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BELGICATHO - Page 1925

  • Maladies rénales : nouveaux espoirs grâce aux cellules souches pluripotentes

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    Alors que certains voudraient à tout prix recourir aux cellules souches embryonnaires en sacrifiant des embryons humains, la recherche de pointe recourant aux cellules souches pluripotentes - qui ne soulève pas de problèmes éthiques - est de plus en plus prometteuse. Ainsi, de nouvelles perspectives concernant le traitement des maladies rénales pourraient se dessiner comme on le découvrira en cliquant sur les liens suivants :

    http://www.genethique.org/?q=content/japon-du-tissu-r%C3%A9nal-obtenu-%C3%A0-partir-de-cellules-ips&pub=20130122230000

    http://www.nature.com/ncomms/journal/v4/n1/full/ncomms2378.html

  • Pilule : la polémique enfle

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    Nous lisons sur gènéthique.org :

    (France) Polémique sur la pilule: 1300 gynécologues signent un manifeste

    En pleine polémique concernant l'usage des pilules de 3ème et 4ème génération, "un manifeste commun du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), de la Fédération nationale des collèges de gynécologies médicale, et de la Société française de gynécologie, a recueilli 1293 signatures de spécialistes". Celui-ci fait suite à l'article du quotidien Le Monde, du 11 janvier dernier, "qui met en cause l'intégrité de 4 gynécologues-obstétriciens, (le Pr Israël Nisand, les Dr Christian Jamin, Sylvain Mimoun et Brigitte Letombe) aux liens d'intérêt avec les laboratoires relativement ténus" (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 11/01/13). Dans leur manifeste, les gynécologues précisent: "Nous, gynécologues et gynécologues-obstétriciens publics et libéraux, leur manifestons notre soutien personnel et professionnel. Nous travaillons tous pour le bien des femmes, avec l'industrie pharmaceutique, dans le respect de la loi et de l'éthique médicale et de la transparence. Nous ne sommes pour autant ni achetés ni vendus". 

    Pourtant, selon le médecin généraliste Sauveur Boukris, l'affaire de la pilule, tout comme l'affaire du Mediator en 2010, sont bien "la conséquence d'un système fondé sur le marketting médical". Dans le cadre de la pilule, il précise: "les laboratoires pharmaceutiques présentent des contraceptifs comme une innovation thérapeutique alors que c'est faux. En les baptisant '3è' ou '4è génération', ils laissent entendre que les précédentes sont obsolètes. Et les médecins tombent dans le panneau!". Enfin, il explique que si "les médecins sont si facilement manipulés", c'est "parce que l'industrie pharmaceutique est leur principale source d'information par l'intermédiaire des visiteurs médicaux ou des congrès". Pour Sauveur Boukris, la solution serait par conséquent que "les médecins et les étudiants [aient] un regard plus critique" mais également "que les autorités de contrôle ne donnent pas trop vite des autorisations de mises sur le marché et que leurs experts ne soient jamais consultants pour les laboratoires". 

    Sources :  legeneraliste.fr 22/01/13 - Le Quotidien du Médecin.fr 22/01/13 - Pèlerin 24/01/13 - 

  • 25-26 février : Laurent Grzybowski à Ellezelles et à Braine-le-Comte

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    Deux concerts de Laurent Grzybowski  

    (source : Diocèse de Tournai)

    Le chanteur chrétien sera le vendredi 25 janvier à Ellezelles et le samedi 26 à Braine-le-Comte. 

    Cela fait vingt-cinq ans que Laurent Grzybowski sillonne les routes de France et d’Europe pour chanter sa joie d’être chrétien. On peut l’écouter dans les églises, mais aussi dans les mouvements de jeunesse et lors de grands rassemblements comme les JMJ, le MEJ (Mouvement eucharistique des jeunes), les scouts de France, les pèlerinages à Lourdes… 

    Les nombreux voyages et missions de ce journaliste de métier l’ont incité à écrire des chansons empreintes de joie, d’espérance, de paix, de fraternité, tout en confrontant ses « auditeurs » aux situations délicates qu’il a côtoyées, comme le tremblement de terre en Haïti. 

    Parmi ses compositions : Marie, témoin d’une espérance / Fais briller ta vie / Mille raisons d’espérer / Tu marches auprès de moi / Vivre debout… sans oublier la Messe d’Emmaüs.

    Laurent se rend partout sur « simple » invitation de paroisses désirant réunir leurs communautés, mais aussi tous ceux qui désirent vivre un moment agréable dans une église, qu’ils soient pratiquants ou non. Il aime souligner qu’il ne vient pas pour « se produire », mais pour vivre un moment de convivialité, d’échanges en mettant son répertoire musical au service de tous, mêlant foi, dynamisme, partages, témoignages.

    Laurent se rend en Belgique depuis une dizaine d’années, à raison d’une fois par an. Venu une première fois pour le CathoCréaZic à Tournai, il a été accueilli également à Frasnes, Mouscron, Tongre-Notre-Dame et Soignies. 

    Il sera de nouveau en Hainaut le week-end prochain.

    A Ellezelles (unité pastorale de Frasnes), il animera un concert-veillée le vendredi 25 janvier 2013 à 20h en l’église Saint-Pierre-aux-Liens. 

    A Braine-le-Comte, le rendez-vous est fixé le samedi 26 janvier, toujours à 20h, en l’église Saint-Géry. Durant l’après-midi, différents temps de témoignages seront proposés aux enfants de la catéchèse et aux confirmands. Le week-end se clôturera par l’animation de la messe de 11h le dimanche 27 janvier, également en l’église Saint-Géry.

    Tout le monde est le bienvenu : enfants, jeunes, adultes, familles, chorales… L’entrée est gratuite.

  • Vol à la chapelle Notre-Dame de Cambron

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    Estinnes-au-Mont : un ciboire volé  
    Un vol par effraction a été commis entre le jeudi 17 janvier (17h) et le samedi 19 janvier (9h) en la chapelle Notre-Dame de Cambron, située rue Rivière à Estinnes-au-Mont (entité des Estinnes, entre Binche et Mons).

    Le cadenas et les serrures ont été forcés. On a volé un ciboire en argent datant de la fin du 18ème siècle ou du début du 19ème. Cet objet d’art est répertorié et photographié dans le répertoire photographique du mobilier des sanctuaires de Belgique.

    Sa description : ciboire, fausse-coupe avec Epis et Raisins, poinçons français (1797-1809) et R, argent, hauteur 37.5 cm, répertorié M 92192’72 (IRPA).

    Toute personne qui pourrait donner des renseignements sur cet objet et ce vol est priée d’avertir :

    M. Pascal VANDEVYVER (SAGEP) t. 069 64 62 43
    e-mail : pascal.vandevyver@evechetournai.be

  • Croire en Dieu à la suite d'Abraham

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    Cité du Vatican, 23 janvier 2013 (VIS). Le Saint-Père a consacré la catéchèse de la l'audience générale au premier article du Credo, Je crois en Dieu. Cette phrase, a-t-il dit, constitue "une affirmation fondamentale, apparemment simple dans son caractère essentiel, mais qui ouvre à l'infini le rapport avec le Seigneur et son mystère. Croire en Dieu implique" d'adhérer et de suivre sa Parole, d'y obéir. "Il s'agit d'un acte personnel et d'une réponse libre" de chacun. "Pouvoir dire croire en Dieu" est de la responsabilité humaine, dans une expérience de dialogue avec celui qui, par amour, parle à l'homme comme à un ami".

    Où peut-on écouter Dieu parlant, s'est demandé Benoît XVI: Avant tout dans l'Ecriture qui nous enseigne la foi en racontant "l'histoire dans laquelle Dieu réalise son projet de salut en se rapprochant des hommes, par le biais...de personnes qui croient en lui et s'en remettent à lui". Abraham est la figure de référence pour croire en Dieu. Il fut capable de quitter son pays "en mettant toute sa confiance en Dieu, confiant dans sa promesse. C'est pourquoi Abraham est considéré comme le père de tous les croyants... Il marcha sans savoir où Dieu le conduisait, mais en totale obéissance... La nuit où il se trouvait était celle de l'inconnu, percée par la lumière d'une promesse... Selon le projet divin, Abraham était destiné à devenir le père d'une multitude de peuples, et à entrer pour s'y établir" dans la terre promise.

    La foi, a poursuivi le Pape, "porta Abraham à parcourir un chemin paradoxal. Il sera béni sans les signes visibles de la bénédiction, recevant la promesse de devenir un grand peuple, alors que sa vie était marquée par la stérilité de son épouse Sarah. Conduit dans une nouvelle patrie, il dut y vivre en étranger". Il fut béni "parce que, dans la foi, il sût discerner la bénédiction divine au-delà des apparences, confiant qu'il était dans la présence de Dieu même lorsque ses voies lui semblaient mystérieuses... Lorsque nous disons; Je crois en Dieu, nous suivons Abraham qui disait: J'ai confiance en toi, Seigneur, je m'en remets à toi". Prononcer ces paroles "signifie fonder en Dieu notre vie, laisser sa parole orienter nos jours et nos choix, sans peur de nous perdre nous mêmes... Abraham le croyant nous enseigne la foi, D'étranger sur la terre, il nous indique la patrie véritable. La foi fait de nous des pèlerins sur la terre, des êtres insérés dans le monde et l'histoire tout en cheminant vers leur patrie céleste. Croire en Dieu fait de nous des porteurs de valeurs qui ne coïncident pas toujours avec la mode ou l'opinion du moment... Dans nombre de sociétés, Dieu est le grand absent. A sa place trônent de nombreuses idoles, au premier plan desquelles l'avoir et le culte du moi. Jusqu'aux grands progrès de la science et de la technique à avoir plongé l'homme dans l'illusion de la toute puissance et de l'autosuffisance. Un égocentrisme croissant a fini par provoquer de nombreux déséquilibres dans les rapports interpersonnels et dans les comportements sociaux".

    "Malgré ce la soif de Dieu ne s'est pas éteinte, et le message évangélique continue de résonner dans les paroles et les actes des croyants. Abraham leur père continue d'être père des nombreux fils qui suivent sa trace et se mettent en route pour obéir à la volonté divine, confiant en la présence du Seigneur... C'est au monde béni de la foi que tout homme est appelé, en avançant sans peur à la suite de Jésus-Christ... Affirmer: Je crois en Dieu nous pousse, à l'instar d'Abraham, à sortir de nous même pour porter dans la réalité quotidienne la certitude qu'apporte la foi de la présence de Dieu dans l'histoire, d'un présence permanente qui porte vie et salut".

  • N'ayez pas peur d'aller à contre-courant

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    Du pape (en français), ce matin, lors de l'audience générale :

    Je salue avec joie les pèlerins francophones, surtout les jeunes ! La foi est un don de Dieu et un engagement personnel. Elle insère le chrétien dans le monde et dans l’histoire. Fiers de votre foi, n’ayez pas peur d’aller à contre-courant ! Résistez à la tentation du conformisme ! Apportez Dieu là où existent les idoles, l’égocentrisme et l’illusion de la toute-puissance de l’homme.
    Bon pèlerinage !

  • Quel avenir pour les chrétiens au Moyen-Orient ?

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    ASIE/IRAQ - Appel de l’Archevêque chaldéen de Kirkuk : « Quel avenir pour les chrétiens au Moyen-Orient ? »

    Kirkuk (Agence Fides) - La situation au Moyen-Orient « est préoccupante, tout comme le sont certains discours sur le printemps arabe que l’on peut entendre de la part de certains dirigeants ». C’est par ces mots que débute l’appel sur l’avenir des chrétiens du Moyen-Orient lancé aujourd’hui par l’Archevêque chaldéen de Kirkuk, S.Exc. Mgr Louis Sako. Le message, publié en exclusivité par l’Agence Fides, appelle de ses vœux une initiative du Saint-Siège et de l’Eglise universelle destinée à mobiliser la communauté internationale au profit des chrétiens du Moyen-Orient.

    Selon Mgr Sako, le « mélange d’ethnie, de religions et de langues » présent dans la zone conduit fatalement à des tensions et à des conflits dans la mesure où dans cette région « ne s’est jamais affirmé un critère de citoyenneté en mesure d’intégrer tous les présents, à quelque religion ou ethnie qu’ils puissent appartenir ». Les processus de désagrégation actuellement en cours en Irak – et qui pourraient toucher à l’avenir également la Syrie – « aggravent la situation » selon l’Archevêque dans la mesure où la sécurité n’est plus garantie du fait des carences du pouvoir institutionnel, des espaces d’action s’ouvrant ainsi aux groupes criminels et extrémistes.

    Dans ce contexte, l’incertitude se transforme aisément pour les chrétiens au Moyen-Orient en inquiétude et en peur. « Nous demandons si cela est encore possible, de concevoir une coexistence harmonieuse et digne de ce nom » écrit l’Archevêque chaldéen, mentionnant les discriminations subies par ceux qui ne suivent pas ce qu’il qualifie de « religion d’Etat ». Cette condition est aggravée par les stratégies de différents sujets géopolitiques dans la région : « La communauté internationale – note l’Archevêque, se référant évidemment au conflit syrien – croit qu’il est possible d’améliorer la situation en soutenant un programme incertain afin de parvenir à la démocratie par les armes ! Le résultat est l’affrontement entre une opposition armée et un régime qui détruit tout ».

    L’espérance manifestée par Mgr Sako est que le secours de l’Eglise aux chrétiens du Moyen-Orient se manifeste sous des formes toujours plus concrètes. « On dit qu’ici, le Christianisme a fleuri et que notre présence est importante – note l’Archevêque de Kirkuk – mais on ne dit jamais ce qui rend possible de persévérer dans l’espérance ». Selon Mgr Sako, « ces Eglises d’origine apostolique méritent un soutien adéquat de la part de l’Eglise universelle dans leur mission de communion et de témoignage ». Un « soutien international favorisé par l’Eglise universelle serait d’un grand secours pour tenter de garantir à tous une vie digne ». L’Archevêque reconnaît en particulier au Saint-Siège « un rôle crucial » afin de « garantir aux chrétiens la possibilité de vivre dans leur propre pays et de demeurer à leur place ». Mais les chrétiens du cru sont eux aussi placés devant leurs responsabilités, tout comme le sont les musulmans. Selon Mgr Sako, les chrétiens de la région doivent fuir le « piège du nationalisme » et proposer toujours à tous « les formes de l’amour vécues et prêchées dans le Nouveau Testament » alors que les musulmans « doivent moderniser l’application de l’enseignement du coran ». La formule idéale proposée par l’Archevêque est celle de la « laïcité positive » qui « respecte la religion et peut exprimer un regard plus adapté sur la personne », un regard ayant émergé dans la Déclaration sur la liberté religieuse promulguée par le Concile Vatican II et selon lequel « les droits humains ne sont pas suspendus dans les airs, séparés des personnes concrètes qui devraient pouvoir les exercer ». (GV) (Agence Fides 23/01/2013)

  • Les humains, une plaie pour la planète ?

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    Il semble bien que oui si l'on s'en réfère aux propos de Sir David Attenborough épinglés par Jeanne Smits:

    « Nous sommes une plaie sur la Terre. Cela se jouera sur les quelque cinquante années à venir. Ce n'est pas seulement le changement climatique ; c'est une question de place, juste de place : celle qu'il faut pour faire pousser la nourriture nécessaire à cette horde gigantesque. Soit nous limitons notre croissance de la population, soit le monde naturel le fera pour nous, et le monde naturel le fait pour nous à l'heure où je vous parle. »

    C'est ce qu'a déclaré Sir David Attenborough, réalisateur de films et de documentaires télévisés sur la nature à Radio Times, cité par le Daily Telegraph.

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  • Un ordinariat pour les luthériens : une mauvaise idée ?

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    Nous avions fait écho à cette initiative visant à créer, à l'instar de ceux qui accueillent déjà des anglicans revenus au bercail, un ordinariat pour les luthériens. Cela fait des vagues du côté protestant comme le souligne Natalia Trouiller dans la Matinale (La Vie) de ce jour :

    ORDINARIAT LUTHERIEN: UN "MAUVAIS SIGNAL"
    L'annonce, par le cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour l'unité des chrétiens, que le Vatican pourrait créer un ordinariat spécifique destiné à accueillir les luthériens qui ne se sentiraient plus en phase avec leur Eglise a semble-t-il provoqué une émotion intense dans le monde protestant. Reuters rapporte que le révérend Martin Junge, secrétaire de la Fédération luthérienne mondiale, a déclaré dans un communiqué que la suggestion vaticane avait "provoqué une grande inquiétude et enverrait de mauvais signaux aux Eglises luthériennes de par le monde". En Allemagne, l'évêque luthérien Friedrich Weber, chargé des relations avec l'Eglise catholique, a qualifié cette suggestion "d'incitation anti-oecuménique à changer de camp".

    C'est évidemment tout le problème, particulièrement d'actualité en cette semaine pour l'unité des chrétiens : doit-on envisager un retour des "frères séparés" au bercail catholique comme on le pensait jadis, ou faut-il imaginer un oecuménisme en aval où les différentes Eglises chrétiennes se réconcilieraient et "fusionneraient", en quelque sorte ?

  • Vietnam : la difficulté d'être chrétien

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    Alors que le pape Benoît XVI a reçu hier en audience privée le numéro un du Parti communiste vietnamien, les difficultés restent nombreuses pour les chrétiens d'un pays classé récemment 21e dans la liste des Etats qui persécutent le plus les chrétiens.

         Plus que l'Egypte, mais moins que l'Arabie Saoudite. La 21e place que le Vietnam a décrochée dans l'Index mondial des persécutions anti-chrétiennes 2013 lui fait côtoyer des Etats peu recommandables, et lui vaut cette mention de l'ONG Portes Ouvertes, qui rédige cet index: "Tout optimisme concernant l’amélioration de la liberté religieuse semble disparaitre. Il existe un fort contraste entre la situation « officielle » et la réalité sur le terrain. D’importants conflits ont opposé des églises et le gouvernement à cause de la confiscation de leurs biens qui ont eu lieu au cours de l’année 2009. De nombreux chrétiens ont été frappés et arrêtés pendant des manifestations. De nombreuses églises et monastères ont été détruits. Les médias tentent de décrédibiliser les chrétiens et de nuire à l’image du christianisme".

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    A souligner également, le silence de la presse vietnamienne après la rencontre entre le pape et le n° 1 du PC vietnamien. (EDA-MEP)

  • Vrai ? Bon ? Utile ? Nous tamisons...

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    Quelqu’un vient un jour trouver Socrate et lui dit :
    "Sais-tu ce que je viens d’apprendre sur ton ami?
     
    - Un instant, répondit Socrate. Avant que tu me racontes, j’aimerais te faire passer le test des 3 tamis.
    - Les 3 tamis?
     
    Le premier tamis est celui de la vérité.
    As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai?
    - Non. J’en ai simplement entendu parler...
    - Tu ne sais donc pas si c’est la vérité.
     
    Essayons de filtrer en utilisant un autre tamis, celui de la bonté.
    Ce que tu veux m’apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bon ?
    - Ah non ! Au contraire.
    - Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n’es même pas certain si elles sont vraies.
     
    Tu peux peut-être encore passer le test, car il reste un tamis, celui de l’utilité.
    Est-il utile que tu m’apprennes ce que mon ami aurait fait ?
    - Non. Pas vraiment.
     
    Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n’est
    ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ?"
     
    Paroles de sagesse de Socrate dont nous avons décidé de nous inspirer avant de mettre en ligne de nouvelles informations. Vrai ? Bon ? Utile ? Cela s'apparente à l'exercice recommandé dans l'Evangile consistant à tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de dire quelque chose.

  • Sur les principes non négociables (mise à jour 23/01)

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    Les principes non négociables : un défi éducatif
    Inauguration d'une Ecole de formation politique

    Mgr Enrico Dal Covolo

    Sur Zenit.org, la publication de la synthèse du discours de Mgr Enrico Dal Covolo, recteur de l’Université pontificale du Latran, à l’occasion de l’inauguration de l’Ecole de formation politique promue par le mouvement italien "Politique Ethique Responsabilité" (PER), lundi 14 janvier 2013, au Latran (pour le programme, cliquer sur ce lien: http://www.pul.it/wp-content/uploads/2012/11/SFP2013.pdf).

    Intervention de Mgr Enrico Dal Covolo

    […] La politique pourra se sauver de la situation de déclin dans laquelle elle est en train de verser, à la seule condition qu’elle récupère avec clairvoyance et profondeur de pensée son ancrage éthique. D’où l’occasion qui lui est fournie de se confronter avec l’objet formel du cycle de leçons qui commence aujourd’hui, précisément sur les fameux « principes non négociables ».

    Comme on le sait bien, cette expression a été introduite il y a dix ans (novembre 2002), par une intervention de source autorisée de la Congrégation pour la doctrine de la foi et intitulée « Note doctrinale sur certaines questions concernant l’engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique ». Ces questions ont été ensuite illustrées à plusieurs reprises par le magistère du pape Benoît XVI et par d’autres prises de position des épiscopats au niveau national, entre autres en Italie.

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