Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualité - Page 1693

  • Décès de l'abbé Paul Schoonbroodt

    IMPRIMER

    Nous lisons sur l'avenir.net:

    Le curé traditionaliste Paul Schoonbroodt est décédé samedi, des suites d’un accident de la route. C’était un farouche opposant de Vatican II.

    Victime d’un accident de circulation en Allemagne, le 14 avril dernier, le curé traditionaliste Paul Schoonbroodt a succombé à ses blessures, samedi, à l’hôpital Saint Joseph de Saint-Vith. Il était âgé de 79 ans. (...)

    Né en 1933 et originaire d’Eupen, Paul Schoonbroodt a été ordonné en 1958 à Liège, et devenu curé de Steffeshausen en 1970. Refusant d’adopter la nouvelle liturgie née de Vatican II, il a été prié de cesser d’officier à la tête de la paroisse Saint-Pierre de Steffeshausen le 18 octobre 1986 par l’évêque Albert Houssiau, avant d’être excommunié le 24 octobre 1988.

    Ses funérailles auront lieu jeudi à 10 heures, dans l’église du Sacré-Coeur, et il sera enterré dans le cimetière de Steffeshausen.

  • "Benoît et moi" : un guide sûr pour s'y retrouver dans le "Vatileaks"

    IMPRIMER

    VATILEAKS

    Commencer par : "Corbeaux au Vatican" (http://benoit-et-moi.fr/2012-I/)

    Tout est reparti de la publication du livre «Sua Santità. Le carte segrete di Benedetto XVI». (Sa sainteté: les papiers secrets de Benoît XVI).
    Jeudi 24 mai, on apprend la "démission" d'Ettore Gotti-Tedeschi [articles dans ces pages: http://www.google.com], le président de l'IOR (Institut des Oeuvres religieuses), connu comme le "banquier du Vatican".
    Puis le lendemain éclate le coup de tonnerre de l'arrestation du corbeau, Paolo Gabriele, le valet de chambre du Pape.

    Dossier Vatileaks : à lire en particulier:

  • 10 ans d'euthanasie en Belgique : une carte blanche de Mgr Léonard

    IMPRIMER

    Catho.be (JDD) fait état de la carte blanche de Mgr Léonard publiée dans la Libre de ce mercredi 30 mai intitulée « Euthanasie : 10 ans après, où est le bien commun ? »

    En voici quelques extraits.

    Mgr Léonard estime d’entrée de jeu que dix ans après l’entrée en vigueur de la loi relative à l’euthanasie, un bilan s’impose, tout en rappelant qu’en 2002, les évêques de Belgique avaient déjà exprimé leurs craintes, notamment « celle d’une grave menace quant au respect non seulement des personnes les plus vulnérables, mais aussi des soignants ».

    Mgr Léonard estime d’entrée de jeu que dix ans après l’entrée en vigueur de la loi relative à l’euthanasie, un bilan s’impose, tout en rappelant qu’en 2002, les évêques de Belgique avaient déjà exprimé leurs craintes, notamment « celle d’une grave menace quant au respect non seulement des personnes les plus vulnérables, mais aussi des soignants ».

    L’archevêque de Malines-Bruxelles entend d’abord redire la sympathie que chacun éprouve à l’égard des personnes qui souffrent intensément, minées par la maladie et bouleversées par la perspective d’une mort prochaine. « Qui pourrait demeurer indifférent à leur désarroi ? », interroge-t-il. Pour lui, toute « demande de mort doit le plus souvent être décryptée comme un appel au secours ». Et de poursuivre : « Ce cri de détresse ne doit donc pas nécessairement être interprété comme une volonté de mourir à proprement parler. La réponse appropriée est alors de soutenir le désir de vivre en dignité qui se cache derrière la demande de mort. Et lorsque toute thérapie se révèle vaine ou, en tout cas, disproportionnée, des soins palliatifs de qualité doivent alors prendre la relève. Il importe de leur donner les moyens, encore insuffisants aujourd’hui, de se développer afin de permettre de vivre et de mourir dans la dignité et la sérénité. On évitera ainsi de mettre fin délibérément à la vie et de transgresser l’interdit, essentiel à toute société, de faire mourir intentionnellement une personne innocente ».

    Admettant qu’il existe des cas où, d’un point de vue technique, « la distinction peut sembler mince entre certaines pratiques palliatives et certaines pratiques d’euthanasie », Mgr Léonard estime que « c’est  le contexte humain, la nature précise des moyens employés et l’intention qui font toute la différence ».

    Il rend aussi hommage « au dévouement admirable et compétent des membres du personnel soignant qui, refusant tout acharnement thérapeutique, luttent contre la douleur, soulagent la souffrance et à, avec beaucoup de cœur, accompagnent  jusqu’au bout les malades et leurs proches ».  Il ajoute : « Je salue aussi le courage des soignants qui, malgré d’éventuelles pressions, exercent leur droit à l’objection de conscience et refusent de pratiquer l’euthanasie ou d’y participer ».

    Liberté individuelle ?

    Partant de l’argument souvent avancé pour plaider en faveur de la dépénalisation de l’euthanasie, à savoir la liberté individuelle de disposer de sa vie et de sa mort, Mgr Léonard estime que « dix ans après, on perçoit mieux que l’euthanasie n’est jamais une décision concernant seulement la liberté de ceux qui la demandent ». Et de préciser que, selon lui, que les craintes exprimées il y a dix ans sont aujourd’hui réalité. « À l’époque, plusieurs précautions avaient été prévues par le législateur afin de circonscrire strictement le champ d’application de la loi. Mais une fois la porte entrouverte, l’entrebâillement s’élargit inévitablement. Aujourd’hui, la Commission fédérale de contrôle est quasiment obligée de fermer les yeux sur des pratiques non conformes à la loi et avoue d’ailleurs explicitement son impuissance à contrôler efficacement son application », écrit-il..

    Ce qui le conduit à s’interroger pour savoir s’il est raisonnable d’envisager un nouvel élargissement du champ d’application de la loi, sachant que des pratiques incontrôlables vont ensuite forcer le législateur à envisager de nouvelles extensions ? « Il est des domaines où le bien commun exige que des « oui » ou des « non » très clairs soient prononcés (…). Dans le domaine de l’accompagnement de la souffrance et de la mort, le « oui » résolu à une présence compétente et aimante auprès des malades et des mourants est le véritable avenir de nos sociétés. Et le développement toujours perfectible des soins palliatifs nous en donne la possibilité ».

    Pour l’archevêque, renoncer à l’euthanasie peut sembler à certains une diminution de leur liberté individuelle, il admet que ce l’est en un sens. « Mais il s’agit, à plus long terme, d’une contribution majeure au bien commun de tous », conclut-il dans les colonnes de La Libre.

    source : http://info.catho.be/2012/05/30/mgr-leonard-revient-sur-les-dix-ans-de-la-loi-sur-leuthanasie/

    Sur Radio Vatican, Mgr Léonard s'exprime sur le même sujet : http://www.radiovaticana.org/FR1/articolo.asp?c=595735

  • Quand un boy band devient un fervent catholique

    IMPRIMER

    "Brad Fischetti, un boy band devenu catho"

    Qui aurait pu prédire que Brad Fishetti, un des de LFO (Lyte Funky Ones), devienne un jour un fervent catholique ?

    à découvrir sur info.catho.be

  • Une Marche pour la Vie à Czestochowa

    IMPRIMER

    Pologne : une marche en faveur de la vie et de la dignité humaine

    2.000 polonais dans les rues de Czestochowa

    ZENIT.org - Don Mariusz Frukacz - Traduction d’Océane Le Gall

    Près de 2.000 habitants de la ville de Czestochowa ont participé dimanche dernier, 27 mai, à la "Marche pour la vie et la famille" qui était organisée au centre-ville, à la lumière de la prochaine Rencontre des familles de Milan.

    Cette marche était une initiative du Bureau pastoral pour les familles de l’archidiocèse de Czestochowa, du Conseil des mouvements et associations catholiques de l’archidiocèse et de la Fondation Jean-Paul II pour la vie et la famille, sous le patronage de l’archevêque métropolitain de la ville, Mgr Wacław Depo, qui a célébré une messe en la basilique cathédrale de la Sainte-Famille.

    Lire la suite

  • Mardi 29 mai : commémoration de la prise de Constantinople par les Turcs

    IMPRIMER

    C’était, hier, 29 mai, le jour anniversaire de la prise de Constantinople. Selon une dépêche de l’Agence Apic datée de ce jour « des milliers de militants islamistes ont manifesté, le 27 mai 2012, à Istanbul pour réclamer la réouverture au culte musulman de la basilique Sainte-Sophie. Un petit groupe de musulmans s’est à nouveau rassemblé pour une prière devant les portes de l’édifice, mardi 29 mai 2012, jour anniversaire de la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 ». Ici : Turquie : Des musulmans veulent récupérer la basilique Sainte Sophie de Constantinople

    Coïncidence : loin de ces agitations  (quoique…) un lunch-débat ouvert à un large public était organisé ce même jour à l’Université de Liège par l’Union des Etudiants Catholiques et le Groupe Ethique Sociale sur le thème « Religions et Etat dans l’Islam » avec  Vincent Legrand (professeur  à l’UCL, spécialiste du monde arabe, de l’étude des religions et de la laïcité) et Maximos Botros, diacre de l’Eglise catholique copte d’Egypte.

    Aux propos sympathiques mais empreints d’un humanisme irénique un peu décalé du Professeur Vincent Legrand répondaient ceux, beaucoup plus tranchés de Maximos Botros :  fondamentalement les minorités chrétiennes historiques d’Orient dénoncent le double langage du monde musulman, sans parler des violences et contraintes qui en bon français s’appellent des persécutions.

    Même contraste dans la salle : langage lénifiant  des intellectuels de l’Islam et des chrétiens arborant le rameau du dialogue et, de l’autre, vertes paroles de catholiques orientaux rejoints par leurs frères occidentaux beaucoup moins convaincus par la mise en perspective optimiste d’un certain discours  convenu dans les milieux « bien- pensants » du catholicisme officiel.

    Au total, une assemblée assez libre, où bien sûr les professions de foi des uns et des autres s’expriment plus abondamment que les vraies questions…Textes bientôt disponibles ici: info@ethiquesociale.org

  • Avortement : une déclaration forte du premier ministre turc

    IMPRIMER

    Synthèse de presse quotidienne de gènéthique (29 mai) (lefigaro.fr 25/05/12 - lci.tf1.fr 25/05/12)

    L’avortement : "un meurtre", selon le premier ministre turc.

    Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré vendredi 25 mai 2012 qu’il considère "l’avortement comme un meurtre." Il ajoute : "Personne ne devrait avoir le droit de l’autoriser. Que vous tuiez le bébé dans le ventre de sa mère ou [...] après sa naissance, il n’y a aucune différence."

    En Turquie, les femmes ont la possibilité d’avorter "au cours des dix premières semaines de grossesse", mais si celles-ci sont mariées, le "consentement [...] du père est également exigé."

    Cela rouvre le débat en Turquie où une proposition de loi restrective devrait être déposée par le gouvernement.

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 29 mai 2012

    IMPRIMER

    images (4).jpgSommaire

  • Euthanasie : la Belgique, pays du flou

    IMPRIMER

    On lit sur le blog de Jeanne Smits :

    "Le nombre de personnes mourant en Belgique au bout d'une « sédation palliative » atteint désormais plus de 14.000 par an, soit 14 % des décès. C'est à la fois un moyen de soulager des souffrances ultimes trop insupportables, et de mettre volontairement fin à la vie par un moyen qui n'obéit pas aux règles de l'euthanasie. Autrement dit, la sédation palliative peut avoir un objectif euthanasique ou non, elle peut être moralement illicite ou non. Mais ce qui apparaît aujourd'hui en Belgique, c'est que le médecin peut exercer à travers elle un pouvoir exorbitant sur la vie et sur les dernières heures de ses malades...."

    Lire la suite

  • USA : Quand Planned Parenthood participe au "genrecide"

    IMPRIMER

    Nous lisons sur Nouvelles de France (Eric Martin) :

    C’est du lourd ! L’organisation d’investigation « pro-vie » Live Action a mis en ligne à midi, heure de Paris, la première vidéo d’une série intitulée : « Genrecide : La sélection du sexe en Amérique ». Réalisée en caméra cachée, elle a été tournée dans un centre d’avortement de Planned Parenthood à Austin (Texas). La puissante organisation qui condamne officiellement l’avortement tardif réalisé en raison du sexe de l’enfant (en gros, l’avortement des petites filles), l’encourage dans les faits, ainsi que le montrent ces images choquantes.

    De quoi « retourner » certaines féministes déjà choquée par la pratique de l’avortement sélectif des petites filles en Chine ? Affaire à suivre… De quoi, en tout cas, provoquer le buzz national évoqué par Lila Rose cette nuit. Dans la foulée, la jeune femme de 24 ans vient de lancer une pétition contre l’avortement basé sur la sélection par le sexe. Vous pouvez la signer sur ProtectOurGirls.com.

    Lire à ce propos le billet d'Adélaïde Pouchol dans l'Homme Nouveau.

  • Des hérésies made in USA ?

    IMPRIMER

    Comment les hérésies modernes nous ont isolés et nous laissent inassouvis

    Par: Mgr. Charles Pope (sur le site de l'archevêché de New-York)

    J'ai mentionné ici un livre remarquable de Ross Douthat que je recommande comme lecture obligée pour quiconque veut saisir ce qui s'est passé dans le domaine de la foi durant la deuxième moitié du 20ème siècle et jusqu'à aujourd'hui. Il est intitulé "Bad Religion - Comment nous sommes devenus une nation d'hérétiques'. Dans ce livre, Douthat expose comment les Eglises (l'Église catholique et les Églises protestantes) ont augmenté de façon spectaculaire dans les années qui ont suivi la guerre, puis, tout à coup, se sont effondrées, et il décrit avec une grande précision comment elles ont été submergées par des vagues successives d'hérésies.

    Il utilise le mot hérésie tout à fait correctement pour désigner une version de la foi chrétienne qui détient une version incomplète de la pleine vérité. Ce que fait celui qui choisit certains points mais en en rejetant d'autres qui assurent l'équilibre et  complètent le tableau. Bien sûr, il y a souvent des tensions lorsqu'on veut garder ensemble toutes les vérités.

    Par exemple , comment pouvons-nous concilier la souveraineté de Dieu avec la puissance de notre liberté et notre capacité de dire non? Ou comment peut-on concilier la miséricorde d'un Dieu d'amour avec l'existence de l'enfer? L'approche orthodoxe consiste à maintenir les deux termes, et à laisser les tensions rester largement sans réponse, ou du moins à trouver un équilibre qui les respecte en même temps. L'approche hérétique est d'en choisir un, et de rejeter ou de minimiser l'autre afin d'échapper à la tension.

    Lire la suite

  • La cible préférée des humoristes patentés

    IMPRIMER

    dieu-maitre-pape-reintegre-integristes-L-2.jpegIls sont à la une de la RTBF ou de RTL, ils déblatèrent sur les ondes, ils sont omniprésents sur les scènes de la ville ou de la province, ils sont censés nous faire rire et y parviennent parfois… Ils s’appellent de Warzée, Pirette, Theunis et consorts. Ils égratignent gentiment le monde politique ou médiatique, épinglent les travers de notre société, mais là où ils se « lâchent », c’est lorsqu’ils se déchaînent contre l’Eglise, la foi, la religiosité catholique. Ils pourraient tout aussi bien cibler les célébrations compassées du militantisme laïc, les débordements fanatiques des mosquées, les grimaces de la bienpensance politiquement et culturellement correcte, mais ce serait risqué, et d’ailleurs,  il vaut mieux ne pas cracher dans la soupe. En revanche, que risque-t-on à tourner en dérision des enfants faisant leur communion, des vieilles égrenant leur chapelet, les prêtres - tous pédophiles bien sûr -, le pape ou l’archevêque toujours ridicules, bien évidemment ? On sait bien que tous ces gens passés à la moulinette d’un humour destructeur n’intenteront pas de procès, qu’ils ne lanceront pas de fatwas, qu’ils ne déposeront pas d’explosifs, alors pourquoi se gênerait-on, d’autant que les portes sont largement ouvertes à ces « drôles » par tous ceux qui dominent le monde de la « culture » et du divertissement. Alors, même si « à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire », on y va de tout cœur, sans retenue. Derrière les rictus grimaçants de cet humour stéréotypé et convenu, se cache à peine un parti-pris antichrétien mais surtout anticatholique. Ce n’est pas nouveau; ainsi, lors de la révolution française, des carnavals furent organisés avec des ânes portant des ornements sacerdotaux, et les « oripeaux de la superstition » furent l’objet de parodies haineuses. L’humour corrosif, même lorsqu’il se fait bête ou médiocre, ne finit-il pas par tuer plus sûrement que de longs discours ?