Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

BELGICATHO - Page 679

  • Indonésie : un signal clair sur le port du hijab dans le pays musulman le plus peuplé du monde

    IMPRIMER

    De Ludovic Lavaucelle sur la Sélection du Jour :

    Revers des islamistes sur le port du voile en Indonésie

    Les écoles indonésiennes n’ont plus le droit d’imposer le port du hijab. Le gouvernement, par la voix du Ministre de l’Education, a envoyé un signal clair la semaine dernière sous peine de sanctions. Un scandale a éclaté suite à la diffusion sur les réseaux sociaux d’une vidéo montrant une jeune fille chrétienne de 16 ans à qui on intimait l’ordre de porter le hijab dans son école de Padang (Sumatra occidental). Jusqu’alors, 20 des 34 provinces du pays imposaient le port de ce vêtement religieux pour toutes les élèves et enseignantes de leurs écoles publiques. Des millions d’Indonésiennes, y compris celles issues de minorités non musulmanes, faisaient l’objet d’intimidations, voire étaient menacées d’expulsion, si elles s’opposaient à cette règle. Les écoles ont maintenant un mois pour adapter leurs règlements intérieurs.

    Le hijab est devenu un phénomène de société dans un certain nombre de pays musulmans au début des années 80, rappelle Kunwar Khuldune Shahid, correspondant pakistanais du magazine britannique « The Spectator » (en lien ci-dessous). La rivalité entre Saoudiens et Iraniens pour imposer leurs visions respectives d’un islam « pur », a eu des répercussions dans tout le monde musulman. Les Saoudiens ont massivement investi dans les pays de l’Asie du Sud-Est, important même leur architecture de mosquées et gagnant une indéniable influence politique. Ce conflit entre sunnites et chiites est toujours brûlant. Plusieurs chefs d’Etats sunnites, tels Recep Tayyip Erdogan (Turquie), Mahatir Mohamed (jusqu’à peu Premier Ministre malaisien), et Imran Khan (Pakistan) ont fait preuve de jusqu’au-boutisme, important un extrémisme qui nuit avant tout aux femmes non musulmanes. Côté chiite, l’Iran impose le voile depuis la révolution de 1979. La résistance d’activistes ne s’est jamais éteinte, et celles qui ne se plient pas à la règle sont accusées « d’incitation à la prostitution », avec peines de prison et coups de fouet à la clé. L’actuel leader iranien, Sayyid Ali Khamenei, ne donne aucun signe de fléchissement. Il a d’ailleurs cette semaine affirmé que « les femmes iraniennes n’avaient jamais connu meilleur sort qu’aujourd’hui ».

    Lire la suite

  • Transsexualité et consentement : la manipulation des enfants

    IMPRIMER

    D'Arnaud Dumouch :

    Transsexualité et consentement : la manipulation des enfants (8 mn)

    Il est frappant de voir qu'il a fallu 50 ans pour que la génération de mai 68 et les abus de la "révolution sexuelle" nous soient manifestés en plein visage. En France, l'affaire Olivier Duhamel et ses abus sur son beau-fils de 12 ans semblent être le début d'une vaste manifestation. Il est probable que les Jack Lang, Daniel Cohn-Bendit font en ce moment le dos rond en espérant passer entre les gouttes, eux qui signèrent en 1977 la fameuse pétition du journal Libération visant à légaliser la pédophilie.

    Mais revenons à ce qui se vit aujourd'hui : 
    L'idéologie du genre, en train de se répandre en Europe et accompagnée par la bienveillance de parents sans repères, constitue une vraie manipulation des enfants. Elle aboutit à une multiplication de l’hésitation des enfants sur leur sexe. Mais elle ne déstabilise pas que leurs esprits. Elle conduit de plus en plus, avant 18 ans, à des traitements hormonaux ou pire, à des opérations. 

    Faudra-t-il de nouveau attendre 50 ans pour que les adultes se rendent compte de leur folie ? Car les plaintes viendront, c'est certain, lorsque devenus adultes, ces enfants jugeront à leur tour de la manipulation et du faux consentement. 

    Lire aussi : Aux USA, le Planned Parenthood propose des transitions de genre en série aux adolescents

  • Le Carême avec Don Marmion (1. du mercredi des Cendres au samedi de la 3e semaine de Carême)

    IMPRIMER

    2021_02_15_08_31_40_Greenshot.png

  • Liège : enregistrée et diffusée depuis l’église du Saint-Sacrement en direct ce matin du dimanche 14 février 2021 à 10h, la messe traditionnelle (missel de 1962) du dimanche de la Quinquagésime:

    IMPRIMER

    Célébrant : Abbé M.-A Dor, Recteur

    Chants grégoriens : propre de la messe « Esto mihi »; Kyriale de la messe XI  « Orbis factor » (XIVe s.); Credo I (XIe s.);

    Orgue : Patrick Wilwerth

    Pour suivre la messe, cliquez ici :

    https://youtu.be/ESlNX9wqZMw

    Lectures et chants du propre de la messe :

    Quinquagésime  2.jpgBien que nous soyons toujours dans le temps de la Septuagésime, les chants de ce dimanche de la Quinquagésime sont très différents de ceux de dimanche dernier, qui étaient en grande partie des appels suppliants du fond de notre misère mais, avant d’aborder les austérités du Carême, et pour nous donner courage, l’Église veut nous faire entrevoir la victoire finale et les bienfaits de la rédemption. Ce dimanche correspond d’ailleurs aux réjouissances du carnaval à la veille du mercredi des Cendres.

    Lire la suite

  • L'Eglise est-elle encore autorisée à parler de sexualité ?

    IMPRIMER

  • Destruction d'une chapelle à Lille : Stéphane Bern dénonce les fossoyeurs du patrimoine

    IMPRIMER

    Lu sur Valeurs Actuelles :

    “Halte aux fossoyeurs du patrimoine” : Stéphane Bern dénonce la démolition de la chapelle Saint-Joseph de Lille

    13 février 2021

    La démolition de la chapelle Saint-Joseph, datant de 1886, a commencé le 10 février à Lille, provoquant la colère froide de l’animateur.

    Stéphane Bern ne décolère pas. Édifiée à la fin du XIXe siècle dans le quartier Vauban de Lille, chapelle Saint-Joseph, datant de 1886, est depuis mercredi la proie des pelleteuses. Comme le relaye Le Figaro, l’édifice faisait l'objet d'un permis de démolition délivré en 2019 par la municipalité pour la construction d'une partie du nouveau campus de l'école d'ingénieurs Junia (ex-Yncrea). « La mobilisation d'une association de sauvegarde du patrimoine n'aura pas suffi : les pelleteuses ont commencé à détruire l'édifice datant de 1886.Quand on pense que c’est l’Université Catholique de Lille qui détruit sa chapelle... Halte aux démolisseurs et aux fossoyeurs du patrimoine. Vous aurez un jour à répondre de vos actes certes légaux mais iniques ! », a lancé Stéphane Bern qui contribue à la sauvegarde du patrimoine français dans toute sa diversité.

    En novembre dernier, le ministère de la Culture avait officialisé le rejet d'une demande de classement de l'édifice. Selon le ministère, « renoncer à la démolition de la chapelle impliquerait de devoir abandonner un projet important pour le développement de l'enseignement supérieur, qui représente un investissement de 120 millions d'euros». L'un des opposants à la démolition, l'architecte Étienne Poncelet, inspecteur général honoraire des monuments historiques, regrettait que le ministère oppose la sauvegarde de la chapelle à la restauration du palais Rameau. « Il est intelligent de se projeter vers l'avenir en réutilisant le patrimoine », avait-il confié. Ces derniers mois, plusieurs personnalités politiques ou du monde culturel s'étaient mobilisées contre la démolition de cette chapelle. Une pétition lancée par Urgence Patrimoine avait recueilli plus de 12 400 signatures.

  • Le témoignage de François, ex-musulman marocain, qui s'est exilé pour être baptisé

    IMPRIMER

    Une émission de Grégor Puppinck (European Center for Law and Justice) sur RCF Alsace :

    Étudiant en droit en France, notre invité est un Marocain converti de l'islam au christianisme qui a dû quitter son pays pour pouvoir vivre sa foi. Il nous parle de la liberté religieuse au Maroc et de ce qu'il a vécu depuis en France.

    Podcast disponible sur RCF: https://rcf.fr/actualite/europe/le-dr...

  • Le film "Bella" : un autre regard sur le choix

    IMPRIMER

    De gènéthique magazine :

    [Film] Bella : un autre regard sur le choix

    12 février 2021

    A New-York, José, devenu cuisinier, était un joueur de football prometteur ; Nina est serveuse dans le restaurant du frère de José. Enceinte, elle est renvoyée pour un retard de trop. José, que les épreuves de la vie ont buriné, sans préméditation, lâche tout pour l’accompagner au long d’une journée pas ordinaire. Pour ces deux êtres blessés, affrontés à leurs responsabilités, c’est le début d’un itinéraire qui les conduira au-delà des vestiges du passé.

    Avec une infinie délicatesse, Bella aborde le thème de la grossesse non désirée. Quand tout raisonnement semble affirmer que l’enfant n’est pas le bienvenu, quel choix réel reste-t-il à la femme ? Bella est un film sur la culpabilité, la responsabilité et la résilience, qui laisse entrevoir d’autres chemins possibles.

    Le film d’Alejandro Monteverde distribué par Saje Distribution sortira en e-cinema le 9 février. Les inscriptions sont possibles jusqu’au 28 février à partir de ce lien.

    Affiche film

  • Le Parlement Européen s’est engagé officiellement à promouvoir l’avortement en Amérique du Sud et en Europe Centrale

    IMPRIMER

    Une synthèse de presse de gènéthique.org :

    Bruxelles engagée dans la promotion de l’avortement en Amérique du Sud

    12 février 2021

    Vingt-cinq ans après la déclaration de Pékin, le Parlement Européen de Bruxelles s’est engagé officiellement à promouvoir l’avortement en Amérique du Sud et en Europe Centrale. En 1995, 189 pays ont défini leur vision des « objectifs pour atteindre l’égalité des sexes », incluant la « santé sexuelle et reproductive » parmi les « droits humains »(cf. Pékin + 10 : débat sur la santé de la reproduction et ONU : 25 ans de la conférence de Pékin sur les femmes). Cette semaine, le Parlement Européen examine l’état des lieux de la situation depuis 1995.

    « Nous ratifions les engagements pris il y a 25 ans », a déclaré Helena Dalli, commissaire européenne chargée de l’inclusion et de l’égalité. Elle rappelle qu’un « plan d’action pour les questions de genre » est en cours, « tant au sein de l’UE que dans ses relations extérieures ». Mónica Silvana González, députée espagnole et membre de la commission de développement, va plus loin : « Parmi nos obligations en tant que députés européens pour la zone internationale, il y a celle de garantir les droits sexuels et reproductifs des femmes vivant en dehors de nos frontières ». « Nous soutenons les députés et les féministes argentins, ajoute María Eugenia Rodríguez Palop, vice-présidente de la Commission des droits de la femme et de l’égalité des sexes. Nous soutiendrons également les femmes chiliennes ». Selon une récente résolution du Parlement, l’IVG ferait partie des droits des femmes, « des droits humains universels, inaliénables et indivisibles » (cf. L’IVG, un droit ?).

    Pourtant, des voix ne soutenant pas cette résolution se sont élevées, pour « rappeler le droit à la vie ». Mais Rodríguez Palop a balayé la question car selon elle, même s’il ne faut pas « sous-estimer ce que peut représenter une vie naissante », « toujours se prononcer en faveur du fœtus implique également une violation des droits » des femmes, violation de leur « droit à la vie, à la santé, à une vie décente ». Elle conclut en expliquant que, « si l’UE veut être un acteur mondial », elle doit promouvoir l’avortement dans les pays qui ne le pratiquent pas, et qu’ « elle ne peut pas détourner le regard » des pays d’Amérique Latine comme le Chili et le Honduras.

    Source : Deutsche Welle, Mirra Banchón (11/02/2021)

  • Le fondateur de l'Aide à l'Eglise en Détresse coupable de violences sexuelles ?

    IMPRIMER

    Lu sur cathobel :

    Abus sexuels du fondateur d’Aide à l’Eglise en Détresse

    Le Père Werenfried van Straaten, fondateur d’AED/ACN connu sous le nom de « Père au lard » et décédé en 2003, a été accusé en 2010, dans une lettre, de tentative de viol commise en 1973 sur une jeune femme d’une vingtaine d’années, employée de l’œuvre.

    Le supplément Christ und Welt du quotidien allemand Die Zeit, qui s’est procuré une copie de la lettre de dénonciation, a révélé l’affaire le 10 février 2021. Un compte rendu crédible avait été fait en 2010, et la lettre avait été envoyée au Vatican et à la conférence des évêques allemands.

    « Les responsables d’AED/ACN ont alors suivi la pratique recommandée par l’Eglise en Allemagne pour faire face aux cas d’abus. En conséquence, la personne affectée a reçu une aide financière de 16’000 euros en reconnaissance de ses souffrances », a déclaré Thomas Heine-Geldern.

    En outre, « selon la situation des dossiers dans les archives, on peut supposer que le Père van Straaten a effectué, en 1996/1997, un paiement au père de la victime (lui même salarié d’AED/ACN Ndlr)« , a précisé l’oeuvre. Mais en 2011, ce dernier a nié par écrit que ce paiement avait un rapport avec une agression sexuelle sur sa fille. Il s’agissait plutôt d’un paiement en compensation du traitement injuste que lui avait réservé le Père van Straaten lorsqu’il avait quitté son poste d’employé d’Aide à l’Église en détresse.

    Lire la suite

  • Ce serait bien une pluie de « souffre et de feu » qui aurait détruit Sodome

    IMPRIMER

    De Caroline Becker sur aleteia.org :

    Archéologie : c’est bien une pluie de « souffre et de feu » qui a détruit Sodome

    11/02/21

    Des archéologues affirment que la ville biblique de Sodome a bien été détruite par une pluie de météorites. Ce fameux "feu du ciel" que les anciens voyaient comme une punition de dieu.

    Tout commence dans le livre de Genèse. Sodome, ville qui incarne, avec sa sœur Gomorrhe, la dépravation la plus extrême où la débauche est maître des lieux, est anéantie par Dieu qui fait tomber sur elle une pluie de soufre et de feu. « Le Seigneur fit tomber du ciel sur Sodome et Gomorrhe une pluie de soufre et de feu venant du Seigneur. Dieu détruisit ces villes et toute la région, avec tous leurs habitants et la végétation. » (Gn 19). Si tous les habitants périssent, seul le vieux Loth, « juste » de la cité, est épargné. Il fuit dans les montagnes avec sa femme et ses deux filles suite aux recommandation de deux anges : « À l’aurore, les deux anges pressèrent Loth, en disant : “Debout ! Prends ta femme et tes deux filles qui se trouvent ici, et va-t’en, de peur que tu ne périsses à cause des crimes de cette ville”. » S’ensuit un autre épisode célèbre de cet évènement : sa femme, qui enfreint l’interdiction donnée par les anges de se retourner vers la ville en flammes, est instantanément changée en colonne de sel.

    L’histoire des villes de Sodome et Gomorrhe n’a cessé de passionner les historiens. Il y a quelques années, des archéologues américains ont mis au jour les ruines d’une immense cité de l’ère du bronze correspondant aux descriptions bibliques. Le gigantesque site de Tall El Hamma, dans le sud de la vallée du Jourdain, à quelques kilomètres au nord de la mer Morte, réunit tous les critères de la ville de Sodome telle qu’elle est décrite dans la Bible.

    Des traces de ce fléau venu du ciel ?

    Depuis les recherches vont bon train et de nouveaux résultats laissent penser que cette grande cité, autrefois luxuriante, aurait sans doute été détruite par une pluie de météorites. Cette fameuse pluie de « soufre et feu » dont parle la Bible ? Les archéologues ont en effet constaté sur des vestiges, notamment des poteries, des signes de chaleur extrême en surface. Des traces de saumures issue de la Mer morte confortent également cette hypothèse. L’onde de choc provoquée par la pluie de météorites aurait soufflé une partie de l’eau de la mer qui se serait abattue sur les terres agricoles, les détruisant.

    S’il est impossible de prouver avec exactitude le lien entre les trouvailles archéologiques et les informations laissées par les textes bibliques, il apparaît cependant que la cité de Tall El-Hammam rassemble, à elle seule, beaucoup de caractéristiques permettant de la rapprocher de la ville de Sodome.

  • L'homélie de Mgr Aupetit lors de la messe à la mémoire de Robert Hossein

    IMPRIMER

    Du site de l'Eglise catholique à Paris :

    Homélie de Mgr Michel Aupetit - Messe du souvenir pour M. Robert Hossein en l’église Saint-Sulpice

    Saint-Sulpice (6e) - Mardi 9 février 2021

    Pour préparer cette célébration, j’ai relu le livre autobiographique de Robert Hossein : La Nostalgie.

    En refermant le livre, je me suis dit : vraiment cet homme est un vivant. Je sais, c’est un peu paradoxal et étrange de dire cela en parlant de quelqu’un qui vient de mourir. Et pourtant, la manière dont il a vécu, dont il a habité sa vie, m’a conduit à ce constat. Il y a tant de gens qui vivent leur vie par procuration comme le chantait Jean-Jacques Goldman, qui se laissent conduire par les événements, les contingences, les conditionnements de toutes sortes, que lorsqu’une personne s’empare de sa vie, devient libre, il n’y a pas d’autre expression que : « cet homme est vivant ».

    Car la vie ce n’est pas seulement de la biologie, car la biologie « ce ne sont que des algorithmes » comme l’affirmait le philosophe Michel Henry. La vie, c’est ce qui nous construit dans les relations, les découvertes, la curiosité, la soif de vivre, la tendresse, enfin tout ce qui nous manque aujourd’hui en ce temps de confinement.

    Il n’est pas étonnant que cet homme ait rencontré celui qui est le Vivant : Jésus-Christ. Il a dit dans son livre : « J’étais simplement fasciné par cet homme. J’éprouvais le besoin viscéral de monter un spectacle pour parler de ce Dieu de miséricorde venu délivrer un message d’amour à l’humanité ». Cette rencontre a été fulgurante. Il a demandé le baptême à 50 ans et il a vraiment assumé ce baptême.

    Être conséquent avec son baptême implique un changement de vie, ou plutôt conduit à une plénitude du regard. Désintéressé, capable d’accueillir des pauvres qui se présente à lui, il a compris cet évangile que nous venons de lire : « Ce que tu fais aux plus petits d’entre les miens c’est à moi que tu le fais » (Mt 25,40). « Car j’avais faim et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi ! » (Mt 25, 35-40)

    C’est bien ce qu’il avait compris quand il écrit dans son livre : « Il y a trop de détresse de nos jours pour qu’on admette de ne s’occuper que de soi ». Et combien c’est vrai de nos jours où nos prétentions à tout maîtriser sont mises à mal par un simple virus.

    Lire la suite