organisent plutôt une certaine indépendance dans le respect mutuel. Et même un peu plus : à ce titre, on peut citer, la rémunération par l’Etat des ministres des cultes reconnus et divers privilèges ou contraintes connexes, la répression pénale propre aux désordres et outrages touchant à l’exercice ou aux objets du culte, à la personne de ses ministres ou à leur habit officiel ; l’organisation de préséances protocolaires ou diplomatiques; les honneurs civils et militaires rendus lors de certaines cérémonies religieuses officielles, comme le « Te Deum », mais aussi les poursuites pénales spécifiques contre les ministres du culte qui attaqueraient « directement » un acte de l’autorité publique ou célébreraient le mariage religieux des époux avant leur mariage civil.

    On comprend ainsi pourquoi la neutralité des pouvoirs publics n’est pas mentionnée, comme telle, dans la constitution, même si certains la déduisent de l’interdiction des discriminations et du principe d’égalité qui y sont inscrits. Face à la pluralité des religions, cette neutralité est, pour le moins, toute relative puisque l’Etat (et à sa suite les autres pouvoirs publics) soutient le libre développement des activités religieuses et apporte son aide et sa protection aux sept cultes (laïcité comprise) qu’il reconnaît, parmi lesquels – primus inter pares – le catholicisme romain. Il faut donc, à tout le moins, parler d’une neutralité « positive ». JPSC

  • Un "festival Jean-Paul II" sur Liberté Politique

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    Messe de canonisation de Jean-Paul II et Jean XXIII

    Messe de canonisation de Jean-Paul II et Jean XXIII

     

    par Denis Lensel le 18 avril 2014 dans Vie de l'Église
    Saint Jean-Paul II, pape libérateur  

    Saint Jean-Paul II, pape libérateur

    Le bienheureux Jean Paul II a été canonisé le 27 avril, dimanche de la Divine Miséricorde. Qui était ce robuste cardinal polonais qui bouscula les canons de l’ostpolitik ? Retour sur l’action du saint dans une Europe orientale toujours en proie aux troubles…

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    Le pape qui disait « je »  

    Le pape qui disait « je »

    25 avril 2014

    Rédigé par Paul Airiau
    dans Eglise et spiritualité

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    Démocratie et totalitarisme selon Jean Paul II  

    Démocratie et totalitarisme selon Jean Paul II

    25 avril 2014

    Rédigé par Guillaume de Thieulloy
    dans Église

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    L’écologie humaine et le contresens écologiste  

    L’écologie humaine et le contresens écologiste

    25 avril 2014

    Rédigé par Laurent Larcher
    dans Église

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    Le pape de la « matière »  

    Le pape de la « matière »

    25 avril 2014

    Rédigé par Thibaud Collin
    dans Eglise et spiritualité

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    Saint Jean Paul II, prophète du mariage et de la sexualité  

    Saint Jean Paul II, prophète du mariage et de la sexualité

    23 avril 2014

    Rédigé par Alex et Maud Lauriot-Prévost
    dans Eglise et spiritualité

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    "Stanislas." Le dernier poème de Karol Wojtyla

    25 avril 2014

    Rédigé par Karol Wojtyla
    dans Eglise et spiritualité

      Suite
  • Jean-Paul II, les Lumières et la liberté de conscience

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    JPII-AMsj-2_large (1).jpgEn marge de la canonisation du pape Wojtyla, un article du Père André Manaranche sj publié par le site « Liberté Politique » :

    « LA DONNE d’abord entre la raison et la foi. La raison se définissait elle-même par son étroitesse (« dans les limites de la simple raison ») et rejetait tout ce qui ne pou­vait entrer dans ce corset logique. Mais en devenant une « philosophie séparée », elle s’enflait en même temps qu’elle se mutilait. Alors la foi a humilié la raison comme étant un rationalisme prétentieux. Puis elle a fustigé cette raison pour la timidité de son agnosticisme. Ce qu’a fait Vatican I.

    Le retour de la raison

    Restait à Jean Paul II de réquisitionner tout l’apport culturel des sagesses pour venir au secours d’une mentalité libérale qui avait perdu — et même rejeté — tout repère objectif pour ne plus se fier qu’au consensuel ou au procédural. Le navire suivait alors non plus l’étoile polaire mais son fa­nal avant. Le pape défunt aura ainsi retourné l’argumentation en exaltant ce “paganisme” (Platon, Aristote, les stoïciens...) que la pastorale, elle, prenait comme une stupidi­té. Ceci en philosophie et aussi en morale, si l’on en juge par Veritatis splendor.

    Nous n’avons pas fini de réaliser ce renversement, nous les chrétiens et encore plus certains athées résolus qui n’ont pas dépassé l’athéisme du charbonnier ou l’athéisme du café du commerce, nous provoquant à reprendre une vieille apologétique devenue risible. En se fermant à la foi, la raison perd son dynamisme et sa noblesse : elle sous-raisonne, elle dé-raisonne ou bien elle arraisonne tout avec morgue.

    Jean Paul II — comme Édith Stein — auront dû, pour rendre possible la recherche de la vérité, changer de voie d’accès. Partis de la phénoménologie (Husserl, Max Scheler), avec une incursion dans la mystique (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila), ils retrouveront en finale saint Thomas d’Aquin, mais avec une ouverture que n’auront pas forcément nos thomistes occidentaux.

    En morale familiale, Jean Paul II reprendra d’une autre manière les thèses de Paul VI, et son langage ne soulèvera pas le même chahut parce qu’il aura intégré la valeur de la sexualité humaine, cette valeur qui fonde l’exigence au lieu de l’abolir.

    L’amitié politique

    Ceci concerne du même coup la vie politique, que les Grecs ne dissociaient pas d’a­vec la vertu. Le mot « éthique » n’est pas confessionnel : il se trouve chez Aristote (en­tre autres), et ce n’est pas une invention de curés rétrogrades. Le lien de la société, c’est l’amitié politique (philia politikè) et non pas le conflit, ni le profit, ni le simple contrat.

    Le monde actuel a beau se dire libéral en s’opposant aux idéologies brune ou rouge, il devient vite, en congédiant les valeurs, ce que Jean Paul II appelait un « tota­litarisme sournois » ou une « démocratie creuse », et sa prétendue tolérance est en fait une intolérance. Ce qui est dit neutre ou laïc, c’est l’amoralité et l’athéisme, alors que ces deux choses fonctionnent d’une manière inquisitoriale. Il n’y a pas que le nazisme et le marxisme à être totalitaires, donc homicides. La « culture de mort » opère les mêmes dégâts, même s’ils sont moins spectaculaires.

    L’homme, route de l’Église

    La tâche commune à tous, c’est la défense de l’homme. Et « l’homme est la route fondamentale de l’Église », d’une Église « experte en humanité ». La nouvelle évangélisation n’est pas seulement religieuse : elle se joue au niveau de l’humanisme.

    Alors Jean Paul II redéfinit l’Église dans son être et dans sa tâche. Église et État ne sont plus deux « sociétés parfaites » juxtaposées et indépendantes, comme sous Léon XIII : le Christ est le « Récapitulateur » dont parlait Pie XI au début de son pontificat, et de ce fait, même s’il y a une certaine autonomie du temporel (Gaudium et Spes 36), ce n’est pas là un cloisonnement étanche.

    D’abord la foi a le devoir et le droit de s’inculturer à la société, au lieu de demeurer cachée dans des clubs sans se concréti­ser en rien. Le Christ n’est pas un gourou débarquant à Roissy avec son visa et sommé de demeurer « politiquement correct » sous peine — non pas d’être crucifié — mais d’être reconduit à la frontière. C’est ce passé de culture chrétienne que refusent bien des politiques — et de tout bord — afin que ce passé indéniable ne soit pas mentionné : c’est une erreur à tuer par le silence.

    Le droit de la conscience

    L’Église garde aussi le droit, sans pour autant sortir de son rôle, d’émettre un jugement sur des lois et des pratiques qui lèsent la justice élémentaire et la dignité humaine, car l’homme est son affaire. Elle est allée, avec Jean Paul II, jusqu’à demander l’objection de conscience du personnel médical en ce qui concerne l’avortement et l’euthanasie, objection qui ne devrait pas être pé­nalisée.

    Délaissant l’ostpolitik du cardinal Casaroli qui, pour des raisons bassement « pas­torales », faisait à l’adversaire d’insupportables concessions pour avoir la paix ou bé­néficier encore de quelques avantages, Jean Paul II a choisi délibérément le franc-parler et la prise en compte de la morale : justice et liberté. Et son attitude énergique a été payante. De même qu’au nom de la réconciliation ou de l’œcuménisme, il n’a pas consen­ti à pénaliser la partie fidèle, celle qui était demeurée dans le giron de l’Église ou celle qui demandait d’y revenir. Il a été franc du collier.

    Et tout cela se tient rigoureusement. Merci, Jean Paul II. » 

    Réf.Le pape qui a changé la donne

    « Qui suis-je pour juger ? ».  Prise dans l'absolu, la petite phrase du pape François qui fait maintenant le tour de la planète, est évidemment fausse.

     Dans son testament spirituel « Mémoire et Identité » (Flammarion , 2005, p. 162) Jean-Paul II a écrit : « La loi établie par l’homme a des limites précises que l’on ne peut franchir. Ce sont les limites fixées par la loi naturelle, par laquelle c’est Dieu lui-même qui protège les biens fondamentaux de l’homme ».  

    Reste qu’elles le sont allègrement, au nom de la liberté de conscience : celle de nier tout fondement objectif au bien et au mal : une attitude qui, quoi qu’on dise de la miséricorde, est intenable. Aucune société, humaine et a fortiori divine ne peut se passer de jugement. JPSC

  • Pas de « barnum » pour la canonisation des papes Jean XXIII et Jean-Paul II

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    De Bosco d’Otreppe sur le site de « La Vie ». Extraits :

    Part-DV-DV1711256-1-1-1.jpg« La foule sur la place Saint-Pierre a le talent du silence. Devant la basilique, mais aussi sur les nombreuses places de Rome où des centaines de milliers de pèlerins (800.000 selon le Vatican) se sont rassemblés, l'évangile résonne dans un recueillement consciencieux. L'évangile, mais aussi ces quelques mots, prononcés par le pape sous les applaudissements de la foule :“Nous déclarons et définissons saints les bienheureux Jean XXIII et Jean Paul II”.

    Voici trois jours que cette foule sillonne Rome, et voici maintenant de nombreuses heures qu'elle a conquis de ses sacs de couchage les frontières du Vatican pour être au plus proche de l'autel et narguer le ciel lourd, bas et menaçant qui règne sur la ville. Pourtant, pas d'ennui général, pas d'attente impatiente : ici les heures deviennent prière et rencontre. Le Vatican a beau être photogénique, il n'en est pas qu'une simple scène de spectacle.

    “Deux hommes courageux”

    “Ils ont été des prêtres, des évêques, des papes du XXe siècle. Ils en ont connu les tragédies, mais n’en ont pas été écrasés. En eux, Dieu était plus fort.” Consciencieux également derrière sa feuille, François non plus ne se donne pas en spectacle. Comme il aime les écrire lors des messes importantes, son homélie reste sobre, sans grande hagiographie et sans aucune improvisation ; elle laisse toute sa place aux sacrements, revient sans cesse à l'évangile, et trouve dans les personnalités de Jean Paul II et Jean XXIII le moyen de le rapporter à notre époque.

     Lire ici le texte complet de l'homélie

     “Jean XXIII et Jean Paul II ont eu le courage de regarder les plaies de Jésus, de toucher ses mains blessées et son côté transpercé. Ils n’ont pas eu honte de la chair du Christ, ils ne se sont pas scandalisés de lui, de sa croix ; ils n’ont pas eu honte de la chair du frère, parce qu’en toute personne souffrante ils voyaient Jésus. Ils ont été deux hommes courageux, remplis de la liberté et du courage du Saint-Esprit, et ils ont rendu témoignage à l’Église et au monde de la bonté de Dieu, de sa miséricorde.” (...).

    C'est dans les pas de ceux-ci que François propose alors de mettre son pontificat et le chemin synodal qui s'y dessine autour de la famille. “ (...) Jean Paul II a été le Pape de la famille. Lui-même a dit un jour qu’il aurait voulu qu’on se souvienne de lui comme du Pape de la famille. Cela me plaît de le souligner alors que nous vivons un chemin synodal sur la famille et avec les familles, un chemin que, du Ciel, certainement, il accompagne et soutient. Que ces deux nouveaux saints Pasteurs du Peuple de Dieu intercèdent pour l’Église, afin que, durant ces deux années de chemin synodal, elle soit docile au Saint-Esprit dans son service pastoral de la famille.”

    Non loin de François, mais néanmoins parmi les cardinaux, un autre pape prie et chante discrètement. La présence de Benoit XVI, chaleureusement applaudie, aura illustré d'un caractère inédit (c'est la première fois dans l'histoire de l'Église qu'une messe aura été célébrée en présence de deux papes, l'un émérite et l'autre en exercice), cette matinée historique que François voulait en communion avec l'ensemble des croyants de toutes générations et de toutes régions. » 

    Réf. Jean XXIII et Jean Paul II unis dans une même sainteté

    Ce matin, à la seconde messe dominicale au Saint-Sacrement à Liège, c’était un peu la même tonalité : beaucoup de monde (toutes proportions gardées) en communion avec les canonisations romaines en cours, un prêche sur les vrais mérites de la sainteté et la liturgie paisible, pieuse et solennelle à la fois, les chants grégoriens alternés en choeur avec l’assemblée, l’orgue, le violoncelle, les gestes lents, la communion à genoux, les encensements : un univers sacral sans ostentation, à mille lieues de l’enflure mondaine des  eucharisties «festives» où des animateurs excitent l’assemblée à se célébrer elle-même. JPSC 

  • La crainte du Seigneur est bonne pour le coeur (2e dimanche de Pâques)

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    Craindre Dieu, c’est bon pour le coeur

    homélie du deuxième dimanche de Pâques par l'abbé Christophe Cossement (source)

    C’est toujours utile d’aller voir comment vivaient les premières communautés chrétiennes. Elles ont une fraîcheur de foi qui peut nous inspirer, et elles vivaient dans un contexte minoritaire qui ressemble au nôtre. Qu’apprenons-nous aujourd’hui des dispositions intérieures de ces chrétiens ? Que « la crainte de Dieu était dans tous les cœurs » (Ac 2,43). Les disciples avaient donc la crainte de Dieu. Ils n’en avaient pas du tout peur, car ils l’aimaient et ils savaient que Dieu les aimait. Mais ils savaient aussi que c’est l’amour d’un Dieu  : par un accessoire parmi d’autres mais quelque chose qui change tout le regard que l’on peut avoir sur sa propre vie. Une vie aimée par Dieu, c’est une vie toute différente, dans la mesure où Dieu compte plus que tout le reste. C’est cela, la crainte de Dieu, cette disposition intérieure par laquelle Dieu compte et son amour change tout.

    Si Dieu est Dieu, alors il n’y a pas ceux qui aiment Dieu ou ne l’aiment pas comme il y a ceux qui aiment ou pas le vin rouge ou le football. C’est autrement important de se positionner par rapport à Dieu que par rapport à n’importe quelle bonne chose de la vie. La portée du mot « Dieu » rend urgent de se questionner sérieusement par rapport à ce qu’il représente. Ce n’est pas raisonnable de dire à son sujet  : je ne sais pas, on verra bien… comme si toute la face du monde ne devait pas être changée si Dieu aime les hommes ou n’existe pas.

    Il n’y a pas de vie chrétienne sans la crainte du Seigneur. Sans elle il n’y a pas de joie à être disciple du Christ. Et il n’y a pas de disciple du tout, car craindre le Seigneur c’est reconnaître que ce n’est pas à moi à lui faire des reproches, que c’est plutôt lui qui m’apprend les chemins de la vie, tandis que moi je me laisse instruire.

    Pourtant il y a un problème, de taille  : Dieu, on ne le voit pas ! Les apôtres ont déjà buté là-dessus. C’est pour cela qu’il faut un moyen d’investigation approprié. Il s’appelle la foi. Cette foi que l’on voit naître dans le cœur des apôtres malgré l’incroyable de la nouvelle de la résurrection. La foi n’est pas un pari douteux, mais le moyen de connaître des choses que l’on ne voit pas, comme on peut vivre d’amour si l’on croit à l’amour de l’aimé. Quand je suis tenté de mettre Dieu en balance, la foi va me permettre de comprendre ce que je peux recevoir de lui et surtout d’en vivre.

    La crainte de Dieu, reconnaître et accepter que Dieu compte, quelle Lumière pour la vie ! Elle permet de détecter la présence de Dieu et d’y être sensible. Celui qui ne craint pas Dieu, Dieu ne va pas débarquer dans sa vie, se mettre devant la télé et dire  : et maintenant, c’est quand que tu crois en moi ? Alors, Seigneur, remplis-nous de cette crainte de toi qui rapproche le ciel de la terre !

  • Le sondage du « Figaro »

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    Lu sur le site web du Figaro cette question à ses lecteurs:

     Trouvez-vous normal que Manuel Valls aille à la canonisation de Jean-Paul II et Jean XXIII ?

     Résultat ce samedi 26 avril au soir :

      41022 Votants
     

     57% Oui   43% Non

    Imaginerait-on la question suivante posée par la « Libre Belgique » à ses bobos de lecteurs (et même aux autres) : trouveriez-vous normal qu’Elio Di Rupo aille à la canonisation de Jean-Paul II et Jean XXIII ? Pas une seule réponse. La morne plaine d'outre-Quiévrain n'est pas la France.

    JPSC

  • Le pape François ne s’opposerait pas à l’ordination des hommes mariés à la prêtrise

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    De Jean Mercier sur le site de « La Vie » :

    Selon un évêque brésilien, Erwin Kraütler, évêque de Xingu, le pape François n’aurait pas d’objection à l’ordination d’hommes mariés, et souhaiterait que ce sujet soit pris en charge par les épiscopats locaux, en fonction de leurs besoins, comme le révèle le journal britannique The Tablet.

    S’exprimant le 5 avril dernier dans les colonnes d’un journal autrichien, le Salzburger Nachrichten (repris en anglais par The Tablet), Mgr Kraütler faisait référence à une conversation qu’il a eu en privé avec François la veille, soit le 4 avril. Faisant référence à la pénurie de prêtres dans son diocèse, le plus grand du Brésil, avec 27 prêtres pour 700.000 croyants, l’évêque a expliqué au pape que la messe ne pouvait être célébrée que deux ou trois fois l’an. “Le pape a expliqué qu’il ne pouvait pas prendre personnellement tout en main depuis Rome. C’est à nous, les évêques locaux, qui connaissons mieux les besoins de nos fidèles, d’être courageux et de faire des suggestions concrètes.”. Selon Kraütler, interprétant le pape, “les conférences épiscopales régionales et nationales devraient rechercher le consensus et la réforme et ensuite proposer leurs propositions de réforme à Rome.”

    Le Brésilien a précisé que la possibilité d’ordonner des viri probati – des hommes dont la solidité de foi et de caractère a été éprouvée par la vie – avait été évoquée avec le pape à propos de la pénurie des prêtres. “Le pape lui-même m’a parlé d’un diocèse au Mexique dans laquelle chaque communauté a un diacre mais pas de prêtre. Il y a 300 diacres là bas qui ne peuvent célébrer l’eucharistie.” Et le pape aurait dit que“Cest aux évêques de faire des suggestions.”

    La question des viri probati est régulièrement discutée depuis les années 1970, mais a toujours été reçue de manière négative, en particulier par Jean Paul II puis Benoît XVI. Rappelons que l’Eglise catholique, sous les deux derniers pontificats, a donné de nombreuses dérogations (environ 400) à la loi du célibat pour d’anciens ministres de la Réforme, protestants ou Anglicans. Mais l’admission au sacerdoce d’hommes mariés qui ne seraient pas passés par cette voie là n’a encore jamais été explorée.

    La plupart des évêques – dont le cardinal secrétaire d’Etat Pietro Parolin, en septembre dernier – se sont toujours exprimés sur le sujet en rappelant que le célibat n’est pas un dogme, mais une loi de type disciplinaire. Même si d’autres estiment qu’il s’agit d’une tradition si ancienne (mille ans) qu’elle peut être assimilée à un dogme et qu’une rupture de pratique sur le sujet ne serait pas si facilement envisageable, voire qu’elle instituerait un clergé à deux vitesses.

    Le pape François lui-même, en tant que cardinal Bergoglio, a déjà expliqué qu’il ne trouvait pas indispensable de modifier la loi actuelle, en expliquant tout le bien qu’il pense du célibat sacerdotal. Son propos à l’évêque brésilien s’inscrit dans le contexte de communautés très dispersées sur un territoire immense.

    Réf. Le pape ne s’opposerait pas à l’ordination des hommes mariés à la prêtrise

    A la haute époque de l’expansion missionnaire occidentale aussi les communautés étaient très dispersées, sans que jamais on évoque cet « argument » pour enfreindre la règle du célibat sacerdotal. Par ailleurs, cette revendication émane bien plus du monde occidental contemporain que des peuples du tiers-monde eux-mêmes.    

    Ceci dit, le célibat sacerdotal n’est pas une fin en soi et tout dépend de la manière dont il est vécu.

    Mais l’acharnement avec lequel on réclame son abolition dans l’Eglise latine depuis la fin du concile Vatican II (lequel, soit dit entre parenthèses, n’a jamais évoqué cette question) a quelque chose d’idéologique, à la fois réducteur et suspect.

    Dans un certain esprit occidental sensible à l’esprit de la Réforme protestante et au libéralisme des Lumières, derrière la mise en cause de ce signe du célibat s’en cache (à peine) une autre : celle de  l’identité du prêtre et du sacrement de l’ordre lui-même. C’est un débat biaisé.

    JPSC

  • Vatican : Conférence de presse sur la sainteté des deux futurs canonisés

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    Sur la place Saint-Pierre à Rome, dimanche prochain 27 avril, le pape Bergoglio canonisera, dans une cérémonie très médiatique, ses prédécesseurs Jean XXIII et Jean-Paul II. La dernière canonisation d’un pape date du 29 mai  1954 : elle avait été faite par Pie XII qui éleva alors à la gloire des autels le champion de la lutte contre le modernisme, Guiseppe Sarto mieux connu sous son nom de règne : Pie X, pape de 1903 à 1914.  A cette occasion, le Saint-Père Pie XII avait notamment prononcé cette prière : « Saint Pie X, gloire du Sacerdoce et honneur du Peuple chrétien, Toi en qui l'humilité parut fraterniser avec la grandeur, l'austérité avec la mansuétude, la piété simple avec la doctrine profonde, Toi, Pontife de l'Eucharistie et du catéchisme, de la foi intègre et de la fermeté impavide, tourne ton regard vers la Sainte Eglise, que Tu as tant aimée et à laquelle Tu as donné le meilleur des trésors que la divine Bonté, d'une main prodigue, avait déposés dans ton âme obtiens-lui l'intégrité et la constance au milieu des difficultés et des persécutions de notre temps  et soulève cette pauvre humanité, aux douleurs de qui Tu as tellement pris part qu'elles finirent par arrêter les battements de Ton grand cœur…  afin que de la sorte les angoisses qui épuisèrent Ta vie apostolique se transforment grâce à Ton intercession, en une réalité de bonheur, à la gloire de Notre-Seigneur Jésus-Christ, qui avec le Père et le Saint-Esprit vit et règne dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il ! »

    Ce temps nous paraît aujourd’hui bien lointain et l’Eglise n’est plus ce qu’elle était voici soixante ans. Au milieu des « fervorini » qui entourent le pape François, des questions sourdent néanmoins ici et là: sur la tendance à béatifier ou canoniser systématiquement les papes contemporains, sur l’absence de miracle attribué à Jean XXIII pour le canoniser, sur la gouvernance ou les affaires qui, rétrospectivement, jettent une ombre sur l'Eglise des années postconciliaires.

    Dans une conférence de presse dont Radio-Vatican se fait ici l’écho,  le porte-parole du Saint-Siège et les deux postulateurs de la cause des nouveaux saints ont répondu à l’une ou l’autre des inquiétudes exprimées « mezzo voce » :

    « (RV) Rome, de nouveau le point de mire de l’attention médiatique : pèlerins, touristes curieux et journalistes convergent vers la Ville Eternelle, qui se prépare dans une certaine fébrilité à l’évènement tant attendu : la double canonisation des Papes Jean XXIII et Jean-Paul II. Lors d’une conférence de presse ce mardi matin, les journalistes, déjà sur place, ont pu écouter le père Giovangiuseppe Califano, et Mgr Slawomir Oder, respectivement postulateurs de la cause de Jean XXIII et de Jean-Paul II, invités à s’exprimer sur la sainteté des deux futurs canonisés, une sainteté conçue tous deux comme vocation à part entière, le but de leur vie : Angelo Roncalli, le « pasteur et le père», le « pacifié et le pacificateur », l’homme de l’obéissance et de la paix ; Karol Wojtyla, saint à l’école de la souffrance, mystique, vivant sa vie de sorte qu’elle soit « expression de la gloire de Dieu ».

    Aucune « implication personnelle » de Jean-Paul II dans l'affaire Maciel

    A l’approche de cette double canonisation, plusieurs accusations, déjà récurrentes, mettent en cause le Pape Jean-Paul II dans l’affaire Marcial Maciel, laissant entendre que le Pape polonais était au courant des agissements scabreux du fondateur des Légionnaires du Christ, et aurait pourtant refusé de sévir contre lui. Un soutien que d’aucuns interprètent comme une volonté de protéger l’Eglise de toute éclaboussure.

    Le postulateur de la cause de Jean-Paul II, Mgr Oder, ainsi que le père Federico Lombardi ont tenu à répondre à ces accusations. Une enquête a été menée, et les documents qui ont été étudiés lors du procès de canonisation du Pape Jean Paul II ont montré qu'il n'y avait « aucune implication personnelle » de sa part dans ce scandale retentissant, a expliqué Mgr Oder.

    Réticences à la canonisation ?

    Mgr Oder a par ailleurs commenté des informations sur les réserves que l'ancien cardinal de Milan, Carlo Maria Martini, aurait émis lors du procès en canonisation. Affirmer que le cardinal italien était opposé à la canonisation de Jean-Paul II n’est « pas juste et pas vrai ». Ce qui est vrai en revanche, a expliqué le père Lombardi, c’est que Mgr Martini avait reconnu la légitimité d'un débat sur l'opportunité de faire saints les Papes en général.

    "Pourquoi sont-ils saints?"

    « Pourquoi sont-ils saints?» : c'est le thème d'une veillée qui réunit ce mardi soir des centaines de jeunes, en la cathédrale de Rome, la basilique St Jean-de-Latran. Après une liturgie de la Parole présidée par Mgr Zuppi, évêque auxiliaire pour le centre de Rome, les deux postulateurs donneront leurs témoignages et inviteront les participants à réfléchir sur la sainteté et la spiritualité des Papes Jean XXIII et Jean-Paul II. »

    Ici : Conférence de presse sur la sainteté des deux futurs canonisés

    JPSC

     

  • A propos de l'image de Sierck-les-Bains

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    Lu dans La Gazette de Liège (La Libre) de ce 24 avril :

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    « Le Mystérieux Visage de Sierck-Les-Bains », in 8°, 16 pp., couv. en quadrichromie, est disponible au prix de 3 euros (+ frais de port 1 €) au siège de l’asbl « Sursum Corda », rue Vinâve d’île, 20 bte 64 à B- 4000 Liège. Cpte IBAN BE58 0003 2522 9579. BIC BPOTBEB1: avec la mention: "le mystérieux Visage". Les commandes peuvent aussi se faire par téléphone : 04.344.10.89 ou e-mail : sursumcorda@skynet.be

    Plus d'informations ici :Editions "Sursum Corda" : Le mystérieux visage de Sierck-Les-Bains

  • Qui veut faire taire Mgr Léonard et le P. Zanotti-Sorkine ?

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    A propos de http://www.belgicatho.be/archive/2014/04/22/christian-laporte-lance-un-brulot-contre-la-fraternite-des-s-5352683.html :

  • Christian Laporte lance un brûlot contre la Fraternité des Saints Apôtres

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    L’incontournable Christian Laporte sonne le tocsin dans un article entortillé que la « Libre » publie ce jour :

    « Voici deux semaines, l’abbé Daniel Alliët, curé de la paroisse du Béguinage au cœur de Bruxelles, était invité à rencontrer Mgr Léonard. Ayant cru que l’archevêque l’entretiendrait de son combat humanitaire aux côtés des Afghans qui, soit dit entre parenthèses, ont quitté le lieu du culte mais y trouvent toujours un lieu d’accueil en journée, il eut la surprise d’apprendre qu’il serait muté à la rentrée prochaine.

    Et qu’il quitterait le Béguinage pour la paroisse de St-Jean l’Evangéliste à Molenbeek où est cependant déjà active une communauté locale.

    Les "chouchous" de Léonard

    Daniel Alliët n’a cependant rien à se reprocher mais Mgr Léonard, dans le cadre de sa volonté de relancer l’Eglise au centre de Bruxelles a imaginé confier la paroisse du Béguinage à la Fraternité des Saints Apôtres et plus particulièrement à trois diacres qui seront encore ordonnés cette année.

    Un mouvement qui a le vent en poupe du côté de Marseille comme on le lira ci-dessous et qui a surtout séduit l’archevêque.

    Le curé du Béguinage refuse d’entrer dans la polémique mais ose espérer que la hiérarchie tiendra aussi compte du travail accompli avec ses amis dans cette paroisse. Et de rappeler la sympathie nourrie par Mgr Léonard pour ce combat difficile auquel il s’est lui-même identifié à diverses reprises en recevant des réfugiés à Noël et en participant à la marche des Afghans.

    Pour l’heure, une vraie mobilisation en vue du maintien de Daniel Alliët a été lancée par les réseaux sociaux et par voie de courriel.

    Le SOS de Johan Leman

    Avec entre autres, une prise de position très intéressante du P.Johan Leman dont on connaît l’engagement pour une Belgique multiculturelle, plus particulièrement à Bruxelles, lui qui joua un grand rôle lors de la mise sur pied d’un commissariat royal pour l’immigration comme chef de cabinet de Paula D’Hondt.

    Ce dernier, qui a aussi enseigné à la KU Leuven, rappelant le rôle très symbolique d’avoir une "Eglise des pauvres" au centre de Bruxelles dit ne pas comprendre que l’on repousserait cette attention pour les plus exclus de la société, de l’autre côté du canal de Bruxelles alors que le pape François demande précisément à ses ouailles d’en faire une priorité. Et de faire remarquer que si l’Eglise catholique de Belgique a encore quelque rayonnement dans les milieux notamment musulmans, c’est précisément en raison du travail accompli à l’église du Béguinage par l’abbé Alliët et ses amis…

    Le père Leman met aussi l’archevêque en garde contre les dégâts d’un transfert : "faire partir les exclus de l’église du Béguinage ne demande pas beaucoup de temps mais reconstruire un tel projet ailleurs ne s’impose pas à l’évidence"

    Du côté de l’archevêché, le porte-parole Jeroen Moens nous a précisé lundi qu’à ce stade aucune décision n’avait été prise. "L’équipe pastorale du Béguinage doit encore être reçue par l’évêque auxiliaire de Bruxelles, Mgr Kockerols. Quant aux prêtres de la Fraternité des Saints Apôtres, ils ne sont pas encore ordonnés. Je tiens aussi à rectifier l’information du ‘Soir’ selon laquelle le père Zanotti s’installerait aussi à Bruxelles. Ce n’est pas exact; il est et restera à Marseille…"

    Les drôles d'apôtres d'un communicateur hors-pair

    Surprenant : lorsqu’on évoque la Fraternité des Saints Apôtres lancée chez nous voici un an, beaucoup de sourcils se froncent autour de ce qui apparaît avoir surtout été une initiative personnelle de l’archevêque de Malines-Bruxelles.

    Mgr Léonard l’a en effet érigée en "association publique de fidèles cléricale" le dimanche 7 avril de l’an dernier…

    Selon nos informations, cette création unilatérale a créé un vrai malaise dans l’Eglise de Belgique à la fois en raison de la décision d’érection non concertée au sein des instances ecclésiales mais aussi à cause des statuts de ladite Fraternité et, enfin, de la personnalité du P. Michel-Marie Zanotti. Il s’agit d’un prêtre marseillais par rapport auquel plusieurs évêques français et non des moindres ont émis de sérieuses réserves auprès de leurs collègues belges pour un certain sectarisme.

    Plus encore : Mgr Rey, l’évêque de Toulon qui est loin d’être un progressiste a refusé de poursuivre la formation des séminaristes du P. Zanotti parce qu’ils n’obéissaient qu’à leur mentor et refusaient la discipline du séminaire diocésain !

    Cela dit, on reconnaît ci et là que le P. Zanotti ne manque pas de charisme et est un communicateur de grand talent. Mais est-il pour autant un bon conseiller pour des prêtres en devenir ?

    C’est là que d’aucuns se permettent de douter : il y a un réel danger de néocléricalisme et le risque de les voir développer un sentiment de supériorité dans l’exercice de leur apostolat. Bref, les évêques belges ne sont pas très enthousiastes, c’est un euphémisme, face à leur présence chez nous.

    Remplisseur d’églises

    Un avis non partagé par l’archevêque plutôt séduit par celui que "Le Figaro Littéraire" a surnommé "le Hussard du Christ". Il est vrai que ce prêtre en soutane a su rendre vie et visibilité à sa paroisse phocéenne qui fait le plein en permanence. Ses atouts ? Une liturgie de qualité, la beauté du lieu mais aussi une force de prédication très grande. Dont la diffusion ne se limite pas à sa seule paroisse : ses prédications font aussi le "buzz" sur le site delamoureneclats.fr. Tout un programme…

    Réf. Une Fraternité pour relancer l'Église bruxelloise (et tant pis pour le curé du Béguinage)

    « Drôles d’apôtres », « néocléricalisme »,« hussard », « sectarisme », « mises en garde », « malaise dans l’Eglise de Belgique »: bref,  les séminaristes du P. Zanotti-Sorkine (qui sont aussi ceux de Mgr Léonard) déplaisent à l’establishment postconciliaire, qui veut toute la place pour « sa » ligne ondoyante  et fait un gros appel du pied au sanhédrin des évêques contre les "remplisseurs d'église". Et quoi encore ? JPSC  

  • Vient de paraître : Vérité et Espérance/Pâque Nouvelle, 1er trimestre 2014

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    SOMMAIRE

    Editorial : La Croix, douloureuse et glorieuse  

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    Scalfari en remet une couche

    Les Antilles et Haïti auront leur cardinal

    Quand l’ONU entend rééduquer l’Eglise

    France : la mobilisation contre la « familiphobie » ne faiblit pas

    A Rome : consistoire sur la famille

    Ukraine : les images censurées par la presse occidentale

    Euthanasie des mineurs : l’enfant face au choix ?

    Culture de mort en Belgique : une première mondiale

    Fraternité des Saints-Apôtres : les trois premières ordinations

    Fête-Dieu 2014 : Liège renouera avec la grande procession 

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    Transfiguration et Crucifixion

    Allons d’un pas allègre vers la bienheureuse espérance

    « Le » roman catholique réédité  

     

    Secrétaires de Rédaction : Jean-Paul Schyns et Ghislain Lahaye

    Editeur responsable: SURSUM CORDA a.s.b.l. ,

    Vinâve d’île, 20 bte 64 à B- 4000 LIEGE.

    La revue est disponible gratuitement sur simple demande :

    Tél. 04.344.10.89  e-mail : sursumcorda@skynet.be 

    Les dons de soutien sont reçus au compte IBAN:  BE58 0016 3718 3679   BIC: GEBABEBB de Vérité et Espérance 3000, B-4000 Liège