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  • Mgr Delville, évêque de Liège: "Quelques bienfaits de la messe en latin"

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    Quelques bienfaits de la messe en latin 

    Interview donnée par 

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    MGR JEAN-PIERRE DELVILLE

     évêque de Liège 

    Emission sur RCF Liège « Trente minutes avec notre évêque » du lundi 29 juin 2020 à 16h03, rediffusée lundi 24 août 2020 à 16h03

    Ref. http://www.belgicatho.be/archive/2020/08/31/l-eveque-de-liege-explique-l-interet-de-la-messe-en-latin-6260342.html (13’30 à 25’45) 

    Ralph Schmeder

    Monseigneur, le 13 juin dernier, à l’occasion de la Fête-Dieu à Liège, vous avez célébré une messe en latin à l’église du Saint-Sacrement, célébration d’ailleurs retransmise par RCF-Liège, qu’on peut encore réécouter sur la page Facebook de la radio.

    En même temps, récemment les éditions ADF/Bayard musique ont publié un CD avec des musiques pour la messe en latin.

    Est-ce que ce sont des signes d’une renaissance de la messe dans les anciens rites ? Et d’ailleurs est-ce qu’il y a un public particulier pour ce genre de célébration ?

    Mgr Delville

    Effectivement cette année-ci, la messe a été retransmise par RCF et par Facebook. Quand j’ai accepté de célébrer cette messe que je célèbre chaque année dans l’église du Saint-Sacrement à Liège, en latin dans la forme ancienne de la liturgie, il n’était pas prévu de retransmission.

    Ici il y a eu la retransmission à cause du Covid et, en fait, j’ai insisté pour que la retransmission se fasse d’une manière (on va dire) dynamique et pédagogique, c’est-à-dire qu’on ne se contente pas de regarder de loin le prêtre qu’on voit de dos, mais qu’on ait des caméras qui montrent ce que le prêtre fait à l’autel, ce qui se passe autour de lui, etc. C’est une manière d’entrer plus activement dans les différents rites de la célébration de cette messe, c’est donc une modernisation au sens d’une manifestation plus explicite de ce qui se fait.

    Y a-t-il une renaissance de ce type de messe ? Ce que je trouve intéressant, c’est que c’est un patrimoine particulièrement riche dans notre histoire chrétienne. On fait beaucoup pour sauver le patrimoine architectural, on fait beaucoup pour restaurer les églises et les cathédrales - regardez ce qu’on fait pour Notre-Dame de Paris -, il faut reconnaître que la liturgie, c’est aussi un patrimoine, mais un patrimoine immatériel : c’est fait de chants, de gestes, de textes et d’attitudes de prière qui sont en quelque sorte un trésor spirituel. Je trouve qu’il serait dommage de le laisser uniquement couché dans les livres et dans les témoignages du passé, mais que cela vaut la peine de l’actualiser dans une célébration concrète.

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  • Chine : la publication d’un récit biblique déformé suscite la consternation des catholiques

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    Du site des Missions Etrangères de Paris :

    La publication d’un récit biblique déformé suscite la consternation des catholiques chinois

    23/09/2020

    Un manuel scolaire destiné à l’enseignement professionnel dans le secondaire, publié par le service d’édition de l’Université des sciences et technologies électroniques de Chine, qui dépend du gouvernement, a suscité la consternation parmi les catholiques de Chine continentale. Le texte, publié afin d’enseigner « l’éthique professionnelle et le respect de la loi » aux élèves, cite un passage du récit évangélique de la femme adultère pardonnée, mais déformé et détourné à des fins politiques. « Comment enseigner l’éthique professionnelle avec un tel manuel ? », demande un prêtre, qui souhaite rester anonyme.

    Une partie de la page de couverture d’un manuel scolaire controversé, qui a suscité la consternation parmi la communauté catholique chinoise.

    La publication d’un manuel scolaire contenant une histoire biblique déformée et détournée a suscité la colère parmi les fidèles de la communauté catholique en Chine continentale. Le manuel en question a été publié pour enseigner « l’éthique professionnelle et le respect de la loi ». Le manuel scolaire, publié par le service d’édition de l’Université des sciences et technologies électroniques de Chine, qui dépend du gouvernement, contient un texte évoquant le récit de Jésus et de la femme adultère pardonnée. Dans la publication, le récit évangélique (Jean 8, 1-11) est déformé et affirme que Jésus Christ a lapidé une femme pécheresse afin de respecter la loi de son temps. Le texte reprend le passage décrivant la foule voulant lapider une femme selon la loi, et Jésus leur répondant « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre ». Pourtant, la fin du récit diffère radicalement, le texte ajoutant qu’une fois la foule dispersée, Jésus se serait mis à lapider la femme à mort en ajoutant « Moi aussi je suis pécheur, mais si la loi ne devait être exécutée que par des hommes sans faute, la loi serait vaine ». Un paroissien a publié le passage en question sur les réseaux sociaux, en dénonçant la falsification d’un texte biblique à des fins politiques comme une insulte à l’Église catholique. « Je voudrais que tout le monde sache que le Parti communiste chinois a déjà essayé de déformer l’histoire de l’Église par le passé, de diffamer notre Église et d’attirer la haine du peuple sur notre Église », a-t-il souligné.

    Mathew Wang, un enseignant chrétien dans une école professionnelle, confirme le contenu du texte controversé, tout en ajoutant que la publication exacte varie selon les lieux en Chine. Mathew Wang précise que le texte publié par le manuel scolaire a été relu par le Comité de contrôle des manuels scolaires pour l’éducation morale, dans le cadre de l’enseignement professionnel dans le secondaire. Il déplore que les auteurs aient utilisé un tel exemple erroné pour justifier les lois socialistes chinoises. Selon certains catholiques chinois, les auteurs du manuel auraient voulu souligner que la loi est sacrée en Chine, et que son respect absolu est essentiel. Un prêtre catholique, qui souhaite rester anonyme, affirme quant à lui que le texte publié « est lui-même immoral et illégal ». « Du coup, comment pouvons-nous encore enseigner l’éthique professionnelle avec un tel manuel ? », demande-t-il. « C’est un phénomène social bien triste que nous observons en Chine continentale », déplore-t-il. Paul, un catholique chinois, ajoute que des déformations similaires de récits chrétiens et de l’histoire de l’Église continuent d’être observées, mais il estime que les protestations des chrétiens n’auront aucun impact. « La même tendance se répète chaque année, mais l’Église ne riposte jamais, ou en tout cas elle ne reçoit jamais le respect et les excuses qu’elle mérite. » Kama, un catholique qui gère les contenus d’un groupe catholique sur les réseaux sociaux, souligne que le contenu publié par le manuel est une offense aux croyances religieuses des chrétiens. Il appelle les auteurs et les éditeurs concernés à présenter leurs excuses publiquement et corriger le texte. « Nous espérons que les autorités chrétiennes prendront la parole », ajoute-t-il.

    (Avec Ucanews, Hong-Kong)

  • "Bâtir sa maison sur le roc" : des cycles de formation à l'amour et au mariage à Bruxelles, Rixensart, Leuven et OLV Waver

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    "Bâtir sa maison sur le roc"
     
    Nous avons le plaisir de vous signaler qu'une nouvelle saison de formation à l'amour et au mariage "Bâtir sa maison sur le roc" démarrera d'ici quelques semaines.

    Cette année, nous vous annonçons une forte expansion de cette initiative, en ce sens qu'il y aura 4 cycles en Belgique. En effet, pour la 5ème année d'affilée déjà, un cycle est organisé à Rixensart (première soirée le samedi 7 novembre 2020) et, après une interruption d'un an, un cycle à Bruxelles (première soirée le samedi 21 novembre 2020). Mais en plus de cela deux cycles "Je huis op de rots bouwen" démarreront en néerlandais, l'un à Leuven (Heverlee) et l'autre à Onze-Lieve-Vrouw-Waver.

    Nous comptons sur vous pour faire la promotion auprès de vos amis et connaissances! Tous les couples sont les bienvenus, fiancés, mariés ou réfléchissant à un engagement. Ils peuvent tous en tirer profit. Mais les inscriptions allant déjà bon train, qu’ils ne tardent pas à se manifester car le nombre de places est limité. Nous espérons évidemment que les mesures de protection liées à la pandémie du coronavirus ne contrarieront pas trop le déroulement des cycles prévus. 

    Pour toutes informations, y compris les dates des soirées des cycles de cette nouvelle saison, nous vous renvoyons à notre site www.batirsamaisonsurleroc.be, qui a été dédoublé en néerlandais (www.jehuisopderotsbouwen.be).

    Enfin, nous vous invitons à visiter notre page facebook, sur laquelle vous trouverez de nombreuses publications enrichissantes.
  • Pie XII a fait tout ce qui était possible pour porter secours aux Juifs

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    De Bosco d'Otreppe dans la Libre :

    "Le pape Pie XII a fait tout ce qu’il pouvait pour porter secours aux Juifs"

    Pie XII a-t-il suffisamment combattu le nazisme ? Responsable des Archives historiques au Vatican, Johan Ickx prend la défense du pape et dévoile des documents inédits dans un livre qui sort ce jeudi.

    Que savait Pie XII de la barbarie nazie ? A-t-il fait tout ce qui était en son pouvoir pour la combattre et en secourir les victimes ? Ces questions divisent les historiens depuis des décennies. Pour mieux y répondre, le Vatican vient d’ouvrir aux chercheurs, le 2 mars dernier, ses archives concernant le pontificat du pape italien qui régna de 1939 à 1958. Innombrables, elles nécessiteront des années de recherches pour mieux comprendre et juger l’action du Vatican durant la guerre.

    Directeur des archives historiques de la Secrétairerie d’État, le Belge Johan Ickx est responsable de l’inventaire de ces documents. Après les avoir côtoyés des années durant, il publie ce jeudi Le Bureau. Les Juifs de Pie XII ; un ouvrage passionnant et haletant qui nous plonge dans l’entourage direct du pape. Sur base de ces archives, on y surprend les discussions et dilemmes diplomatiques des plus hauts cadres du Saint-Siège, on y découvre la vie de centaines de Juifs secourus par Pie XII, on y dévale les rues de Rome au rythme de courses-poursuites, précisément documentées, entre des religieux, la police italienne ou des SS, on remonte d’impressionnants réseaux de résistance européens.

    Cet ouvrage, qui ne prétend pas à l’exhaustivité historique, ne clora pas le débat sur la responsabilité exacte de Pie XII. Aurait-il pu agir différemment ou davantage ? Les interprétations resteront divergentes. Johan Ickx offre cependant un éclairage sur ce que le pape entreprit, dans le cadre d’une diplomatie délicate ou dans la discrétion la plus totale. "Le bien ne fait pas de bruit", défend l’archiviste belge en sourçant son propos de documents inédits dont ce recueil fera date.

    La suite est en accès réservé aux abonnés sur le site de la Libre

    "Le bureau. Les Juifs de Pie XII". Éditions Michel Lafon, en coédition avec les Éditions VdH. 2020

    Egalement sur le Soir

  • Le progrès technique libère autant qu'il aliène

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    Une synthèse de presse de gènéthique.org :

    Le progrès technique «libère autant qu’il aliène»

    22 septembre 2020

    « La grande intuition d’Ellul a été de souligner non pas l’ambiguïté mais l’ambivalence du progrès technique, qui libère autant qu’il aliène. On ne peut pas dissocier les deux et garder le meilleur.» Patrick Chastenet, professeur en Sciences Politiques à l’Université de Bordeaux et auteur d’une Introduction à Jacques Ellul [1],explique que cette ambivalence faisait l’objet, chez le penseur, de quatre propositions : « tout progrès technique se paie car il est impossible de dire si ce qui est apporté est plus important que ce qui est supprimé ; le progrès technique soulève plus de problèmes qu’il n’en résout ; ses effets néfastes sont inséparables de ses effets positifs ; il comporte toujours un grand nombre d’effets irréversibles et imprévisibles ».

    Ces sociétés techniciennes à l’affut de « l’efficacité, la puissance et le contrôle » s’avèrent incapable « d’éliminer le risque » et confinent à une dépendance vis-à-vis des experts.

    Pour Jacques Ellul, « la technique rend notre avenir impensable ». Aujourd’hui, explique Patrick Chastenet, « la technoscience et le développement exponentiel nous ont placés au milieu d’un champ de mines dont on a perdu les plans. En dépit des disparités au plan mondial et au sein de chaque secteur, la technique moderne continue de progresser de façon d’autant plus imprévisible qu’elle échappe à la volonté humaine ». Et il explique que Jacques Ellul « soutenait la démarche de Jacques Testart [2] en génie génétique, expliquant, en 1986, qu’on devait aller parfois vers une éthique de la non recherche ».

    « La mort de Dieu et la fin des grands récits idéologiques, ces fameuses religions séculières, ont laissé le champ libre à une technoscience sacralisée car porteuse de tous nos espoirs et riche de toutes nos frustrations de simples mortels ». Dans ce système technicien, la science et la technique semblent être les seuls moyens de sauver l’homme.

    [1] Jacques Ellul (1912 – 1994) est un professeur d’histoire du droit, penseur, historien, théologien protestant et sociologue français. Il est, aux côtés de Jürgen Habermas et Martin Heidegger, l’un des principaux penseurs au XXe siècle du phénomène technique.

    [2] Jacques Testart, biologiste, à l’origine du premier bébé éprouvette français, Amandine.

    Sources : Sciences critiques, Antony Laurent (15/09/2020)

  • Après le pape François, le pape Egidio ?

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    De l'abbé Claude Barthe sur Res Novae :

    L’hypothèse Zuppi, ou vers le pape Egidio
     
    Compte tenu de la situation catastrophique de l’Église cinquante ans après Vatican II et de l’impuissance des courants que l’on qualifie de conservateurs à redresser la barre, et même à la prendre en main, fusse seulement en certains secteurs, quelques-uns parmi les anti-conciliaires imaginent d’autres scénarios. Il s’agirait, non plus de rêver à un futur pontificat néo-ratzinguérien, mais de se préparer, pour un avenir à moyen terme, celui du futur changement de pontificat, à des situations d’attente conçues comme des bases de départ. L’état de l’Église ne pouvant que continuer à se dégrader de plus en plus vite, ils estiment que, pour préparer l’avenir, la situation qu’il faut aujourd’hui rechercher serait celle où la critique théorique et pratique (liturgique notamment) du Concile aurait un libre espace de développement.

    De telles prospectives sur le thème : mieux vaut un pontificat de « centre-gauche » qui nous laisse la liberté plutôt qu’un « centre-droit » qui nous stérilise, peuvent paraître particulièrement risquées. On sort en tout cas des chemins balisés de la bien-pensance « restaurationiste ». Mais ces chemins-là ne se sont-ils pas révélés hier des voies de garage, et ne deviennent-ils pas aujourd’hui des chimères ? Nous donnons ici un exemple du type de prélats sur lesquels s’échafaudent de tels scénarios, en posant la question : et si le prochain pape se nommait Egidio, le Pape Egidio ?

    Matteo Zuppi, un « progressiste » ?

    On parle actuellement beaucoup du cardinal Matteo Zuppi. Un « progressiste » ? C’est ainsi que le classe Edward Pentin dans son livre The Next Pope : The Leading Cardinal Candidates (...). En fait, il est très difficile d’étiqueter les cardinaux selon des critères quasi-politiques. Dans Confessions d’un cardinal (JC Lattès, 2007) Olivier Le Gendre rapportait que son cardinal anonyme lui disait : « Il est trompeur de parler de camps aux frontières définies comme ceux qui s’affrontent dans le parlement d’une république ou au sein des partis qui entretiennent des courants rivaux. Nous sommes entre cardinaux dans un monde aux frontières mouvantes ». On s’aperçoit en effet, notamment au moment des conclaves, que les frontières entre groupes sont très fluentes. D’autant que Matteo Maria Zuppi entend être du genre homme libre : s’il est pour l’accueil des immigrés (orientation qui semble confirmée pour Il Giornale du 1er juillet dernier par sa rencontre programmée avec les leaders du Parti démocrate, le PD, en congrès dans sa ville de Bologne), il est aussi pour l’accueil des traditionnels.

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  • Samaritus bonus : l’euthanasie est un crime contre la vie. Ne pouvoir guérir ne dispense pas de soigner

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    De Vatican News :

    «L’euthanasie est un crime contre la vie. Ne pouvoir guérir ne dispense pas de soigner»

    Ayant à l'esprit les cas de ces dernières années, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi publie «Samaritanus bonus», une lettre approuvée par le Pape François, qui réitère la condamnation de toutes les formes d'euthanasie et de suicide assisté. Elle appelle à un soutien renforcé aux familles des malades et aux travailleurs de la santé.

    «Reconnaître l'impossibilité de guérir ne signifie pas la fin de l'action médicale»: à l’instar de ceux qui naissent en étant destinés à vivre un court laps de temps, toute personne souffrant d'une maladie entrée dans sa phase terminale, a le droit d'être accueillie, soignée, entourée d'affection.

    L'Église s'oppose à l’acharnement thérapeutique mais réaffirme, comme «enseignement définitif», que «l'euthanasie est un crime contre la vie humaine», que «toute coopération formelle ou matérielle immédiate à un tel acte est un péché grave» et qu'aucune autorité «ne peut légitimement» l’imposer ou l’autoriser. Voilà ce qu’on peut lire dans la lettre de la Congrégation pour la Doctrine de la foi «Samaritanus bonus» portant «sur la prise en charge des personnes dans les phases critiques et terminales de la vie». Elles est publiée ce mardi 22 septembre, après avoir été approuvée par le Pape François en juin dernier.

    L’actualité du Bon Samaritain

    La publication de ce texte qui réaffirme la position plusieurs fois exprimée par l'Église sur le sujet, a été jugée nécessaire en raison de la multiplication des cas apparaissant dans les médias mais également de l'avancement de la législation qui, dans un nombre croissant de pays, autorise l'euthanasie et le suicide assisté pour les personnes gravement malades, mais aussi de celles qui sont seules ou qui ont des problèmes psychologiques. 

    L'objectif de la lettre est de fournir des indications concrètes pour actualiser le message du Bon Samaritain. Même lorsque «la guérison est impossible ou peu probable, l'accompagnement médical, infirmier, psychologique et spirituel est un devoir incontournable, car le contraire constituerait un abandon inhumain du malade».

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  • Michael Lonsdale, une voix, une foi... sur KTO

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    Michael Lonsdale : une voix, une foi...

    Publié le 22/09/2020

    "Le coeur, c'est pour moi l'essentiel", confiait en 2017 Michael Lonsdale au micro de KTO.

    Le comédien, qui s’est éteint lundi 21 septembre dernier à l’âge de 89 ans, signe une carrière riche de brio et empreinte de spritualité.

    Un homme de cœur et d'esprit

    Michael Lonsdale aura interprété avec brio les rôles les plus variés. Il aimait être là où l’on ne l’attendait pas. De la comédie, avec Louis de Funès dans Hibernatus, au rôle de méchant sadique face à Roger Moore dans James Bond. Mais Michael Lonsdale aura surtout marqué le cinéma français par son empreinte spirituelle, concrétisée par son rôle de Frère Luc, l'un des moines de Tibhirine assassinés, dans Des Hommes et des Dieux. Une expérience bouleversante pour laquelle il obtiendra le César de meilleur acteur dans un second rôle en 2011. Il confiera à la presse que ce film "est entré dans nos vies saturées de mouvements et de bruits comme une respiration, où la rencontre et la prière sont essentielles".

    Itinéraire d'une conversion

    Homme de cœur et d'esprit, Michael Lonsdale a fait de sa foi un moteur essentiel de sa vie. Baptisé à l'âge de 22 ans, il apprend peu à peu à ouvrir son coeur et le laisser parler. Une spiritualité qu'il met au profit de son art, qu'il s'agisse de cinéma ou de peinture. Parrain des JMJ à Madrid en 2011, Michael Lonsdale assume pleinement sa foi. Ami de KTO, il s’est d'ailleurs régulièrement confié auprès de la chaîne sur sa façon bien personnelle de penser la spiritualité, sur le grand écran comme dans la vie réelle.

  • Sainte Thérèse d'Avila : un nouveau livre d'Arnaud Dumouch

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    M+ éditions présente

    Le nouveau livre d'Arnaud DUMOUCH
     
         SAINTE THÉRÈSE D'AVILA
    LA VIDEO DE PRÉSENTATION

    M+ éditions présente le nouveau livre d'Arnaud DUMOUCH, mis en forme par Antony MORELLO POUR COMMANDER : https://lnk.pmlti-etai-2.ovh/3x2dQXmddiTLCjjbb6ErYwk...

    M+ éditions présente le nouveau livre d'Arnaud DUMOUCH.  

    POUR COMMANDER 

    Pour passer commande si le lien vers notre site ne fonctionne pas :  https://mpluseditions.fr/nouveautes/46-saintes-et-saints-livre-i-sainte-therese-les-etapes-de-la-vie-spirituelle.html 

    Arnaud Dumouch est né en 1964, marié et père de famille. Il est un théologien catholique belge. Professeur de religion durant plus de 20 ans, il a développé ce sens de la pédagogie face aux jeunes. Spécialisé en eschatologie, il enseigne la philosophie et la théologie sur internet dans « l'Institut Docteur Angélique » avec plus de 58 000 abonnés.