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Patrimoine religieux - Page 106

  • Liège : enregistrée et diffusée depuis l’église du Saint-Sacrement en direct ce matin du dimanche 7 février 2021 à 10h, la messe traditionnelle (missel de 1962) du dimanche de la Sexagésime:

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     Célébrant : Abbé M.-A Dor, Recteur

    Chants grégoriens : propre de la messe « Exsurge, Domine »; Kyriale de la messe XI  « Orbis factor » (XIVe s.); Credo I (XIe s.);

    Orgue : Patrick Wilwerth

    Pour suivre la messe, cliquez ici :

    https://youtu.be/doW9TJXAjy8

     

    « Exsurge, quare obdormis Domine?  Exsurge et ne repellas in finem Domine » : lève-toi, pourquoi dors-tu, Seigneur. Lève-toi et ne nous repousse pas pour toujours. Tiré du psaume 43, l’Introït de cette messe est une prière très simple dans laquelle le peuple Juif, écrasé sous l’épreuve et se croyant abandonné de Dieu sans raison, lui demande de revenir et de le sauver.

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  • Reconvertir les églises : un métier et un business; et surtout pas de "fétichisme"!

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    Où l'on apprend que nos autorités ecclésiastiques ne nourrissent pas un attachement "fétichiste" à l'égard de notre patrimoine religieux, héritage des générations croyantes qui nous ont précédés...

    Lu sur L’Avenir (5 février, p. 11) :

    Un métier: reconvertir les églises

    Ce n’est pas une reconversion, mais plutôt une diversification. L’intercommunale liégeoise Ecetia se lance dans la réaffectation des églises. Selon le dernier rapport annuel de l’Église catholique de Belgique, on en compte 2 550 du côté francophone. Mais toutes ne sont pas assidûment fréquentées. Certaines sont fermées et souffrent d’un manque sérieux d’entretien. C’est qu’elles sont à charge des communes, soit parce que celles-ci en sont propriétaire, soit parce qu’elles doivent renflouer les fabriques d’église qui le sont. Bertrand Demonceau, directeur d’Ecetia, explique: «… nous nous sommes rendu compte qu’il y avait une demande du côté des Villes et Communes a propos de ce patrimoine qui est de moins en moins utilisé, qui au fil du temps s’abîme, se dégrade. Qu’en sera-t-il dans 10 ou 20 ans. Abattre est-ce une solution? Une église, c’est le nez au milieu du village. C’est un patrimoine symbolique, identitaire. … On propose une voie moyenne, on conserve l’enveloppe extérieure et on réfléchit à la réaffectation intérieure. On pratique un examen de la faisabilité technique, les possibilités de rénovation et les coûts. Ensuite, on pratique une étude de marché. En fonction du volume et de la situation, que peut-on y réaliser? Des bureaux, du logement, une bibliothèque… Tout dépend aussi de ce que la commune attend.»)
     
    Pas fétichiste 

    L’église de Tignée (commune de Soumagne) est le premier dossier qui risque de se concrétiser avec l’aménagement de plusieurs appartements dans l’église. Si elle était désaffectée au culte, ce n’est pas toujours le cas. Là, il faut le feu vert de l’évêque. Éric de Beukelaer, vicaire général du diocèse de Liège: «Nous ne sommes pas fétichistes. Si un édifice est trop grand, une partie peut-être désaffectée tout en conservant une chapelle. Il est important de conserver un lieu de silence de spiritualité. C’est un usage partagé. Mais on peut en faire aussi un usage multifonctionnel où l’on se réunit pour d’autres choses, groupe de théâtre, orchestre, même des étals de marché. Mais c’est avant tout une église vivante qui peut aussi accueillir les autres cultes

  • Venez, adorons Dieu et prosternons-nous devant le Seigneur

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    Introitus Introït
    Ps. 94, 6-7  
    VENÍTE, adorémus Deum, et procidámus ante Dóminum, plorémus ante eum, qui fecit nos: quia ipse est Dóminus Deus noster. Ps. ibid., 1 Veníte, exsultémus Dómino: iubilémus Deo, salutári nostro. ℣. Glória Patri. Venez, adorons Dieu et prosternons-nous devant le Seigneur, et pleurons devant Lui qui nous a faits : car Il est le Seigneur notre Dieu. Ps. Venez, réjouissons-nous dans le Seigneur ; chantons des hymnes à Dieu notre Sauveur. ℣. Gloire au Père.
  • L’incroyable succès d’une vidéo sur les moines bénédictins de Fontgombault

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    Fongombault2.jpg

    Plus d’1,5 million d’internautes ont déjà visionné le magnifique « teaser » de Fons Amoris, le documentaire réalisé par Marc Jeanson sur les moines de Fontgombault. Il faut dire que la pureté des images et le chant grégorien s’avèrent bouleversants dès les premières secondes de cette bande-annonce.

    L’abbaye de Fontgombault, fondée il y a plus de 1000 ans, est une abbaye bénédictine de la congrégation de Solesmes, située dans l’Indre. Elle comprend aujourd’hui une soixantaine de moines vivants, selon la règle de saint Benoît, dans le silence, alternant prières, travail manuel et offices dans la liturgie traditionnelle.

    « Mystère que toutes ces vies cachées au long des siècles, consumées derrière des murs. Mystère insondable et qui, pourtant, à travers les interrogations qu’il éveille au coeur des hommes du monde, peut conduire chacun, selon des voies diverses, aux portes d’un Mystère plus grand encore, celui devant qui seul le silence est éloquent… », souligne le commentaire dès le début du documentaire.

    Voici la bande-annonce de ce documentaire français sur l'abbaye bénédictine de Fontgombault : un documentaire diffusé depuis 2016, avec un succès international, aussi massif que mérité :

    Ref: L’incroyable succès d’une vidéo sur les moines bénédictins de Fontgombault

    JPSC

  • La Flandre déchristianisée au chevet de ses églises désertées

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    Du site de Knack :

    Le Parlement flamand veut donner une seconde vie à plus d'églises

    21/02/04

    Source : Belga

    De nombreuses églises en Flandre sont peu ou pas utilisées. Les partis majoritaires N-VA, CD&V et Open Vld veulent donc relancer le débat sur l'utilisation secondaire et la réutilisation des bâtiments d'église.

    Dans une résolution, ils demandent au gouvernement flamand de veiller à ce que davantage d'églises puissent avoir une seconde vie. En Flandre, les gens réfléchissent depuis un certain temps à la finalité nouvelle ou secondaire des églises paroissiales. De nombreuses églises se vident et, à cause de cela, les bâtiments d'église tombent souvent en désuétude. Cela conduit parfois à la négligence et à la dégradation. En raison de cette dégradation, de plus en plus de travaux d'entretien et de rénovation sont nécessaires, ce qui rend la situation financière de plus en plus difficile à supporter pour les paroissiens et les autorités locales. Il existe des exemples, tant au niveau national qu'international, d'églises qui ont été transformées en librairies, en hôtels...

    L'ancien ministre du patrimoine immobilier, Geert Bourgeois (N-VA), a élaboré une note conceptuelle il y a dix ans. Ce mémorandum a ensuite donné lieu au Church Policy Plan (2015) et au "Re-use of Churches Project Office" (2016). Depuis lors, certaines églises en Flandre ont reçu une nouvelle utilisation ou une utilisation supplémentaire. Mais la députée flamande Joke Schauvliege (CD&V) pense qu'il est temps de passer à l'étape suivante.

    Le défi pour les années à venir reste grand", dit-elle. Schauvliege demande des efforts supplémentaires pour utiliser les églises pour des concerts, des conférences ou des événements culturels en plus des services de culte. De cette façon, le bâtiment de l'église peut continuer à jouer un rôle important dans la vie locale et assurer la cohésion sociale grâce à une honorable réaffectation", déclare le politicien du CD&V.

    Avec ses collègues Manuela Van Werde (N-VA) et Jean-Jacques De Gucht (Open Vld), Schauvliege a élaboré une résolution. Avec cette résolution, nous voulons demander au gouvernement flamand d'assurer une participation suffisante et de créer une base de soutien pour évoluer vers une co-utilisation ou une réutilisation réussie des bâtiments d'église", déclare M. Van Werde.

    Jean-Jacques De Gucht, membre du Parlement européen, souligne la "valeur architecturale particulière" de nombreux édifices religieux. Il serait dommage de laisser ces bâtiments, qui sont d'ailleurs généralement prévus dans un endroit central d'une ville, d'un village ou d'un quartier, se dégrader. Une nouvelle utilisation de ces produits prévient donc la dégradation de notre précieux patrimoine", déclare le membre de l'Open Vld.

  • Benoît XVI : un pape amoureux de musique sacrée

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    D'Augustin Talbourdel sur le site de l'Homme Nouveau :

    Benoit XVI, pour l'amour de la musique sacrée

    « En regardant le cours de ma vie, je rends grâce à Dieu d’avoir placé à mes côtés la musique comme une sorte de compagne de voyage, qui m’a toujours offert réconfort et joie », confiait Benoît XVI en 2007, au terme d’un concert offert pour ses 80 ans dans la salle Paul VI. Le plus mélomane des papes depuis saint Pie X a toujours accordé un intérêt particulier à la musique sacrée et au renouveau de la musique liturgique, à l’aune du concile Vatican II. Qui mieux que Benoît XVI, tout à la fois mélomane et musicien, prêtre et théologien, pouvait comprendre la nature de la musique sacrée ? Il en a notamment expliqué toute la portée dans son célèbre livre L'Esprit de la Liturgie, un texte nécessaire alors que la réforme liturgique a apporté dans son sillage une incompréhension, voire une négation, du rôle propre de la musique sacrée. Une synthèse éclairante de l'apport de Benoit XVI sur le sujet. 

    Depuis sa jeunesse en Allemagne jusqu’à ses dernières années à Rome, le pape Benoît XVI a été à la fois un grand amateur de musique et un bon musicien. Pianiste réputé et fin connaisseur de la musique sacrée et profane, de Palestrina à Arvo Pärt, il aime raconter sa première rencontre avec la musique, lorsqu’en 1941 il s’est rendu au Festival de Salzbourg, avec son frère Georg, pour écouter la Messe en ut mineur de Mozart. Depuis, sa passion pour la musique classique, et notamment pour le compositeur autrichien, n’a jamais faibli. Si son frère a consacré toute sa carrière à la musique, devenant le Kapellmeister de la cathédrale de Ratisbonne, prestigieux berceau du renouveau grégorien au siècle précédent, Joseph Ratzinger a, quant à lui, œuvré pour sauver la musique de la double crise, esthétique et liturgique, qui la menaçait depuis Vatican II. Évêque de Rome, il a redonné ses lettres de noblesse au patrimoine musical de l’Église tout au long de son pontificat ; théologien, il s’est efforcé de repenser musiques sacrée et liturgique à la lumière des Écritures et de l’histoire de l’Église.

    Malgré l’invitation de saint Pie X et de ses successeurs à privilégier le grégorien et la polyphonie classique et l’insistance des pères conciliaires quant à la promotion du « trésor de la musique sacrée », la musique liturgique a connu une réforme radicale au lendemain du concile. Déplorant l’opposition systématique entre une musique créative, festive et porteuse de la communauté et un « répertoire ancien mythifié », symbole d’une « contre-culture catholique », le pape émérite invite à repenser le rapport entre musique et liturgie.

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  • Un séminaire diocésain ressuscité par Mgr Marc Aillet , évêque de Bayonne: modèle à suivre ?

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    Après la crise post-conciliaire, le séminaire devenu trop grand ferme ses portes en 1973 et il est vendu à la municipalité qui en fait un conservatoire de musique, de théâtre et de danse. Les séminaristes s'installent dans d'autres locaux. Ce séminaire forme les futurs prêtres du diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron, ainsi que ceux du diocèse de Dax. Mgr Molères décide de le fermer en 2005, les vocations n'étant pas assez soutenues. L'ancien séminaire de Mgr Gieure abrite aujourd'hui la Cité des Arts de la ville de Bayonne et l'ancienne chapelle aux vitraux remarquables de Mauméjean est devenue l'auditorium Daniel-Dechico.

    séminaire Bayonnne larchitecte-daniel.jpgMgr Aillet, évêque de Bayonne depuis 2008, réagit en ouvrant en 2009 une classe de propédeutique et en septembre 2010 cinq étudiants entrent dans des locaux provisoires, puis il lance en 2011 le projet de l'Espace Cestac installé dans l'ancien couvent des capucins, au 50 avenue de la Légion tchèque. Cet espace réunit la bibliothèque diocésaine avec salles de conférences, riche d'un fonds ancien exceptionnel de 45.000 livres et 6.000 documents, et le séminaire proprement dit. Il y a déjà une vingtaine d'étudiants dès 2013-14. Les travaux débutent en septembre 2015. Les nouveaux locaux rénovés sont bénis par lui le 1er octobre 2016 en présence du maire de la ville, M. Jean-René Etchegaray et de diverses personnalités. Le séminaire est placé sous les vocables des Saints Cœurs de Jésus et de Marie.

    Le cursus au séminaire de Bayonne s'étend aujourd'hui sur six annéesː deux ans de formation philosophique, deux ans de stage pratique suivis de deux ans de formation théologique.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9minaire_de_Bayonne

    JPSC

  • À voir ou à revoir : un monastère de religieuses orthodoxes de Bucovine

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    A voir sur ARTE

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    43 min
    Disponible du 23/01/2021 au 28/02/2021
    (Prochaine diffusion le mercredi 10 février à 07:05)

    À l’extrême nord de la Roumanie, non loin de l’Ukraine et de la Moldavie, se trouve le monastère de Sucevita, l'un des plus beaux sites de la région de Bucovine, coeur historique de la Moldavie adossé aux Carpates. C'est le seul monastère dont les murs intérieurs et extérieurs sont intégralement décorés de fresques et de peintures.

    En hiver, lorsque les épaisses forêts qui l’entourent se couvrent de neige, les nonnes y mènent une vie calme et retirée. Mais au retour du printemps, le monastère et le village s’éveillent et fêtent la résurrection du Christ.

    Réalisation :  Vincent Froehly

    Pays : Allemagne

    Année : 2018

  • Reconversion d'une église à Anderlecht : cirque et hip-hop au programme

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    Lu sur La Dernière Heure (2 février, p. 17) :

    Anderlecht: Du cirque et du hip-hop dans l’église Saint-François-Xavier

    L’église Saint-François-Xavier, située rue Eloy à Anderlecht, désaffectée depuis plusieurs années, va être rachetée par la commune et sera transformée en infrastructure de proximité, à vocation culturelle et sportive, a annoncé l’administration anderlechtoise hier lundi. Cirque, bibliothèque, hip-hop ou encore graffiti, l’endroit sera dédié à la création et aux rencontres. “Le bâtiment souffre de détériorations importantes, pour lesquelles le budget d’entretien de la fabrique d’église est insuffisant. Ainsi, en concertation avec les autorités ecclésiastiques, la commune d’Anderlecht rachète l’église pour un euro symbolique et va rénover le bâtiment” , a déclaré l’administration communale, précisant que le projet sera financé en grande partie par des subsides obtenus dans le cadre des Monuments et Sites, car l’édifice est classé.

  • Le drame liturgique dans l'Eglise (jeux de la Résurrection et de la Nativité) (feuillet pour le temps du confinement)

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    2021_02_02_08_59_09_Greenshot.png

  • Liège : enregistrée et diffusée depuis l’église du Saint-Sacrement en direct ce matin du dimanche 31 janvier 2021 à 10h, la messe traditionnelle (missel de 1962) du dimanche de la Septuagésime:

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    Célébrant : Abbé M.-A Dor, Recteur

    Chants grégoriens : propre de la messe « Circumdederunt me »; Kyriale de la messe XI  « Orbis factor » (XIVe s.); Credo I (XIe s.);

    Orgue : Patrick Wilwerth

    Pour suivre la messe, cliquez ici :

    https://www.youtube.com/watch?v=2aY7fg8Ng1g

     

    Circumdederunt.jpgVoici venu le temps de la Septuagésime : septante jours nous séparent de Pâques. Ce temps évoque les septante ans d’exil du peuple fidèle à Babylone. Désormais la liturgie nous oriente vers Pâques, temps du retour en grâce. Le monde chargé de sa misère et de son péché attend que Dieu le sauve par la mort et la résurrection du Christ.

    Depuis Noël et l’Epiphanie, nous connaissons notre Sauveur et notre Roi. La joie fut profonde de « voir les cieux ouverts » et d’accueillir « le Seigneur notre Dieu venu en personne » pour instaurer le royaume de justice et de paix.

    Dieu s’est uni à nous par l’Incarnation et pourtant, aujourd’hui, notre misère reste. C’est seulement la première page qui est inscrite dans l’histoire de la Rédemption. Il nous appartient maintenant d’accepter notre Sauveur et de nous unir à Lui pour qu’il puisse nous sortir de cette misère et nous mener à Dieu. 

    « Circumdederunt me gemitus mortis » : le chant d’entrée de cette messe exprime le cri d’angoisse de l’homme condamné à mourir depuis la faute des origines : du fond de ma détresse, Seigneur, j’ai crié vers toi, mon rocher, ma forteresse et mon libérateur.

    Comme en écho, la lecture de la première épître de saint Paul aux Corinthiens nous invite à croire que Dieu donne sa grâce, comme il aidait les Hébreux dans le désert.

    Mais cette grâce et la perspective de la victoire ne nous dispensent pas de la lutte : comme nous le rappelle la lecture d’un extrait de l’évangile selon saint Matthieu, engagées les dernières pour travailler à la vigne du Seigneur, les nations païennes sont appelées à partager les privilèges du peuple élu, mais personne n’a de droit à faire valoir devant le Maître de la Vigne. Dans l’édification du Royaume des Cieux, tous nos mérites ne sont que des dons de Dieu: la récompense promise par le maître dépasse infiniment celle que mériterait notre travail.

    Et c’est pourquoi le chant de communion de la messe conclut: « Que la lumière de ta face, Seigneur, brille sur ton serviteur. Dans ton amour, sauve-moi. Je ne serai pas déçu, car j’ai crié vers Toi ».

    Pour regarder toutes les vidéos de messes ou autres événements organisés à l’église du Saint-Sacrement, cliquez sur ce lien:

    https://youtube.com/channel/UCEUYps3ebyPUPP2BnnEO6iw

    JPSC 

  • Deux versions de l'Office de Daniel (aux origines de la crèche (6) (feuillet pour le temps du confinement)

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