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BELGICATHO - Page 1922

  • Pologne : pas d'union reconnue pour les couples de même sexe

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    "La Diète, chambre basse du Parlement polonais, a rejeté vendredi trois projets de lois destinés à introduire en Pologne, pays à majorité catholique, l'union civile pour les couples homosexuels et hétérosexuels."

    C'est ICI

  • Inquisitio

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    de Natalia Trouiller (sur fb) : "Le 24 janvier, à Annecy, les participants aux 17e Journées d’études François de Sales, organisées par la Fédération Française de la Presse Catholique (FFPC) ont désigné, les meilleurs clips vidéo de l’année 2012.

    Dans la catégorie «humour» :
    Inquisitio, la vraie bande annonce.
    Réalisé par Napator Saturnin
    Notre blague de potache primée à Annecy!!!"

  • La communication du Vatican va-t-elle évoluer ?

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    Dans « La Croix », sous la plume de Frédéric Mounier :

    « De ses trois casquettes, le P. Federico Lombardi n’en a plus que deux. S’il reste directeur de la salle de presse du Saint-Siège et de Radio Vatican, le jésuite, âgé de 70 ans, a cédé, le 22 janvier, la direction de la télévision vaticane (CTV) à Mgr Dario Edoardo Vigano, jeune prêtre milanais, expert en cinéma et réputé créatif. Le P. Lombardi se dit bien plus soulagé de ce poids, jusqu’à présent essentiellement technique, que désavoué.

    L’occasion de s’interroger sur l’équilibre général du système de communication externe du Vatican, durement secoué par des crises récurrentes depuis 2008 (discours de Ratisbonne, crises du préservatif et de « la petite fille de Recife », béatification de Pie XII, Vatileaks, etc..).

    Blessé, le système a tenté de se régénérer. Oubliant l’éternelle théorie du complot, chère à de nombreux hiérarques, plusieurs cadres intermédiaires du Vatican, notamment non italiens, ont tenté, avec un certain succès, de rationaliser la communication externe. La tâche est immense, tant sont divers les cinq émetteurs, et faible leur coordination.

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  • Le communiqué de la Reine Fabiola

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    Voici l’intégralité du communiqué de la reine Fabiola adressé vendredi par son avocat Jean Van Rossum à l’agence de presse Belga (publié ICI) :

    «Mes chers compatriotes,

    Je regrette que la création de ma fondation Pereos ait suscité des incompréhensions et des réactions si négatives. J’en suis profondément atteinte.

    Comme je l’ai fait savoir il y a deux semaines, je n’ai jamais eu l’intention de financer cette fondation avec des fonds provenant de ma dotation, mais avec des biens que j’ai reçus en héritage de ma famille et de mon parrain.

    Je souhaite réaffirmer que ma dotation est totalement utilisée d’année en année pour faire fonctionner ma maison et pour payer mes frais, tout particulièrement de représentation.

    L’objectif primordial de la fondation Pereos est de faire connaître aux générations à venir la beauté et la profondeur de la personnalité du roi Baudouin et son ouverture vers le monde, ainsi que l’idéal de notre vie vécue ensemble avec le peuple belge.

    À côté de ce but principal, dans le plein respect de la loi, je souhaitais, n’ayant pas eu d’enfant, que ma fondation puisse venir en aide à des proches en difficulté.

    Enfin, je souhaitais soutenir une série de projets qui me tiennent à cœur. À cet égard, je n’ai pas pris suffisamment en considération les effets politiques de mon projet d’action qui, dans son essence, avait un caractère privé.

    En conséquence, soucieuse de garder l’unité, j’assume pleinement de renoncer à ma fondation, même si ce geste me pèse beaucoup. J’en demanderai donc la dissolution.

    Depuis cinquante-deux ans et un mois, avec le roi Baudouin d’abord, et unie en pensées avec lui ensuite, j’ai toujours cherché, et aujourd’hui encore, à servir ce pays que j’aime de tout mon cœur.

    Fabiola

  • Pour la catéchèse des plus jeunes : un cahier de baptême

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    Mon Cahier de baptême

    Dans la ligne de ses précédents albums à succès pour la préparation des enfants aux sacrements de l'Eglise, Transmettre vient de publier Mon Cahier de Baptême.

    Mon Cahier de baptême s’adresse à des enfants en âge scolaire, (de 7 à 11 ans environ) qui désirent recevoir le sacrement du baptême. Il propose une préparation en 4 étapes, conformément à la pratique prescrite par l’Eglise et décrite dans le Rituel du Baptême des Enfants en âge de scolarité (RBE).

    Ce cahier s’applique à fournir aux enfants les éléments indispensables pour comprendre le sens et la richesse du baptême, dans le plan du salut de Dieu, selon une progression qui suit au plus près ces 4 étapes. Elles leur sont présentées dans leur dimension spirituelle, les compléments pratiques ou autres, pouvant leur être donnés de manière plus détaillée à partir du RBE et des choix pastoraux propres à chaque paroisse.

    L’enfant est invité à lire et à comprendre les exposés, à faire les activités qui lui sont proposées à la suite, afin d’approfondir et de mémoriser ce qui a été vu, et ceci, sous la conduite d’un accompagnateur (parent ou catéchiste). Ce cheminement peut être fait en groupe, lorsque l’on aura pu réunir plusieurs candidats progressant au même rythme.

    Au sommaire :

    •  En route vers la première étape : l’appel au Baptême. Comment Dieu se fait-il connaître ? Le Notre Père.
    • En route vers la 2e étape : La foi de l’Eglise : le Credo
    • En route vers la 3e étape : la liturgie du Baptême
    • En route vers la 4e étape, ou Baptême : la vie dans le Christ. Les dons surnaturels du Baptême
    • Après le baptême.

    Seulement 7,90 euros

    Pour commander en ligne 

    www.transmettre.fr

  • Tite et Timothée

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    Sur le très précieux Missel.free.fr :

    Saint Timothée et saint Tite, compagnons de voyage et amis de saint Paul, furent choisis par l’Apôtre pour gouverner, l’un l’Eglise d’Ephèse et l’autre l’Eglise de Crète. Autrefois, le premier était fêté le 24 janvier et le second le 4 janvier.

    Saint Timothée

    Né à Lystres d’un père païen, fut, avec sa mère (Eunice) et sa grand-mère (Loïs), juives et croyantes, converti par saint Paul qui, sur la recommandation des prophètes de la communauté de Lystres, le prit comme compagnon de voyage. Saint Paul lui confia des missions près des communautés (Thessalonique, Macédoine, Corinthe) et l’utilisa comme secrétaire pour rédiger les épîtres. Après avoir partagé sa première captivité, il accompagna saint Paul jusqu’à ce que celui-ci lui demandât de rester à Ephèse dont il fut le premier évêque. La tradition dit qu’il fut massacré à coups de massue et de pierres dans une émeute populaire, pour avoir voulu dissuader le peuple de se mêler aux désordres d’une fête païenne. Le corps de saint Timothée fut enterré près de celui de saint Jean, à Ephèse, où il resta jusqu’à ce qu’on le transportât à Constantinople (356).


    Saint Tite

    Né dans le paganisme, aurait été, selon une ancienne tradition, de parents nobles, de la race royale de Minos, roi de Crète. Cette même tradition ajoute qu’il aurait fait de solides études en lettres profanes quand il aurait entendu une voix mystérieuse lui ordonnant de quitter son pays et de sauver son âme, ajoutant que la science profane des Grecs lui serait peu utile pour son salut. Il aurait attendu un an au bout duquel la même voix lui aurait dit de lire les Ecritures des Hébreux. Son oncle, proconsul de Crète, ayant appris la naissance du Messie d’Israël, l’aurait envoyé à Jérusalem où il aurait connu le Seigneur qui l’aurait compté parmi ses soixante-douze disciples. Témoin de la vie publique de Jésus, de sa Passion, de sa Résurrection et de son Ascension, il aurait été consacré par les Apôtres et adjoint à saint Paul.

    Plus probablement, on pense que Tite, né païen, fut converti par saint Paul qui, quatorze ans plus tard, l’ayant rencontré à Antioche, l’emmène jusqu’à Jérusalem où il assiste au fameux « concile » qui rejette la circoncision des païens. A partir de ce moment là, il accompagne saint Paul dans ses voyages et lui sert de messager, singulièrement vers les communautés de Corinthe et d’Ephèse. Après la première captivité de saint Paul, il aborda en Crète avec l’Apôtre qui l’y laissa jusqu’à ce qu’il l’envoie en Dalmatie. Après le martyre de saint Paul, Tite revint en Crète où, disent les byzantins, il mourut dans un âge très avancé (quatre-vingt-quatorze ans). Le corps de saint Tite resta dans la cathédrale de Gortyne jusqu’à ce que la cité fût détruite par les musulmans (823) ; on ne retrouva que la tête de Tite qui fut transportée à Venise où elle est vénérée à Saint-Marc.

  • Paris : une curieuse éducation scientifique au Palais de la Découverte

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    L'Homme Nouveau décrit cette curieuse exposition intitulée "Bêtes de sexe, la séduction dans le monde animal" :

    La scène se passe au Palais de la découverte (Paris) où se tient l'édifiante exposition « Bêtes de sexe, la séduction dans le monde animal » depuis le 23 octobre et jusqu'au 25 août prochain...

    « Les humains doivent-ils être monogames ? Oui, non, parfois ? » Une quinzaine de lycéens, sous le regard amusé de leur professeur, se pressent pour appuyer sur le bouton qui enregistrera leur vote. « C'est trop cool d'avoir plein de meufs », ricanent grassement les jeunes garçons tandis que les filles se forcent à glousser, sans pourtant pouvoir retenir une expression de dégoût : «  Ah non, c'est dégueu d'avoir plusieurs femmes ». Stéréotype d'une société hétéronormée ? Réalité surtout de la différence d'appréhension de la sexualité entre garçons et filles.

    Dans cette vaste salle d'exposition la lumière est tamisée, les murs sont noirs, ornés seulement de lourdes tentures rouges. Le décor est planté.

    Lire la suite de cette note sur le site de l'Homme Nouveau

  • Michel Lelièvre, une rédemption dans la foi ?

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    La Libre de ce jour relaie une dépêche de l'Agence Belga intitulée, très approximativement : "Michel Lelièvre veut aussi entrer dans les ordres". 

    En fait, on y apprend que "Michel Lelièvre, l'ex-complice de Marc Dutroux, s'est converti au protestantisme et a écrit à plusieurs couvents afin d'y être accueilli"; ce qui ne signifie évidemment pas qu'il veuille "entrer dans les ordres". D'après cette dépêche, Michel Lelièvre se serait "également adressé à l'archevêque Léonard (sic)" mais aurait essuyé une fin de non-recevoir.

    "Michel Lelièvre, 41 ans, est en prison depuis 1996. En 2004, il a été condamné à 25 ans de prison. Depuis huit ans, il entre déjà en considération pour une libération conditionnelle. Toutes ses tentatives ont jusqu'à présent été torpillées par le fait qu'il a été attrapé en prison en possession de drogue." Il serait aujourd'hui désintoxiqué. 

    "A partir du 26 février, cela fera un an que sa dernière demande de libération conditionnelle aura été introduite. Il pourra dès lors en faire une nouvelle. Il viserait également un congé pénitentiaire sous l'accompagnement de l'aumônier de la prison d'Ittre. Actuellement, il ne sortirait plus de sa cellule que pour participer à la messe du jeudi et aux chants gospel, selon son dossier."

  • Belgique : des prisonniers demandent l'euthanasie

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    C'est la très vigilante Jeanne Smits qui relève ce fait :

    Cinq détenus ont déposé une demande d'euthanasie qui est en voie d'examen, a répondu le ministre belge de la Justice à une question orale au Sénat. Ces demandes n'ont donc pas été rejetées d'office.
    Il semble s'agir de détenus de longue durée. Pour le ministre, la réponse à leur demande passe avant tout par une meilleure prise en charge psychiatrique des prisonniers afin que ceux-ci ne perçoivent plus leur situation comme source de souffrances insupportables et sans espoir d'amélioration. Ces souffrances, même si elles sont seulement d'ordre psychique, ouvrent droit en effet à l'euthanasie en Belgique…
  • Russie : la Douma proscrit la propagande homosexualiste

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    Nous lisons sur Le Vif : 

    Les députés russes ont adopté vendredi en première lecture une proposition de loi controversée punissant tout acte public constituant une "propagande de l'homosexualité auprès de mineurs".

    Le texte a été voté par 388 voix pour, une contre et une abstention. La proposition de loi a été déposée en mars 2012 à la Douma par le Parlement de la région de Novossibirsk, en Sibérie, qui l'a déjà adopté au niveau local et veut le généraliser à l'ensemble du pays. Outre Novossibirsk, d'autres villes, notamment Saint-Pétersbourg, deuxième ville du pays, ont adopté des textes similaires, suscitant des critiques en Occident et celles des associations qui dénoncent une loi homophobe et liberticide. Selon le texte adopté par la Douma, une personne physique risque de 4.000 à 5000 roubles d'amende (100-125 euros), une personne dépositaire de l'autorité publique, de 40.000 à 50.000 roubles (1.000-1.250 euros) et une entité juridique, de 400.000 à 500.000 roubles (10.000-12.500 euros).

    En introduction des débats vendredi, un député du parti au pouvoir Russie Unie a déclaré qu'il fallait "protéger les mineurs des conséquences de l'homosexualité", tout en assurant que le texte ne condamnait pas l'homosexualité en tant que telle. Une députée de Russie Juste (centre gauche) a pour sa part estimé que la propagande de l'homosexualité limitait "le droit des mineurs à se développer librement" et à choisir librement leur orientation sexuelle. (...)

  • La mort de Jacques Heers

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    Nous lisons sur le blog de l'Histoire :

    Le médiéviste Jacques Heers est mort à Angers le 10 janvier à l’âge de 88 ans.

    Né à Paris, Jacques Heers a été élevé à La Ferté-Bernard dans la Sarthe, où ses parents tenaient un commerce. Après un bon parcours scolaire, il devient instituteur en 1945. Tout en accomplissant sa fonction, il prépare la licence d’histoire à la Sorbonne. Il réussit successivement le Capes puis l’agrégation d’histoire en 1948 et 1949. Entre 1949 et 1951, il devient professeur au Mans, puis à Alençon, et enfin au Prytanée national militaire.

    À partir de 1951, il est rattaché au CNRS. Dès lors, il côtoie Fernand Braudel qui l’envoie en Italie préparer un doctorat d’État consacré à Gênes au XVe siècle. Il soutient sa thèse à la Sorbonne en 1958. À son retour d’Italie, il devient l’assistant de Georges Duby à la faculté des Lettres d’Aix-en-Provence. En 1957, il est nommé professeur à l’Université d’Alger où il exerce pendant cinq ans jusqu’en 1962. Par la suite, il est successivement professeur à Caen, Rouen, Université Paris X et à la Sorbonne.

    Professeur honoraire de l’Université de Paris IV, il avait été vice-président de la SHMESP (Société des Historiens Médiévistes de l’Enseignement Public) de 1971 à 1973.

    Jacques Heers fut un historien indépendant qui ne sacrifia pas au "politiquement et culturellement correct". Ses ouvrages font autorité, par leur rigueur, leur sérieux et leur honnêteté. C'est une référence incontournable pour ceux qu'intéresse l'histoire du Moyen Age et de la Renaissance.

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  • "Il était une foi", un film pour aller à la rencontre des chrétiens persécutés à travers le monde

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    20413305.jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpgSortie en France du film «Il était une foi» de Pierre Barnerias : Deux vélos (Osservatore Romano)

    «Le christianisme est devenu de très loin la religion la plus persécutée. Mais l’occident fait l’autruche. Il fait semblant de rien. Ce n’est rien. Rien que des chrétiens qu’on égorge. Des communautés religieuses que l’on persécute. Mais où cela? – Un peu partout. ». Ainsi écrit le très laïc « Nouvel Observateur » à propos des chrétiens persécutés dans le monde et d’une opinion publique qui sous évalue, redimensionne, voire ignore, le phénomène.

    En France, deux jeunes, d’un peu plus de vingt ans, Charles Guilhamon et Gabriel De Lepinau, ont voulu les connaître et les faire connaître. Parce qu’ils savent qu’une grande partie d’entre eux est victime de violences que dans de nombreux pays ils risquent l’extinction. Mais l’objectif du film n’est pas pour autant de dénoncer cela. Les jeunes ont pris deux vélos et ils sont allés les chercher pour parler avec eux, de leur vie, pour essayer de comprendre la force de leur foi. Comment  celle-ci s’enracine-t-elle et reste-t-elle ferme ? Comment réussit-elle à être forte et même joyeuse dans des situations si difficiles ?

    Un film en est né Il était une foi de Pierre Barnerias qui a été sélectionné pour le festival du cinéma des journées mondiales de la jeunesse à Madrid, et au festival du film spirituel de Barcelone et de Rome et, depuis quelques jours, il est projeté à Paris. Un documentaire sans voiles qui pendant une heure et demie permet au spectateur de voyager avec les deux cyclistes, de parcourir des routes désertes ou noires de monde, du Moyen-Orient jusqu’aux rivages du Pacifique. Puis de traverser, en avion, l’océan jusqu’au Brésil, en pirogue, le fleuve Amazone et, encore, d’arriver jusqu’au Sénégal et l’Algérie avant de revenir, après 365 jours, dans les rues de Paris.

    Lire la suite sur le site de l'Osservatore Romano