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BELGICATHO - Page 1724

  • Le Luxembourg sous la bannière du politiquement correct

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    Tous sauf les chrétiens : une nouvelle coalition constituée de libéraux, de socialistes et d'écologistes se prépare à s'installer au gouvernement du Grand-Duché en évinçant ainsi la première formation du pays, celle des chrétiens sociaux qui totalisent plus d'un tiers des sièges. Exit donc Jean-Claude Juncker; Xavier Bettel, le très médiatique bourgmestre de la ville de Luxembourg sera vraisemblablement le prochain premier ministre, "très sympathique et qui n'hésite pas à s'afficher avec l'homme de sa vie"... (voir ICI)

  • « Humanisme chrétien, travail et société »: Mgr Delville inaugure un nouveau cycle de lunchs débats à l'Université de Liège

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    Avec le concours du forum de conférences « Calpurnia »

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      Université de Liège, Rectorat, Place du XX août 

    Le prochain cycle de « lunchs débats » organisé à l’Université de Liège par l’Union des Etudiants Catholiques et le Groupe de réflexion  sur l’éthique sociale  aura pour thème « Humanisme chrétien, travail et société ». L’objectif est de mieux cerner le concept d’humanisme dans le cadre de l’anthropologie chrétienne et de mettre en lumière quelques conséquences pratiques pour le développement de la personne et de la société, en récusant tout déterminisme économique et social.

    De novembre 2013 à octobre 2014, six conférenciers issus du monde tant académique, que religieux,  politique, économique et social apporteront leur témoignage.

    C’est le nouvel évêque de Liège, Monseigneur Jean-Pierre DELVILLE, qui inaugurera le cycle par un lunch-débat sur « l’Humanisme dans l’engagement social de l’Eglise, hier et aujourd’hui » 

     

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    le mardi 26 novembre 2013 à 18h00

    à la Salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale) Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé à 18h15 : lunch à 19h débat de 19h30 à 20h30. (P.A.F : 10 € par réunion).

    Inscription obligatoire trois jours à l’avance par e-mail info@ethiquesociale.org ou tél. 04.344.10.89

    info@ethiquesociale.org  - www.ethiquesociale.org

     Union des étudiants catholiques de Liège : Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42,  4020 Liège  (tél. 04 344 10 89 ; jpschyns@skynet.be)

     Groupe de réflexion sur l’éthique sociale :   Elio Finetti, Quai Orban 34, 4020 Liège (tél. 0475 83 61 61; finetti@ethiquesociale.org) 

    Calpurnia - Forum de conférences, débats :Philippe Deitz, Rue Henri Maus, 92, 4000 Liège  (tél. 04 253 .25.152515 ; calpurnia.musee@gmail.com)

  • L'appel de détresse d'un évêque syrien

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    Appel de détresse de Monseigneur Silwanos Boutros Naameh, titulaire de l'archidiocèse syro-orthodoxe de Homs et Hama, destiné aux Institutions et Organisations humanitaires et religieuses dans le monde, ainsi qu’aux personnes qui ont un rôle humanitaire et qui sont de bonne volonté. (source)

    Je vous adresse cet appel au nom des innocents parmi les hommes, les femmes et les enfants, les jeunes gens et les jeunes filles, qui se trouvent actuellement assiégés dans des zones inatteignables, car ils ne peuvent en sortir et que nous ne pouvons les rejoindre puisqu’il s’agit des villages de Sadad et Hofar dans la région de Qalamoun en Syrie. Nous vous l’adressons afin de vous demander de lancer des appels aux assiégeants qui interdisent la sortie à la population et pour qu’ils acceptent des pourparlers, en vue de faciliter le départ en toute sécurité de la population, par une quelconque direction, que ce soit vers le Couvent d’Al-Attieh ou en direction de la ville de Homs où nous viendrons les accueillir.

    Je supplie tous ceux qui ont les moyens d’atteindre les Organisations influentes dans le monde et ceux qui sont en contact avec des partis à même de faire pression sur les assiégeants et de parlementer avec eux, afin qu’ils facilitent la transmission de cette demande et la libération en toute sécurité, des populations prises en otages, et bien qu’à ce stade, la plupart d’entre-eux n’aient pas encore subit de sévices.

    Cela fait quatre jours que cette population est assiégée sans électricité et sans eau et sans moyens de communication ; elle ne dispose que de peu de nourriture alors que s’y trouve parmi eux, des enfants en manque de lait, et des malades qui ont besoin de médicaments.

    La population assiégée atteint le chiffre de 3000. Les assiégeants leur interdisent de sortir de leurs maisons ; au contraire, ils font pression sur eux pour qu’ils ne quittent pas leurs habitations, en dépit des pourparlers qui ont eu lieu avec eux.

    A toutes les Organisations, à tous les enfants de nos Eglises éparpillés à travers le monde, nous implorons aide et soutien actif. Aidez-nous et coopérez avec nous d’une manière adaptée et sans déclarations qui puissent affecter la sécurité des assiégés en particulier, et des résidents de la Syrie en général. Notre peuple ne l’oubliera pas.

    Je le redis en précisant notre bonne intention, pour ne pas risquer la sécurité de nos proches, diffusez cet appel sur vos blogs et vos sites, transmettez-le aux journaux, aux magazines et aux autres médias d’information. Adressez-le également à tous ceux qui pourraient jouer un rôle positif pour une solution adaptée dans le sens de leur libération.

    Et nous, dans notre mission, nous réitérons au nom de Dieu, notre appel aux assiégeants pour qu’ils aient pitié de ces innocents qui ne sont aucunement en cause dans cette tragédie, afin qu’ils les laissent sortir sains et saufs en leur réservant un bon traitement. Nous demandons à Dieu de donner à ces populations innocentes la patience, la force, l’espérance, le courage, la santé et la vigueur….Seigneur, Seigneur, Seigneur ne les abandonne pas.

    Monseigneur Silwanos, Evêque syrien-orthodoxe

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  • Notre Père : rendez-vous dans 50 ans

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    Sur le blog de « L’Homme Nouveau », le directeur de cette publication ne l’envoie pas dire aux « pasteurs » du troupeau :

    « La patience est une vertu fortement recommandée aux fidèles de l’Église catholique. Il a fallu un demi-siècle pour qu’une très mauvaise traduction du Notre Père soit abandonnée. C’est en 1966 que fut inventée une « version œcuménique » qui fut cependant critiquée par les plus sérieux de nos frères protestants et orthodoxes. Et ce n’est pas avant 2015 que la nouvelle version figurera dans les missels.

    Le combat de l'abbé Carmignac

    Entre-temps, des générations de fidèles auront demandé à leur Père de n’être pas soumis à la tentation. Des latinistes et exégètes compétents auront démontré que Dieu ne soumet pas à la tentation. En vain… jusqu’à maintenant. L’abbé Jean Carmignac, auteur d’une imposante étude de plus de 600 pages, Recherches sur le Notre Père, aura proposé une autre traduction, et subi d’innombrables humiliations en conséquence. Des fidèles du rang auront été qualifiés d’intégristes pour avoir rappelé la parole de saint Jacques : « Que dans la tentation nul ne dise : “C’est Dieu qui me tente” » (Jc 1,13).

    Peut mieux faire

    couvtraductionslit.jpgLa sixième demande du Pater révisé est ainsi formulée : « Et ne nous laisse pas entrer en tentation. » Elle est meilleure, mais demeure contestable – nous renvoyons aux explications données par le père Olivier Günst Horn, Vers de nouvelles traductions liturgiques, dont je recommande la lecture. Et je ne suis pas sûr que cela soit du bon français : si on entre en religion, état de stabilité, l’entrée en tentation a-t-elle le même caractère permanent ? Discutons-en. Rendez-vous dans 50 ans.

    Ici, Notre Père : rendez-vous dans 50 ans

    Bref, entre chèvres et choux postconciliaires, continuons à demander au Seigneur, comme avant le déluge: ne nous laissez pas succomber à la tentation…

    JPSC

  • Les exigences de l'épiscopat

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    (Zenit.org) Le pape a conféré l’ordination épiscopale à un Français, Mgr Jean-Marie Speich et un Italien, Mgr Giampiero Gloder, en la basilique Saint-Pierre, le 24 octobre 2013. Il les a encouragés à « puiser à la plénitude de la sainteté du Christ » par « l’oraison et l’offrande du sacrifice pour le peuple » : « Un évêque qui ne prie pas est un évêque à mi-chemin. Et s’il ne prie pas le Seigneur, il tombe dans la mondanité », a-t-il mis en garde.

    Son homélie était en substance l’« homélie rituelle » prévue dans l’édition italienne du pontifical romain pour l’ordination des évêques, à laquelle le pape a intégré des ajouts personnels, d'abondance de coeur.

    Homélie du pape François

    Chers frères et fils bien-aimés,

    Réfléchissons avec attention à cette haute responsabilité ecclésiale à laquelle sont appelés nos frères. Notre Seigneur Jésus-Christ, envoyé par le Père pour racheter les hommes, a envoyé à son tour dans le monde les douze apôtres afin que, remplis de la puissance de l’Esprit-Saint, ils annoncent l’Évangile à tous les peuples et que, en les rassemblant sous un unique pasteur, ils les sanctifient et les guident vers le salut.

    Pour perpétuer de génération en génération ce ministère apostolique, les Douze se sont attaché des collaborateurs en leur transmettant par l’imposition des mains le don de l’Esprit reçu du Christ, qui conférait la plénitude du sacrement de l’Ordre. Ainsi, à travers la succession ininterrompue des évêques dans la tradition vivante de l’Église, s’est conservé ce ministère principal et l’œuvre du Sauveur se poursuit et se développe jusqu’à nos jours. Notre Seigneur Jésus-Christ, grand-prêtre éternel, est présent au milieu de vous dans l’évêque entouré de ses prêtres.

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  • La bonne nouvelle de la famille, moteur du monde et de l'histoire

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    La famille, moteur du monde et de l'histoire

    (Zenit.orgLe pape a reçu les participants à la XXIe Assemblée plénière du Conseil pontifical pour la famille, vendredi matin, 25 octobre 2013, à 12h30, dans la salle Clémentine du palais apostolique du Vatican.

    « La famille est fondée sur le mariage », qui est « la base sur laquelle se fonde la famille et qui rend plus solide l’union des époux et le don mutuel qu’ils se font l’un à l’autre », leur a-t-il déclaré.

    Le pape a encouragé à « dire aux jeunes époux qu’ils ne terminent jamais une journée sans faire la paix entre eux » car « les épreuves, les sacrifices et les crises du couple, comme de la famille, représentent des passages pour grandir dans le bien, la vérité et la beauté ».

    Il a également demandé aux parents de « perdre du temps » avec leurs enfants, de « jouer avec eux » car « la gratuité est tellement importante ».

    Discours du pape François

    Messieurs les cardinaux,

    Chers frères dans l’épiscopat et le sacerdoce,

    Chers frères et sœurs,

    Soyez les bienvenus à l’occasion de la XXIe Assemblée plénière du Conseil pontifical pour la famille. Je remercie le président, Mgr Vincenzo Paglia, pour les paroles avec lesquelles il a introduit notre rencontre.

    1 Le premier point sur lequel je voudrais m’arrêter est celui-ci : la famille est une communauté de vie qui a une consistance proprement autonome. Comme l’a écrit le bienheureux Jean-Paul II dans l’exhortation apostolique Familiaris consortio, la famille n’est pas la somme des personnes qui la constituent, mais une « communauté de personnes » (cf. N. 17-18). Et une communauté est plus que la somme des personnes.

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  • Le corps spirituel

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    De notre ami Jean-Pierre Snyers :

    Le corps spirituel

    Dans le quinzième chapitre de sa première épître aux corinthiens, saint Paul écrit : « Il y a des corps célestes et des corps terrestres. Semé corruptible, le corps ressuscite incorruptible, semé méprisable, il ressuscite éclatant de gloire, semé corps animal, il ressuscite corps spirituel. S'il y a un corps animal, il y a aussi un corps spirituel ... » Le moins que l'on puisse dire est que l'apôtre Paul était en avance sur son temps. Pourquoi ? Parce que de plus en plus, la science nous révèle que nous ne sommes pas uniquement composés d'un corps physique, que notre conscience n'est pas un produit de notre cerveau, comme internet n'est pas le produit de notre ordinateur.  « Aujourd'hui, nous savons de façon scientifique que lorsque le cerveau s'arrête de fonctionner, non seulement la conscience reste en activité, mais elle est beaucoup plus performante que lorsque le cerveau fonctionne à l'état normal. Par exemple : certaines personnes qui sont revenues à la vie après un arrêt cardiaque disent qu'elles sont allées dans des endroits situés à des centaines de kilomètres et y ont vécu des choses qu'on a pu vérifier par la suite », affirme le Dr Jean-Jacques Charbonnier, anesthésiste.et auteur d'une dizaine d'ouvrages sur la vie après la mort.  « Aussi invraisemblable que cela puisse paraître à tous ceux qui ont une conception matérialiste de l'esprit humain, écrit quant à lui l'abbé Jean Martin dans son livre intitulé « Des signes par milliers », les témoignages sont là, attestés de toutes parts : de nombreuses personnes cliniquement mortes se retrouvent  brusquement au-dessus de leur corps physique et voient ce corps et son environnement avec une très grande précision . » Inutile de tourner autour du pot, les faits sont là. Consultez internet. Lisez l'abondante littérature (tels les célèbres livres du Dr Moody) qui concerne ce sujet  Des gens dans le coma ou en train d'être opérés voient leur propre corps, se déplacent dans l'espace et entendent des conversations qui se tiennent parfois à des kilomètres du lieu où ils se trouvent. Avec quels yeux et avec quelles oreilles ? Messieurs les matérialistes, Répondez-moi ! Quoi ? Que voulez-vous encore ? La preuve de la preuve ?  Puis la preuve de la preuve de la preuve ? Je parie que même quand vous serez dans l'au-delà vous trouverez encore le moyen de nier la réalité du corps spirituel ! Passons !...

    Revenons à ce que nous dit la Bible. Dans sa deuxième épître aux corinthiens, chapitre 12, versets 2 à 4, saint Paul fait allusion à un chrétien qui aurait, semble-t-il, vécu une expérience de décorporation. « Je connais un homme, écrit-il, qui voici quatorze ans, était-ce dans son corps, était-ce hors de son corps ? je ne sais, fut enlevé jusqu'au troisième ciel, jusqu'au Paradis où il entendit des paroles inexprimables. » Déjà à cette époque. Comme quoi, ce que la médecine constate aujourd'hui n'est pas nouveau.  Corps spirituel, autre monde. André Frossard, converti un jour subitement par la lumière divine, en sait lui aussi quelque chose. Dans son livre « Dieu en questions », voici qu'il nous dit : « Après la mort, il y a Dieu, et se sera, je vous en réponds, une fameuse surprise pour beaucoup. Ils s'apercevront , avec l'étonnement qui fut le mien le jour de ma conversion, et qui dure encore, qu'il y a un autre monde, un univers spirituel fait de lumière essentielle d'un éclat prodigieux, d'une douceur bouleversante, et du même coup tout ce qui leur paraissait invraisemblable la veille leur paraîtra naturel, tout ce qui leur semblait improbable leur deviendra délicieusement acceptable et tout ce qu'ils niaient leur sera joyeusement réfuté par l'évidence. »

     « Par l'évidence ! ». Oui, parce qu'un jour nous nous rendrons compte que le réel dépasse infiniment ce que nous pouvons ici-bas percevoir de lui  et que nos sens sont insuffisants pour en saisir la totalité. Il y a une autre dimension. Voilà ce que le christianisme nous dit depuis 2.000 ans et ce que la science et en train de confirmer. Une parole de saint Jérôme me revient à l'esprit. La voici : « La vie est un rêve dont la mort nous réveille. » Que dire de plus, sinon qu'il convient de nous préparer à entrer bientôt dans l'éternité ?...

    Jean-Pierre Snyers (jpsnyers.blogspot.be)

  • Mariage : rappel de la doctrine de l'Eglise sur l'indissolubilité du lien conjugal

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    Document : la mise au point du St-Siège sur l’indissolubilité du mariage

    par Mgr Gerhard Ludwig Müller, préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi (25 octobre 2013)

    Après l'annonce d'un synode extraordinaire qui se tiendra en octobre 2014 sur la pastorale de la famille et des interventions du pape François mal comprises, de nombreux avis plus ou moins autorisés ont laissé entendre que la position de l’Eglise pourrait changer sur la question des fidèles divorcés et remariés. Pour éclairer ce thème de l'accompagnement pastoral de ces fidèles en cohérence avec la doctrine catholique, l’Osservatore Romano publie une contribution de Mgr Müller, archevêque préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi.

    LA DISCUSSION concernant la problématique des fidèles qui ont contracté un nouveau lien civil après un divorce n’est pas nouvelle et a toujours été suivie avec un grand sérieux par l’Église dans l’intention d’aider les personnes concernées. En effet, le mariage est un sacrement qui touche de manière particulièrement profonde la réalité personnelle, sociale et historique de l’homme. En raison du nombre croissant de personnes concernées dans les pays d’antique tradition chrétienne, il s’agit d’un problème pastoral de grande portée. Aujourd’hui, des personnes tout à fait croyantes se demandent sérieusement : l’Église ne peut-elle pas permettre aux fidèles divorcés remariés d’accéder, sous certaines conditions, aux sacrements ? L’Église a-t-elle les mains liées à jamais en cette matière ? Les théologiens ont-ils vraiment déjà dégagé toutes les implications et les conséquences relatives à cet égard ?

    Ces questions doivent être discutées en accord avec la doctrine catholique sur le mariage. Une pastorale responsable présuppose une théologie qui s’en remet tout entière et librement à Dieu « dans un complet hommage d’intelligence et de volonté à Dieu qui révèle et dans un assentiment volontaire à la révélation qu’il fait » (Concile Vatican II, Constitution dogmatique Dei Verbum, n. 5). Pour rendre compréhensible l’enseignement authentique de l’Église, nous devons procéder à partir de la Parole de Dieu qui est contenue dans l’Écriture Sainte, exposée dans la Tradition de l’Église et interprétée normativement par le Magistère.

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  • Téléthon : un évêque souligne trois difficultés

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    Les questions de Mgr Aillet au Téléthon (via Liberté politique)

    Interrogé par ses diocésains sur le Téléthon, l’évêque de Bayonne soulève trois difficultés éthiques qui, sous réserve d’un changement de la politique de l’AFM, invitent à la plus grande prudence.

    À l’approche de la 27e édition du Téléthon, qui aura lieu le week-end des 6 et 7 décembre 2013, quelques diocésains ont souhaité connaitre ma position et celle de l’Eglise catholique à propos de cet événement dans lequel certains d’entre eux sont parfois impliqués.

    Je tiens avant toute chose à saluer le dévouement des bénévoles engagés dans la préparation du téléthon et bien entendu, la grande générosité des Français qui par solidarité vis-à-vis des personnes atteintes de myopathie et leurs familles, participent chaque année à cette formidable campagne médiatique de collecte de fonds au profit de la recherche médicale et de la lutte contre les maladies génétiques.

    Au cours des dernières années, l’Église catholique n’a cependant pas manqué d’exprimer, par la voix de plusieurs évêques ou de ses responsables, ses réserves et ses inquiétudes à propos du Téléthon. C’est ainsi que le cardinal Ricard, alors président de la conférence des évêques de France, considérait dès le mois de décembre 2006, qu’il était « légitime qu’à l’occasion du Téléthon, beaucoup de catholiques s’interrogent sur l’affectation de leurs dons », ou que le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, estimait il y a quelques années, qu’on ne saurait « signer des chèques en blanc » en faveur du Téléthon. De même, un communiqué de presse du 2 décembre 2011 disponible sur le site du diocèse de Paris souligne qu’il est nécessaire de « s’engager résolument pour des recherches qui respectent pleinement la vie humaine ».

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  • Mgr Léonard face à une hostilité croissante ?

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    C'est Christian Laporte qui l'affirme dans La Libre. Suffit-il d'un acte d'entartage et des menées d'une coterie de parents dans une école communale pour conclure à une hostilité croissante ? Cela nous paraît assez léger mais cela rejoint sans doute le "ressenti" de Christian Laporte qui ne nourrit pas une très grande sympathie à l'égard de l'archevêque. Le journaliste reconnaît d'ailleurs lui-même que la visite du prélat s'était fort bien passée en d'autres lieux notamment "à l’école Saint-Nicolas de Sart-Dames-Avelines où il a reçu un accueil chaleureux du corps professoral mais aussi de tous les élèves (de la maternelle à la 6e primaire). Une visite qui l’interpella d’autant plus que cette école accueille aussi des enfants sourds."

    Quoi qu'il en soit, le propre des chrétiens n'est pas de chercher la popularité; ils savent que le Christ a été haï avant eux et que le disciple n'est pas au-dessus du maître.

  • Parlement européen : une séance historique qui a donné une voix aux embryons

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    Europe : l’embryon n’est plus sans voix

    Article rédigé par Jean-Marie Le Méné, le 25 octobre 2013 (Liberté Politique)

    Les observateurs ne s’y trompent pas, qu’ils s’en réjouissent ou en déplorent l’issue, la séance du 22 octobre au Parlement européen fut historique. Il s’agit bel et bien d’une victoire pour les défenseurs de la vie et pour ceux qui en avaient assez de voir le Parlement européen enregistrer en chaîne des dérives sociétales dont les citoyens ne veulent pas.  Ce mardi, il s’est opéré un vrai choc de transparence.

    LE RAPPORTEUR de la résolution examinée mardi 22 octobre, Mme Estrela (socialiste, Portugal) a eu de quoi claquer la porte, furieuse, après le renvoi inattendu de son texte en commission. Sa résolution, qui avait jusqu’alors passé les étapes sans remous, y compris sur les bancs du PPE (qui représente une partie de la droite européenne) ne manquait pas « d’ambition » sur le fond : articulée autour de l’enjeu de l’inscription de l’avortement comme droit fondamental et de la lutte contre « le recours abusif » à l’objection de conscience,  elle déroulait avec une logique implacable la même idéologie libérale-libertaire sur  l’éducation sexuelle, la PMA, notamment pour les lesbiennes, la théorie du genre et ainsi de suite.

    À examiner l’inertie d’il y a à peine dix jours y compris à droite, l’offensive d’Edite Estrela semblait judicieuse. Mais c’était sans compter sur la mobilisation massive et croissante des citoyens européens. Si le rapport Estrela a provoqué ce sursaut et que son renvoi était inespéré, c’est parce que le réveil des citoyens est réel et d’ampleur. Les peuples ne supportent plus les idéologues et les technocrates qui les ont mis sous tutelle. 

    La guerre contre l’excès de conscience : un marqueur du totalitarisme 

    Malte, la Pologne, l’Irlande, l’Espagne  ont un point commun pour Mme Estrela : leur corps médical fait preuve de trop de conscience. Nous sommes bien face à une pensée oppressante, un texte totalitaire. Ce diktat en vient aujourd’hui à reprocher l’excès de ceux qui suivent leur conscience comme si l’usage de la conscience pouvait être excessif….

    Il est intéressant d’observer que d’un côté, pour les soutiens féministes de Mme Estrela, le cœur du réacteur est l’avortement. De l’autre, c’est l’éducation sexuelle et la filiation. Mais ce sont bien ceux qui promeuvent l’avortement qui imposent leur tempo et mènent la danse.

    Ce qui s’est passé  en Allemagne et en France mérite d’être salué. Le collectif pour la défense de l’embryon “Un de nous” arrive à son terme et ses chevilles ouvrières surveillent au radar le moindre frémissement européen. Grâce à cette vigilance, les voyants d’alerte se sont allumés dès que le texte a été inscrit à l’ordre du jour. Parce que les réseaux d’échanges d’informations fonctionnent à plein régime entre les têtes des mouvements garantes du respect de la vie et de la famille, chacun a transmis le signal de proche en proche, la force de frappe de La Manif pour tous en pointe. Et aussi parce que les citoyens qui suivent ces mouvements sont surprenants de réactivité et de détermination, les messages d’électeurs interpellant leurs représentants ont porté leurs fruits.

    A l’issue de cet épisode, l’initiative citoyenne européenne Un de nous s’en trouve renforcée.

    La barre des 1,5 million de signatures va être franchie avant la clôture. Quelle que soit la suite politique du rapport Estrela, en particulier au cas où le texte reviendrait en débat en commission, ces 1,5 million de voix seront précieuses. Elles ont déjà parlé.

    Jean-Marie Le Méné est président de la Fondation Jérôme-Lejeune.

    Dernier jours ! Signez sur www.undenous.fr avant jeudi 31 octobre.

  • Trois fêtes successives: 27 octobre, 1er et 3 novembre prochains

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    EGLISE DU SAINT-SACREMENT
    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège
      

    DIMANCHE 27 OCTOBRE 2013 À 10 HEURES

    Fête du Christ-Roi

    Propre grégorien de la messe « Dignus est Agnus »

    Kyriale IV « Cunctipotens Genitor Deus » (Xe s.), Credo IV (XVe s), Acclamations carolingiennes (VIIIe s.) 

    VENDREDI 1er NOVEMBRE 2013 À 10 HEURES

    Fête de la Toussaint

    Propre grégorien de la messe « Gaudeamus omnes »

    Kyriale IV « Cunctipotens Genitor Deus » (Xe s.), Credo IV (XVe s.)

    Hymne de la Toussaint « Christe Redemptor Omnium » (IXe s.)

     

    DIMANCHE 3 NOVEMBRE 2013 À 10 HEURES

    Fête de saint Hubert, évêque de Liège

    Patron des chasseurs

    Propre grégorien de la messe des confesseurs pontifes « Statuit »,  Kyriale IV (Xe siècle), Credo IV (XVe s.)

    Airs de chasse à l’orgue

    AVEC LE CONCOURS DE LA SCHOLA DU SAINT-SACREMENT

    À L’ORGUE, PATRICK WILWERTH, professeur au Conservatoire de Verviers et Mutien-Omer HOUZIAUX, ancien organiste titulaire de la cathédrale de Liège

    Livrets à votre disposition sur la table au fond de l’église pour suivre la messe

    Plus de renseignements : cliquez ici  http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com