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Patrimoine religieux - Page 107

  • A propos du confinement « sanitaire » des cultes en Belgique : Ne nous laissez pas mourir de faim spirituelle

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    La pratique collective du culte qui est aujourd’hui empêchée  en Belgique est une valeur essentielle pour la société. Il y a urgence à statuer équitablement à son sujet. Une carte blanche signée dans « La Libre Belgique » par Wivine Muret, Anne-Simone Badji et Michael Calistri, membres de l’initiative Pour la messe libre-Vrijheid voor de mis (*):

    L’interdiction du culte public et ensuite son autorisation pour 15 personnes seulement, accouplés au silence des comités de concertation au sujet des cultes ont été d’une peine et d’une violence inouïes pour nous. Nous avons vécu ces mesures disproportionnées et discriminatoires comme un mépris de nos convictions. Au minimum, il eut été équitable de fixer la capacité d’accueil d’un lieu de culte en proportion de sa taille, comme c’est le cas dans les magasins. Nous nous réjouissons donc que cette mesure puisse bientôt être discutée par les représentants des cultes reconnus avec le ministre de la justice.

    Les mesures actuelles nous inquiètent avant tout car elles laissent advenir une dangereuse privatisation de la religion. Celle-ci ne serait plus considérée comme une réalité sociale, mais serait réduite au cercle intime et donc effacée de nos vies collectives. Le Cardinal de Kesel, archevêque de Malines-Bruxelles, a très bien résumé cette réalité en répondant à la chaîne télévisée KTO, en juin 2018 : « Cette thèse de la privatisation de la religion et du religieux est injuste et, je pense, dangereuse aussi. Je regrette, il y a des tendances dans la société qui voudraient bien une société sans religion, où la religion est tout à fait privatisée, mais la religion est là, c’est un phénomène anthropologique. Moi je pense que profondément l’homme est un être religieux. »

    Le sacré, une source de vitalité

    Aujourd’hui encore, le sacré est une source de vitalité. Dans des circonstances normales, un demi-million de Belges se rend à l’église pour Noël. Oui, pour beaucoup, le sacré aussi fait partie de l’essentiel, et nous croyons que la vie humaine ne se limite pas à l’horizon terrestre et, qu’après la mort, il y a la vie éternelle. Or, la messe est le trésor de la foi : la force du Sacrifice de Jésus-Christ y est communiquée. Le Christ prie et s’immole pour offrir son salut à quiconque l’accepte. Et, à la messe, on peut recevoir le Corps du Christ. Le culte catholique trouve en grande partie son essence dans la messe, et lui enlever les célébrations publiques revient à l’amputer de son cœur. Peut-on vivre sans cœur ?

    Les fruits de la foi

    Les croyants puisent donc dans leur foi une énergie formidable. Nous pourrions citer tant d’organismes caritatifs au service des malades et des pauvres. Mais l’Eglise, ce n’est pas seulement le caritatif, le social. C’est d’abord le spirituel qui inspire le don de soi auprès des démunis et favorise la cohésion sociale. Cette conviction dans la force de la foi alimentée à la Messe a porté le Père Damien de Veuster aux confins du Pacifique pour soigner les lépreux, alors considérés comme les « damnés de la terre ». Celui-ci, élu « le plus grand des Belges » par la chaîne Canvas en 2005, nous rappelle que la religion et son culte collectif sont un levier irremplaçable pour attirer l’aide de Dieu et puiser la force de vaincre le fléau de la pandémie.

    Et demain, quelle chrétienté si on se tait ?

    Nous sommes jeunes et entrevoyons l’avenir avec espoir mais nous ne pouvons-nous empêcher de nous questionner : quelle chrétienté laissera-t-on à nos enfants ? Nous ne voulons pas d’une foi rabaissée ni d’une messe dévaluée. Que se passera-t-il s’il arrive de prochaines vagues de Covid? Nous verrons-nous encore lésés spirituellement car il paraît plus important de protéger les corps dans les églises plus que dans les supermarchés qui, eux, peuvent accueillir des dizaines de personnes ? Devrons-nous encore nous taire et laisser faire ? Il sera alors plus difficile d’agir.

    Par cette mobilisation, en rappelant l’importance primordiale de la messe pour tant de croyants, nous voulons aider à construire à la fois le présent et l’avenir. Nous demandons donc du respect et de la cohérence entre les mesures, et la liberté pour la messe. Car non, l'homme ne vit pas seulement que de pain.

     (*) L’annonce du deuxième confinement et de la nouvelle fermeture des églises en fin octobre a poussé quelques jeunes catholiques à former un collectif Pour la Messe libre - Vrijheid voor de Mis dont nous faisons partie. Cette mobilisation positive a pour but d’attirer l’attention sur les restrictions drastiques faites au culte. Nos actions sont comme un appel à l’aide car nous mourons de faim… spirituelle.

    Ref. Ne nous laissez pas mourir de faim spirituelle

    JPSC

  • Covid 19 et consorts : le gouvernement belge confirme sa jauge absolue de 15 personnes accessibles ensemble dans un lieu de culte

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    Sourd à l’appel au « dialogue » sollicité timidement par les évêques le gouvernement fédéral persiste et signe . Lu dans « La Libre Belgique » cet artice signé Bd’O avec Belga :

    « L'arrêté ministériel précisant l'interdiction des voyages "non essentiels" depuis et vers la Belgique dès ce mercredi 27 janvier jusqu'au 1er mars a été publié mardi au Moniteur belge. En dehors des détails, déjà exposés la semaine dernière, de ce qu'est un voyage "essentiel" ou non, il comprend également des clarifications sur les cultes.

    Le nouvel arrêté précise que le maximum de 15 personnes autorisé (sans compter enfants, prêtre et officier de l'État civil) pour les mariages civils, enterrements et cérémonies de culte (ou activité philosophique non-confessionnelle) vaut bien pour l'ensemble des personnes présentes en même temps dans le bâtiment, "indépendamment du nombre de pièces à l'intérieur d'un bâtiment".

    On ne peut donc dépasser ce nombre de 15 en multipliant les groupes dans différentes pièces d'un lieu de culte, clarifie la ministre de l'Intérieur Annelies Verlinden.

    "L'exercice individuel du culte" ou de l'assistance morale non confessionnelle, ainsi que la "visite" d'un bâtiment de culte sont ajoutés aux activités pour lesquelles vaut ce maximum absolu de 15 personnes présentes en même temps.

    Comme l'explique mardi la ministre Verlinden, les autorités ont jugé nécessaire d'apporter ces précisions car "certaines personnes ont estimé, à tort, que davantage de visiteurs individuels pouvaient être présents en même temps dans un bâtiment destiné au culte".

    En d'autres mots, si le nombre de 15 personnes ne pouvait être dépassé à l'occasion de célébrations, les responsables des lieux de cultes devront désormais veiller au fait qu'il n'y ait pas davantage de 15 personnes qui prient individuellement et en même temps, même dans des pièces séparées. Et cela aussi bien dans une petite chapelle de campagne, dans une mosquée ou synagogue, que dans une grande basilique ou cathédrale. 

    En décembre, le Conseil d'État avait considéré cette jauge de 15 personnes légitime au vu des défis sanitaires. Au contraire, de nombreux croyants avaient manifesté leur déception: ils considéraient que l'instauration d'une jauge fixe était illogique et devait être proportionnée - comme dans d'autres pays d'Europe - à la taille du lieu de culte. Ils soulignaient et regrettaient par ailleurs le fait que davantage de personnes peuvent se trouver en même temps dans une grande surface. 

    La Libre apprend par ailleurs qu'une réunion entre les représentants des cultes reconnus et le ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne (en charge des cultes) s'est tenue ce mardi à 16h30 et n'a pas abouti à d'autres conclusions que celles évoquées par la ministre de l'Intérieur. En publiant une décision quelques heures avant cette réunion (comme ce fut le cas lors d'une précédente rencontre en décembre), la majorité a cependant posé un geste relativisant l'importance accordée à ces discussions. »

    Ref. le gouvernement fédéral prend des mesures sanitaires plus restrictives envers les cultes

    Faut-il préciser que la ministre de l’intérieur Annelies Verlinden appartient au parti « chrétien démocrate & flamand » (CD&V) membre de la coalition gouvernementale ?

    JPSC

  • Liège : enregistrée et diffusée depuis l’église du Saint-Sacrement en direct ce matin du dimanche 24 janvier 2021 à 10h, la messe traditionnelle (missel de 1962) de ce 3e dimanche après l’Épiphanie :

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    Célébrant : Abbé M.-A Dor, Recteur

    Chants grégoriens : propre de la messe « Adorate Deum »; Kyriale de la messe XI  « Orbis factor » (XIVe s.); Credo I (XIe s.);

    Orgue : Patrick Wilwerth

    Pour suivre la messe, cliquez ici :

    https://youtu.be/gJZhjnu7wok

    Lepreux image (1).jpgComme tous les dimanches de ce cycle de l’épiphanie, l’introït s’inspire d’une sainte joie et d’une allégresse reconnaissante envers Dieu. Il emprunte son antienne intercalaire au psaume 96.

    Dans la collecte nous présentons humblement à Dieu nos vœux, le priant d’étendre sa main puissante pour nous aider.

    Dans la lecture (Rom., XII, 16-21), saint Paul insiste sur la nécessité du pardon réciproque des offenses, montrant que le meilleur moyen de faire valoir notre droit foulé aux pieds, est de s’en remettre tranquillement au jugement de Dieu, vengeur incorruptible de toute injustice.

    Le répons-graduel est pris au psaume 101. Le Seigneur s’est revêtu de puissance en réédifiant Sion, et il a répandu la crainte en tous les monarques de la terre.

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  • Le patrimoine chrétien de Turquie en péril

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    De Miriane Demers-Lemay sur le site canadien d'information catholique "Présence" :

    Urgence pour sauver le patrimoine chrétien en Turquie

    20210120_pres_cappadoce_ml.jpg

    Une touriste québécoise admire les ruines d'une église près de Göreme en Cappadoce, en mars 2020. Les églises troglodytes comme celle-ci ont été abandonnées lorsque les dernières communautés chrétiennes de la région ont été forcées de quitter le pays en 1923.   (Présence/Miriane Demers-Lemay)
    2021-01-20

    La Turquie possède l’un des plus riches patrimoines chrétiens en dehors de la Terre sainte. Or ces lieux sont peu à peu oubliés, détruits ou convertis. Une course contre la montre s’amorce pour sauver le patrimoine turc chrétien, qui s’efface peu à peu des mémoires et du paysage.

    La route de terre est trouée de cratères. Dans un lourd nuage de poussière, des camions roulent vers une carrière de pierres nichée dans les montagnes arides de lAnatolie. Des villageois nous dévisagent avec surprise; peu de visiteurs viennent dans ce hameau, situé à quelques kilomètres seulement de la ville de Şanlıurfa.

    Il y avait ici un village arménien, autrefois. À présent, des chèvres broutent les herbes autour des quelques bicoques ayant survécu à l’histoire. Les ruines du village et d’une chapelle jonchent le sol, leurs pierres ayant vraisemblablement été utilisées pour construire de nouvelles maisons. L’imposante église Germüş tient encore debout, décapitée de son clocher. Peu de traces de travaux de restauration sont visibles entre la nef qui tombe en morceaux et les décombres jonchant le sol. À quelques mètres seulement, on a construit une mosquée toute neuve, comme un rappel de la religion dominante en Turquie. L’église fera les manchettes quelques semaines après notre passage, après qu’un homme décide d’y organiser une soirée barbecue diffusée sur les réseaux sociaux.

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  • Venez à ma suite, et je vous ferai devenir pêcheurs d'hommes

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    Introit Introït
    Cf. Mc 1,16-17  
    Dominus secus mare Galilaéae vidit duos fratres, Petrum et Andréam, et vocávit eos: Veníte post me: fáciam vos fíeri piscatóres hóminum. Ps Caeli enárrant glóriam Dei: et ópera mánum eius annúntiat firmaméntum. ℣. Gloria Patri. Le Seigneur le long de la mer de Galilée vit deux frères, Pierre et André, et les appela : Venez à ma suite, et je vous ferai devenir pêcheurs d'hommes. Ps Les Cieux racontent la gloire de Dieu : et l'oeuvre de Ses mains annonce le firmament.
  • Covid 19 et confinement abusif des cultes en Belgique: vox clamantis in deserto ?

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    basilique-koekelberg-500x344.jpgChangement de cap après une première attitude de soumission sans nuance qui a désorienté leurs fidèles : « les cultes » veulent maintenant « plus de dialogue et d’adaptation » écrit Nancy Goethals sur le site web interdiocésain cathobel . Une demande bien tardive des autorités religieuses a été faite le 20 janvier 2021 au ministre de la Justice de proportionner la norme d’accueil des fidèles (actuellement un numerus clausus de 15 personnes) à la taille des bâtiments (**). Ce revirement soudain demeure pour l'instant sans écho: dans sa réunion du 22 janvier, le comité interfédéral belge de lutte contre la pandémie de coronavirus a beaucoup parlé des coiffeurs, des salons de beauté et autres métiers «de contact» non médicaux mais n’a pas soufflé mot de la culture et, moins encore, des cultes sans doute assimilés à un sous-produit des divertissements culturels (JPSC) :

    « Vendredi dernier, les représentants des différents cultes (*) ont adressé une lettre commune au ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne. L’initiative vient de la conférence épiscopale qui a estimé « qu’il ne servait à rien d’œuvrer tout seul », explique Mgr Harpigny, signataire de la lettre.

    Les responsables des différents cultes se concertent régulièrement. Tommy Scholtes, le porte-parole de la conférence épiscopale, explique que cette lettre fait écho « aux réflexions entendues à droite et à gauche et aussi à nos propres convictions. J’avais déjà évoqué dans les médias à l’occasion de Noël que la norme de la proportionnalité de 1 personne pour 10 m² serait mieux reçue que la limitation à 15 personnes ». Pour rappel, cette norme avait été prise lors du déconfinement de l’été.

    En décembre dernier, à l’appel des responsables des cultes, le Conseil d’Etat avait permis une légère ouverture, rendant les lieux de célébrations accessibles à 15 personnes. Cela permettait les mariages juifs et une assistance minimale pour les funérailles. Cependant, tous cultes confondus, les fidèles ont mal accepté cet arrêt qui ne tenait pas compte de la taille des lieux (églises, synagogues, mosquées…). « C’est pourquoi l’ensemble des chefs de culte a décidé de faire cette demande au ministre de la justice », explique Tommy Scholtes.

    Renouer le dialogue

    Certes, ils sont bien conscients qu’il faut avant tout préserver la santé. Les évêques rappellent d’ailleurs qu’ils ont été les premiers – avant même les autorités – à prendre des mesures pour les célébrations. Par ailleurs, Koen Geens, le ministre de la justice de l’époque avait pris contact avec les autorités religieuses pour dialoguer sur les mesures à prendre en fonction de l’évolution de la situation.

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  • Les ordinariats pour anglicans convertis : une initiative emblématique de l’œcuménisme du pape Benoît XVI

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    On célèbre chaque année, du 18 au 25 janvier, la semaine pour l’unité de l’Eglise. A ce propos, le site web « aleteia » publie aujourd’hui le témoignage d’un ancien « évêque » anglican rallié à une belle réussite du pape Benoît XVI: l’institution d’ordinariats personnels pour les fidèles de l '«Eglise» anglicane qui entrent dans la pleine communion avec l’Eglise catholique, en laquelle seule subsiste l’unique Eglise du Christ comme société constituée et organisée en ce monde (concile Vatican II, constitution dogmatique «Lumen gentium », 21 novembre 1964) :

    ORDINARIAT-ANGLICAN-000_Par3712693.jpg

    « Il y a dix ans, le père Keith Newton, un ancien évêque anglican, rejoignait l'Église catholique. Il raconte son itinéraire singulier. Le 15 janvier 2011, trois anciens évêques anglicans, dont le père Keith Newton, étaient ordonnés prêtres par Mgr Vincent Nichols, archevêque de Westminster (Royaume-Uni). Le même jour, l’Ordinariat personnel de Notre-Dame de Walsingham était fondé par un décret de la Congrégation pour la doctrine de la foi, et le Père Keith Newton, nommé par le pape Benoît XVI, en devenait le premier Ordinaire. Dix ans après, il dresse un premier bilan et quelques perspectives sur l’avenir de l’Ordinariat.

    Il y a dix ans, vous et de nombreux anglicans rejoigniez l’Église catholique. À la demande du pape Benoît XVI, vous avez pris la tête du nouvel Ordinariat de Notre-Dame de Walsingham. Est-il déjà temps de faire un premier bilan ?

    Père Keith Newton : Je crois que nous le pouvons. Nombreux étaient ceux qui avaient prédit notre disparition rapide : cela n’a pas été le cas, nous sommes toujours là ! Bien entendu, nous avons fait face à beaucoup de défis pendant ces dix ans, mais il me semble que nous sommes plus préparés ; prêts à regarder vers l’avenir, car nous avons fait grandir nos racines au sein de l’Église catholique comme dans la société anglaise et galloise. Nous avons plus d’une centaine de prêtres, dont près de 70 ont moins de 75 ans. Une trentaine d’entre eux travaille à temps plein dans les paroisses de l’Ordinariat. Et nous tenons environ vingt-cinq paroisses de l’Église catholique en Grande-Bretagne, ce qui nous permet d’avoir de l’influence sur les communautés catholiques locales.

    lire la suite sur aleteia.org

    Lire aussi  à ce propos la Constitution Apostolique « Anglicanorum coetibus » du pape Benoit XVI, donnée à Rome  le 4 novembre 2009, en la mémoire de Saint Charles Borromée.

    JPSC

  • Dix ans déjà !

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    Cela fait dix ans que belgicatho prend journellement son tour de veille. C'est en janvier 2011 que tout a commencé. Il s'agissait alors de monter au créneau pour rétablir la vérité et apporter notre soutien quand Benoît XVI était sous le feu incessant des attaques médiatiques et quand Mgr Léonard devenu archevêque de Malines-Bruxelles pourfendait bravement le politiquement et culturellement correct. Depuis lors, la situation a évolué mais l'orientation du blog est restée la même, vigilante et critique à l'égard d'un monde et d'une Eglise malheureusement à la dérive. Depuis 2011, quotidiennement, nous rassemblons les informations publiées çà et là qui nous paraissent aptes à éclairer le jugement et nourrir la réflexion pour les livrer à nos lecteurs. Cette publication est ainsi la 21.896ème que nous leur fournissons. Plus de 800 personnes sont abonnées à la newslletter qui est livrée chaque jour dans leur boîte électronique. La moyenne des visites quotidiennes effectuées sur belgicatho est de 500 environ. C'est probablement dérisoire mais dans le contexte belge actuel ce n'est sans doute pas tout à fait insignifiant. C'est aussi gratuit : jamais un appel de fonds n'a été lancé pour soutenir une activité qui est totalement désintéressée. Nous continuerons, bien sûr, tant qu'il nous sera donné de pouvoir le faire, avec le soutien moral et spirituel de tous nos amis. 

  • Que toute la terre T'adore

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    Introitus Introït
    Ps. 65, 4 Ps. 65,4
    OMNIS terra adóret te, Deus, et psallat tibi: psalmum dicat nómini tuo, Altíssime. Ps. ibid., 1-2 Iubiláte Deo, omnis terra, psalmum dícite nómini eius: date glóriam laudi eius. Que la terre T'adore et chante en Ton honneur, qu'elle dise une hymne à Ton nom. Ps. Poussez vers Dieu des cris de joie, ô terre entière; chantez un psaume à Son Nom : rendez glorieuse Sa louange.
  • À l’église du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy, 132 à Liège : quelques variations pour chœur et orgue en ce temps de noël et la messe dominicale du 10 janvier 2021 dédiée à la Sainte Famille

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    Une animation autour de la crèche aux 150 santons 2021

    Entrée libre durant le mois de janvier 

    dans le respect des conditions sanitaires prescrites:

    santons liégeois pour fêtes de  noël st sacrement DSC00444.JPG

    Tous les mardis, de 17h à 19h

    Tous les jeudis, de 10h à 12h et de 14h à 17h

    Tous les vendredis de 12h à 14h

    Tous les samedis de 15h à 17h

     

    Enregistrée et diffusée depuis l’église du Saint-Sacrement en direct ce matin du dimanche 10 janvier 2021 à 10h,  la messe traditionnelle (missel de 1962) est dédiée à la Sainte Famille de Jésus, Marie, Joseph :

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  • "Dilexisti iustitiam"; introit grégorien de la messe du dimanche du Baptême du Seigneur

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  • Où en est le chantier de la restauration de Notre-Dame de Paris ?

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    Plus d'un an et demi après l'incendie qui a ravagé la cathédrale Notre-Dame de Paris, le général Georgelin, président de l’établissement public chargé de la restauration de Notre-Dame, présente l'avancée du chantier de restauration qui doit être terminé le 16 avril 2024, soit cinq ans jour pour jour après l'incendie : un reportage publié sur le site de « Famille chrétienne » le 30.12. 2020

    JPSC