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Patrimoine religieux - Page 191

  • Ne désacralisons pas nos églises !

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    Les amis de l’église Sainte-Catherine à Bruxelles ne désarment pas :

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    « Chers amis,

     Pour vous remercier de votre soutien et engagement à nos côtés

    Pour la joie de mieux se connaître et de « fraterniser »

    Pour faire le point de la situation actuelle et discerner quid pour la suite,

    Pour vous partager un nouveau grand projet

    … et surtout, pour rendre grâce à Dieu et tout remettre en Lui,

    Nous vous invitons à une 

    rencontre fraternelle 

    dimanche 25 mai 

    Lieu :

    Maison Saint-Nicolas*

    Place Saint-Nicolas, 28

    1120 Bruxelles 

    Horaire :

    12 h : Célébration Eucharistique

    13 h : Buffet convivial (mise en commun de nos préparations diverses**)

    14h : Partage communautaire

    16h (Pour ceux qui le veulent/peuvent) Chapelet mensuel pour la Belgique, à la crypte royale de ND de Laeken (5 minutes en voiture ; 10 min en vélo) avec l’équipe porteuse de ce projet 

    A la joie de vous y retrouver tous ! 

    Pour les Amis de Sainte-Catherine et Amis des églises 

    Véronique et Pierre Hargot 

    PS : Réponse vivement souhaitée

    * : la Maison Saint-Nicolas est la maison communautaire de la Fraternité de quartier que nous avons fondé il y a 25 ans. Cfr www.fraternitesaintnicolas.be

    La messe y est célébrée plusieurs fois par semaine à défaut de pouvoir la célébrer dans l’église désacralisée qui lui fait face… Merci pour votre indulgence devant la pauvreté des lieux…

    ** : des plats en suffisance seront préparés pour ceux qui n’auront pas le temps de les préparer.

    Dans ce cas, signalez le nous si possible.


     Tel : +32 2 268 74 93

    GSM : +32 478 31 33 45

  • Procession de la Fête-Dieu dans le diocèse de Namur: Waltzing (Arlon)

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    JPSC

  • Non à la désacralisation de l'église Sainte-Catherine de Bruxelles !

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    NON A LA DESACRALISATION DE L'EGLISE SAINTE-CATHERINE DE BRUXELLES

    URL Courte : https://10578.lapetition.be/

    Catégorie : Droits de l'Homme

    SIGNATURE DE LA PETITION CI-DESSOUS
    ATTENTION : NE PAS OUBLIER DE VALIDER VOTRE SIGNATURE PAR L'EMAIL QUI VOUS EST ENVOYE - MERCI POUR VOTRE SOUTIEN !

    Vous le savez (ou non), la désacralisation de l’église Sainte Catherine et cession à la Ville de Bruxelles est imminente.

    Les arguments invoqués (pour cette église comme pour d’autres, déjà dans le collimateur) sont connus : ces édifices sont désaffectés, devenus inutiles et coûtent trop chers à la collectivité. Plus concrètement : la Ville de Bruxelles aimerait transformer cet édifice, situé à un endroit stratégique en terme commercial, en… hall de fruits et légumes…(PS : ce que les riverains ne veulent pas)

    Resterons-nous muets et passifs devant une telle aberration ? 
    Abandonnerons–nous notre plus grande église du centre,
    à côté du métro, 
    au cœur d’un quartier jeune et branché, commercial, professionnel et touristique 
    au cœur du Marché de Noël (Plaisirs d’Hiver) qui draine 2.500.000 visiteurs!

    Désaffectée, dites-vous ? Pourtant, cette église y accueille quotidiennement une communauté catholique dynamique (env 100 fidèles le dimanche) ainsi qu’une communauté orthodoxe roumaine tout aussi fervente et plus fournie encore (environ 250 fidèles le dimanche, 1500 aux grandes fêtes), dans une harmonieuse cohabitation œcuménique. Cela, sans compter les autres célébrations liturgiques de chaque communauté (baptêmes, mariages, funérailles, etc…). En outre, des centaines de touristes, mais encore des priants catholiques et orthodoxes s’y succèdent tout au long du jour. 

    Inutiles ? Qui pourra mesurer l’impact sur le plan humain et social de telles « aires » d’accueil, repos, consolation, pacification, méditation, ressourcement, rencontres conviviales, « cohésion sociale »…, ouvertes en permanence et à tout public ? Y aurait-il pléthore d’espaces qui offrent un tel service public et gratuit ? 

    Trop chères ? Etant donné leur classement, restaurer ces églises pour qu’elles gardent leur vocation spirituelle et culturelle coûtera bien moins cher à la collectivité que de les « manipuler » pour convertir en centres commerciaux ou autres (ce qui imposera des contraintes considérables en terme de transformation et restauration). 

    En tant que citoyens, nous demandons à la Ville de cesser ses pressions en vue de l’obtention de ce patrimoine religieux

    en tant que chrétiens, nous demandons à nos évêques de prendre le temps d’associer les chrétiens « de la base » à une réflexion approfondie sur l’avenir de nos églises 

    Ensemble, frères et sœurs chrétiens, mobilisons-nous pour « vivre » davantage dans nos églises et les faire vivre davantage (concerts, conférences et expositions dans une optique évangélique, café-théologiques, boutiques de produits monastiques, coin lecture, accueil écoute,…).

    Pour les news consulter notre blog : http://www.eglisesaintecatherinebruxelles.be

    email : eglisesaintecatherinebruxelles@gmail.com

  • Abbaye de Fontgombault : Rayonner la joie

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    Le directeur du mensuel « La Nef »  a interviewé le Père Abbé de Fontgombault. Quelques extraits de l’article paru dans le n° 259 du mois de mai 2014 :

    Pateau.jpg« Fondée au XIe siècle, Fontgombault a retrouvé la vie bénédictine en 1948 en étant une fondation de Solesmes. Abbaye rayonnante ayant déjà fondé quatre monastères érigés depuis en abbaye, elle a repris récemment l’abbaye de  Wisques. Rencontre avec le TRP Dom Jean Pateau (photo), élu Père Abbé en 2011.(…)

    L’abbaye de Fontgombault est la plus ancienne des fondations de Solesmes à avoir choisi de maintenir la forme extraordinaire du rite romain : pourquoi ce choix ?
    La forme extraordinaire a été préférée et le demeure parce qu’elle nous semble particulièrement adaptée à la vie monastique. Soulignons deux points déterminants. Le caractère plus contemplatif de la célébration promeut la dimension verticale de la liturgie. Les moments de silence de l’offertoire et du canon propices à l’intériorité rentrent dans ce cadre. Bien que cela ne soit pas propre à cette forme, il faut ajouter sur ce point le fait de ne pas user habituellement de la concélébration et de dire la Messe « tournée vers Dieu ». En second lieu, ce qui pourrait paraître paradoxal, je relève la participation du corps, sollicité par tant de gestes : génuflexions, inclinations, signes de Croix. À partir de la consécration, ces gestes, accomplis sur les espèces du pain et du vin, ramènent l’attention du prêtre au Christ réellement présent sur l’autel. Dans la tradition monastique, le corps est associé largement à la prière. La vie du moine est une liturgie. À condition de donner à chacun des gestes précisés par le Ritus servandus son poids de sens spirituel, son orientation à Dieu, le corps dans la forme extraordinaire s’associe de manière particulièrement intense à l’esprit et à l’âme en incarnant la parole, en manifestant l’humilité de celui qui célèbre face au mystère du Dieu présent.

    Avec le recul du temps, comment analysez-vous la situation liturgique actuelle, notamment la cohabitation de deux formes au sein du même rite latin depuis Summorum Pontificum ?

    Deux expressions viennent à l’esprit : action de grâces et espérance. Action de grâces parce que cette initiative de Benoît XVI a incontestablement contribué à pacifier la question liturgique. Quel succès pour le démon d’avoir mis la discorde précisément dans la célébration du sacrement de l’amour ! Aujourd’hui, les deux formes sont respectées et, dans des paroisses toujours plus nombreuses, se côtoient. Et pour l’avenir ? Beaucoup de jeunes prêtres attachés au lectionnaire de la forme ordinaire, qu’ils pratiquent habituellement, désirent une liturgie plus riche au plan des rites, associant davantage le corps à la célébration. Ne serait-il pas possible de proposer dans la forme ordinaire les prières de l’offertoire, de l’enrichir des génuflexions, des inclinations, des signes de croix de la forme extraordinaire ? Un rapprochement s’opérerait à peu de frais entre les deux formes répondant à un désir légitime et, par ailleurs, souhaité par Benoît XVI (…)

    Vous avez envoyé des moines pour aider l’abbaye de Wisques en manque de vocations (où les moines célèbrent la forme ordinaire) : quel est précisément l’accord passé (notamment en matière liturgique) ?

    Il n’y a pas eu d’« accord passé ». La condition de la reprise de Saint-Paul de Wisques était que l’observance de Fontgombault y soit instaurée. Cela paraissait si évident pour tout le monde que les choses se sont passées vraiment fraternellement. Par ailleurs, nous désirions faire tout afin de favoriser aux moines de Wisques la stabilité dans le monastère. Le modus vivendi actuel satisfait l’ensemble de la communauté. Alors que les moines nouvellement arrivés célèbrent aux divers autels de l’abbaye les messes matinales en forme extraordinaire, les anciens concélèbrent en forme ordinaire. La messe conventuelle est dite, sauf exception, en forme extraordinaire. Étant à Wisques pour la fête de Notre-Dame de Lourdes, journée des malades, j’ai présidé la concélébration de nos anciens dont certains portent le poids des ans et ont persévéré malgré les épreuves communautaires et personnelles. L’objectif de la reprise de Wisques était double : donner au monastère de survivre en conservant l’unité de la famille monastique de Saint-Paul. Je me réjouis que cet objectif soit atteint pour ce qui est de l’unité de la famille. L’arrivée de vocations permettra d’envisager sereinement l’avenir. Nos sœurs moniales de Notre-Dame usant de la forme ordinaire, les pères de Saint-Paul y célèbrent en cette forme.


    L’abbaye de Fontgombault a essaimé à plusieurs reprises : qu’est-ce qui explique ces vocations nombreuses alors que d’autres abbayes ou congrégations religieuses sont en crise ?

    Le psalmiste dit que « si le Seigneur ne bâtit la maison, c’est en vain que travaillent les ouvriers » (Ps 127). De nombreux jeunes passent à Fontgombault pour découvrir la vie bénédictine. Tous ne persévèrent pas. Dieu dirige les cœurs selon les plans de sa Providence et afin de se donner les moyens de les réaliser. La devise choisie pour le monastère par le Père abbé Dom Édouard Roux au moment de la refondation est Fons Amoris, Fontaine d’Amour. Je crois que cette fontaine coule vraiment à Fontgombault et qu’il fait bon venir s’y abreuver. Pour ceux qui ont la grâce de vivre en ce lieu, il reste à prendre acte de ce fait et à discerner ce que le Seigneur attend d’eux afin que fructifient ses dons et que coule cette fontaine en d’autres lieux. (…)

    Un moine n’est  pas totalement « coupé » des réalités du monde : quelles vous semblent être les principales menaces actuelles et aussi les grandes espérances de notre temps ?

    La plus grande menace me semble être le refus de Dieu et son corollaire, le refus de la vie. La vie n’est plus respectée. Le pape François stigmatise cela en deux mots : « culture du déchet ». On prend, on consomme, on jette. Se débarrasser de celui ou de ce qui est de trop permet à bas prix de régler les problèmes ! La méthode, protégée par la loi, s’applique à tout : famille, enfant, amour, personnes âgées, handicapés, nature… Au risque d’être marginalisé, le chrétien doit promouvoir la culture de la vie, la culture du respect. Patrice de Plunkett disait : « Cherchant sourdement le sens de leur existence, les Européens du XXIe siècle tourneront le regard vers leurs frères croyants : mais seulement dans la mesure où ceux-ci leur paraîtront vivre une vie pleine de richesses partageables, une existence irriguée par un flux de sens, d’espérance, d’amour, alors que le reste de la société se desséchera dans le nihilisme. » C’est ce que nous vivons aujourd’hui. Le pape François nous lance un défi : rayonner de la joie de l’Évangile. L’urgence de proposer les valeurs sûres de l’Évangile à la société est devenue une évidence pour des chrétiens qualifiés, il y a peu encore, de tièdes. Le monde cherche des témoins. Un sondage récent donnait une cote de confiance de 18 % aux médias alors que celle de l’Église était d’environ 50 %. Un Français sur deux fait donc confiance au message de l’Église même s’il ne le met pas en pratique… Trouvera-t-il sur sa route un témoin crédible pour le convaincre de faire le pas de la cohérence totale de la vie ? La grande espérance de notre temps, de tous les temps, tient dans les mots de saint Augustin au seuil des Confessions : « Vous nous avez faits pour vous, Seigneur, et notre cœur est sans repos tant qu’il ne se repose pas en vous. » La grande espérance, c’est que tout homme, fut-il le plus opiniâtre des athées, porte en son cœur, qu’il le veuille ou non, le désir d’un lieu de repos. Ce lieu, il ne pourra le trouver qu’en Dieu.

     Propos recueillis par 
    Christophe Geffroy  .

    Ref. Abbaye de Fontgombault : Rayonner la joie . Abbaye Notre-Dame, 36220 Fontgombault. Tél. : +33. 22 54 37 12 03. Courriel : abbaye-fgt@orange.fr

    JPSC

  • A Saint-Hubert, du 10 mai au 9 novembre : exposition "De chasubles en dalmatiques: esthétique et symboles"

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    event37450.jpgExposition : "De chasubles en dalmatiques: esthétique et symboles ..."

    Description
    Exposition en accès libre tous les jours de 9h à 18h. Accès libre tous les jours. Visite guidée conseillée afin d'avoir accès à la crypte et à la sacristie: sur réservation, 1,5€ par personne. 061/612388 accueil@basiliquesainthubert.be Demandez le Catalogue de l'exposition.
    Le vêtement liturgique est d'origine lointaine et témoigne de nombreux symboles. En partant de quelques exemplaires précieusement conservés dans notre sacristie, nous allons vous emmener dans les domaines de la croyance, de la ferveur et du langage artistique. Chacun pourra y découvrir ce qui résonnera en lui: des couleurs aux formes, des évocations aux réalités. Tout comme les vitraux, les chasubles, capes et étoles servaient de livres ouverts. Et pas seulement aux enfants de chœoeur! 

    Renseignement
    Lieu:
    Basilique
    6870 Saint-Hubert

    Contact:
    Les Hubertins asbl
    Tel: 061/61.23.88
    E-mail: accueil.basilique.saint-hubert@skynet.be
    Site Web: www.basiliquesainthubert.be

  • Les catholiques : quelle influence ?

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    Lu sur le site « Liberté Politique » :

    « Le sondeur Jérome Fourquet et le démographe Hervé Le Bras se sont associés pour réaliser une étude sur le vote et la géographie des catholiques en France. Ils se sont particulièrement intéressés aux cinquante dernières années. Si la pratique a diminué, la religion garde un rôle non négligeable dans le vote.

    Des changements sociologiques de grande importance ont eu lieu depuis Vatican II. En effet, la période de l'après-concile a été marquée par le déclin spectaculaire du catholicisme. La fréquentation de la messe est moindre, le nombre de baptisés baisse, etc. L'influence du catholicisme est donc en chute notable.

    Le « messalisant », une espèce en voie de rétrécissement

    Les auteurs définissent les catholiques pratiquant comme « une partie de la population disposant d’un système de valeurs spécifiques, et qui prend toujours en considération les messages et les valeurs de l’Église. D’un point de vue sociologique, le profil des catholiques pratiquants présente plusieurs particularités : ce sont majoritairement des femmes et des personnes dont la catégorie socio-professionnelle se situe dans les plus aisées, avec une forte représentation de retraités et d’agriculteurs ».

    Le messalisant, lui, se rend tous les dimanches ou plus à la messe, le pratiquant s'y rendant lui « régulièrement ». Sans surprise, le messalisant et le pratiquant constituent les deux « catégories » de catholiques les plus « sensibles » (sic) à l’enseignement de l'Église.

    L'influence indirecte du catholicisme

    Le catholicisme, s'il a perdu son influence directe (seuls 6% des Français se rendent à la messe au moins le dimanche) a gardé une influence indirecte, une empreinte culturelle sur la vie politique.

    Si les facteurs sociaux-économiques prennent le dessus sur l’impact religieux, les auteurs expliquent cependant que l’effacement de la religion ne doit pas être confondu avec celui de la tradition catholique qui demeure efficiente. Ainsi, « bien que la pratique décline, les populations des régions de tradition catholique continuent à se comporter de manière différente de celles des régions déchristianisées de longue date. […] La tradition catholique demeure donc un acteur central du jeu politique et social ».

    Les racines chrétiennes de la France sont donc bien vivantes, mais disent plus que ce que constatent sondeurs et démographes, dont l’analyse est platement statistique : « Ce sont les minorités créatrices qui bâtissent l’avenir » disait Benoît XVI. Or c’est ce qui manque le plus à cette riche étude sur la population catholique : une appréciation fine du potentiel d’influence intellectuelle et culturelle que pourrait indiquer la typologie des messalisants.  

     François de Lens

    Sources : La CroixLe PointFondation Jean Jaurès."

    Réf. Les catholiques, une influence géographique

     L’Europe ou l’Amérique ne sont pas l’Asie, ni l’Afrique

    A côté de l’ « anima vagula blandula » qui s’estompe toujours plus dans la culture des pays où le catholicisme a perdu la partie après le concile Vatican II et les rêves actuels d’immersion dans les « périphéries », il faut d’abord se demander s’il existe encore, pour ces pays en tout cas, un centre capable de rayonner au-delà des chapelles qui se partagent aujourd’hui les minorités de messalisants. Un beau thème de débat sur les racines et spiritualités chrétiennes au XXIe siècle…

    JPSC

  • Procession à Horion-Hozémont (sur les hauteurs de Liège)

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    Paroisse Saint-Sauveur

    Horion-Hozémont 

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    Procession

    en l’honneur de l’Enfant-Jésus de Prague

    **********

    Dimanche 18 mai 2014

    ¨ 9h30 : Messe

    ¨ 10h30 : Procession

    ¨ 11h45 : Salut à l’église

      L’église Saint-Sauveur se situe place du Doyenné à Horion-Hozémont

    à 20 kilomètres de Liège en direction de Namur.

     

    A partir de Bruxelles :

    Autoroute E40, sortie 30

    Suivre « Fexhe », puis « Horion-Hozémont ».

    A partir de Namur et Liège :

    Autoroute E42, sortie 4

    L’église est à 5 minutes de l’autoroute.

     

    Possibilité de manger à la salle paroissiale :

    - Petite restauration

    - Pique-nique

    Renseignements :

    ( 0032 (0)4/250.10.64

    paroisse-saint-sauveur@hotmail.com

    http://jesusdeprague.blogspot.be

     JPSC

  • Malmedy: messe dominicale en latin (1er dimanche du mois)

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    MALMEDY

     

    PROCHAINE MESSE TRADITIONNELLE

    Selon le missel de 1962

    chants grégoriens et polyphoniques

    DIMANCHE DU BON PASTEUR

    2e dimanche après Pâques

    4 MAI 2014 A 18 HEURES

    EGLISE DES CAPUCINS

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    Ruelle des Capucins à 4960 Malmedy

    Célébrant : abbé Claude Germeau, directeur du Foyer des Jeunes à Herstal et prêtre  auxiliaire à l’église du Saint Sacrement à Liège 

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    Propre grégorien de la messe  "Misericordia Domini", Kyriale "Lux et Origo" de Pâques, Motets "Laudate Dominum" à deux voix d’ Henry Du Mont (XVIIe s.) et « Isti sunt agni novelli » chanté en canon. Cantiques « au festin royal de l’agneau (ad regias agni dapes)  » et « Erschalle laut,Triumphgesang). Antienne finale:   « Regina Caeli, laetare, alleluia » (grégorien)

    infos : L. Aussems  tél. 080.33.74.85

    JPSC  

  • Et Dieu, dans tout cela ?

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    De Céline Bouckaert dans le « Le Vif/L’Express »  de ce 30 avril :

    "Le repos dominical date du siècle passé" a déclaré le bourgmestre d’Anvers Bart De Wever à une centaine de manifestants venus exprimer leur mécontentement suite à la suppression du repos dominical :

    Bart De Wever © Belga

    La ville d’Anvers a reçu l’autorisation ministérielle de faire reconnaître le centre historique comme zone touristique. Grâce à cette reconnaissance, les commerces de cette zone pourront ouvrir leurs portes tous les jours de la semaine, y compris le dimanche. Selon les partisans de la mesure, les indépendants verront leurs bénéfices augmenter et les touristes auront l’occasion de faire du shopping le dimanche.

    Une grande partie du personnel des commerces anversois s’oppose à la suppression du repos dominical. Ils n’ont aucune envie de sacrifier un jour de week-end traditionnellement consacré à la famille et aux amis.

    Interrogé par le quotidien De Morgen, le sociologue Ignace Glorieux souligne également l’importance du repos dominical. "C’est une pause obligatoire dans la semaine. Les magasins sont fermés, la circulation diminue fortement et tout semble se ralentir. (…) Paradoxalement, les limitations imposées par le dimanche nous procurent davantage de liberté. Sans repos dominical, nous serions encore plus stressés". 

    Réf. Bart De Wever : "Le repos dominical date du siècle passé". Et l’historien Bart De Wever du précédent ? JPSC

  • François Hollande : des vœux sélectifs ?

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    PHOd1c20024-ca29-11e3-aba3-226d678fc316-805x453.jpgSe retranchant derrière la laïcité, François Hollande n'a pas souhaité une bonne fête de Pâques aux catholiques français. On se souvient pourtant qu'il avait adressé ses vœux aux musulmans de France pour la fête de l'Aïd. Deux poids, deux mesures ? De Gérard Leclerc  sur « Figarovox » :

    François Hollande n'a pas souhaité une bonne fête de Pâques aux catholiques français. Rien d'étonnant à première vue, car la France est un pays laïque. Néanmoins, on se souvient qu'il avait adressé ses «vœux de bonheur, de santé et de réussite aux musulmans de France» pour la fête de l'Aïd qui clôture le ramadan. Que vous inspire ce deux poids, deux mesures?

     Gérard Leclerc: Le salut aux musulmans de François Hollande est de nature opportuniste et politique. C'est une clientèle électorale essentielle au Parti socialiste, qui est en train de lui échapper à cause des réformes sociétales, et qu'il s'agit de bien soigner.

    François Hollande s'est éloigné du catholicisme, pourtant prégnant dans sa famille, et retranché dans un agnosticisme fermé à l'égard de toute inquiétude religieuse.

    Cela témoigne-t-il d'une hostilité particulière que vouerait le président aux catholiques suite à l'affaire du mariage pour tous, ou plus généralement une indifférence de la classe politique française à l'égard des catholiques?

    Je pense qu'il s'agit d'un problème propre à François Hollande, mais qui rejoint également une tradition et une culture française. Comme l'a souligné Samuel Pruvot dans son livre François, Hollande, Dieu et la République (Salvator, 2013), François Hollande s'est éloigné du catholicisme, pourtant prégnant dans sa famille, et retranché dans un agnosticisme fermé à l'égard de toute inquiétude religieuse.

    Il rejoint ainsi une tradition française positiviste née avec les Lumières qui ont eu en France une tonalité bien particulière par rapport à d'autres pays européens, celle d'une philosophie antichrétienne et anticatholique qui a débouché sur la déchristianisation entreprise par laRévolution française. De là provient l'ambiguïté fondamentale de la notion de laïcité dont on ne sait pas si elle traduit une neutralité du pouvoir ou la promotion délibérée d'un athéisme d'État.

    Le premier à avoir manifesté son hostilité à la mention des «racines chrétiennes de l'Europe», c'est Jacques Chirac, dans la lignée du radical-socialisme plutôt que dans celle du gaullisme

    De l'autre coté de la Manche, David Cameron s'est fait tacler par des intellectuels pour avoir parlé de l'Angleterre comme d'un «pays chrétien». Selon vous, David Cameron a-t-il raison d'assumer le caractère chrétien de son pays?

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  • La fête de Pâques a-t-elle encore un sens religieux ?

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    343px-Mgr_Nicolas_brouwet.jpgPour Figarovox,Vincent Tremolet de Villers a interrogé Mgr Nicolas Brouwet, évêque de Tarbes et de Lourdes. Extraits :

    (...) Pâques: pourquoi cette fête est importante pour les catholiques?

    La fête de Pâques est, avec Noël, la plus grande fête de l'année. Nous célébrons la Résurrection du Christ. Toute la foi chrétienne tourne autour de ces deux évènements: Dieu qui se fait homme dans le mystère de Noël ; le Christ ressuscité des morts dans le mystère de Pâques. Si Dieu s'est fait l'un de nous, c'est pour ouvrir, dans la tragédie de la mort, un chemin de résurrection pour tous les hommes. Voilà le cœur de la foi chrétienne. «Si le Christ n'est pas ressuscité, écrit Saint Paul, vide alors est notre message, vide aussi notre foi» (…).

    Est-ce que l'idée d'une résurrection et d'un au-delà n'a pas disparu avec les plaisirs et les possibilités infinies que peuvent donner la consommation dans les sociétés prospères?

    (…) Les possibilités de la technique peuvent entretenir l'homme dans l'illusion de sa toute-puissance. L'accroissement du confort peut l'amener à penser qu'il se suffit à lui-même. Mais lorsqu'il fait l'expérience de l'épreuve et de l'échec - et en particulier de l'échec absolu qu'est la mort - il est totalement démuni et ne sait plus faire face. Il faut qu'il apprenne alors à affronter la réalité de sa finitude, de sa fragilité et de sa dépendance. En proclamant la Résurrection, nous annonçons que dans les impasses, les déconvenues, les angoisses de l'existence, le Christ nous appelle à la vie ; qu'au moment où tout semble s'effondrer, nous avons encore un avenir. Et que cet avenir dépasse infiniment la mesure et les limites de la vie terrestre: notre avenir est en Dieu.

    Est-ce normal selon vous que l'on continue dans un pays laïc à donner tant d'importance aux fêtes chrétiennes?

    (…) Les fêtes religieuses nous prémunissent contre la tentation de tout réduire à des perspectives terrestres et de tout espérer de l'organisation politique. La liberté religieuse est le garant ultime des libertés individuelles: l'Etat ne pourra jamais contrôler la relation personnelle qu'un croyant entretient avec Dieu. Les fêtes religieuses doivent être maintenues pour cette raison: parce qu'en les conservant, le pouvoir politique reconnaît que ce qui touche à la foi dépasse sa compétence et que la liberté doit être laissée aux croyants de célébrer ensemble - et selon les modalités qu'ils choisissent- la foi qui les anime.

    Les Evêques ont eu à Lourdes des échanges vifs sur les rapports entre l'Eglise et le monde contemporain. Comment l'Eglise doit-elle parler au monde?

    (…) Le problème est de savoir si nous avons encore la culture de cette recherche longue, patiente exigeante du bien, du vrai, du juste. Un lent travail de la raison est nécessaire, là où on préfère, par économie intellectuelle, l'émotion et les slogans.

    Les chrétiens sont parfois moqués comme anachroniques, ils provoquent souvent l'indifférence. Sont-ils condamnés à vivre à contre- courant et à perdre les combats temporels?

    Les chrétiens n'ont pas la mission de gagner des combats. Ils veulent seulement témoigner de l'amour de Dieu pour tout homme, un amour sans condition qui les appelle à la vie. C'est cet amour, et lui seul, qui sauve le monde. Il ne s'impose pas par la force du droit ou par des jeux politiques. Il est accueilli dans le cœur des croyants comme un feu qui embrase tout leur être et qui illumine leur conscience, leurs décisions, leurs projets. L'Evangile se répand de cette manière ; sans bruit, sans violence, sans stratégie. C'est, comme vous le dites, un peu à contre-courant…

    A Lourdes vous côtoyez sans cesse des malades, des handicapés. Considérez-vous que la société les aide et les protège suffisamment?

    (…) La dépendance et la fragilité ne sont pas des défaites pour la personne humaine. Parce que sa dignité ne lui est pas donnée par son autosuffisance, par son pouvoir ou par sa bonne santé. Elle vient de plus haut ; elle vient de Dieu. Elle vient de ce qu'elle est aimée inconditionnellement. Et de ce qu'elle est capable d'aimer inconditionnellement. Notre société fait beaucoup pour les personnes fragiles. Mais elle gagnerait à cultiver ce regard d'absolue bienveillance. Pour ne pas être tentée d'écarter les plus faibles en succombant à une logique de coût, de rentabilité et de confort. Toute personne mérite de vivre. C'est notre appel, notre vocation. Nous sommes faits pour la vie!

    Réf. La fête de Pâques a-t-elle encore un sens religieux ?

    JPSC 

  • Vendredi-Saint à Liège

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    Dans les rues de Liège, le chemin de Croix public du Vendredi saint, présidé par le nouvel évêque, Mgr Jean-Pierre Delville, s’est déroulé cette année dans un silence priant, seulement rythmé par les tambours et de courtes antiennes (misericordias Domini, Ubi caritas etc.) reprises par les fidèles. Partie de l’église Saint-Pholien à 18h, la  foule s’est massée à chaque grande station (Perron liégeois, Opéra, Vierge de Delcour) pour la lecture d’un extrait de la Passion selon saint Jean, suivie d’un Notre Père et d’un Je vous salue Marie. Les marcheurs sont arrivés pour l’Office à l’église Saint-Jacques un peu après 19h00 . Pas mal de monde aussi dans les églises (au Boulevard d’Avroy à 15 heures, près de cent personnes étaient rassemblées dans l’église du Saint-Sacrement, pour y commémorer la mort du Christ) JPSC.