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BELGICATHO - Page 1927

  • Les catholiques écossais victimes de violences sectaires

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    Les catholiques écossais, victimes d'une violence sectaire

    source : Radio Vatican 

    La christianophobie n’épargne pas l’Europe. Bien au contraire. En Ecosse, notamment, les catholiques sont victimes de violence, alors qu’ils ne représentent que 16% de la population. A tel point que l’Eglise locale tire la sonnette d’alarme. Cela dure depuis quelques années, mais le dernier rapport officiel est alarmant.

    Ce rapport parle de 509 agressions anticatholiques, pour la période 2011-2012, soit 58% de l’ensemble des violences sociales. D’une manière générale, les attaques à caractère religieux ont augmenté de 26% en Ecosse. Cela peut aller d’une simple injure jusqu’à la violence physique. Les incidents sont particulièrement fréquents lors des matchs de foot au détriment des supporters du Celtic, un club catholique, fondé en 1888 pour les immigrés irlandais qui avaient fui la famine. Ils n’avaient pas le droit, à l’époque, d’adhérer au club des Rangers. 

    Le sectarisme institutionnel a cédé la place à une culture anticatholique

    Mais la violence en milieu sportif ne représente que 15% des épisodes de violence sectaire en Ecosse. Le président de la conférence des évêques, Mgr Philip Tartaglia, a demandé aux autorités de prendre des mesures efficaces pour assurer la protection de la communauté catholique. Selon lui, un climat antireligieux se développe et les croyants vivent dans l’insécurité. Les catholiques tiennent bon ; ils veulent participer à la vie de la société. Mais l’archevêque de Glasgow estime que la diffusion d’une culture anticatholique est une réalité que le gouvernement va devoir affronter. 

    L’année dernière déjà, Mgr Tartaglia avait affirmé que le sectarisme institutionnel du passé - qui discriminait les catholiques dans le monde du travail et vis-à-vis de la justice - avait cédé la place aujourd’hui à une discrimination sociale encore plus sournoise et tenace, qui s’intensifie ; une hostilité systématique qui atteint des niveaux inquiétants. 

    source

  • Les chrétiens du Karnataka sont systématiquement pris pour cible

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    Karnataka (Inde) : les chrétiens cibles d'attaques violentes (Asia.news)

    Un prêtre catholique du diocèse de Mysore rapporte la dernière attaque contre la communauté. Sajan George, président du Conseil mondial des chrétiens indiens (GCIC), rappelle que le «droit à la vie implique le droit à vivre dans la dignité humaine."

    Mumbai (AsiaNews) - La communauté chrétienne du Karnataka est régulièrement et systématiquement prise pour cible, selon le père Joseph SD, un prêtre catholique du diocèse de Mysore. Il s'est exprimé après la dernière attaque anti-chrétienne dans l'état où, depuis le début de l'année 2012, quelque 40 incidents de violence anti-chrétienne ont été rapportés.

    Dimanche dernier, des vandales ont mis le feu à des voitures appartenant à deux catholiques, Winston Philippe, de Vijayanagar, et Pinto Anand, de Mahadeswaranagar.

    Les auteurs de l'acte sont toujours en fuite, mais «il est clair que les chrétiens étaient les cibles", a déclaré le père Joseph. «Les autorités doivent redoubler de vigilance et identifier les coupables sans plus tarder."

    En ce qui concerne les attaques anti-chrétiennes au Karnataka, Sajan George, président du Conseil mondial des chrétiens indiens (GCIC), a noté que «l'article 21 de la Constitution garantit le droit à la vie et à la liberté»,

    Plus important encore, «la Cour suprême de l'Inde a récemment statué que le terme « vie » de cette expression ne signifie pas seulement une existence physique ou animale. Le droit à la vie implique le droit à une vie dans la dignité humaine», a-t-il expliqué.(NC)

  • Benoît XVI devant la crèche

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    Sur son « metablog »,  l’abbé Guillaume de Tanoüarn publie en avant-première une présentation à paraître dans le journal « Le Monde » du livre de Benoît XVI sur l’enfance de Jésus :

    « Voici la critique à paraître dans l'excellent journal Monde et Vie, signée par mon alter ego Joël Prieur et publiée ici avec l'accord du directeur :

    C’est le livre  que l’on peut offrir sans risque comme cadeau de Noël. L’enfance de Jésus de Benoît XVI vient de paraître aux éditions Flammarion. Après deux volumes publiés sur Jésus de Nazareth, voici comme un portique d’entrée pour la grande œuvre. Nous l’avons emprunté, ce portique. C’est une bonne occasion de méditer avec le pape.

    On commence à connaître le style de Benoît XVI… Des phrases simples, précises. Aucune volonté de sensationnel, pas de captatio benevolentiae, pas d’effets de manche, mais une volonté inexorable de s’inscrire au cœur du problème considéré et d’y atteindre par les mots les plus simples, tout en s’y installant de la manière la plus claire. Du côté du lecteur, une seule condition est requise : l’attention. Ce livre est fait de multiples coups de projecteurs sur chaque détail des Evangiles de l’Enfance du Christ. Il faut accepter de le lire lentement. De déguster !      

     Laissons donc le pape braquer son projecteur et profitons de la leçon de cet auguste professeur….

    Voici le chant des anges : « Gloire à Dieu au plus haut des Cieux et Paix sur la terre aux homme de sa bienveillance ».

    A propos de la deuxième partie de ce texte, le pape relève deux choses : l’inexactitude de la plupart des traductions à propos des « hommes de bonne volonté ». Le grec porte « anthropois eudokias »… Eudokia signifie le choix, la bienveillance, ou d’après la traduction liturgique allemande la grâce. Pas du tout l’idée de « bonne volonté », même si elle a aussi du sens. Par ailleurs Benoît XVI s’insurge contre ceux qui veulent souhaiter à Dieu la gloire : « La gloire de Dieu n’est pas une chose que les hommes peuvent produire (que soit à Dieu la gloire). La gloire de Dieu existe. Dieu est glorieux, et c’est vraiment un motif de joie : la vérité existe, le bien existe, la beauté existe. Ces réalités sont en Dieu de façon indestructible ». Et ainsi, on retrouve, jusque dans la nuit de Bethléem la lutte contre le relativisme qui est la grande caractéristique de la pensée du pape et de son pontificat. Est-ce parce que c’est un philosophe impénitent ? Cette référence à l’objectivité divine de la vérité n’empêche pas le pape d’écrire sur la même page, dans un autre registre, celui de la poésie théologique que « le chant de louange des anges n’a jamais cessé. Il continue à travers les siècles  sous des formes toujours nouvelles et dans la célébration de la naissance de Jésus il résonne toujours sur un mode nouveau. Jusqu’à aujourd’hui le simple peuple des croyants s’unit à leur mélodie, exprimant par le chant la grande joie que Jésus donne depuis lors à tous jusqu’à la fin des temps ».

    J’ai pris cet exemple pour vous faire sentir le cocktail d’érudition, de réflexion personnelle et de poésie mystique qui constitue ce petit livre. On peut dire à la fois que le pape ne refuse a priori aucune des objections de l’exégèse critique. Il pèse chacune à l’aune de sa vraisemblance et à l’aune de la foi qui l’anime. Mais, tout en s’appuyant sur cette science, ce livre est plus qu’un livre de science. S’e n dégage une sagesse qui donne envie d’être chrétien, à ceux qui veulent bien prendre le temps de lire pour apprendre à connaître… Quelle meilleure préparation spirituelle aux fêtes de Noël ?

    Joël Prieur

    Prix : 15 euros »

     Benoît XVI devant la crèche

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (28/11/2012)

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    Comité consultatif de Bioéthique : 2 nouveaux avis

  • Comment parler de Dieu aujourd'hui ?

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    (Vatican Information Service) Le Saint-Père a consacré sa catéchèse de l'audience générale (de ce mercredi 28 novembre) à la question de savoir "comment parler de Dieu aujourd'hui, comment diffuser l'Evangile pour ouvrir le monde à la vérité qui sauve... En Jésus, nous voyons le visage de Dieu, venu s'immerger dans l'humanité pour enseigner aux hommes l'art de vivre et la voie du bonheur, la libération du péché et la façon de devenir pleinement fils de Dieu... Parler de Dieu signifie avant tout être convaincus de porter à nos contemporains un Dieu qui nous a parlé: Non pas un Dieu abstrait, une hypothèse de Dieu, mais un Dieu concret, un Dieu existant, entré dans l'histoire et présent dans l'histoire". Nous devons donc proposer "le Dieu de Jésus-Christ comme réponse à la question fondamentale de la vie: pourquoi vivre, comment vivre. Ceci réclame donc de grandir constamment dans la foi, dans la familiarité de Jésus et de l'Evangile, dans une connaissance approfondie de Dieu et un total engagement dans son projet salvifique... Sans craindre l'humilité des petits pas, nous devons avoir confiance dans le levain qui pénètre lentement la pâte pour la faire lever. Evangéliser sous la guide de l'Esprit nécessite de la simplicité, un retour à l'essentiel dans l'annonce de la Bonne Nouvelle...du Dieu d'amour qui s'approche de l'homme en Jésus-Christ jusqu'à la croix et à la résurrection pour nous ouvrir la voie de la vie éternelle". Puis Benoît XVI a rappelé que pour saint Paul, "communiquer la foi ne signifiait pas se proposer soi même, mais déclarer publiquement ce qu'il avait vu et entendu dans sa rencontre du Christ, expliquer comment elle avait bouleversé sa vie... Il ne se contenta pas de prêcher, mais engagea tout son être et toute son existence dans le grand oeuvre de la foi. De fait, pour parler de Dieu, il faut lui laisser la place car c'est lui qui agit à travers nos faiblesses, il faut s'écarter simplement, assurés de ce que plus nous le plaçons au coeur de nos actes plus notre communication sera fructueuse... Ceci vaut aussi pour les communautés chrétiennes, qui sont appelées à manifester l'action de la grâce divine qui permet de dépasser nos individualismes et notre étroitesse d'esprit, nos égoïsmes et notre indifférence".

    "Et puis nous devons nous demander comment Jésus communiquait, parlant du Père...et du Royaume, plein de compassion pour la dureté de la vie des hommes... On voit dans les Evangiles combien il était attentif à chacun des cas qu'il rencontrait, comment il s'immergeait dans la réalité des gens de son époque, totalement confiant dans l'assistance du Père... En lui l'annonce et la vie se mêlent. Jésus enseignait toujours sur la base d'un rapport direct avec le Père, d'une manière qui est devenue essentielle pour les chrétiens. Notre mode de vie dans la foi et dans la charité est un moyen de parler de Dieu au quotidien, car nous vivons dans le Christ la crédibilité de ce que nous disons avec ses mots. C'est pourquoi il nous faut être attentifs aux signes des temps, à leur potentiel, aux obstacles et aux attentes qui parcourent la culture comme le besoin d'authenticité et de transcendance, l'attention envers la sauvegarde de la nature. Il nous faut communiquer sans crainte la réponse que la foi offre... Parler de Dieu signifie donc faire comprendre en paroles et en actions qu'il n'est pas le concurrent de notre vie mais son garant, le garant de la grandeur de la personne. Cela signifie communiquer l'essentiel avec force et simplicité, c'est à dire le Dieu de Jésus-Christ, le Dieu qui a montré la grandeur de son amour en s'incarnant, en mourant et en ressuscitant pour nous, le Dieu qui nous demande de le suivre et de nous laisser transformer par son amour immense..., le Dieu qui a donné l'Eglise, afin de cheminer ensemble, dans la Parole et dans les sacrements, pour rénover l'humanité et qu'elle devienne la Cité de Dieu".

  • Le parler peu clair de Madame Scaraffia

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    A propos de la rencontre des comités européens de bioéthique qui a eu lieu à Rome, Lucetta Scaraffia, dans l'Osservatore Romano, se lance dans des questions et des suggestions qui peuvent laisser perplexe :

    "Que fait l’Eglise face à tout ce travail culturel et pédagogique, qui en grande partie fait abstraction de son enseignement, même si quelques catholiques appartiennent à ces comités? Que fait-elle pour ne pas rester exclue, pour faire connaître ses réflexions, sa pensée? Les principes non négociables doivent, pour chaque cas particulier, être déclinés, expliqués, soutenus. C’est-à-dire défendus avec les armes de la culture et de la raison.

    Pour réussir à être présente et à faire autorité dans ce contexte, il serait utile que l’Eglise elle-même promeuve  des lieux d’approfondissement interdisciplinaires, en particulier grâce à l’aide de laïcs catholiques, pour discuter, approfondir, anticiper les problèmes, et surtout communiquer à l’extérieur ses résultats. Il serait en somme utile de créer un point de référence bioéthique qui accompagnerait les problèmes qui se présentent, mais aussi en mesure de deviner les questions  qui vont se présenter, en vue d’anticiper les conséquences de certains choix et d’éclaircir l’application de la morale catholique dans chaque cas particulier. En effet, ce qui est en jeu est d’une importance primordiale: précisément comme l’ont dit les représentants des comités au congrès de Rome, il s’agit ici de l’être humain, de son identité et de sa défense. Cela vaut la peine de jouer la partie jusqu’au bout, en participant au débat lui-même."

    Tout cela est peu clair. Que suggère, au juste et concrètement, l'éditorialiste du journal du Vatican ?

  • Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende...

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    Le cardinal Tauran à l’inauguration du Kaiciid à Vienne

    Une autre opportunité de dialogue

    source : Osservatore Romano

    C’est pour moi un grand honneur de transmettre à cette assemblée les salutations de Sa Sainteté le Pape Benoît XVI, ainsi que ses vœux  les plus fervents pour le succès de l’activité de ce Centre pour le dialogue. Mesdames et Messieurs, nous sommes observés. Chacun attend de l’initiative de sa majesté le roi Abdullah, avec le soutien des gouvernements d’Autriche et d’Espagne, avec l’assistance du Saint-Siège comme observateur fondateur, honnêteté, ouverture et crédibilité.

    Le centre présente une autre opportunité pour ouvrir un dialogue sur de nombreux thèmes,  notamment ceux relatifs aux droits humains fondamentaux, en particulier à la liberté religieuse sous toutes ses formes, pour tout homme, toute communauté, partout.

    A cet égard, vous comprendrez que le Saint-Siège est particulièrement attentif au sort des communautés chrétiennes dans les pays où une telle liberté n’est pas suffisamment garantie. Information, nouvelles initiatives, aspirations et peut-être aussi certains manquements seront soumis à notre attention. Le Centre aura ensuite la tâche – et lorsque c’est possible avec la coopération d’autres organisations – de vérifier leur authenticité et d’agir en conséquence, afin que nos contemporains ne soient pas privés de la lumière et des propositions que la religion offre pour le bonheur de tout être humain.

    Les croyants doivent œuvrer et soutenir tout ce qui favorise la personne humaine dans ses aspirations matérielles, morales et religieuses. Ainsi sont requises trois attitudes : le respect de l’autre dans sa spécificité ; la connaissance objective réciproque de la tradition religieuse de chacun, notamment à travers l’éducation ; la collaboration afin que notre pèlerinage vers la Vérité soit réalisé dans la liberté et la sérénité.

    En conclusion et pour citer le Pape Benoît XVI, je voudrais vous assurer de la coopération de l’Eglise catholique : «Par sa présence, sa prière et ses différentes œuvres de miséricorde, spécialement dans le domaine éducatif et sanitaire, elle souhaite donner ce qu’elle a de meilleur. Elle veut se montrer proche de celui qui est dans le besoin, de celui qui cherche Dieu». (Benoît XVI, Voyage apostolique au Bénin, cérémonie de bienvenue, 18 novembre 2011). Je crois que nous devons travailler dans cet esprit de fraternité et d’amitié !

      Jean-Louis Tauran - 28 novembre 2012 - Osservatore Romano

  • Une vraie solidarité oecuménique

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    Lu sur le blog « salon beige »

    « Le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou a adressé une lettre au cardinal André Vingt-Trois, dans laquelle il exprime le soutien et la volonté du Patriarcat de Moscou de travailler ensembler au nom de la défense des valeurs chrétiennes. Texte de la lettre :

    "Éminence !

    Ma lettre fait écho à l’inquiétude que suscitent les renseignements arrivant de France sur le projet de loi prévoyant la légalisation des mariages homosexuels élaboré par le Parti socialiste au pouvoir. J’aimerais exprimer par la présente ma solidarité et mon soutien à votre position conséquente et sans compromis qui met en évidence le point de vue vraiment chrétien sur ce problème.

    Nous observons avec regret l’érosion des principes moraux dans la vie privée et publique qui se produit dans un pays ayant de profondes racines chrétiennes. J’aimerais assurer votre Éminence de ce que le Patriarcat de Moscou est prêt à agir en commun avec la Conférence des évêques de France pour la défense des valeurs éthiques de l’Évangile.

    Il est heureux que les Français demeurés fidèles à la morale traditionnelle ne soient pas restés indifférents à une initiative des autorités françaises inacceptable pour les chrétiens. Les nombreuses manifestations qui se sont déroulées récemment dans plusieurs villes de la République contre la légalisation des unions de personnes du même sexe. J’espère que les forces saines de la société française continueront à défendre activement la morale traditionnelle.

    Je profite de l’occasion pour souhaiter à votre Éminence meilleure santé, forces morales, fermeté et aide de Dieu dans vos labeurs."

    Avec mon affection dans le Seigneur,

    Hilarion, métropolite de Volokolamsk, président du département  des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou ».

    Ici : Mariage : le Patriarcat de Moscou est prêt à aider les chrétiens de France

  • Les appels de @BenedictusPPXVI

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    Anita Bourdin, sur ZENIT.org, se fait l'écho de cette innovation :
    Benoît XVI, pape de l'ère numérique et des réseaux sociaux - Les appels de @BenedictusPPXVI

    La présence de Benoît XVI sur Twitter  - @BenedictusPPXVI  - et les nouveaux media du Vatican feront l’objet d’une présentation au Vatican, lundi 3 décembre. Benoît XVI, pape de l’ère numérique et des réseaux sociaux, a été le premier pape a envoyer des sms. Il sera aussi le premier à confier ses messages et appels à Twitter.

    La conférence de presse rassemblera le président du Conseil pontifical pour les communications sociales, Mgr Claudio Maria Celli, , le secrétaire de ce dicastère, Mgr Paul Tighe, le P. Federico Lombardi, S.I., directeur de la sale de prese du Saint-Siège, de Radio Vatican et du Centre de télévision du Vatican, du directeur de L’Osservatore Romano, Gian Maria Vian.

    Pour la première fois aussi depuis sa nomination, en juin dernier, l’ancien journaliste américain, conseiller de la secrétairerie d’Etat pour les media, Greg Burke, de l’Opus Dei.

    La rencontre aura aussi lieu en présence de Claire Díaz-Ortiz, directrice de « Social Innovation » pour Twitter.

    Pie XI a lancé Radio Vatican : c'était le 12 février 1931. Pie XI a diffusé, en présence de Guglielmo Marconi, son premier message radio, en latin. Jean-Paul II a pour la première fois publié une exhortation apostolique post synodale - sur l’Eglise en Océanie - en cliquant sur un ordinateur portable, en novembre 2001.

    Benoît XVI a été le premier pape à envoyer des « sms » aux jeunes pour la JMJ de Sydney en 2008.

    Il devient aussi le premier pape « numérique » à envoyer des « tweets», tout en aimant écrire ses discours à la main,  voire au crayon de papier, laissant à sa collaboratrice allemande la saisie des textes.

    Son compte sur Twitter est : @BenedictusPPXVI, a annoncé le P. Lombardi. Il compte déjà des milliers d’abonnés.

    Ce compte existe en effet depuis le printemps 2012 avec et Mgr Celli a annoncé que les messages de Benoît XVI et notamment ses appels à la solidarité et à la paix seraient accessibles sur Twitter avant la fin de l’année.

  • La violence des militants homosexualistes et la partialité des médias

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    Sous le titre "des nouvelles du front démocratique", Koz expose sur son blog "deux situations qui en disent long, et dans lesquelles s’illustrent trois facteurs : le mépris de l’exécutif et de la majorité parlementaire, la violence des militants homosexuels et une évidente partialité médiatique."

    Lire cette note

  • Musique en Wallonie sort trois nouveaux cd de musique ancienne et religieuse

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    deorto.jpgPrésentation sur le site (culture) de l'Université de Liège :

    La maison de disques Musique en Wallonie, dont le siège se situe à l’ULg, poursuit activement sa mission de valorisation du patrimoine musical classique belge francophone. En ce mois de novembre, son catalogue vient de s’enrichir de trois nouvelles productions. Cap sur l’Allemagne et l’Italie !

    Plus de cent cinquante productions distribuées dans une vingtaine de pays et une multitude de récompenses obtenues : tel est le bilan dont le label Musique en Wallonie peut se targuer après quarante ans d’activité, dignement fêtés l’année passée ; succès auquel est venue s’ajouter, au mois de septembre dernier, la distinction d’officier du Mérite wallon.

    La firme de disques n’entend pas pour autant se reposer sur ses lauriers. Les domaines abondent où le patrimoine musical de la Communauté Wallonie - Bruxelles attend encore d’être valorisé. Aussi, trois nouveaux CD viennent d’être édités, respectivement consacrés à l’office de Charlemagne, à Marbrianus de Orto et Josquin Desprez, ainsi qu’à Roland de Lassus. On y retrouve, comme à l’accoutumée, les ingrédients qui font les délices des disques de Musique en Wallonie : des interprétations de haute qualité, fruits d’une étroite collaboration entre chercheurs et artistes de renom, le tout accompagné par un texte de présentation particulièrement complet, disponible en français, allemand, néerlandais et anglais.

    Voir la présentation des trois cd

  • Gino Bartali, un champion, un croyant et un héros

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    Dans la note précédente consacrée au cardinal Dalla Costa, nous avons relevé la présence de Gino Bartali au sein du groupe de ceux qui se sont mobilisés pour soustraire le plus possible de juifs aux recherches des Allemands. D'après "popnsport"

    le cycliste Gino Bartali a sauvé 800 Juifs durant la Seconde Guerre Mondiale

    Il y a des exploits à côté desquels les performances sportives sont bien ridicules. Double vainqueur du Tour d’Italie (1936, 1937) et du Tour de France (1938, 1948), Gino Bartali a vu sa carrière de cycliste tronquée par la Seconde Guerre Mondiale, alors qu’il était au top de sa forme.

    Il a réussi un autre exploit entre 1943 et 1945 en faisant passer de faux papiers pour sauver 800 juifs italiens. Très pieux, le cycliste a ainsi modifié son parcours d’entraînement lorsque l’Italie a sombré dans le fascisme, en septembre 1943.

    Depuis Florence, il se rendait ainsi au couvent de San Quirico, près d’Assise. Mais ce trajet de 200 kilomètres n’était pas dû au hasard, apprend-on grâce aux recherches de son fils. En fait, Gino Bartali parcourut ce chemin plus de quarante fois avec des documents et des photos cachés dans le guidon et sous la selle de son vélo. Une fois arrivé au couvent, il les remettait à la sœur supérieure qui les transmettait à une imprimerie clandestine où ils étaient falsifiés.

    Très pieux, le catholique Gino Bartali ne s’est jamais vanté de son acte

    L’opération a permis à 800 Juifs de fuir l’Italie de Benito Mussolini pour trouver refuge en Suisse. Gino Bartali, lui, n’a jamais eu de problème grâce à sa notoriété. Les soldats allemands, admiratifs, lui demandaient même de leur signer des autographes sur le chemin.Surtout, le champion n’avait jamais parlé de cette histoire à ses proches, ni à son entourage.
    « Le bien, c’est quelque chose que tu fais, pas quelque chose dont tu parles », expliquait-il ainsi. « Certaines médailles sont accrochées à ton âme, pas sur ton blouson ».