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Belgique - Page 288

  • Sur Euthanasie Stop (8/1/2014)

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    AUJOURD'HUI SUR EUTHANASIE STOP - 08/01/2014

    Ma fille devrait-elle être euthanasiée ?

    Publié par Sacewicz IWONA (Maman)

    La maman d'Isabella dont le témoignage figure à l'indice 1'49, habite Schaerbeek. Voici ce qu'elle écrit. "Je voudrais beaucoup qu'on ne pense pas en Belgique à l'euthanasie des enfants et des jeunes. Je sais que c'est la solution la plus facile. Cependant, au contraire, il faut faire face à ce grand enjeu et aider les enfants et leurs familles. Comme ça, on ne pensera plus à recourir à l'euthanasie. Chacun a le droit de vivre et mourir dignement." 1'49

    Lire « Ma fille devrait-elle être euthanasiée ? »

    Quelle réponse à la souffrance ?

    Publié par Rocco LIRADELFO (Employé)
    Nonobstant la prise en charge, en conscience, de la douleur de l'enfant et des familles concernées, il est important de promouvoir la vie plutôt que la mort dans notre société! La souffrance physique et morale font partie intégrante de la vie de l'Homme (un jour ou l'autre, nous y passerons tous), l'important est d'y apporter des réponses positives qui vont au-delà d'un acte comme l'euthanasie !

    Lire « Quelle réponse à la souffrance ? »

    Euthanasie et protection des plus fragiles

    Publié par Antoine MELLADO (Politologue)
    Dans le cadre de la loi actuelle, où les euthanasies ne seraient pratiquées que sur des personnes le demandant expressément et ayant toutes leurs facultés mentales, il y a toujours des doutes importants de la part des différents acteurs intervenant dans le processus, par rapport à la « véritable » liberté exercée lors de la prise de cette terrible décision. En effet, ces personnes fragiles souffrant de maladies graves, incurables et souvent longues, se trouvent dans des situations d'extrême dép...

    Lire « Euthanasie et protection des plus fragiles »

  • L'euthanasie d'un vieil athlète

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    Jeanne Smits commente l'évènement

    Ni trop malade pour être opéré, ni en fin de vie : euthanasie d'un athlète de 95 ans

    Une nouvelle fois, un pays a vécu au rythme de la chronique d'une mort annoncée. Cette fois c'est en Belgique que la presse a révélé, la semaine dernière, la prochaine euthanasie d'un des athlètes belges les mieux connus, et en tout cas le plus âgé : Emiel Pauwels, 95 ans, champion d'Europe du 60 mètres en annonçant que tous ses papiers étaient en règle pour l'euthanasie…

    Au lendemain d'une fête à tout casser, où il a offert le champagne à tous ses proches et amis, dans la bonne humeur et les bulles, il a « quitté la vie » comme le dit la presse belge ce mardi 7 janvier. Ça y est, il est mort. Piqué. Entouré de sa famille.

    Souffrait-il ? Sans doute, mais pas assez pour ne pas pouvoir avaler une coupe de champagne en bonne compagnie. Etait-il en phase terminale ? Absolument pas. N'y avait-il pour lui aucune perspective d'amélioration ? Mais si, puisque les médecins lui proposaient une intervention chirurgicale qui, vu son excellente forme physique, par ailleurs, aurait pu lui donner quelques bonnes années de plus. Répondait-il donc aux critères de l'euthanasie de la loi belge ? Il faut croire que non. Mais une fois qu'il y a une loi d'euthanasie, les critères se font de plus en plus relatifs…

    Lire la suite sur le blog de Jeanne Smits

  • Banneux, 17-19 janvier : session consacrée à "Lumen Fidei"

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  • Banneux en vedette sur KTO

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    De l'avenir.net :

    SPRIMONT - «Lieux marials», une série de documentaires, consacre sa prochaine «apparition» sur nos écrans à Banneux. À voir selon le Sanctuaire.

    Banneux sera en vedette dès vendredi sur la chaîne KTO, diffusée sur Belgacom TV. Cette chaîne catholique, comme son nom l’indique, diffusera en effet pour la première fois un documentaire de 52 minutes consacré au Sanctuaire de Banneux dans le cadre de la série«Lieux marials». Tourné pendant plusieurs jours de juin dernier par le réalisateur, mais aussi l’acteur, Armand Isnard, à qui l’on doit d’autres œuvres sur Chopin, Sissi Impératrice, Léo Ferré, Bernadette Soubirous, Edith Piaf, Frédéric Ozanam, Georges Brassens, Don Bosco, Jean Marais, Marthe Robin… mais aussi sur l’Autriche, le Trentin et les Dolomites ou Sainte-Maxime, ce documentaire est grandement servi par les autochtones. «C’est l’interview du recteur, l’abbé Léo Palm, qui sert de fil conducteur» souligne Jean-Marie Denis, responsable presse du Sanctuaire de Banneux. «Sur ses propos on peut voir de très belles images de Banneux ainsi que de nombreuses photos, dont des inédités, des archives du Sanctuaire». D’autres intervenants, «bénévoles ou membres du personnel du Sanctuaire», apportent leurs bonnes paroles au récit comme «Sœur Marie-Thérèse de l’Hospitalité; deux amies de Mariette Beco, l’archiviste Anny De Deyn et Nicole Ingenbleek, servante de la Vierge des Pauvres, Fabian Delarbre, cérémoniaire, et Pascal Lecoq, chapelain du Sanctuaire». Et Jean-Marie Denis d’expliquer que «ses amies expliquent très bien la personnalité de Mariette Beco» dont on pourra apprécier «des images relativement inédites» entre celles de «la période des apparitions» et «sa dernière photo 10 ans avant sa mort». De quoi faire dire à notre interlocuteur que «le message de la Vierge des Pauvres est très bien expliqué et très bien mis en perspective avec les explications et des éclairages particuliers de toute la vie de Mariette Beco, des suites des apparitions, de son vécu… au jour le jour de l’accueil du témoignage confié par la Vierge Marie».

    Une œuvre cinématographique, «très bien faite de très belles interventions et de très beaux montages» qui sera d’ailleurs disponible en DVD au Sanctuaire de Banneux.

    Vendredi 10 janvier à 20 h 40 sur KTO ou www.kto.com ; rediffusions : samedi 11 à 0 h 25 et 11 h ; dimanche 12 à 14 h 25, lundi 13 à 9 h, mercredi 15 à 18 h 40, jeudi 16 à 16 h et vendredi 17 janvier à 13 h.

  • La bienheureuse Jeanne Haze, fondatrice des Filles de la Croix (7 janvier)

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    marie-th-r-se-du-sacr--coeur.jpgJeanne Haze1782-1876 - source

     

    Jeanne était la fille du secrétaire du dernier prince-évêque de Liège, et naquit à Liège (Belgique) le 17 février 1782 (1), avant-dernière de six enfants.

    La France révolutionnaire occupa la Belgique jusqu’en 1815. La famille Haze dut fuir, et le père mourut dans ces circonstances à Düsseldorf. Les deux sœurs, Fernande et Jeanne, seraient volontiers entrées en religion, mais les lois antireligieuses interdisaient encore les congrégations religieuses et les deux sœurs s’organisèrent à domicile, discrètement, en groupe de piété. Elles vivaient de leçons privées à domicile.

    La mère mourut à son tour en 1820. 

    Les deux demoiselles s’occupèrent à Liège des pauvres et des enfants abandonnés de la ville, au lendemain des ravages causés par l’esprit révolutionnaire français.

    En 1824, on leur demanda de prendre en charge une école paroissiale, privée et très discrète, officiellement interdite par le pouvoir hollandais. Mais quand la Belgique acquit son indépendance (1830), Jeanne put faire reconnaître son établissement. Puis, avec quelques compagnes, elle donna naissance à la Congrégation des Filles de la Croix.

    Dès 1833 elles prononcèrent leurs premiers vœux. Jeanne prit le nom religieux de Marie-Thérèse du Sacré-Cœur de Jésus. En 1845 l’archevêque les reconnut officiellement, et approuva les constitutions en 1851.

    Le mot d’ordre de Jeanne était : Aller aux pauvres avec un cœur de pauvre.

    La priorité des nouvelles Religieuses allait à l’éducation des jeunes filles, mais aussi aux malades à domicile, aux femmes incarcérées, à la catéchèse, aux personnes âgées et handicapées, à la broderie, pour occuper les enfants durant la journée et les adultes dans les soirées. On commençait à les connaître dans la ville : elles avaient la charge de la prison des femmes, d’une maison pour réhabiliter les prostituées, d’une maison d’accueil pour les mendiants.

    Bien vite s’ouvrirent d’autres maisons en Allemagne (1849), en Inde (1861), en Angleterre (1863) et particulièrement dans le monde anglophone… jusqu’à cinquante communautés et près d’un millier de Religieuses, lorsque la Fondatrice s’éteignit. 

    Jeanne Haze mourut à Liège le 7 janvier 1876, à l’âge vénérable de quatre-vingt quatorze ans. Cinquante ans plus tard, le corps exhumé apparaissait intact.

    Elle a été béatifiée en 1991.

    Outre les pays mentionnés plus haut, les Filles de la Croix de Liège sont actuellement environ un millier, présentes dans cent treize maisons en Italie, au Congo belge, au Pakistan et au Brésil. En Inde, elles ont d’importants centres en pleine expansion. (2)

    Elles ont donné naissance à trois congrégations indigènes devenues autonomes, les Sœurs du Cœur Immaculé de Marie, en Inde et au Congo-Kinshasa.

     

     (1)  On trouve aussi 27 février 1777, ce qui ferait mourir la Bienheureuse à quatre-vingt dix-neuf ans. Mais cette date semble moins officielle que celle qu’on a choisie ci-dessus.


    (2) De wikipedia : La maison généralice a quitté la rue Hors-Château de Liège (Belgique) pour s'installer en Angleterre en septembre 2012. Une communauté restant présente à Liège à quelques pas de l'ancienne maison généralice, celle-ci étant reprise par la Haute École HELMo pour y construire des classes afin de former de futurs enseignants.

    La chapelle de la rue Hors-Château reste propriété de la Congrégation des Filles de la Croix.

  • Bulletin de l'I.E.B. : rétrospective 2013

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    header_fr.jpgSommaire

  • Euthanasie : rétrospective 2013 (Bulletin de l'I.E.B.)

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    Sommaire

  • Quels sont les lobbies pro-euthanasie en Belgique ?

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    Quels sont les lobbies pro-euthanasie en Belgique ?


    Il faut se rendre compte que le lobby pro-euthanasie est très bien organisé et idéologiquement fort. Le réseau pro-euthanasie est une véritable organisation mondiale, ayant des membres dans différents pays du monde, à l’affût de la moindre ouverture ou fait d’actualité pour faire avancer leur combat. (Voir leur site http://www.worldrtd.net/)

     

    En Belgique, il y a l’ADMD dont on parle actuellement dans les médias du fait de leur influence sur la Commission de contrôle de la loi euthanasie : les médecins euthanasieurs siègent aussi au sein de la dite Commission…ainsi que la Présidente de l’ADMD Belgique, Madame Herremans. Juges et parties, collusion…

     

    L’équivalent flamand de l’Association  pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD) s’appelle le RWS (Recht op Waardig Sterven).

     

    Un slogan très révélateur est diffusé par le RWS : « Jouw wil is wet. Bepaal zelf de omstandigheden van uw levenseinde. » (Traduction : Votre volonté fait loi ; décidez vous-même des circonstances de votre fin de vie »


    A lire cela, on comprend l’acharnement de ces lobbies à ouvrir de plus en plus la loi au choix personnel de chacun. La mort à la demande…

    http://www.rws.be/web/wp-content/uploads/2013/09/RWS-134_3_2013_WEB.pdf (p. 23)


    Notons aussi que plusieurs associations de médecins pro-euthanasie (LEIF et EOL) proposent d’être les euthanasieurs si les médecins traitants rechignent à le faire. De plus, ces médecins EOL et LEIF ont une force de marketing convainquante pour proposer à leurs confrères non encore acquis à la cause, de se former à BIEN pratiquer l’euthanasie. Ces formations sont d’ailleurs financées par la COCOF du côté francophone.

  • Filiation pour les couples homosexuels : l'avant-projet de loi abandonné

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    Lu sur le site de la RTBF :

    Annemie Turtelboom abandonne son avant-projet de loi concernant la filiation pour les couples homosexuels. La ministre de la justice souhaitait permettre aux couples de personnes du même sexe de bénéficier de la filiation automatique. Voilà plus d'un an que cet avant projet de loi est discuté. Mais à présent le texte est enterré. En cause: le blocage persistant au sein du gouvernement fédéral à son sujet.

    Aujourd'hui, quand un partenaire d'un couple de femmes devient mère en passant par la procréation médicalement assistée, sa compagne doit obligatoirement adopter l'enfant pour devenir mère elle aussi. C'est la même chose pour les hommes qui font appel à une mère porteuse.

    Cette adoption intrafamilale est vue comme discriminatoire par la ministre de la Justice qui souhaite en changer. Le texte proposé par la ministre a fait grincer des dents du côté du CD&V et du cdH.

    Ce qui gène les démocrates, c'est que cette filiation puissent être élargie aux couples d'hommes. Car pour le moment, il n'existe aucun cadre juridique concernant les mères porteuses.

    Le CD&V a déposé une proposition de loi à la Chambre sur le sujet, remaniant l'avant projet de loi d'Annemie Turtelboom. Dans le projet du CD&V, il est interdit que plus deux personnes, comme un couple de deux femmes et un père biologique, reconnaissent un enfant. Du coté de l'Open VLD, on a décidé de déposer tout de même déposé le première texte de loi au parlement, même si il dérange.

  • Indécent

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    Qu’au premier jour des soldes une enseigne namuroise (voir ICI) propose aux cent premiers clients se présentant en sous-vêtements de recevoir gratuitement deux pièces d’habillement me met profondément mal à l’aise. Non pour l’offense à la décence que constituerait le fait d’évoluer en petite tenue mais pour l’atteinte qui est ainsi faite à la dignité des personnes. Cela revient à parier sur le dénuement de gens que la crise actuelle atteint gravement afin de les inciter à s’exhiber dans n’importe quel appareil pour quelques dizaines d’euros. Le recours à de tels procédés publicitaires trahit une absence totale de sens des valeurs à commencer par le respect dû aux personnes. Qu'aucun des organes de presse rapportant l'évènement ne s'émeuve d'un tel cynisme m'interpelle également.

  • Légaliser le cannabis ?

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    Un de nos amis a réagi lors de l'émission "connexions" de la RTBF consacrée à la légalisation du cannabis. Sa réaction est passée intégralement dans l'émission qui, du reste, fut assez largement complaisante envers la légalisation. (lien vers l'émission : http://www.rtbf.be/info/emissions/article_connexions-cannabis-faut-il-ouvrir-des-coffee-shops-en-belgique?id=8168036&eid=5017893)
     
    Les propos de notre ami :

    La réponse est non, il ne faut pas légaliser le Cannabis


    Le modèle hollandais de légalisation est un échec. Il n’a pas réussi à influencer significativement la consommation de cannabis, qui continue à y causer des nuisances et à alimenter les circuits les plus occultes de cette planète. De nombreux coffee-shops y ont d’ailleurs été fermés, et on y a diminué la possibilité de consommer et vendre du cannabis.


    D’autre part, le cannabis actuel n’est plus la fumette de nos parents. Il est la cause de problèmes mentaux, cardio-pulmonaires, de fertilité et de nombreux enseignants témoignent qu’il est la cause d’innombrables décrochages scolaires. Il crée de plus une accoutumance physique et psychique et est la porte d’entrée vers des drogues dures.


    Si la discussion se réduit à autoriser n’importe quelle bêtise qu’on ne peut  contrôler ou que le voisin fait déjà, légaliser ne devient plus que l’échappatoire de la lâcheté politique. Une société saine ne peut qu’avoir l’ambition morale d’éradiquer ce fléau, et c’est dans cette seule optique qu’il est admissible de traiter de la question de la légalisation.

  • Pour préserver la fonction actuelle de la chapelle des capucins à Mons

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    Une pétition adressée à Nicolas Martin Bourgmestre f.f. de la Ville de Mons pour préserver la fonction actuelle de la chapelle des Capucins a été lancée sur le Net; en voici le lien :

    http://www.change.org/fr/pétitions/nicolas-martin-bourgmestre-f-f-de-la-ville-de-mons-préserver-la-fonction-actuelle-de-la-chapelle-des-capucins

    Voilà pourquoi, nous dit son promoteur, c'est important:

    5 raisons principales :

    1. PATRIMOINE. Depuis 1650, la renommée de N_D de Belle Dilection dépasse largement les frontières de la Ville de Mons. Le lieu spirituel est renseigné dans de nombreux sites Internet. http://notredamedesneiges.over-blog.com/article-34406696.html
      http://www.clarissesval.ca/Celebrations franciscaines.htm
      http://monasteresigolsheim.free.fr/include/Saint/pop.php?id=440
    2. MONS 2015. La chapelle est témoin privilégié de l'entrelacement de l'histoire locale et de l'histoire universellehttp://users.skynet.be/capucins-mons/histoire.htm#LES CAPUCINS A MONS DEPUIS 1863. Un tel site historique ne mérite-t-il pas son maintien dans ses conditions d'origine ?
    3. MONTOIS. Les Montois  sont attachés à cette chapelle comme le montre le reportage de Télé MB d'octobre 2013 : http://www.telemb.be/06-09-2013-mons-la-chapelle-des-capucins-se-decouvre_d_10670.html ;
    4. VIVANT. La chapelle vit. Un lieu de culte vivant (chapelle pleine chaque dimanche matin) et fréquentation en semaine par une communauté de fidèles.
    5. SOCIAL. Les gens du peuple viennent y trouver un réconfort spirituel en confiant leurs peines à l'image de Notre Dame de Belle Dilection qui y est vénérée.

    Pour signer la pétition : cliquer ici.