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  • Sayana Press : quand les pauvres testent la contraception pour les riches

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    D'Adélaïde Pouchol sur le site de l'Homme Nouveau :

    Sayana Press, une contraception pour les riches testée par les pauvres

    L’instance britannique UK Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency (MHRA) a autorisé, le 24 septembre dernier, la mise sur le marché national du Sayana Press, premier contraceptif auto-injectable. Un produit fabriqué par le laboratoire Pfizer, numéro un mondial de l’industrie pharmaceutique, pour éviter aux femmes de « perdre du temps » chez le médecin.

    La contraception injectable n’est pas nouvelle et est déjà assez répandue, pratiquée par quelques 35 millions de femmes dans le monde. La nouveauté, c’est que le Sayana Press est utilisable à domicile, sans assistance médicale. Facile d’utilisation, ce contraceptif se présente sous la forme d’une petite seringue à usage unique, qui s’injecte dans les bras, les jambes ou le ventre et prévient de toute grossesse pendant 13 semaines. Les femmes pressées ou trop tête en l’air pour penser tous les jours à leur pilule, n’ont donc plus qu’à aller faire une visite chez le médecin pour qu’il s’assure qu’elles sont bien aptes à s’injecter leur dose trimestrielle. Le suivi ne consiste ensuite qu’en un entretien téléphonique annuel.

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  • "Foi et philosophies"; s'inscrire aux "Samedis philo" avec Monseigneur Léonard

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    Samedis philo

    Inscrivez-vous au cours de Monseigneur Léonard : "Foi et philosophies"  le samedi matin  de 9h à 12h d'octobre à février.

    Envoyez un mail à l'adresse : 

    Pour les jeunes  (de 18 à 30 ans) Monseigneur Léonard donne un cours de philosophie : "Foi et philosophies"

    Il aura lieu à Bruxelles les samedis de 9h à 12h

    -le 3 octobre

    -le 17 octobre

    -le 24 octobre

    -le 14 novembre

    -le 28 novembre

    -le 5 décembre

    -le 20 février

    -le 27 février

    -le 5 mars

    -le 12 mars

    L'idée générale est de parcourir de manière logiquement organisée les grands courants de la pensée philosophique moderne et contemporaine, d'en discerner les points positifs et moins positifs et d'examiner, de manière critique, leur incidence sur la manière de comprendre la foi et d'élaborer une théologie, c'est-à-dire une compréhension articulée de la révélation chrétienne. Ce qui permet de se situer de manière responsable dans le vaste domaine des courants de pensée actuels.

  • L'implication militaire russe fait bouger le dossier syrien

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    De P. JM. Robinne sur ihsnews.net :

    L’entrée de la Russie dans le conflit fait enfin évoluer les positions occidentales en Syrie

    Les choses semblent enfin évoluer en Syrie. Il faut dire que depuis le lancement de la grande coalition menée par les Etats-Unis, les choses n’avançaient guère… Il aura fallu attendre l’entrée de la Syrie dans l’arène pour que les positions bougent. Certes il ne s’agit pas de retournement, mais souvent en diplomatie ou en politique, il suffit d’un léger flottement pour que les lignes arrivent enfin à bouger. Ainsi, les dernières prises de position du secrétaire d’État étasunien, John Kerry, et du chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, concernant la situation en Syrie reflètent la nouvelle orientation de l’Occident au niveau du projet de règlement de la crise syrienne. Le secrétaire d’État US a affirmé que Washington et Moscou partagent les mêmes points de vue concernant les clés de la solution en Syrie ; sauf qu’un différend essentiel oppose les États-Unis et la Russie : le soutien étasunien à Bachar al-Assad est impossible. En revanche, les Etats-Unis acceptent aujourd’hui de composer avec Bachar, puisqu’à leurs yeux, composer n’est pas soutenir…Détail, langage diplomatique, peu importe en fait tant que les lignes évoluent vers une solution. De son côté, Laurent Fabius a précisé que Paris ne réclamera pas le départ du président syrien comme condition préalable aux pourparlers de paix. Mais il a souligné sur ce plan, qu’une solution diplomatique nécessite la mise en place d’un gouvernement d’union nationale regroupant des membres du gouvernement d’Assad, et ce, pour éviter la réédition du scénario de l’effondrement irakien.

    Immanquablement, l’implication militaire russe en Syrie a fait bouger le dossier syrien. Elle a aussi mis sur le tapis la formule d’une solution pacifique.

    Selon certains observateurs, l’implication russe en Syrie a pour objectif de prévenir la chute du régime d’Assad, après l’élargissement de la zone de contrôle de l’opposition (sous toutes ses formes), et le blocage par l’EI de la route Damas-Alep. Les craintes que la capitale soit encerclée sont d’ailleurs grandes, après que les combattants du Hezbollah aient échoué à protéger le régime, et à l’aider à reprendre le contrôle des positions conquises par l’opposition. Les membres des gardiens de la révolution ont eux aussi non seulement failli à protéger le régime, mais également la capitale syrienne.

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  • Le Pape aux États-Unis : une récupération?

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    D’Armelle Signargout, correspondante aux Etats-Unis du bimensuel « L’Homme Nouveau »  :

    648x415_barack_obama_et_le_pape_francois_affichent_leur_complicite_lors_d_une_visite_historique_a_la_maison_blanche_a_washington_le_23_septembre_2015 (1).jpg« Dans un pays blessé par l’immoralité croissante et les divisions politiques, qu’attendait-on sur place du Pape François à la veille de son séjour du 22 au 27 septembre ? Trois étapes : Washington (premier discours d’un pontife face au Congrès), New York (assemblée générale de l’Onu), Philadelphie (rencontre mondiale des familles).

    « Sur 80 % des dossiers, nous sommes d’accord ! » Le Président Barack Obama, un militant de l’avortement et du faux « mariage », veut que tous les Américains le sachent : il partage presque entièrement la vision du Pape François… Sa visite de cinq jours – la première fois que l’Argentin le plus célèbre du monde foule le sol des États-Unis – se présente pour le camp d’Obama comme l’aubaine du siècle dans deux domaines clés : l’environnement et l’immigration.

    Un travail de longue haleine

    Plusieurs élus démocrates n’ont pas hésité à faire circuler auprès de leurs collègues du Congrès une pétition demandant au Saint-Père de bénir leurs efforts subversifs.

    Cette tentative de récupération à des fins strictement temporelles a commencé tôt. Avant de quitter Cuba pour Washington, où il devait s’adresser aux 535 sénateurs et représentants ­réunis au Capitole – une première historique, et le seul discours annoncé en anglais –, le Pape François avait fait la Une, au fil des mois, de plusieurs magazines hostiles à l’Église : ­Time, Rolling Stone, Fortune, The New Yorker, Esquire, Vanity Fair… Le Saint-Père a même été la star début septembre sur ABC d’une rencontre télévisée virtuelle avec une brochette d’Américains. S’adressant à une mère célibataire, il surprit l’assistance en lui disant tout de go : « Vous auriez pu tuer vos filles et vous avez respecté la vie. (…) N’ayez pas honte. Gardez la tête haute. » « Je n’ai pas tué mes filles. Je les ai mises au monde. » « Je vous félicite. » Dans le compte rendu de Time, « tuer » et « tué » avaient disparu.

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  • "Eglises Ouvertes" vous informe

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    Eglises Ouvertes

    Septembre 2015
     

    Sommaire
  • Le rôle occulte du cardinal Danneels dévoilé ?

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    DSC_0095-500x333.jpgJürgen Mettepenningen, l’éphémère porte-parole de la conférence épiscopale belge vient de publier en collaboration avec Karim Schelkens,  un professeur invité à la Faculté de théologie de la K.U.L., une biographie du cardinal Danneels, présentée ce 22 septembre à la Basilique nationale de Koekelberg.  Autour de l’archevêque émérite on reconnaissait notamment l’abbé Gabriel Ringlet, ancien vice-recteur de l ’U.C. L., l’ancien premier ministre belge Mark Eyskens, l’ancien président du conseil européen et ancien premier ministre belge Herman Van Rompuy et Mgr Herman Cosijns, secrétaire actuel de la conférence des évêques de Belgique. Le journaliste Christian Laporte, qui était aussi de la partie, a consacré une page entière de « La Libre Belgique » à la promotion de cette biographie (éditions Polis) dans les termes que l’on imagine venant d’un aficionado. Le cardinal a, peut-être, été plus embarrassé par les couronnes qu’un journaliste du magazine "Knack", Walter Pauli, lui a tressées en ces termes dans l’hebdomadaire « Le Vif »:

    « Les historiens de l'Église Jürgen Mettepenningen et Karim Schelkens viennent de publier une biographie du cardinal Godfried Danneels dans laquelle l'archevêque apparaît comme un défenseur de l'Église moderne. Il aurait même oeuvré pendant des années à l'élection du pape François.

    Opposé au pouvoir grandissant de Ratzinger et de sa clique au Vatican, l'archevêque de Milan Carlo Maria Martini a commencé à organiser des réunions "secrètes" d'évêques et de cardinaux à Saint-Gall en Suisse à partir de 1996. Ces rencontres étaient vaguement connues de certains spécialistes, mais il n'y a jamais eu de compte-rendu aussi détaillé des activités du "groupe de Saint-Gall" que dans la biographie de Jürgen Mettepenningen et Karim Schelkens. En 1999, Danneels a rejoint le groupe, dans lequel figuraient aussi l'évêque néerlandais Adriaan Van Luyn, les cardinaux allemands Walter Kasper et Karl Lehman, le Britannique Basil Hume et l'Italien Achille Silvestrini. Pour Danneels et les autres, il s'agissait de "vacances spirituelles", une forme de consolation et de soutien mutuel à une époque sombre.

    Le Vatican a envoyé le sinistre cardinal Camilo Ruini pour sonder de quoi il retournait, mais ce dernier a fait chou blanc. En même temps, le "Groupe de Saint-Gall" essayait d'influencer les agissements du Vatican. La question que l'on se posait de plus en plus expressément était la suivante : "Que se passera-t-il après Jean Paul II ? Comment éviter que Ratzinger ne devienne pape ?"

    Lors du conclave de 2005, Joseph Ratzinger s'est avéré trop fort. Danneels et les autres membres du groupe Saint-Gall ont à peine réussi à cacher leur déception. Ils ont mis leur manque d'enthousiasme sur le compte de la fatigue. Mais leur analyse fondamentale, que l'appareil du Vatican avait besoin d'être innové et que le message de l'Église devait être beaucoup plus optimiste, était prémonitoire. Le pontificat de Ratzinger a tourné à la catastrophe et l'Église a gémi sous les affaires de moeurs et de corruption. Entraîné par l'évêque brugeois Roger Vangheluwe à un entretien avec la famille du neveu avec qui il avait eu une "petite relation" et suspecté dans l'Opération Calice, Danneels a également été mêlé aux scandales.

    Cependant, l'élection de Jorge Mario Bergoglio en pape François met fin à cette période sombre. "L'élection de Bergoglio a été préparée à Saint-Gall, ça ne fait aucun doute. Et les grandes lignes de son programme sont celles dont Danneels et ses confrères discutaient depuis plus de dix ans" écrit Schelkens.

    Le 13 mars 2013, une vieille connaissance se tenait d'ailleurs aux côtés du nouveau pape François : Godfried Danneels. Officiellement, il était là en tant que doyen des cardinaux-prêtres , mais en réalité il a oeuvré pendant des années comme faiseur de rois discret d'un pape capable de rendre un avenir à "son" Église. »

    Ref. "Godfried Danneels a oeuvré pendant des années à l'élection du pape François" 

    JPSC 

    Plus de précisions ICI

  • En Irak, "c’est toujours Dieu qui gagne"

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    De Christophe Lamfalussy envoyé spécial de « La Libre » à Erbil (extrait)l : 

    5603bcae3570b0f19edb1bf6 (1).jpg« Alors que des chrétiens quittent l’Irak, d’autres restent, résolus à reprendre à Daech le contrôle de leur berceau historique de la plaine de Ninive. Au Kurdistan irakien, cinq milices chrétiennes s’entraînent actuellement. Certaines combattent avec les peshmergas kurdes ou avec des milices chiites, mais la plupart s’apprêtent à prendre le relais de l’armée irakienne quand une offensive - encore hypothétique - aura reconquis la plaine de Ninive.

    "Nous pourrons battre Daech avec notre foi", assure Ayshoa Esttaifo Khalis, le chef d’un parti assyro-chaldéen qui a deux députés au Parlement irakien. "Ils croient en leur satan et nous croyons dans un Dieu. C’est toujours Dieu qui gagne."

    Sous l’autorité de la gendarmerie kurde

    Le parti dispose depuis 2004 d’une milice, la Force de garde de la plaine de Ninive (NPGF), qui s’entraîne aujourd’hui dans la région de Dohuk. Certains de ses miliciens portent le badge de la Zeravani. Cette unité spéciale des forces kurdes est semblable à une gendarmerie. Elle est rattachée au ministère kurde de l’Intérieur. "Notre mission sera de tenir les villages chrétiens de la plaine de Ninive une fois qu’ils auront été reconquis", ajoute M. Khalis. Lors de l’offensive de Daech en août 2014, la NPGF n’a pas combattu, mais a encadré la population dans sa fuite.

    La NPGF dit avoir 1 600 hommes qui disposent de kalachnikovs, de lance-roquettes RPG-7, de fusils-mitrailleurs BKC et de grenades, et affirme en entraîner 1 000 autres, pour créer une force au total de 2600 hommes.

    Difficile de vérifier ces chiffres, d’autant plus qu’il y a concurrence entre les différentes milices chrétiennes pour attirer les fonds de la diaspora et recruter des combattants aux Etats-Unis, en Russie et en Europe.

    Tel est notamment le cas de la Dwekh Nawsha, qui signifie la Brigade des "martyrs de demain" en araméen. Cette milice ne combat pas avec les Kurdes, mais en coordination avec eux.

    Recrutement en Belgique

    Elle vient de créer une antenne en Belgique avec l’objectif de "créer une armée chrétienne pour lutter contre la barbarie islamique, protéger les chrétiens d’Orient et toutes les populations opprimées par celle-ci".

    Les volontaires belges sont invités à se rendre à Erbil, sans l’attirail militaire, avec la promesse d’être pris en charge par l’organisation sur place. Ils sont encouragés à "verrouiller" leur compte Facebook pour éviter des regards indiscrets et à utiliser un système de cryptage pour les portables qu’ils emportent en Irak.

    Il y a également la plus petite Unité de protection des plaines de Ninive (UPPN), présente dans la région d’Al Koch et entraînée par deux Marines américains à la retraite, ou les Brigades de Babylone, qui agit sous l’ombrelle de l’une des 54 milices chiites existant en Irak.

    Ce morcellement extrême inquiète les leaders religieux chrétiens en Irak. L’Eglise plaide, comme le gouvernement kurde, pour le déploiement d’une force internationale et craint que la création de milices ne fasse des chrétiens une cible plus grande.

    Son objectif est le maintien de l’unité nationale de l’Irak car les chrétiens ne vivent pas uniquement dans le Nord du pays. "Soixante-cinq pour cent des chrétiens vivent à Bagdad. Il ne faut pas se concentrer uniquement sur la plaine de Ninive", souligne un haut responsable religieux préférant parler sous le couvert de l’anonymat.

    Un salaire bienvenu

    Selon M. Khalis, les milices ont toutefois l’avantage de sédentariser les jeunes en leur proposant un salaire. "Nous payons nos miliciens 425 dollars par mois, grâce à des dons des partis et des paroisses. Cela leur permet de subsister dans des camps ou dans des appartements plutôt que de partir à l’étranger", dit-il.

    Les chrétiens d’Orient espèrent obtenir, dans le cadre d’un règlement de paix, une mini-province de Ninive qui n’inclurait pas la grande ville de Mossoul. Celle-ci serait constituée de deux districts et abriterait, outre la minorité chrétienne, les Shabaks ou les Kakaï, qui ont aussi souffert de la politique d’assimilation pratiquée par Saddam Hussein. L’ancien leader sunnite avait fait aménager des villages sunnites autour de ces minorités pour les "étouffer" graduellement.[… ]

    Tout l’article ici : En Irak, "c’est toujours Dieu qui gagne"

    JPSC

  • 18 octobre : canonisation de Louis et Zélie Martin

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    Les parents de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus seront canonisés le 18 octobre prochain; à cette occasion, la maison d'éditions Téqui publie deux livres qui leur sont consacrés : 

    I-Grande-7797-l-histoire-extraordinaire-de-la-famille-martin.net.jpgL'histoire extraordinaire           de la famille Martin 

    La famille de Thérèse de Lisieux

     

    Stéphane-Joseph Piat, ofm 

    Présentation de l'éditeur :

    Ce sont les sœurs de la « petite Thérèse » qui ont recommandé le Père franciscain Stéphane Piat pour rédiger la biographie de la famille Martin. Elles estimaient sa plume et se trouvaient en plein accord avec l'interprétation qu'il donnait de la pensée thérésienne. Il passera donc des heures à interroger les filles Martin sur leurs parents, pour raconter comment ce foyer vivait le cœur de l'Évangile.

    Ce récit aux allures de monographie retrace au fil des jours les mille événements qui ont jalonné l'existence de la famille Martin. Il permet d'en scruter les ressorts cachés, d'en saisir la profonde tendresse qui les liaient les uns aux autres. Des documents d'archives, d'une valeur inestimable, ont servi à dépeindre ce tableau exceptionnel d'une famille exemplaire.

    En France, en Amérique surtout, et spécialement au Canada, se multiplièrent les demandes d'ouverture d'une procédure de béatification pour ce couple. Et ce sera enfin à l'occasion du Synode de la famille (2014-2015) que la canonisation du couple a lieu.

    (Préface du Père Pierre Descouvemont, juin 2015)

    L'auteur :

    Stéphane Piat, aumônier jociste, devint pourtant le premier historien de la famille Martin. À côté de ses ouvrages, il deviendra un prédicateur infatigable de la « petite voie » de Thérèse. La spiritualité du couple Martin, estimait-il, tient « en ces trois principes : souveraineté de Dieu, confiance en sa Providence, abandon à sa volonté », principes accessibles à tous.

    et, pour les plus jeunes : 

    I-Grande-7798-saints-louis-et-zelie-martin-aimer-c-est-tout-donner.net.jpg


    Saints Louis et Zélie Martin - Aimer c'est tout donner

    Odile Haumonté

     

     

    Présentation de l'éditeur :

    Sainte Thérèse a écrit à la fin de sa vie : « Aimer, c'est tout donner et se donner soi-même. » Quel programme de vie ! Mais la petite sainte de Lisieux ne fait qu'exprimer ce que ses parents ont vécu, eux aussi.

    Louis est horloger et Zélie à la tête d'une entreprise de fabrication de dentelle, le fameux « point d'Alençon ». Un jour, providentiellement, ils se croisent sur un pont de la ville... et se marient quelques mois plus tard. Profondément unis, ils mènent de front vie familiale et professionnelle, accueillant avec bonheur de nombreux enfants.

    Tous les deux affrontent très tôt de grandes épreuves. La mort de quatre de leurs enfants est la pire de toutes ! Puis ce sont les difficultés professionnelles, les soucis d'orientation de Léonie, le cancer de Zélie...

    Les Martin voulaient devenir « saints en famille ». Qu'est-ce qui a donc fait la « réussite » de leur vie ? Un mariage d'amour, une tendresse débordante, une éducation dans la confiance ? Oui, mais avant tout une vie ancrée dans l'amour de Dieu présent à chaque instant... Louis et Zélie sont des modèles et des protecteurs pour toutes les familles d'aujourd'hui. 

    L'auteur
    Mère de cinq enfants, Odile Haumonté est rédactrice en chef de la revue Patapon. Elle écrit aussi des romans pour la jeunesse depuis plus de dix ans, ainsi que de nombreuses vies de saints.

  • Voyage en Amérique : le pape François s'exprime dans une conférence de presse

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    De Jean-Marie Guénois, directeur adjoint du Figaro, sur son « religioblog » :

     Voici la vidéo complète de la conférence de presse et l'article que j'ai écrit dans l'avion et envoyé à Paris, sitôt notre atterrissage à Washington.

    JPSC

  • Moyen-Orient : la barbarie n’est pas l’apanage de Daesch

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    Dans le « Figaro », l’abbé Pierre-Hervé Grosjean adresse cette « Lettre ouverte » aux autorités françaises :

    XVM8d5b38dc-61dc-11e5-ab2a-75954d224542.jpg« Il a 21 ans. Demain, si rien n'est fait, il sera décapité, puis son corps sera exposé crucifié, «jusqu'au pourrissement». Par les barbares de Daech? Non. Par un de nos alliés. Un de nos partenaires commerciaux les plus importants. Un de nos «pays amis» que nos présidents successifs visitent souvent. Par l'Arabie saoudite.

    Quel est le crime d'Ali Mohammed al-Nimr? Il est chiite. Il est le neveu d'un opposant célèbre au régime. Il a manifesté contre ce régime une fois, en 2012. Il n'avait que 17 ans. Il a été arrêté, torturé. Sous la torture, ce gosse a avoué détenir des armes. Il n'a pas eu le droit de communiquer avec son avocat. Son dernier recours a été rejeté. La sentence peut être exécutée à partir de ce jeudi. Même si ce jeune était coupable de ce que le régime lui reproche, comment supporter l'horreur de la peine décidée?

    Nous nous sommes mobilisés pour Asia Bibi, chrétienne, jeune mère de famille condamnée à mort pour blasphème au Pakistan. Nous avons dit notre horreur face aux crimes de Daech, visant tour à tour chrétiens, yézidis, chiites ou encore personnes homosexuelles. Nous avons alerté le monde sur le drame des chrétiens d'Orient. Comment pourrions-nous nous taire aujourd'hui? La France, pays des droits de l'homme, peut-elle continuer à tenir ce silence ahurissant vis à vis des crimes du régime saoudien?

    Car au delà du sort d'Ali Mohammed, c'est la situation des droits de l'homme en Arabie saoudite qui se révèle une fois de plus dramatique et la question de notre complaisance qui se pose.

    Nos dirigeants se sont fait les défenseurs de la démocratie et des droits de l'homme contre Poutine, Saddam et Bachar… Pourquoi cette complaisance qui dure vis à vis de l'Arabie saoudite? Complaisance qui vire à la complicité, quand elle amène à se taire devant ces atrocités. Je ne suis pas un «spécialiste» de géostratégie ni de la raison d'Etat. J'imagine bien que «c'est compliqué» comme nous le diront les diplomates. Que la situation est «complexe». Que des «intérêts colossaux» sont en jeu. J'entends tout cela. Je remarque simplement, comme beaucoup de Français, que le deux poids deux mesures apparent est de plus en plus difficile à justifier, quand un tel «allié» rivalise avec Daech dans l'horreur. Alors je veux qu'on m'explique ce qui peut bien justifier qu'on se taise. Quels intérêt stratégique ou économique majeur impose que la France jette un voile pudique sur des crimes qu'elle dénonce ailleurs.

    Le scandale éclate d'autant plus au grand jour quand on apprend que l'Arabie saoudite vient de prendre la tête du panel du Conseil des droits de l'homme, une instance stratégique de ce Conseil des droits de l'homme de l'ONU. Comment peut-on supporter cela? C'est donc désormais un diplomate saoudien qui est à la tête du groupe qui doit choisir les experts chargés d'observer et rapporter les atteintes aux droits de l'homme dans le monde! Le discrédit est total. C'est une gifle terrible pour tous ceux qui souffrent de ces crimes.

    L'Arabie saoudite ne reconnaît aucune liberté religieuse sur son sol, mais finance des mosquées partout dans le monde. L'Arabie saoudite est un des régimes les plus répressifs pour les opposants politiques. La condition des femmes, des minorités religieuses, des travailleurs immigrés est dramatique. Les décapitations et autres exécutions publiques se comptent par dizaines depuis le début de l'année. Sans parler du rôle trouble quant au financement des groupes radicaux. Et le monde occidental baisse les yeux, pudiquement.

    Monsieur le Président de la République, Monsieur le Ministre des Affaires Etrangères, toutes les raisons d'Etat, tous les intérêts économiques et financiers en jeu, ne suffiront pas à faire oublier que demain, un jeune de 21 ans sera décapité et crucifié par un de nos pays «alliés». Pour sa religion. Pour ses opinions. S'il vous plaît, parlez d'Ali Mohammed al-Nimr comme vous avez parlé d'Asia Bibi, et de tant d'autres.

    Ref. M. le Président, empêchez la décapitation et la crucifixion du jeune Ali par l'Arabie saoudite

    L‘abbé Pierre-Hervé Grosjean, curé de Saint Cyr l'Ecole, est Secrétaire Général de la Commission «Ethique et Politique» du Diocèse de Versailles. Il a récement publié Aimer en vérité(Artège, 2014). Il est l'un des animateurs du Padreblog

    JPSC

  • Bruxelles, 20 octobre : "Les représentations de l'Eucharistie dans le mobilier et l'iconographie"

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    Mardi 20 octobre 2015, 10h30-16h.
    Cathédrale Saints-Michel-et-Gudule

    Les représentations de l'Eucharistie

    dans le mobilier et l'iconographie

    Journée de formation pour les accueillants et guides dans les églises et toute personne intéressée.


    CathedraleGlorification1wwwAprès une brève introduction sur l'histoire de ce sacrement et de ses enjeux théologiques, spirituels, politiques et culturels (depuis le récit de la "dernière Cène" jusqu'aux définitions du Concile de Trente), l'accent sera mis sur l'histoire des pratiques de dévotions eucharistiques dans l'espace géographique correspondant à l'ancienne Lotharingie, entre le XIIIe et le XIXe siècle. 
    Une attention particulière sera accordée au rôle des femmes dans leur diffusion.

    L'exposé s'appuiera essentiellement sur la mise en image de ces manifestations (processions, adorations, miracles, expériences mystiques...) et sur la présentation des objets utilisés tant pour la célébration du sacrement que pour la dévotion au Saint-Sacrement.

    Rendez-vous à 10h15
    à la Cathédrale Sts-Michel-et-Gudule,
    Pl. Sainte-Gudule
    1000 Bruxelles

    Programme

    10h15 : Accueil à la Cathédrale Sts-Michel-et-Gudule, Bruxelles.

    10h30 : Visite guidée
    Notre groupe sera divisé en trois pour visiter alternativement :
    - La Cathédrale
    - Les représentations de l’Eucharistie 
    - Les vestiges romans et la crypte

    Vers 12h15 : Repas 
    Possibilité de réserver le menu à 14,95 € “Chez Léon” : Potage du jour, Blanquette de dindonneau-frites, Mousse CathedraGlorification2www
    au chocolat - 1 boisson au choix (soft, bière, verre de vin).

    Après-midi animée par
    Marie-Elisabeth Henneau, 
    Docteure en Histoire 
    (Salle St-Nicolas, rue des Pierres, 44)

    13h45 : Conférence
    Les représentations de l’Eucharistie dans le mobilier et l’iconographie

     

    Prix de la journée 10 € (hors repas)
    à verser sur le compte :
    BE54 0682 4843 3797 de ACT
    Av. Reine Astrid 38/01 - 4900 SPA

    Merci de réserver pour la journée et le repas pour le mercredi 14 octobre au plus tard en mentionnant vos coordonnées et le nombre de personnes.

    Renseignements : ACT - Inès De Sousa, Rue du Houmier 84 - 4140 Florzé - Sprimont, 
    Tél. : 04/344.48.81 - Fax : 04/344.56.22 - E-mail : act@reliures.org

    CHEMIN D’ACCES :

    En train : 
    Arrêt Bruxelles Gare Centrale. Prendre la sortie “Centre-Ville”, prendre, vers la droite, le Bd de l’Impératrice. La Cathédrale se trouve à 300m sur la droite (5 mn à pied).

    En voiture :
    Parkings à proximité : 
    - Parking Royal : entrée rue de Ligne.
    - Parking Grand Place : entrée rue du marché aux herbes, 104.

    Photo : Glorification du St-Sacrement, Cathédrale Sts-Michel-et-Gudule

  • Croisades et djihad : des réalités totalement différentes

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    Via Liberté Politique :

    VIDEO | Les faits parlent, rien que les faits. Chacun sait que les guerres n’attirent pas que des forces armées pures et désintéressées, mais les buts de guerre s’inscrivent toujours dans le temps long de la culture, de la civilisation ou de la religion qui les portent. L’historien américain Bill Warner, fondateur du Centre d’études sur l’islam politique, a fait le rapprochement entre les batailles menées par les Croisés et celles engagées par les Etats musulmans. Les faits, rien que les faits…

    http://www.politicalislam.com/