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  • La famille Lefèvre a remporté "La France a un incroyable talent"

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    De Domitille Farret d'Astiès sur Aleteia.org :

    La famille Lefèvre fait vibrer les Français et remporte "La France a un incroyable talent"

    Lou BRETON / M6

    La famille Lefèvre lors de sa prestation finale enregistrée depuis le domicile familial à Versailles.

    Spécialiste du chant sacré, la famille Lefèvre vient de remporter mardi 15 décembre la saison 15 de "La France a un incroyable talent" devant douze autres finalistes.

    Incroyable ! La famille Lefèvre vient de remporter la saison 15 de « La France a un incroyable talent » le 15 décembre sur M6, face à douze autres concurrents. « Les anges ont dû entendre vos prières », a applaudi Hélène Ségara après l’annonce du résultat en direct des votes des téléspectateurs. « Merci à tous ceux qui nous ont accompagnés, qui ont cru en nous », a lancé Gabriel Lefèvre, le père de famille, derrière son écran, au milieu de la liesse générale.

    Cette fois, les membres de la famille versaillaise n’étaient pas huit, mais sept, car l’un des six enfants avait contracté le Covid-19. Ils ont donc été filmés depuis chez eux par la production de l’émission qui s’est exceptionnellement déplacée jusqu’à eux. Ce qui ne les a pas empêchés, via un grand écran, de bouleverser le jury par leur talent mâtiné de tendresse. Vêtus de rose, crème et noir, accompagnés à la flûte par Anne, la mère de famille, les choristes ont entonné un admirable mashup a capella mixant « All Bells in Paradise », du compositeur britannique contemporain John Rutter, et l’emblématique chant de Noël « Douce nuit, Sainte nuit ».

    « Moi, le grincheux, vous m’avez fait aimer Noël »

    De quoi ébranler le jury qui leur faisait face, qui n’a pas tari d’éloges. « C’était bien joli, ce mélange de ces deux thèmes. […] Vous êtes des anges », leur a lancé Marianne James. « Vous mériteriez d’être professionnels », a-t-elle ajouté. Pour sa part, Hélène Ségara les a remerciés d’avoir su transmettre « une émotion de Noël qui se perd un peu de nos jours ». « Après une année difficile, je trouve que cela fait du bien. Vous nous avez fait du bien », a-t-elle affirmé avec reconnaissance.

    Le solo de Raphaël, 8 ans, n’est pas passé inaperçu. La pureté de sa voix et son minois angélique ont su capter l’attention et provoquer l’émotion. « Les larmes me sont montées immédiatement », a reconnu Éric Antoine. Quant à Sugar Sammy, volontiers railleur, il semble avoir vécu une véritable conversion intérieure. « J’ai envie d’être une meilleure personne à cause de vous », a-t-il confessé. « Moi, le grincheux, vous m’avez fait aimer Noël ». Une déclaration qui rejoint le propos d’Anne Lefèvre qui avait confié à Aleteia vouloir « passer un message de paix et d’amour ». Le chant sacré a encore de belles années devant lui. Et joyeux Noël !

  • Appel à la vérité et au respect de la mémoire de Jean-Paul II

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    De Smart Reading Press :

    MOBILISATION D’INTELLECTUELS POUR LA DÉFENSE DE LA MÉMOIRE DE JEAN-PAUL II

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  • Une Eglise... en plantation

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    Circulaire diffusée par l'évêché de Liège :

    Chers amis prêtres, diacres et animateurs/trices en pastorale

    Le Service diocésain de la transition écologique (au sein du Vicariat Evangile et Vie) lance « Eglise en plantation », un programme pour planter haies, arbres et fruitiers dans les jardins des églises, des presbytères, des communautés religieuses, des écoles, des associations, etc. Ce programme s’inscrit dans la stratégie « Yes We Plant » de la Région wallonne, qui offre des subventions très intéressantes à la plantation. Vos plantations contribueront à la protection de la biodiversité, à l’atténuation du réchauffement climatique, vous offriront un cadre esthétique, vous donneront de quoi manger ou vous chauffer, etc.

    Ce projet permet de rassembler des personnes sans danger durant ce contexte, puisque les chantiers sont extérieurs. Cela peut être aussi une bonne excuse pour collaborer avec des habitants du quartier. Nous avons en tout cas, en tant que chrétiens, de grandes motivations venant de notre foi pour préserver l’environnement et garder la terre habitable.

    Découvrez en détails ce projet via l’affiche ci-jointe. L’équipe du service diocésain de la transition écologique peut vous aider depuis le choix des espèces jusqu’à la plantation. Nous attendons de vos nouvelles pour réaliser ce projet avec vous !

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  • Noël 2020 à Liège : exposition à l’église du Saint-Sacrement (Bd. d’Avroy, 132)

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    La crèche aux petits santons

    expliquée par les enfants du catéchisme

    à l’église du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy, 132 à Liège :

    Cent cinquante petits santons illustrent l’histoire de Noël

    en quinze scènes

    exposées durant les mois de décembre 2020 et janvier 2021

    création et animation, abbé Marc-Antoine Dor, Recteur de l'église du Saint-Sacrement

    prises de vue, Wendy Vandersmissen 

    Entrée libre pour les petits et les grands:

    Tous les mardis, de 17h à 19h

    Tous les jeudis, de 10h à 12h et de 14h à 17h

    Tous les vendredis de 12h à 14h

    Tous les samedis de 15h à 17h

    Pour les offices religieux, cliquez ici :

    Reprise conditionnelle de la célébration des messes à l’église du Saint-Sacrement au Bd d’Avroy à Liège

    Tous renseignements : tel. 04 344 10 89  (secrétariat)

    JPSC

  • Pour combattre l'injustice ou la tyrannie : prier avant d'agir

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    Réflexions d’un moine publiées sur le site web du bimensuel « L’Homme Nouveau » :

    Du siècle passé on garde en mémoire, émergeant au-dessus de l’âpre mêlée, des géants qui surent s’opposer aux tyrannies du moment, affronter les totalitarismes, les durs comme les mous.

    La stature de Soljénitsyne tranche sur le siècle ; venu du système marxiste, qu’il sut dénoncer ensuite, il a payé ce retournement au prix d’années de déportation. Mais, comme il l’écrit, le paradoxe est qu’« il a acquis la liberté grâce à la prison. »

    Autre géant, le Père Popieluszko, assassiné à 37 ans pour avoir provoqué le pouvoir polonais par sa parole, assénée chaque dimanche. J’ai pu visiter sa paroisse peu après sa mort, lorsque Solidarnosc venait d’être interdit après un temps de libéralisation. Elle faisait penser à une forteresse assiégée par la ville de Varsovie, encastrée entre des ronds-points et supermarchés. L’ensemble paroissial, grillagé, avec l’église au centre, entourée d’un jardin, s’étendait sur deux à trois petits hectares. La tombe du Père, immense, en occupait une large part. En forme de croix, elle mesurait quelque deux mètres de long et assemblait les 50 énormes grains d’un grand chapelet déployé sur la prairie. Sur la grille du jardinet, des dizaines de banderoles donnaient le message interdit sur la voie publique : elles résumaient la doctrine prohibée de Solidarnosc, mais dans une version plus mystique : « Il nous reste encore à faire la grève… de l’alcool ». À l’intérieur de l’église, des dessins d’enfants du catéchisme résumaient le sens du don de la vie du prêtre. L’un d’entre eux, tracé au crayon, montrait le martyr bras en croix, tenant l’hostie et le calice, encadré par deux gendarmes qui le bastonnaient. La vie séculière, à dix mètres de là, ronronnait avec sa circulation urbaine, incapable de répondre au cri de la foi.

    Je logeais chez les bénédictines de Varsovie. Ayant confié mon admiration pour un tel témoignage, de la part tant du prêtre que de sa paroisse et du pays « réel », j’ai entendu la supérieure me répondre avec justesse qu’en Pologne on trouvera toujours une jeunesse convaincue et provocante avec panache, mais, en revanche globalement, ces jeunes sont trop rarement capables de faire l'oraison quotidienne d'une demi-heure à heure fixe. Cela donne à réfléchir sur la stratégie à opposer à une société qui endort les âmes pour mieux les broyer. La croisade nécessaire commence au fond des cœurs, face à Dieu.

    Mère Teresa, autre grande figure emblématique, priait beaucoup ; elle a ainsi jeté à la mer des montagnes d’injustice par son oraison. En même temps, elle a su parler en transgressant la langue de bois, obligatoire à Oslo, quand elle reçut le Prix Nobel de la paix : l’avortement y fut déclaré sans fard comme étant le grand fléau de notre temps, ce qui entretient la guerre endémique sur la planète. La transgression fut d’abord, ici, celle de la plainte devant Dieu, avant de remettre de l'ordre dans les affaires des hommes, et c’est là la prudence la mieux assurée, à la hauteur du présent enjeu.

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  • Oh oui ! Viens Emmanuel !

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    Zoltán Kodály L'Accorche-Choeur, Ensemble vocal Fribourg

    Veni, Veni Emmanuel is a synthesis of the great "O Antiphons" that are used for Vespers during the octave before Christmas (Dec. 17-23). These antiphons are of ancient origin and date back to at least the ninth century.

  • De l’importance absolue de la messe dominicale

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    De l’abbé Laurent Spriet, prêtre du diocèse de Lyon, membre de l’association sacerdotale Totus tuus, cet article publié dans le mensuel « La Nef », décembre 2020 : 

    « De nombreux curés se sont plaints, après le premier déconfinement, de ne pas voir revenir de nombreux baptisés à la messe dominicale. Qu’en sera-t-il après le deuxième confinement ? Même si les restrictions (souvent ridicules) imposées par le gouvernement ont tendance à réveiller la ferveur de certains, ne peut-on pas craindre que de nouvelles brebis vont encore quitter le troupeau sur la pointe des pieds ? Je le crois malheureusement, surtout en entendant des personnes me dirent qu’elles se passent bien de la messe en ce moment et qu’elles n’en ressentent pas la privation…

    Pourquoi aller à la messe ?

    Avant de répondre à cette question il faudrait sans doute la reformuler et se demander : « Pour qui aller à la messe ? » Car nous n’allons pas d’abord et avant tout à la messe pour nous-mêmes. Nous n’y allons pas d’abord pour communier, ni pour entendre la Parole de Dieu et nous en nourrir, mais pour Dieu ! Il s’agit de rendre à Dieu l’amour, l’action de grâces, la louange, en un mot « le culte[1] » qui lui est dû. Or, comment donner à Dieu un amour qui soit digne de Lui et qui soit à sa mesure ? Par la messe qui est l’actualisation sacramentelle de l’unique sacrifice de la croix. Il faut relire ce que saint Jean-Paul II a écrit dans sa dernière encyclique Ecclesia de Eucharistia vivit (cf. n° 11 à 14). À la messe c’est le Christ qui est le Prêtre : c’est Lui qui s’offre à son Père, c’est Lui essentiellement qui prie, et nous qui prions en Lui, par Lui, avec Lui[2]. Nous allons donc à la messe pour Dieu, même si nous n’en ressentons pas le besoin pour nous-mêmes (malheureusement !). Nous allons à la messe tous les dimanches pour rendre à Dieu, par le Christ, le culte qui lui revient. C’est une œuvre de justice. Aller à la messe, c’est juste ; ne pas y aller, c’est injuste.

    Une obligation ?

    Ce n’est pas tant une question de devoir que d’amour. La morale chrétienne n’est pas une morale de l’obligation mais de la sainteté. Elle n’est pas d’abord et avant tout une morale du mal à éviter mais une morale du bien à pratiquer.

    A-t-on besoin d’un commandement pour aimer nos parents ? Normalement non. Mais il se trouve que l’homme et la femme étant blessés par le péché originel, Dieu leur a commandé d’honorer et de respecter leurs parents (4ème Commandement). Il en est de même pour Dieu. Il ne devrait pas être nécessaire de dire qu’il faut aimer Dieu… Il est normal, il est juste, il est digne et il est salutaire d’aimer Dieu, mais, comme l’homme et la femme sont blessés par le péché originel, alors Dieu a donné trois commandements destinés à rappeler que l’homme doit L’aimer, dont le 1er et le 3ème qui sont : « tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de ton esprit et de toutes tes forces » et « tu sanctifieras le Jour du Seigneur » (c’est-à-dire le dimanche puisque Jésus est ressuscité un dimanche). Et comme si cela ne suffisait pas, l’Église notre Mère nous a donné 5 préceptes ou commandements supplémentaires (que la plupart des baptisés ignorent totalement tant la transmission du contenu de la foi est lamentable depuis des décennies) parmi lesquels se trouve le premier : « Participer à l’Eucharistie dominicale et aux autres fêtes d’obligation et s’abstenir des travaux et des activités qui pourraient empêcher la sanctification de tels jours ». Les 5 préceptes de l’Église ont « pour but de garantir aux fidèles le minimum indispensable en ce qui concerne l’esprit de prière, la vie sacramentelle, l’engagement moral, et la croissance de l’amour de Dieu et du prochain »[3]. Vous avez bien lu : le minimum… La messe dominicale fait partie du minimum de la vie chrétienne ! Et tant de personnes baptisées s’en affranchissent allègrement. Soit, c’est vrai, par ignorance ; soit par choix. Voilà pourquoi nous pouvons lire dans un texte du 3ème siècle intitulé Didascalie des Apôtres : « Le jour du Seigneur, laissez tout et courez en hâte à votre assemblée, parce que c’est votre louange à Dieu. Autrement, quelle excuse auront devant Dieu ceux qui ne se réunissent pas le jour du Seigneur pour écouter la parole de vie et se nourrir de l’aliment de vie qui demeure éternel ? » Hâtons-nous donc d’aller participer à la Messe tous les dimanches. C’est obligatoire même si c’est d’abord une question d’amour de Dieu.

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  • Avec l’avortement, l’Etat de droit est inversé, ce n’est plus tuer mais refuser de le faire qui est criminel.

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    En France, il est aussi question d'un allongement du délai durant lequel la pratique de l'avortement est autorisée; de Jean-Marie Le Méné sur gènéthique.org :

    « L’avortement est moins une question de morale personnelle qu’une arme politique absolue »

    14 décembre 2020

    Alors que le Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE) vient de livrer une opinion sur l’avortement (cf. Délai pour pratiquer une IVG : le CCNE fait naufrage), Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Lejeune, réagit pour Gènéthique.

    Gènéthique : A la demande du gouvernement, le CCNE vient de se prononcer concernant l’extension du délai légal pour avorter, estimant qu’il n’a pas d’objection éthique à allonger ce délai. Comment réagissez-vous à cette annonce ?

    Jean-Marie Le Méné : Aucun problème éthique pour le comité d’éthique étatique. Cette opinion favorable à l’allongement de l’avortement à 14 semaines ne décevra que ceux qui pensent encore que le CCNE est chargé d’exprimer un point de vue moral sur des questions de sociétés. Il n’y a pas lieu d’en être surpris, ni même affligé. Le comité d’éthique, créé pour soumettre la morale naturelle aux exigences de la modernité, est rigoureusement fidèle à sa mission. Le CCNE a généralement soutenu toutes les transgressions auxquelles il doit accoutumer l’opinion publique. En l’espèce, les gynécologues-obstétriciens sont majoritairement opposés à l’allongement du délai d’accès à l’avortement. Qu’à cela ne tienne, le comité d’éthique prend le prétexte des quelques femmes qui avorteraient hors délai à l’étranger pour ouvrir la possibilité légale à toutes les autres d’avorter encore plus tard, au nom de l’égalité d’accès, fût-ce au pire. Le CCNE est un outil politique, pas une autorité morale.

    G : Cet avis s’inscrit dans un ensemble législatif : multiplication des propositions de loi sur l’avortement, cavalier budgétaire dans le PLFSS, amendement dans la proposition de loi qui vise à améliorer le système de santé par la confiance et la simplification. Pourquoi tant de précipitation dans une période où la France traverse une crise sanitaire ?

    JMLM : Les gens ne comprennent pas que la légalisation de l’avortement est moins une question de morale personnelle qu’une arme politique absolue. Un Etat qui préfère qu’une mère supprime son enfant avec la complicité de la médecine, parce qu’il a peur de passer pour l’adversaire des femmes en soutenant la maternité, est prêt à tout trahir. L’avortement produit un effet cliquet, crante les progrès sociétaux et condamne à la marche en avant les yeux fermés. Il n’y a pas une seule transgression nouvelle qui, pour circonvenir les hésitants, n’invoque l’avortement. Puisque nous avons été capables de légaliser l’avortement, nous pouvons bien accepter la PMA pour toutes, le remplacement des animaux de laboratoire par des embryons humains, l’eugénisme et les chimères, bref toutes les folies de la marchandisation du vivant qui font la fortune des transhumanistes et de leurs bretteurs d’estrade. L’avortement est un dogme qui ouvre toutes les portes. Ne pas y adhérer, c’est renoncer aux mandats électifs, aux médias, aux hautes responsabilités dans beaucoup de professions. L’avortement est un critère de sélection pour appartenir au camp du bien, un brevet de soumission au progressisme et un instrument d’asservissement des consciences depuis près d’un demi-siècle.

    G : Le nombre d’avortements est en progression croissante depuis 3 ans. Comment l’expliquez-vous ? Quelles mesures seraient à prendre pour endiguer cette recrudescence ?

    JMLM : Personne ne risque plus sa vie, sa réputation, sa carrière et ses émoluments à réfuter ce nouvel ordre immoral parce que s’y opposer peut conduire en prison. Si toutefois l’on voulait diminuer le recours à l’avortement, il faudrait d’abord arrêter de souhaiter un retour à « l’esprit de la loi Veil ». La loi Veil n’est pas la solution, mais le problème. Elle est, par construction, une loi évolutive et féconde qui contient le scénario de tout ce qu’elle ne cesse d’engendrer. La malice de l’avortement ne réside pas dans l’excès d’une pratique qui passerait de 12 à 14 semaines. L’enfant ne meurt pas moins à 12 qu’à 14 semaines. La loi Veil, dans sa logique, est appelée à disparaître dès lors que l’avortement sera considéré comme une pratique bienfaisante, ce qui est en bonne voie. Pourtant, avec ou sans loi, il conviendrait de rappeler que l’homicide ne saurait être le geste d’un médecin. Enfin, il est nécessaire de sortir l’avortement de la sphère exclusive des femmes. La chaîne des mensonges indispensables qui le permet (depuis la négation de l’humanité de l’embryon et l’éviction du père jusqu’au déni des conséquences) est telle qu’elle n’impacte pas que les femmes mais la société dans son ensemble. Avec l’avortement, l’Etat de droit est inversé, ce n’est plus tuer mais refuser de le faire qui est criminel. Si cela était dit et compris, se fixer une diminution du taux de recours à l’IVG deviendrait une évidence.

  • L'accomplissement des prophéties annonçant l'avènement du Sauveur (feuillet pour le temps du déconfinement)

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  • Culte : appel à l'aide pour interpeller une nouvelle fois le Conseil d'Etat

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    Chers amis

    Cela n’a pu vous échapper : grâce à une requête déposée par la communauté juive, le conseil d'Etat a reconnu que l'interdiction du culte est inconstitutionnelle et a obligé le gouvernement à prendre de nouvelles mesures pour permettre la pratique publique des religions reconnues.

    Suite à cela, le gouvernement a décidé d’autoriser les cérémonies religieuses jusqu'à un maximum de 15 personnes présentes. Cette mesure est en vigueur à partir du 13 décembre, indépendamment de la taille de l’édifice, qu’il s’agisse d’une chapelle, de la cathédrale de Tournai ou de la basilique de Koekelberg. Certains de ces édifices sont aussi des musées, activité qu’ils pourraient exercer avec une assistance bien plus nombreuse que pour l’eucharistie !

    Cette disposition du gouvernement est ridicule et méprisante envers les croyants et la constitution. Elle ne fait de plus que contourner l'arrêt du conseil d'état en dépit du bon sens et touche durement nos communautés chrétiennes.

    Sur avis de nos avocats, nous avons décidé d'interpeller une nouvelle fois le Conseil d'État au sujet de cette interdiction de facto du culte.

    Le succès de la semaine dernière a marqué un coup d’arrêt dans notre action juridique et notre collecte de fond, mais nous avons donc toujours besoin de votre aide pour défendre notre droit à recevoir les sacrements !

    Vous pouvez toujours contribuer de plusieurs manières, à savoir:

    • en faisant un virement sur BE93 0837 8173 9167, au nom de Wouter J.M. Suenens. (ce compte sera exclusivement utilisé pour cette action) ; 
    • ou avec le lien Paypal https://paypal.me/pools/c/8uY2IMW8rx ;
    • ou en faisant suivre ce message à tous vos amis ou connaissances disposés à soutenir l'initiative ;
    • enfin en soutenant par votre prière notre action, qui est entre les mains de la Providence.

    Depuis le début de notre action de la semaine dernière - avant la décision du Conseil d'Etat – nous avons récolté un peu plus de 3000 euros, que nous utiliserons intégralement pour financer cette procédure devant le Conseil d'Etat.

    Cependant, nous sommes toujours à la recherche d'environ 80 personnes souhaitant faire un don de 50 euros. Bien sûr, tout autre montant, quelle que soit sa taille, est plus que bienvenu.

    Si vous souhaitez nous aider d'une autre manière, ou pour toute question, n'hésitez pas à nous contacter à herwigdufaux@mac.com.

    Comme pour notre précédente collecte de fonds, nous retournerons, si nécessaire, les dons excédentaires au pro rata de nos donateurs après la fin de notre campagne. Et si cela s'avère impossible, nous en ferons don à une association belge ayant un but similaire ou dont l'activité est en ligne avec les enseignements de l'Église catholique.

    Nous vous remercions de votre aide.

  • François censuré chaque fois qu'il s'exprime sur l'avortement

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    De Sandro Magister (Settimo Cielo); traduction sur Diakonos.be :

    Le Pape François censuré, chaque fois qu’il s’exprime contre l’avortement

    Sachant qu’entendre un Pape revenir sur ce sujet ne manquera pas d’en irriter beaucoup… »

    C’est par cet avertissement que le Pape François introduit les paroles dures qu’il consacre à l’avortement dans son dernier livre « Un temps pour changer », en vente le 1er décembre dans le monde entier.

    Et c’est bien ce qui se passe. Chaque fois qu’il aborde ce sujet, François n’a plus très bonne presse.  En fait, on l’ignore même systématiquement.

    Et pourtant, le Pape s’est justement exprimé à plusieurs reprises ces derniers contre l’avortement, dont se rend notamment complice son Argentine natale, où le président actuel, le péroniste Alberto Fernandez, tente de faire approuver une loi qui libéraliserait la mise à mort des enfants à naître.  La loi est passée au Congrès ce 11 décembre avec 131 pour, 117 voix contre et 6 abstentions.  Mais c’est au sénat que se déroulera le vote décisif, comme en 2018 où les sénateurs ont rejeté une loi pro-avortement similaire elle aussi approuvée par le Congrès par 129 voix contre 125 et une abstention.

    *

    Le Pape a ouvert les hostilités dans une lettre manuscrite adressée le 22 novembre à un réseau de femmes des quartiers populaires de Buenos aires qui se battent depuis 2018 contre la légalisation de l’avortement.

    Settimo Cielo a reproduit cette lettre dans son intégralité qui, dans son passage le plus dur, pose ces deux questions : « Est-il juste d’éliminer une vie humaine pour résoudre un problème ?  Est-il juste de louer les services d’un tueur à gages pour résoudre un problème ? ».

    *

    Des paroles à ce point tranchantes n’ont pas pu échapper par mégarde à Jorge Mario Bergoglio étant donné qu’il les réitère telles quelles dans son livre « Un temps pour changer », à l’intérieur de ce raisonnement :

    « Je ne peux pas me taire sur les 30-40 millions de vies à naître qui sont éliminées chaque année à cause de l’avortement, selon les données de l’OMS.  Cela me fait mal de constater que dans de nombreuses régions soi-disant développées, on promeut cette pratique parce que les enfants à naître sont handicapés ou non planifiés.  Mais la vie humaine n’est jamais un poids.  On doit lui faire une place, pas l’éliminer. »

    « L’avortement est une grave injustice.  Elle ne peut jamais être l’expression légitime d’une autonomie et de pouvoir.  Si notre autonomie exige la mort de quelqu’un, alors cette autonomie n’est rien d’autre qu’une cage en fer.  Je me pose souvent deux questions : est-il juste d’éliminer une vie humaine pour résoudre un problème ?  Est-il juste de recruter un tueur à gages pour résoudre un problème ? ».

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  • Janvier-février 2021 : l'Université de la Vie, à Liège

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    UDV LIÈGE

    L’édition 2021 abordera le thème suivant :

    MIEUX COMPRENDRE LA NOTION DE DIGNITÉ HUMAINE
    POUR MIEUX LA DÉFENDRE

    LUNDIS 11, 18, 25 JANVIER ET 1ER FEVRIER 2021

    4 soirées de formation bioéthique pour 
    s’informer et se former sur les questions bioéthiques d’actualité.

    Comme pour les sessions des années antérieures, voici l’invitation à participer aux soirées de l’Université de la vie d’Alliance VITA 2021.

    Il s’agit d’un cycle de formation bioéthique qui a lieu chaque année en janvier, pour s'informer et se former sur toutes les questions bioéthiques actuelles.

    S’appuyant sur l’expérience de ses services d’écoute et son analyse des textes législatifs, politiques, scientifiques, Alliance VITA propose, dans ce cycle de formation, un panorama des grandes questions bioéthiques pour comprendre les enjeux actuels et agir au service de la vie.

    Les interventions s’appuient sur des expériences concrètes, certaines issues des services d’écoute ou de l'expérience propre à l'intervenant.

    Cette année, étant donné la situation de sécurité Coronavirus, tout se fera par réunion/vidéoconférence. A toute personne inscrite, sera envoyé un carnet du participant chez elle pour lui permettre de suivre les vidéos à chaque soirée.

    En ce cas de confinement strict tel que nous le vivons, un lien d’accès Internet sera envoyé à chaque participant afin qu’il puisse suivre les 4 soirées de formation directement de chez lui (plus la soirée du 07/01/2020 qui sera une soirée de présentation purement belge..).

    Un plus, cette année : le prix d’inscription n’est que de 15 € par personne (nous contacter en cas de difficultés pour l’inscription ou le paiement).

    Chaque lundi, nous nous connectons ensemble par vidéo avec le lien qui vous sera envoyé par mail, via la ville à laquelle vous serez inscrits. (ex : UDV LIÈGE…) Nous visionnons ensemble une vidéo d’1h30 de formation élaborée par Alliance VITA. Ensuite, pour ceux qui le souhaitent, nous pourrons échanger quelques instants sur les sujets qui ont été abordés dans la vidéo.

    Par facilité, nous nous répartissons les personnes : vous nous répondez à l’adresse mail udv.liege@gmail.com avec le nom de la personne avec laquelle vous aimeriez suivre les soirées. Cette personne vous recontactera et vous donnera le lien pour l’inscription.

    Attention, pour recevoir par courrier le carnet du participant, il est nécessaire de s'inscrire

    DES QUE POSSIBLE  Tenez-nous au courant !

    A très bientôt, Pour l’UDV Liège,

    les organisateurs

    udv.liege@gmail.com