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BELGICATHO - Page 1400

  • François : le plus grand héritage que vous pourrez donner à vos enfants est la foi

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    Baptêmes dans la Chapelle Sixtine (Vatican Information Service)

    Cité du Vatican, 10 janvier 2016 (VIS). "Laissez-leur la foi en héritage", voici ce qu'a dit le Pape François aux parents, parrains et marraines des 26 nouveaux-nés (13 garçons et 13 filles) qu'il a baptisés dans la Chapelle Sixtine au cours de la messe célébrée en la solennité du baptême du Seigneur. Dans sa brève homélie, le Saint-Père a expliqué à l'assemblée que Marie et Joseph ont amené Jésus au Temple quarante jours après sa naissance pour le présenter à Dieu, comme aujourd'hui les parents ont amené leur enfant à recevoir le baptême, à recevoir la foi, qui a été demandée à la première question posée au début du rite. "Ainsi -a-t-il dit- la foi se transmet d'une génération à l'autre, comme une chaîne au fil du temps. Ces enfants, les années passant, prendront votre place avec un autre enfant, vos petits-enfants, et demanderont, de même, la foi, la foi que le baptême nous donne, la foi que l'Esprit Saint porte aujourd'hui dans le coeur, dans l'âme, dans la vie de vos enfants. Vous avez demandé la foi. Quand le cierge allumé vous sera remis, l'Eglise vous dira de protéger la foi de ces enfants. Et, à la fin, n'oubliez pas que le plus grand héritage que vous pourrez donner à vos enfants est la foi. Veillez à ce qu'elle ne soit pas perdue, à la faire grandir et à la laisser en héritage. C'est ce que je vous souhaite aujourd'hui, en ce jour joyeux pour vous. Je vous souhaite d'être capables de faire grandir ces enfants dans la foi, et que le plus grand héritage qu'ils recevront de vous soit vraiment la foi".

    Après la messe célébrée en la Chapelle Sixtine, le Saint-Père a récité l'angélus avec les fidèles réunis Place St.Pierre. Avant la prière mariale, il a demandé à toutes les personnes présentes de prier pour les 26 nouveaux-nés qu'il venait de baptiser, et ensuite évoqué l'Evangile du jour qui "nous présente Jésus, dans les eaux du Jourdain, au centre d'une merveilleuse révélation divine". Puis il a cité les paroles de Luc: Comme tout le peuple se faisait baptiser et qu'après avoir été baptisé lui aussi, Jésus priait, le ciel s'ouvrit. L'Esprit Saint, sous une apparence corporelle, comme une colombe, descendit sur Jésus, et il y eut une voix venant du ciel: Toi, tu es mon Fils bien-aimé. En toi, je trouve ma joie. Dans cet événement, attesté par les quatre Evangiles, nous passons du baptême de Jean-Baptiste, basé sur le symbole de l'eau, au baptême de Jésus, dans l'Esprit et le feu. En effet, l'Esprit Saint, dans le baptême chrétien, est l'auteur principal, celui qui brûle et détruit le péché originel, en restituant au baptisé la beauté de la grâce divine. Il est celui qui nous libère de la domination des ténèbres, c'est à dire du péché, et nous transfère dans le royaume de la lumière, c'est à dire de l'amour, de la vérité et de la paix: c'est cela le royaume de la lumière... L'Esprit, reçu pour la première fois le jour de notre baptême, nous ouvre le coeur à la vérité, à toute la vérité. L'Esprit pousse notre vie sur le sentier laborieux mais joyeux de la charité et de la solidarité envers nos frères. L'Esprit nous donne la tendresse du pardon divin et nous remplit de la force invincible de la miséricorde du Père. N'oublions pas que l'Esprit Saint est une présence vivante et vivifiante pour qui l'accueille, prie avec nous et nous remplit de joie spirituelle". Enfin, le Pape a invité l'assistance à remercier pour ce don reçu et à chercher la date de notre baptême parce qu'il est très important de la connaître pour la fêter. "C'est la date de notre renaissance comme fils de Dieu. C'est pourquoi, voici le devoir à faire à la maison pour cette semaine: chercher la date de mon baptême. Fêter ce jour significatif et réaffirmer notre adhésion à Jésus, avec l'engagement de vivre en chrétiens, membres de l'Eglise et d'une humanité nouvelle, où nous sommes tous frères". Il a conclu par une bénédiction spéciale à tous les enfants qui ont été récemment baptisés, mais aussi aux jeunes et aux adultes qui ont reçu, il y a peu, les sacrements de l'initiation chrétienne ou qui s'y préparent. Que la grâce de Dieu les accompagne toujours!".

  • Comment celle qui fut à l’origine de la reconnaissance de l’avortement comme "droit fondamental" aux États-Unis est devenue catholique et l’une des plus célèbres icônes du combat pour la vie

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    Lu sur aleteia.org :

    L’Américaine à l’origine de la légalisation de l’IVG dans tout le pays : « J’ai eu tort »

    Norma McCorvey qui fut, malgré elle, à l’origine de la reconnaissance de l’avortement comme "droit fondamental" aux États-Unis est devenue catholique et l’une des plus célèbres icônes du combat pour la vie.

    Norma McCorvey fut longtemps connue sous son seul nom d’emprunt. Elle est la « Jane Roe » de « Roe versus Wade », nom de l’arrêt rendu le 22 janvier 1973 par la Cour suprême des États-Unis. Cette décision a, en déclarant nulle la législation contre l’avortement en vigueur dans l’État du Texas, légalisé l’avortement. Depuis cet arrêt, l’avortement est reconnu comme un « droit » fondamental, induit par la Constitution, et ce nouveau « droit » constitutionnel a force de loi dans tous les États qui, jusqu’alors, étaient souverains sur le sujet. La justice américaine fédérale considère ainsi que le droit d’une femme à l’avortement concerne le droit à la vie privée protégé par le 14e amendement.

    Comment en est-on arrivé là ? Au début des années 70, Norma McCorvey est une mère célibataire à la vie compliquée. Enceinte pour la troisième fois, attaquait la constitutionnalité de la législation texane, qui faisait de l’avortement un crime (il n’était alors possible d’avorter que si la vie de la mère était en danger). Quarante ans après, elle confie au site Church Pop son « incroyable histoire », un témoignage poignant mais qui ouvre toutes grandes les portes de l’espérance.

    Viols, alcoolisme, expulsion du foyer familial…

    Née en 1947, Norma McCorvey a eu une « enfance terrible » : son père a abandonné sa famille, sa mère était alcoolique. Adolescente, elle a des démêlés avec la justice pour avoir volé. Elle est envoyée quelques années dans un pensionnat catholique dont elle se fait exclure. Elle vit ensuite avec un de ses cousins qui la viole régulièrement. Elle se marie à 16 ans mais quitte rapidement son mari qui abusait d’elle pour retourner vivre avec sa mère. À 18 ans, elle donne naissance à son premier enfant avant de connaître, elle aussi, la spirale de l’alcoolisme. Sa mère lui fait signer des papiers lui donnant la garde de cet enfant et la chasse hors de chez elle. Alors qu’elle commence une relation avec une femme, elle attend un autre enfant, qu’elle donne volontairement à l’adoption. À 21 ans, elle vit de petits boulots quand elle attend un troisième enfant. Des amis lui conseillent alors de prétendre avoir été violée afin d’obtenir une autorisation d’exception à la loi anti-avortement au Texas. Quand elle se rend compte qu’une telle exception n’existe pas dans cet État, elle tente d’avorter illégalement. On l’adresse alors à deux jeunes avocates qui, dans leur combat pour faire abolir les lois anti-avortement, cherchent une jeune femme enceinte dont elles pourraient assurer la défense et faire de son cas une jurisprudence.

    De pro-choix à pro-vie

    Sarah Weddington et Linda Coffee décident de plaider son cas devant la Cour suprême. Tout au long des trois années que dura l’affaire, Norma McCorvey n’assista à aucune des audiences. Elle donne naissance à l’enfant dont elle voulait avorter et le confie, lui aussi, pour qu’il soit adopté. L’identité de « Jane Roe » ne fut connue qu’au milieu des années 80, quand Norma McCorvey révèle publiquement son identité. Elle devient alors une icône du mouvement pro-choix et commence à travailler dans un centre d’avortements. En 1995, le Révérend Flip Benham s’installe dans le local mitoyen de la clinique dont elle est devenue directrice marketing. Flip Benham est son ennemi juré, un pasteur évangélique à la tête d’Operation rescue, qui coordonne des sit-in devant les centres d’avortement. Une amitié naît entre eux, qui, peu à peu, fait tomber les résistances de la jeune femme. Un jour, elle entre dans les bureaux d’Operation rescue et remarque une affiche décrivant le développement du fœtus. Dans son autre livre, Won by love, elle raconte ce moment déterminant : « Norma, je me suis dit, ils ont raison. J’avais travaillé avec des femmes enceintes pendant des années. J’avais moi-même été enceinte trois fois. J’aurais dû savoir. Pourtant, quelque chose dans cette affiche m’a fait perdre mon souffle. Je voyais l’image de cette petite, de dix semaines embryon, et je me suis dit, voilà un bébé ! C’est comme si mes oeillères venaient de tomber, et j’ai soudain compris cette vérité : c’est un bébé ! ».

    En août 1995, Flip baptise Norma, qui s’engage dans le combat pour la vie. Elle rencontre Sandra Cano, plaignante dans l’affaire conduisant à l’arrêt « Doe vs Bolton ». Promulgué le même jour que l’arrêt « Roe vs Wade », ce dernier, en définissant la santé de la femme de manière vague, levait les rares restrictions mineures mentionnées dans l’arrêt Roe vs Wade.

    Le 23 mars 1997, toutes deux désavouent publiquement leur rôle dans « la tragédie de l’avortement ». Ensemble, elles se battent pour renverser les arrêts qui portent leurs noms. « Notre manière de nous y prendre c’est de montrer que la vie et les droits des femmes n’ont ni progressé, ni augmenté, mais qu’ils ont au contraire été détruits par l’avortement sur demande. Nous rassemblons des témoignages destinés à être produits en justice, de femmes que l’avortement a meurtries, de femmes qui sont convaincues que le vrai féminisme est pro-vie, et de professionnels qui savent que Roe a affaibli le tissu moral du monde judiciaire et médical. » Un engagement qui porte ses fruits : depuis 1992, la Cour suprême a reconnu aux États le droit d’apporter des restrictions aux modalités d’avortement.

    « On ne peut plus ignorer les conséquences néfastes de l’avortement »

    Dans son combat pour la vie, Norma McCorvey se lie d’amitié avec Frank Pavone, un prêtre catholique engagé dans la lutte contre l’avortement. Un jour, dans la prière, elle entend Dieu lui dire clairement qu’elle serait « avec Lui bientôt ». Effrayée, pensant bientôt mourir, elle parle de cette expérience au père Pavone, qui lui conseille juste de continuer à prier pour y voir plus clair. Elle écrit plus tard : « Je l’ai écouté et ai réalisé que ce que Dieu me disait effectivement était de “revenir complètement à Lui dans son Église”, l’Église que Jésus lui-même a fondée ».

    Norma McCorvey reçoit le sacrement de la confirmation et de l’Eucharistie le 17 août 1998. Depuis lors, elle continue son engagement pro-vie en se battant pour que soit révisée « sa » jurisprudence. Son argument contre l’avortement ? On ne peut plus ignorer ses conséquences néfastes. Malgré son passé trouble et son rôle dans la légalisation de l’avortement, Norma McCorvey a découvert l’amour de Dieu qui pardonne et guérit tout et son Évangile de vie qui remet debout.

  • Jeunes (18-25 ans) : une année à Bruxelles pour se construire grâce à la Parole de Dieu !

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    Une année à Bruxelles pour se construire grâce à la Parole de Dieu !

     
     
    Jeunes 18- 25 ans :
    Se poser les bonnes questions sur le sens de la vie :
    • 1 année de formation de niveau universitaire (philosophie, anthropologie, bioéthique, écriture sainte)
    • 1 occasion unique de réfléchir comment déployer un projet de vie en vérité et ancré dans le Christ
    • 1 expérience en résidence étudiante avec d’autres jeunes catholiques
    Accueil et découverte à Bruxelles : + 32 477 042 367
     
    institutsophia@yahoo.fr / http://www.institutsophia.org

  • Une déclaration écrite en faveur de l’euthanasie fermement rejetée au Parlement européen

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    COMMUNIQUE DE PRESSE de la FAFCE

    La vie triomphe! Déclaration écrite en faveur de l’euthanasie fermement rejetée au Parlement européen

    Bruxelles, le 11 janvier 2016

    « Déclaration écrite sur la dignité en fin de vie »: tel était le titre d’une déclaration écrite qui a échoué la semaine dernière, faute de soutien de la majorité des eurodéputés requise.

    En utilisant des termes trompeurs et faisant fi du principe de subsidiarité, cette déclaration écrite stipulait que « Tous les citoyens européens, quelle que soit leur nationalité, qui se trouvent à une phase avancée ou en phase terminale d'une maladie incurable occasionnant des souffrances physiques ou mentales insupportables qui ne peuvent pas être atténuées, devraient pouvoir bénéficier d'une assistance médicale en vue de mettre un terme à leur vie dans la dignité ». Autrement dit, cette déclaration faisait la promotion de l’euthanasie.

    Bien qu’une déclaration écrite ne puisse pas être considérée comme une position officielle du Parlement européen, mais seulement comme une expression des eurodéputés l’ayant signée, il est encourageant de constater que seuls 95 des 751 députés l’ont soutenue.

    Le Président de la FAFCE, Antoine Renard, souligne “la présence du lobby pro-euthanasie qui commence à travailler activement au sein du Parlement européen. Cela crée le risque que l’attention des décideurs politiques européens soit détournée de ce que l’UE peut réellement faire pour soutenir et promouvoir de bonnes pratiques dans les Etats membres dans le domaine des soins palliatifs et le soutien aux familles qui soignent des personnes à la fin de leur vie. L’échec de cette déclaration écrite montre que la dignité humaine ne peut pas être un champ de bataille pour des conflits politiques et qu’elle ne peut pas être exploitée comme vecteur de certaines idéologies. La FAFCE continuera à œuvrer en faveur de la dignité humaine, dans son sens vrai, qui met la personne au centre ».

    La Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe, FAFCE, détient un statut participatif auprès du Conseil de l’Europe, est membre de la Plateforme des droits fondamentaux de l’UE et représente les associations familiales de 15 Etats européens.

  • 100.000 déplacés internes au Niger à cause de Boko Haram ! (Caritas International)

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    Newsletter Caritas International
    Janvier 2016

    Le Niger dans la tempête

    Boko Haram multiplie ses attaques (vol de bétail, pillage des habitations, crimes violents) contre la population au sud-est du Niger, dans le gouvernorat de Diffa, causant ainsi le déplacement de 100.000 personnes et la fermeture de 151 écoles ces deux derniers mois.

    Une situation humanitaire et sécuritaire alarmante

    Ces milliers de déplacés internes sont aujourd’hui contraints de vivre dans des tentes de fortune, cherchant à s’abriter tant bien que mal de l’Harmattan (un vent terriblement chaud en journée et froid la nuit), sous un arbre. Ils doivent faire face à des conditions de vie tout à fait déplorables. C’est aujourd’hui tant la question humanitaire que sécuritaire qui inquiètent les ONG’s sur place. 

    Lire la suite...


    C'est un appel d'urgence !  

    Grâce à l’appel d’urgence lancé en juin par les collaborateurs locaux, Caritas a pu venir en aide à 15.000 personnes, avec de l’argent en cash ou des biens de première nécessité : de quoi se laver, des moustiquaires, de l’eau,…  Si, comme nous, la situation dramatique des déplacés du Niger vous touche, n’hésitez pas à soutenir nos actions d’aide d’urgence en versant un don sur le compte

    BE88 0000 0000 4141, avec Niger en communication.  Merci. 


         BE88 0000 0000 4141

         infofr@caritasint.be
         www.caritasinternational.be


       

     Caritas International Belgique

    Rue de la Charité 43 - 1210 Bruxelles
  • Samedi 16 janvier 2016: fête de l’Ordre militaire et hospitalier de Saint Lazare à Maleizen

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    OSLJ-Arms_02.jpgORDRE MILITAIRE ET HOSPITALIER DE SAINT LAZARE DE JERUSALEM

    SOUS LA PROTECTION TEMPORELLE DE LA MAISON ROYALE DE FRANCE - CHAPELAIN GENERAL, SON EMINENCE LE CARDINAL DOMINIQUE DUKA

    50EME GRAND-MAITRE, SON EXCELLENCE LE COMTE DOBRZENSKÝ Z DOBRZENICZ

    GRAND PRIEURE DU ROYAUME DE BELGIQUE ET DU GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG

    Ce samedi 16 janvier 2016 aura lieu au Couvent de Maleizen*, la fête de la Saint Lazare. 

    L’ordre de Saint Lazare est une association existant dans 23 pays et dont les actions caritatives se déploient aussi bien en Belgique qu’à l’international.

    Voir aussi : http://www.belgicatho.be/archive/2014/05/02/l-ordre-militaire-et-hospitalier-de-saint-lazare-de-jerusale-5360420.html

    Les personnes qui souhaiteraient faire connaissance avec l’Ordre sont les bienvenues à la messe ainsi qu’au déjeuner :

    • 10h00 : Messe;
    • 12h00 : Déjeuner de Gala préparé par le traiteur Grimod au prix de 75€/personne All in.
    • 14h30 : Assemblée générale (pour les membres).

    Afin de préparer au mieux cette magnifique journée, voudriez-vous bien réserver votre participation au plus tard pour le jeudi 14 janvier 2016 à midi soit par mail à saintlazarebelgique@skynet.be ou par téléphone au 0494/300.886.

    Le paiement s’effectuera sur le compte du Grand Prieuré : BE57 3631 4483 0235 BIC : BBRUBEBB

    Tout renseignement complémentaire au numéro de téléphone ci-dessus.

    *Couvent de Maleizen, Terhulpensesteenweg, 708 – 3090 Maleizen/Overijse

     JPSC

  • Fallait-il commémorer les attentats contre Charlie Hebdo ?

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    L'opinion de Joseph Savès sur Herodote.net :

    Charlie : une commémoration malvenue

    La débauche actuelle de commémorations est hors de saison alors que le pays vit sous l'état d'urgence et que chacun se demande avec angoisse où aura lieu le prochain attentat. Joseph Savès y voit un symptôme de la sénilité de notre classe politique !...

    Pendant la première décade de janvier 2016, la France officielle et médiatique n'a eu d'yeux que pour l'attentat contre Charlie Hebdo, un an plus tôt, le 7 janvier 2015. Le président de la République a dévoilé différentes plaques commémoratives et même octroyé la Légion d'Honneur à une vingtaine de victimes.

    Le plus curieux est que personne ne se soit interrogé sur la pertinence de ces manifestations alors que le pays vit sous l'état d'urgence et que chacun se demande quand et où aura lieu le prochain attentat !

    Commémorer le passé pour ne pas affronter le présent

    Il est sans précédent à notre connaissance qu'un État commémore une attaque contre lui-même avant d'avoir vaincu ses agresseurs. En l'occurrence, nous en sommes loin, pour preuve l'attentat à la ceinture d'explosifs contre un commissariat parisien évité de justesse le jour même de l'anniversaire de celui contre l'hebdomadaire satirique.

    Imagine-t-on Churchill en juin 1941 dévoilant une plaque à la mémoire des victimes de l'évacuation de Dunkerque, un an plus tôt, alors que son pays doit plus que jamais se mobiliser contre l'agresseur allemand ?...

    L'autre caractère étrange de ces journées est la confusion entre victimes et héros.

    Ainsi la Légion d'Honneur a-t-elle récompensé de malheureux quidams qui ont eu la malchance de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment et, plus fort encore, de joyeux anarchistes - les dessinateurs de Charlie - qui ont fait profession de pourfendre les institutions qui, aujourd'hui, les honorent à titre posthume. Les voilà hissés au même niveau que des soldats, des policiers ou des pompiers « morts pour la France » ou « Morts au service de la France » ! Qu'y comprendre ?

    Sans doute les historiens du futur verront-ils dans cette folle décade un symptôme de la sénilité des classes dirigeantes de ce pays. Sans repères, sans vision, sans énergie, elles se jettent dans la politique commémorative et compassionnelle pour éviter d'avoir à réévaluer leurs choix passés à l'aulne du présent.

    Le retour de flamme risque d'être très brutal si la France devait dans les prochains mois subir de nouvelles attaques terroristes. Le président et la classe politique dans son ensemble se verraient alors accusés de n'avoir pas préparé les citoyens à affronter le danger et de les avoir moralement désarmés en figeant le souvenir des premières attaques dans le marbre des plaques commémoratives.

    Ayant laissé croire que les difficultés étaient derrière nous, ils n'auront plus l'autorité indispensable pour contenir les accès de colère, comme en Corse dans les jours qui ont suivi l'accession des nationalistes au pouvoir.

    La machine à assimiler en panne

    Citoyens lambda, nous attendons de nos dirigeants qu'ils analysent la situation avec franchise et agissent en conséquence, en-dehors de tout calcul politicien ou électoral.

    Que voyons-nous ? Des jeunes gens pour la plupart nés en France (ou en Belgique) rejettent notre société avec ses valeurs (générosité et quasi-absence de préjugé racial ou religieux, que démontre le nombre plus élevé que partout ailleurs de mariages mixtes) et ses exigences (promotion par l'école et le travail).

    Ils se consolent de leurs échecs personnels en suivant une doctrine haineuse qui est déjà en passe de détruire le monde musulman arabo-sunnite.

    Leurs entreprises assassines sont le fruit amer d'une politique qui cumule depuis trois décennies l'abandon de la France périphérique, ouvrière et populaire, et les lâches accommodements à l'égard des communautarismes issus de l'immigration.

    En 1984 très exactement, la gauche au pouvoir lâchait son électorat ouvrier et populaire en s'alignant sur la doctrine économique de la droite libérale. Dans le même temps, elle tentait de se rallier les nouveaux électeurs issus de l'immigration avec lafondation de SOS Racisme.

    Depuis lors, elle impose dans la sphère médiatique et jusque dans les rangs de la droite un discours insensé qui stigmatise la France, sa culture et son Histoire, et d'autre part prête aux Français « de race blanche » des pensées racistes et des comportements discriminatoires dont ils sont à dire vrai plus éloignés qu'aucun autre groupe humain !

    Si notre analyse est validée, l'issue s'impose d'elle-même : nous réapproprier notre Histoire et notre culture, valoriser la citoyenneté française plutôt que la brader, nous dissocier des désordres moyen-orientaux et notamment de la rivalité ethnique entre Arabes, Perses, Kurdes et Turcs, qui ne nous concerne en rien et à laquelle nous ne pouvons rien. Un programme à l'exact opposé de celui dans lequel nous sommes aujourd'hui engagés.

    Joseph Savès
  • « M et le 3ème secret » au cinéma en Belgique

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    « M et le 3ème secret » au cinéma en Belgique. (http://msecret-lefilm.com/)

    C’est un documentaire qui retrace les faits avérés selon les méthodes journalistiques liés aux différentes apparitions de la Sainte Vierge Marie dans le monde depuis 200 ans. Des films documentaires sortis en 2014 en France , il est le 4ième au Box Office. Il a reçu le soutien de Mgr Léonard et d’autres hauts prélats pour sa pertinence approche journalistique et son contenu bouleversant.

    Il a déjà été présent dans les cinémas Aventure à Bruxelles et ceux de Stavelot, d’Habay la Vielle, de Tamines, de Gedinne, de Rixensart, de Jodoigne et de Waremme. Dans les prochains jours, le réalisateur français sera présent en Belgique.

    16/01 TOURNAI (7500) –   Rue Blandinoise – 17h00 & 20h15 (prévente à l'email cdachy@skynet.be)
    En présence du réalisateur Pierre Barnérias
    18/01 BRUXELLES (1150) – Ciné Stockel – 17h30
    En présence du réalisateur Pierre Barnérias
    18/01 AALTER (9880) – Cinéma Capitole – 20h15
    En présence du réalisateur Pierre Barnérias

    La version à Tournai de 17h est très intéressante, car l’évêque et la voyante de Tournai devrait être présents. En effet, il n’y a pas eu des apparitions mariales qu’à Beauraing et Banneux, mais aussi à Tournai dont on ne parle trop peu. Pourtant la voyante n’est pas encore décédée.

    http://www.notre-dame-des-etoiles.be/fr/apparitions-1.html

  • Bruxelles (Minimes), samedi 16 janvier : conférence de Mgr Athanasius Schneider sur le "trésor divin de l'Eucharistie"

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    Grand rendez-vous le 16 et 17 janvier, autour de Mgr Athanasius Schneider.

    Mgr Schneider donnera le samedi 16 janvier une conférence sur le trésor divin de l’Eucharistie, suivi d’une vente de ses ouvrages avec dédicace (à 15h, à la Maison Saint Paul de la FSSP – rue des Minimes 27, 1000 Bruxelles).

    Dimanche 17 janvier, Mgr Athanasius SCHNEIDER célèbrera la MESSE PONTIFICALE à 9h15 (à l’église des Saints Jean et Etienne aux Minimes, rue des Minimes 62, 1000 Bruxelles)

    Je vous invite de tout cœur à venir et à nous rejoindre !

    A l’issue de la Messe nous pourrions participer au dîner-débat en présence de Mgr Schneider (vers 11h45). Toutefois, l’inscription est obligatoire (viafsspbru@gmail.com) parce que le nombre de places est limité (60 €/personne).
  • Week-end des 5-6 mars : Marche des Pères de Famille de Belgique

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    Marche des Pères de Famille 2016

    L’année 2016 qui approche est riche d’événements qui, pour nous chrétiens, ne peuvent nous laisser indifférents :

    L’année de la miséricorde tout d’abord. Sans le savoir, nous l’avions initiée à notre manière en début d’année 2015 puisque nous avons marché en mars sur le thème: « Père de famille, témoin de la miséricorde de Dieu » le jour même où le pape François annonçait le thème de cette année jubilaire. Et en ces temps difficiles qui s’annoncent, le rappel permanent de la miséricorde divine ne sera pas superflu !

    L’année des conclusions du Synode sur la famille. Et pour nous, parents, les premiers fruits de la canonisation des époux Martin. A travers eux, l’Eglise montre que tous les époux sont appelés à devenir saints ! Gardons en mémoire la règle de vie que Zélie et Louis s’étaient donnés : « Dieu premier servi. »

    La publication de Laudato Si. Ou l’affirmation que l’écologie sans prise en compte de l’Homme est vaine; que le respect de la nature passe au préalable par le respect de l’Homme dans sa globalité; que le chrétien à l’exemple de saint François aime la nature et la respecte. « Apprends-nous à découvrir la valeur de toute chose. » (Pape François)

    Pour nous, pères de famille, il y a donc matière à réflexion !

    Et quoi de plus motivant que de réfléchir à cela durant la 13ème édition de la Marche des Pères de Famille  qui aura lieu les 5 et 6 mars 2016.

    Elle sera rehaussée par la participation de Monseigneur Delville, évèque de Liège, qui présidera la messe du dimanche.

    Nous aurons aussi l’immense joie de marcher avec les frères de la fraternité de Tibériade de Lavaux-Sainte-Anne. site de la fraternité de Tibériade

    Retenez dès à présent ce week-end. Parlez-en dès à présent autour de vous. Vous ne pouvez imaginer les grâces que vous y recevrez !

    A bientôt.

  • Bruxelles, 21 janvier : une conférence exceptionnelle de Madeleine de Jessey porte-parole de "Sens commun"

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    12376569_159324527759505_3902378972521889119_n.jpgConférence Madeleine de Jessey à Bruxelles le 21 janvier à 20h

    Conférence exceptionnelle. Porte parole de Sens Commun un mouvement politique en France proche de la Manif Pour Tous. Jeune, idéaliste, engagée... c'est la politique que nous voulons pour la France. 
    https://www.facebook.com/events/1532819640375380 

    Sens Commun Belgique organise une rencontre avec Madeleine Bazin de Jessey, porte-parole national du mouvement, qui tiendra une conférence à Bruxelles le 21 janvier 2016 sur le thème :

    Quels défis pour 2017 ?

    Venez échanger avec la co-fondatrice de Sens Commun et lui poser les questions qui vous tiennent à cœur : politique intérieure, politique étrangère, crise des migrants, éducation, terrorisme, écologie, loi Taubira, euthanasie, laïcité...

    Jeudi 21 janvier, 20H00, à la Salle le Fanal, rue Joseph Stallaert, 6, à 1050 Ixelles.

  • La "prière des futurs parents" : un site internet pour les couples en attente d'enfants

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