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Actualité - Page 1696

  • Pourquoi ces exclusives médicales ?

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    A ce propos, un ami nous fait part de ses réflexions qui pourraient ouvrir un débat :

    La médecine officielle refuse qu'on soigne et guérisse des gens, si ce n'est pas en son nom et avec son autorisation. Toute guérison qu'elle n'a pas autorisée sera considérée comme une guérison illégale, non obtenue avec son autorisation. En France, même les officines qui vendent des plantes médicinales ne sont pas autorisées par la médecine officielle. Et surtout par sa branche chimico-pharmaceutique toute puissante, qui ne veut pas voir baisser ses bénéfices plantureux. La médecine officielle est bien ingrate, car elle n'existerait pas sans les médecines traditionnelles à base de plantes ou de pouvoirs guérisseurs. Pouvoirs dont on ne comprend pas comment ils fonctionnent, mais dont on peut au moins constater qu'ils fonctionnent. Pourquoi la science purement matérialiste de la médecine officielle rejette-t-elle ce qu'elle peut elle-même constater comme efficace ? Le simple fait qu'elle ne ne puisse l'expliquer est-il un motif de rejet ? Cela ressemble au débat sur les EMI (ndlr expériences de mort imminente) à RTL-TVI. Les matérialistes n'osent plus aujourd'hui traiter de dérangés ou d'affabulateurs les gens qui leur racontent leurs expériences de mort imminente. Mais comme ils ne peuvent les expliquer, ils refusent de les considérer. En fait, ils refusent d'admettre tout ce qui risque de les dépasser. Ils refusent d'admettre qu'ils ne soient pas omniscients, et de perdre ainsi un peu de leur prestige. Ou plutôt ils refusent tout ce qui risque de mettre à mal leur dogme du « tout est matériel, et rien n'est spirituel en l'homme ».

  • Liège, 25 avril : "Neutralité ou pluralisme dans l'espace public" avec Francis Delpérée

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    Cycle de Débats

    NEUTRALITÉ OU PLURALISME

    Dialogue entre Religions et Philosophies non confessionnelles

    Mercredi 25 avril 2012 à 18H00

     Neutralité ou Pluralisme dans l'Espace Public 

     Présentation par  

    Francis Delpérée 

    Sénateur 

     Professeur ém. de droit constitutionnel à l'Université Catholique de Louvain

    La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er ét. (accès par la grande entrée) . 

    Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h00. P.A.F : 10 €  (à régler sur place). 

    Inscription obligatoire trois jours ouvrables à l’avance par e-mail adressé à info@ethiquesociale.org

    RSVP le 23 avril 2012 au plus tard

    Tél. 04.344.10.89 ouinfo@ethiquesociale.org

    Internet : www.ethiquesociale.org

  • BXL, 31 mai : Qui a envie d'être aimé ?

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    S’inscrire asap car max 750 places disponibles : etreaime@ymail.com

  • Vous nous avez déjà abandonnés à notre sort...

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    Valeurs Actuelles (Laurence d'Hondt) consacre un article au sort des Coptes d'Egypte, véritablement persécutés, et pour lesquels l'émigration apparaît de plus en plus comme une solution envisageable. Extrait :

    « Vous ne voulez peut-être pas le savoir en Europe, mais nous le sentons : vous nous avez déjà abandonnés à notre sort », s’indigne Nora, étudiante en lettres françaises. Pour gagner sa vie et aider sa famille, Nora assure la permanence du collège jésuite du centre du Caire.

    « La journée, ça va, je me sens entourée parce que je travaille ici, à l’église de la Sainte-Famille, et que j’y trouve la solidarité et la tendresse dont j’ai besoin. Mais le soir, je me sens isolée, en danger. Je ne peux plus rentrer chez moi, dans le quartier populaire de Choubra, sans craindre des insultes, parce que je ne porte pas le voile. » Cela peut aller plus loin : « Je crains aussi l’agression physique, le coup de couteau. On me fait comprendre que je ne suis plus chez moi, ici, en Égypte. La plupart de nos voisins sont complices. »

    Issue de la classe moyenne, Nora a les moyens de suivre des études supérieures pour s’assurer un avenir décent au sein d’un entourage choisi et cultivé. Mais si la situation devait se dégrader, elle déposerait, comme nombre de chrétiens, un dossier à l’émigration : « Beaucoup de mes amis, surtout les filles, ont déposé une demande à l’ambassade des États-Unis, du Canada ou d’Australie. Moi-même, je n’ai pas encore fait les démarches, mais je choisirais l’ambassade de France. Sans exagérer, si cela continue, ce sera la fin des coptes d’Égypte, comme pour les chrétiens d’Irak, en quelques années à peine. »

    Cette amertume est partagée par la grande majorité des 10 millions de chrétiens qui vivent actuellement en Égypte. Ils ont le sentiment d’être sacrifiés sur l’autel du nouvel ordre islamique que cherchent à instaurer les Frères musulmans, grands vainqueurs des élections parlementaires, en accord avec l’armée, qui assure la transition. Les chrétiens sont pris dans un étau qui se resserre jour après jour sur leur rêve de liberté, né place Al-Tahrir, en 2011.

    « Nous, les zabbalin, les chiffonniers chrétiens, nous étions allés sur cette place dès le début du soulèvement, rappelle M., responsable d’un projet de développement dans son quartier de la colline de Mokattam. À présent, nous n’osons plus y mettre les pieds. » Des milliers de chrétiens démunis vivent sur les pentes de cette colline. Ce sont ceux à qui soeur Emmanuelle avait rendu leur dignité, il y a trente ans, en les aidant à construire des maisons au lieu de dormir sur les poubelles du Caire.

    Proies d’attaques armées dès le mois de mars 2011, les chiffonniers chrétiens se sentent encerclés. Une dizaine d’entre eux a déjà été tuée en tentant de repousser les assauts. Lorsque M. parle du quartier, il regarde vers les collines ocre, vers l’horizon brouillé par la pollution : « C’est de là qu’ils envoient des cocktails Molotov. »

    Lire tout l'article : L'appel des Coptes

  • Plusieurs dizaines de chrétiens massacrés au Nigeria

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    Les chrétiens du Nigeria ont vécu des fêtes pascales sanglantes. Comme il nous est interdit de reproduire des dépêches d'agences de presse auxquelles nous ne sommes pas abonnés, nous vous renvoyons aux informations parues dans les médias : Paques-meurtrieres-au-Nigeria-pres-de-70-morts.dhtml

    Pour tenter de comprendre ces évènements, on pourra se reporter aux propos de l'archevêque d'Abuja au lendemain de semblables évènements survenus à Noël. Ces propos figurent sur le site "30 giorni", sous le titre : Un terrorisme qui vient de loin

    L’archevêque d’Abuja analyse la situation de son pays après les attentats contre les églises. Il s’interroge sur les racines du groupe terroriste Boko Haram, qui n’est pas l’expression de la culture du Nigeria . L’Église catholique, qui veut la paix et l’accord, est victime d’une folie qui a pour projet de diviser le pays pour s’approprier ses ressources naturelles.

    par John O. Onaiyekan archevêque d’Abuja

    Que se passe-t-il dans mon pays? Et à qui la faute? On n’a pas de renseignements sûrs quant aux auteurs du massacre de Noël dans la paroisse Santa Teresa, à Madalla, près d’Abuja. Ceux qui ont revendiqué ce massacre en s’en vantant face à Dieu disent appartenir au groupe Boko Haram, des gens qui agissent dans l’ombre, imbus d’une idéologie liée au terrorisme international, sous le masque du fanatisme islamique. Mais c’est une nébuleuse aux intérêts contradictoires. Certains affirment que quelques-uns de ses membres se sont formés dans les camps d’entraînement avec les talibans et Al-Qaïda, en Afghanistan et dans le Pakistan septentrional. Ils sont liés aux extrémistes qui souhaitent malheureusement étendre au Nigeria l’application de la sharia, au point d’amputer les mains et de lapider les femmes adultères. Certes, il s’agit d’une minorité, mais celle-ci est la source d’un grand désordre; et nous pensons malheureusement que le Nigeria en est arrivé au stade où se déclenchera une réaction en chaîne, après des années au cours desquelles nous avions espéré que ce phénomène aurait pu être absorbé physiologiquement, par le simple recours à la loi et la négociation.

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  • Le franc parler d'un évêque courageux

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    Voici une homélie prononcée par un évêque qui ne manie pas la langue du buis, c'est le moins que l'on puisse dire. C'est paru dan la bussola et nous en trouvons la traduction sur le site ami "Benoît et moi" :

    Il fait irruption dans l'histoire (La Bussola) : Mgr Luigi Negri (*)

    Le Seigneur Jésus-Christ fait irruption dans l'histoire comme le Ressuscité, et ainsi comme début de la vie nouvelle de l'homme et du monde, sortant tout à coup du tombeau dans lequel il était resté écrasé par les péchés de tous les hommes et de toute l'histoire.

    En cette Pâque, le Seigneur doit une fois de plus renverser la pierre du tombeau, mais le tombeau où il gît est le tombeau de notre société, de la marque de notre société inhumaine, barbarisée, car justement loin de la reconnaissance de la rédemption.

    Le tombeau est l'image terrible de cette société dans laquelle des millions d'enfants ne naissent pas, parce qu'avortés, des milliers et des milliers d'autres sont exploités de la façon la plus terrible et la plus inique. La vie de la société est dominée par une violence familiale qui se répand ensuite dans toutes les structures de la vie sociale: un consumérisme effréné, un individualisme matérialiste terrible, une incapacité à affronter la vie de manière digne, sérieuse, capable de sacrifice, capable d'amour.

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  • Le site des médias catholiques à nouveau accessible

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    Catho.be est de nouveau en selle et nous nous en réjouissons; voici la note publiée sur le site:

    "Les sites des Médias Catholiques muselés par une cyber-attaque

    Chers internautes,

    Le serveur web Catho.be et le site d’informations en continu InfoCatho.be ont été la cible d'une importante attaque informatique depuis le jeudi 5 avril à 10h. De ce fait, la rédaction des Médias Catholiques n’a pu relayer l’information comme elle le fait quotidiennement, ni même envoyer à ses abonnés la lettre d’informations Cathobel.

    L’attaque a été parfaitement organisée. Des fichiers de différents sites hébergés sur le serveur ont été modifiés et d'autres supprimés.

    Notre prestataire technique est contraint de renforcer la politique de sécurité et n'est toujours pas encore en mesure de rendre accessible l'ensemble du contenu et des fonctionalités des sites.

    Les premières analyses laissent penser que l'origine de l'attaque est belge. Les outils et les techniques de l'attaque sont aussi identifiés. La direction des Médias Catholiques a averti la Computer Crime Unit et une plainte sera déposée très rapidement.

    Cette attaque est probablement la plus importante des sites Catho.be et InfoCatho.be.

    La direction et rédaction des Médias Catholiques pensent que le fait que cette attaque ait été exécutée le Jeudi saint, début des fêtes de Pâques, n'est pas le fait du hasard. Les Médias Catholiques sont soucieux de la liberté d’expression et regrettent que d’autres ne partagent pas cette vision.

    Les Médias Catholiques vous souhaitent une sainte et joyeuse fête de Pâques."

  • La piété populaire, un fonds mal exploité ou délibérément méprisé ?

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    Fruit de nombreux siècles de civilisation chrétienne, la piété populaire est inscrite plus profondément que l’on ne le croit dans la mentalité collective. En témoignent, les succès de foule dans les sanctuaires, les dévotions persistantes à l’égard de l’Enfant Jésus de Prague, du Sacré Cœur, de la Vierge, de saints comme Rita, Antoine, Don Bosco, Vincent de Paul, devant lesquels brûlent constamment force bougies et luminaires.

    Il suffit qu’un prêtre intrépide ose convoquer les fidèles d’une cité réputée déchristianisée pour qu’un millier de fidèles répondent à son appel et témoignent de leur attachement au Christ en participant à un chemin de croix dans les rues de la ville. Ou encore, comme hier, jour de Pâques, dans mon église paroissiale bondée et exultante, tout simplement parce que les membres de la chorale avaient généreusement invité les gens du quartier à se joindre à eux pour la messe et une réception conviviale. L’excellence de l’accompagnement choral mais aussi le soin apporté par le célébrant à officier avec dignité, recourant à la symbolique de l’eau, des cierges allumés, de l’encens, ainsi que la profondeur de son homélie, ont fait de cette messe un grand moment de grâce. Les « miracles », pour peu qu’on veuille bien les susciter, ne se produisent pas qu’à Marseille dans l’église du Père Zanotti-Sorkine !

    Après des décennies d’enfouissement, il serait grand temps d’en appeler à ce fonds que représente la sensibilité religieuse des gens. Ceux-ci se sont éloignés d’églises où l’on a voulu promouvoir des formes liturgiques, soi-disant adaptées à notre temps, mais en réalité terriblement pauvres et peu susceptibles de développer une piété qui parle aussi aux sens, aux sentiments, à l’affectivité. Notre religion est une religion de l’incarnation, avec tout ce que cela comporte. Une religion rabougrie et desséchée, bavarde aussi, ne peut satisfaire cette attente complexe du cœur et de l’esprit.

    Le sacré a aussi ses exigences : de recueillement mais également de soin, d’application, de préparation, et  de beauté surtout. On ne peut concilier avec lui n’importe quelle forme d’expression. Ces banderoles ou ces montages en carton qui envahissent les podiums de nos églises durant les campagnes d’avent ou de carême, censés nous sensibiliser aux injustices du monde, sont souvent laids et offensent le caractère consacré du lieu. Ou encore, ces interventions multiples qui, avec des intentions louables, interrompent le déroulement de la liturgie. On ferait bien d’envoyer nos « animateurs » en stage prolongé chez nos frères orthodoxes qui les initieraient à la dimension mystique de la liturgie qui unit le ciel à la terre.

    Ces propos sont forcément sommaires mais ils nous sont inspirés par ces expériences récentes qui montrent qu’il ne faut pas désespérer mais oser en appeler à un "sens" religieux encore bien présent et - malheureusement - souvent inexploité. Encore faut-il qu'on s'y applique sans tarder car l'usure du temps et la prégnance du matérialisme ambiant pourraient bien avoir raison de ces ressources "dormantes"...

  • Un diagnostic sans prescription

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    nomination_nicolas_brouwet.jpgPour le « Figaro », Jean-Marie Guénois a interrogé le plus jeune évêque de France, Nicolas Brouwet, 49 ans, qui est aussi, depuis le 11 février, le nouvel évêque de Tarbes et Lourdes. Il a beaucoup travaillé en aumôneries avec des jeunes et incarne une nouvelle génération d'évêques.

     LE FIGARO. - Confirmez-vous par votre expérience cet intérêt nouveau des plus jeunes générations pour la religion?

    Nicolas BROUWET. -Je constate deux choses: tout d'abord que les jeunes n'ont plus les préventions de leurs aînés vis-à-vis de la religion. Dans notre société très laïque, la foi en Dieu n'est plus portée par des structures sociales, par des comportements de masse; du coup elle apparaît à des jeunes comme un espace où la liberté peut s'exercer pleinement, quitte même à devenir un lieu d'expression personnelle dont les parents non croyants n'ont pas la clé. Par ailleurs, là où leurs aînés rejetaient la foi dans une mentalité positiviste et libertaire, les jeunes voient dans la religion une chance de nouer des relations profondes et une école de vie alors qu'ils manquent de boussole et de balises pour leur vie quotidienne.

    Mais pourquoi les chrétiens ne parviennent pas à transmettre leur héritage religieux quand les juifs et les musulmans réussissent?

    Le christianisme, en Occident, vient d'affronter une terrible crise de la foi, ce qui n'est pas le cas, je crois, chez les juifs et chez les musulmans. À cette crise de la foi correspond automatiquement une crise de la transmission. Quand on n'est plus certain de ce en quoi on croit, on ne sait plus en parler à ses enfants. Par ailleurs, le christianisme insiste beaucoup sur une appropriation personnelle de sa propre foi. Il y a ce que des parents veulent transmettre et ce que des enfants ont envie ou non de reprendre à leur compte. C'est la liberté humaine qui est en jeu. Aucune structure ne peut garantir le maintien de la foi d'une génération à l'autre. Ce travail d'appropriation personnelle et de confrontation de la foi à la raison est tout à l'honneur du christianisme mais, du coup, il fragilise, pour ainsi dire, sa transmission.

    Comment se fait-il qu'une partie des catholiques doute à ce point des enseignements de l'Église?

    Je crois qu'il y a tout d'abord un esprit de doute méthodique qui est très français et qui empêche la raison d'accepter de se laisser dépasser par la foi. Par ailleurs il me semble que nous manquons de formations à l'ensemble organique de la foi chrétienne pour l'étudier dans son unité, et en comprendre sa cohérence comme le propose, par exemple, le catéchisme de l'Église catholique. Enfin nous travaillons très peu, y compris dans le catéchisme des enfants, sur la manière d'exprimer notre foi. Ce qui donne des chrétiens embarrassés pour répondre aux questions qu'on leur pose.

    Que révèle, selon vous, l'intérêt significatif des Français pour la spiritualité?

    Cela traduit une lassitude et une déception. Beaucoup de gens comprennent   que consommer ou se préoccuper de son confort ne suffit pas à combler une existence. Il leur faut autre chose qui ne se mesure pas, que l'on ne peut pas acheter et qui demande un engagement personnel et sin­cère. «Les jeunes voient dans la religion une chance»

    Des aînés libertaires, des jeunes déboussolés, des formateurs incohérents. Soit, mais alors quoi, docteur ? Une chose est de diagnostiquer le sida, mais trouver le remède ce serait encore mieux.

  • Opération Calice: la portée de la nouvelle cassation

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    L’agence Cathobel nuance fortement les informations diffusées « con amore » par la RTBF :

    Non, la cour de cassation n’a pas remis en cause l’illégalité des perquisitions et des saisies opérées par le juge d’instruction Wim De Troy au palais archiépiscopal de Malines et au domicile du Cardinal Danneels. La cassation porte sur la motivation insuffisante de la raison pour laquelle les éléments saisis devraient être retirés du dossier. D’où le renvoi à la Chambre des mises sur ce seul objet.

    S’il en est ainsi, l’arrêt apparaît bien formaliste car, si les saisies opérées par le juge Wim de Troy le 24 juin 2010 constituent des actes nuls, quel sens cela a-t-il de lui permettre de les conserver puisqu’il ne pourra juridiquement pas s’en servir dans le cadre de son instruction ?

    Extrait de la dépêche de Cathobel ;

    « Selon Me Fernand Keuleneer, avocat de l’archevêché et du cardinal Danneels, aucune autre instance judiciaire ne doit encore se prononcer sur l’illégalité des saisies. L’avocat précise également qu’il appartient à  la Chambre des mises en accusation de se prononcer sur la question de savoir ce qui doit advenir des archives saisies de manière illégale. Mais pour lui, ces documents sont inutiles pour l’enquête et, en outre, ont déjà été lus depuis longtemps . « Par principe nous estimons qu’il est inacceptable qu’un juge d’instruction puisse rafler tout et n’importe quoi, et ce de manière illégale. Une enquête doit être menée de manière juridiquement correcte. Dans le cas contraire, nous nous retrouvons dans une situation où un braquage est certes interdit, mais où le braqueur peut garder son butin. Ceci n’est pas sain pour un état de droit. » conclut Me Keuleneer. P.G. »

    Référence ici :Opération Calice: nouvelle cassation

  • Le pape raconte le Big Bang de la nouvelle création

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    EmptyTomb300h.jpgLe Big Bang de la nouvelle création, raconté par le pape

    "Avec la résurrection de Jésus, Dieu a dit de nouveau: Que la lumière soit!". L'homélie de la veillée pascale dans la nuit du 7 avril 2012, à la basilique Saint-Pierre

    Chers frères et sœurs !

    Pâques est la fête de la nouvelle création. Jésus est ressuscité et ne meurt plus. Il a enfoncé la porte vers une vie nouvelle qui ne connaît plus ni maladie ni mort. Il a pris l’homme en Dieu lui-même. « La chair et le sang ne peuvent hériter du royaume de Dieu » avait dit Paul dans la première lettre aux Corinthiens (15, 50). L’écrivain ecclésiastique Tertullien, au III siècle, en référence à la résurrection du Christ et à notre résurrection avait l’audace d’écrire : « Ayez confiance, chair et sang, grâce au Christ vous avez acquis une place dans le Ciel et dans le royaume de Dieu » (CCL II 994). Une nouvelle dimension s’est ouverte pour l’homme. La création est devenue plus grande et plus vaste. Pâques est le jour d’une nouvelle création, c’est la raison pour laquelle en ce jour l’Église commence la liturgie par l’ancienne création, afin que nous apprenions à bien comprendre la nouvelle. C’est pourquoi, au début de la Liturgie de la Parole durant la Vigile pascale, il y a le récit de la création du monde.

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  • Pâques ? Bien plus qu'un oeuf...

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    Des-dioceses-s-affichent-pour-Paques-et-la-Pentecote_article_main.jpgcliquer sur l'image pour accéder au site

    Voir aussi : http://www.eglise.catholique.fr/