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Belgique - Page 54

  • 1/4/2022 : le grand retour de la lettre C

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    De RCF :

    Le grand retour de la lettre C

    ► Cliquer sur l'image pour regarder le reportage spécial.

    EDITION SPÉCIALE : Tous les autres partis récupèrent la lettre "C". Des milliers de militants se réjouissent de l'attachement de leur parti aux valeurs chrétiennes.

    Alors que le repositionnement des "engagé(e)s" rompt avec le personnalisme chrétien, les autres familles politiques en profitent et récupèrent la lettre "C".
    L'objectif ? Séduire l’électorat chrétien représentant 65% des électeurs, selon les derniers sondages, et d'endiguer une vague d'abstentions record aux prochaines élections. Une question se pose alors : devra-t'on bientôt montrer un certificat de baptême pour se présenter aux élections ?
    ► Reportage exclusif aux 4 coins du royaume.
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  • Le Congrès Mission : une belle réussite

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    Le Congrès Mission a rassemblé 1600 participants à Bruxelles le week-end du 19 mars. Cette manifestation a été un grand succès et on peut s'étonner que la presse ne l'ait pas évoqué. On trouve toutefois cet écho sur le site de Famille Chrétienne :

     

    Marie de Harenne fait partie de l’équipe organisatrice de ce premier Congrès Mission belge et elle a répondu à nos questions. Âgée de 35 ans, elle travaille dans le monde associatif.

    En octobre, vous avez décidé de décaler le Congrès Mission prévu à Bruxelles. Pourquoi ?

    À l’époque, les restrictions sanitaires imposées en Belgique face au Covid-19 étaient très strictes. Si nous avions maintenu, nous n’aurions pas eu l’autorisation de nous réunir à plus de deux cents dans la basilique de Koekelberg, cœur du Congrès. Or, il s’agit de la cinquième plus grande église au monde ! Et le succès du Congrès repose aussi sur la joie de se réunir en nombre. Si cette décision n’a pas été simple à prendre, elle s’est finalement avérée bénéfique : cela nous a permis de doubler le nombre de bénévoles pour le porter à cent cinquante, de mieux communiquer dans les médias et dans les paroisses. Enfin, le Congrès s’est tenu sous un beau soleil le week-end du 19 mars, fête de saint Joseph, patron de la Belgique.

    Quels ont été les moments marquants de ce Congrès belge ?

    Comme dans toutes les autres villes, la prière pour les prêtres a été particulièrement forte. Nous prions trop peu pour eux ! Je retiens aussi l’envoi en mission des parents, des personnes engagées dans les médias, la vie publique... Et l’enthousiasme de 1 600 participants lorsqu’ils se sont tous mis debout pour répondre à l’exhortation : « Si aujourd’hui, vous avez décidé d’aller proclamer l’Évangile, levez-vous ! » En dehors des célébrations, l’ambiance conviviale du village des exposants a été très appréciée. Les évêques belges présents sont venus rencontrer en toute simplicité les congressistes autour d’une barquette de frites. Après deux années particulières, les uns et les autres étaient simplement heureux de pouvoir se réunir à nouveau, comme en famille. Enfin, nous avons été touchés par l’audace de la centaine de missionnaires partis évangéliser dans le quartier Saint-Gilles, où les Bruxellois se retrouvent le samedi soir pour aller boire un verre. Beaucoup de personnes abordées dans la rue sont venues déposer une bougie dans l’église.

    Quelle est la portée d’un tel événement ?

    Tout d’abord, je crois que chacun est rentré chez lui renouvelé dans la prière et dans sa relation à Dieu. Je pense aussi que ce Congrès, dans les temps troublés que nous traversons, aura permis de rappeler que la solution est toujours de se tourner vers Dieu. L’évangélisation n’a jamais été une option pour un chrétien. C’est encore plus vrai aujourd’hui.

  • Le pape François et la liturgie : navigation par brouillard

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    Lu dans le mensuel « La Nef » d’avril 2022 :

    Amar-2022©DR-620x330.jpg« L’abbé Pierre Amar, prêtre du diocèse de Versailles, nous livre ses réflexions sur l’actualité du monde « tradi » qu’il connaît bien, après le décret confirmant la Fraternité Saint-Pierre dans son usage des livres liturgiques de 1962, et en attendant de nouvelles précisions de Rome annoncées …pour fin mars.

    La Nef – La question liturgique continue de nous occuper en ce moment…

    Abbé Pierre Amar – Oui, voilà une vieille histoire, avec un lourd passif dans notre pays ces 60 dernières années. Prenez, par exemple, la figure émergente du moment chez les catholiques qui pensent : François Sureau. Il vient d’être reçu, en grande pompe, sous la Coupole. Voici ce que cet émigré liturgique disait au journal La Vie, le 15 juin 2020 : « Je vais à la messe chez les melkites [l’Église grecque catholique de rite byzantin, ndlr] parce que je trouve leur liturgie incomparable et leur ecclésiologie plus convaincante : nulle dinguerie autour de la figure du prêtre que Vatican II a installé au centre du dispositif alors même que sa prétention, au moins apparente, était de mettre fin au cléricalisme. Les tempéraments sont divers et le mien est mieux accordé à la tradition orientale, plus incarnée, plus spirituelle et plus ascétique tout en étant moins moralisatrice et pessimiste que le catholicisme tel que l’Occident le pratique. »

    C’est vraiment à tous les niveaux que l’on retrouve les affres de cette guerre liturgique fratricide, pour reprendre des propos du Père Abbé de Fontgombault. Nous en sommes tous, d’une manière ou d’une autre, les héritiers et les victimes.

    Que vous inspire l’enchaînement des récentes décisions romaines ?

    Tout le monde s’accorde pour dire que le « feuilleton tradi » n’en finit pas. Il est vrai que les connaisseurs du dossier peinent à le suivre, tant les semaines véhiculent des signaux contradictoires. Pour faire court, il y a eu la première surprise du Motu proprio Traditionis custodes. Puis le coup d’assommoir avec les Responsa de Mgr Roche. Et enfin, la main tendue – paternelle et bienveillante – avec le décret pontifical en faveur de la Fraternité Saint-Pierre. Il ne règle pas tout, loin de là, mais c’est une surprise et un véritable soulagement. Quant à nos évêques, dont la mission au quotidien n’est pas une sinécure, il leur faut désormais éviter les généralisations (tous les « tradis » ne sont pas à mettre dans le même sac) et continuer d’avancer sur cette question complexe.

    Était-ce une tentative de certains pour éradiquer la liturgie ancienne ?

    Liquider l’affaire une bonne fois pour toutes est une vieille tentation. Mais je pense que c’est impossible. Car on parle ici de personnes, de familles, d’une « pâte humaine », une subjectivité délicate à appréhender où s’entremêlent des considérations spirituelles, psychologiques, cul­turelles, politiques, esthétiques, historiques… et j’en oublie sûrement ! D’ailleurs, les querelles liturgiques sont souvent la source de grandes violences. La première dispute après le péché originel n’est-elle pas, justement, une dispute liturgique : celle de Caïn et Abel ? En ce domaine, et pour éviter de nouvelles blessures, il vaut mieux être trop bon que pas assez. Même avec ce tradiland qui ne fait pas toujours ce qu’il faut pour se faire aimer…

    Que voulez-vous dire ?

    L’œuvre de réconciliation patiemment entreprise depuis plus de 30 ans par les deux papes précédents est menacée. Ici et là, on entend des voix qui semblent n’avoir qu’une envie : en découdre et s’entredévorer à nouveau, comme dans les années 70. Par exemple, ces propos d’un prêtre de l’Institut du Bon Pasteur au journal Présent, en janvier dernier, sont scandaleux et empêchent tout dialogue : « Je suis de ceux qui pensent que notre refus absolu de la messe de Paul VI […] est théologal, théologique, dogmatique et moral. Absolu, quoi ! » Dans un autre style, la tribune d’un évêque émérite dans La Croix fin décembre 2021, où il évoque en généralisant « la violence réactionnaire d’un combat d’arrière-garde » est tout aussi injuste. Elle laisse entrevoir une certaine amertume devant un mouvement qui se développe modestement et dont la moyenne d’âge est jeune. Tout le monde doit faire un effort pour dépasser ces dialectiques.

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  • À Liège, messe du premier dimanche du mois, le 3 avril 2022 à 10h00 en l’église du Saint- Sacrement : chants grégoriens et trio de musique baroque.

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    EGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

    logo 300px.jpg

    Le dimanche 3 avril 2022 à 10h00

    MESSE DU PREMIER DIMANCHE DU MOIS

    Chants grégoriens du dimanche de la Passion

    Extraits de sonates  baroques pour violon et orgue

    affiche_premier dimanche du mois 3 Avril 2022.jpg

    Plus de renseignements :

    sursumcorda@skynet.be 

    • http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com 

    • Tel 04 344 10 89

  • Une émission KTO sur la vie des diocèses : flash sur Liège avec son évêque, Mgr Delville (2022)

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    Prêtres, diacres, religieux, laïcs en mission : ils sont 500 acteurs pastoraux au sein du diocèse de Liège. Un enjeu prioritaire pour le diocèse qui a lancé il y a deux ans un vicariat dédié spécialement à leur accompagnement, sous forme individualisée. Il est placé sous la délégation d'une assistante sociale. Un autre enjeu mobilise l'Église du diocèse de Liège : le secours matériel et la reconstruction humaine après les terribles inondations de la mi-juillet 2021. Elles ont beaucoup touché la province de Liège. Encore aujourd'hui des centaines de familles sont dans des situations précaires.

  • "Engagez-vous qu’ils disaient" : une interview de Maxime Prévot, président des "Engagés"

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    Voici le podcast de l’interview faite par Jacques Galloy sur RCF, "cordialement mais sans complaisance", avec Maxime Prevot.

    Engagez-vous qu’ils disaient.
    Grand interview de Maxime Prévot, président des engagés

    Comment régénérer les héritiers de l’ancien parti catholique qui fut un acteur incontournable de la vie politique belge ? Quelles sources d’inspiration et quelles nouvelles priorités ? Quels changements par rapport à la ligne du CdH ? Pourquoi un seul réseau d’enseignement ? Pourquoi une rupture avec le personnalisme chrétien ? Maxime Prévot, tête de file des Engagés, n’esquive aucune question sur ce grand défi de repositionnement du mouvement dont il remet bientôt la présidence en jeu et en tant que candidat à sa propre succession.

    Lire l'article en entier : https://rcf.fr/articles/actualite/engagezvous-quils-disaient-maxime-prevot-president-des-engages

    Pour aller plus loin : https://www.lesengages.be/

  • "Les engagés" ou la chronique d'une fin annoncée

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    Une Carte blanche de Simon Lefebvre parue sur le site du Vif :

    Les Engagés : chronique d'une fin annoncée

    Le récent changement de nom du cdH, devenu "Les Engagés", suffira-t-il à sauver le parti de Maxime Prévot ? pas selon l'avocat Simon Lefebvre, qui considère que la formation politique a "oublié l'essentiel" et que sa disparition semble inexorable.

    Les Engagés : chronique d'une fin annoncée (carte blanche)

    Elle est loin l'époque du parti catholique tout puissant ou de son successeur social-chrétien, majoritaire à la Chambre et premier parti belge. Lointaine, l'époque où les oranges se dressaient fièrement comme troisième voie entre capitalisme et socialisme. Toute aussi lointaine, l'époque de ce grand parti populaire qui rayonnait, ancré autour de valeurs fortes.

    Il ne plaide plus en faveur d'une troisième voie, ni libérale, ni socialiste. Maintenant, il se veut à la fois libéral et socialiste.

    Un peu des deux. Mais, surtout, un peu de tout. Les oranges sont devenus turquoises, à mi-chemin entre le bleu et le vert, mais ni vraiment bleu ni vraiment vert. Une couleur résume parfois mieux qu'un long discours.

    Créé en 1884, le parti catholique a fait les belles heures de la Belgique jusqu'en 1945, où le parti devient le "Parti social chrétien", avant d'être officiellement scindé en deux entre son aile francophone et son aile flamande à la suite à l'affaire de Louvain.

    En 2002, le Parti social-chrétien devient le cdH que l'on connait : centriste, démocrate et humaniste. De quoi augurer le néant idéologique qui rongera le parti et les années difficiles qui suivront.

    En vingt-cinq ans, le cdH n'aura plus participé qu'à deux gouvernements fédéraux, alors qu'il avait participé à tous les gouvernements belges entre 1958 et 1999. En 2014, il sera même pour la première fois relégué dans l'opposition là où son parti frère, le CD&V, montera au gouvernement.

    Le CDH n'est désormais même plus centriste, ni démocrate, ni humaniste - sans doute étaient-ce des valeurs encore trop harassantes à porter.

    Le CDH est devenu "Les Engagés". Mais engagés vers quoi ?

    Un parti en quête d'un nouvel électorat

    En 2002, le PSC finalisait son processus de réforme par un changement de nom en devenant le CDH, présidé alors par Joelle Milquet.

    Comme le développait feu Paul Wynants dans un article du Courrier hebdomadaire du CRISP de 2005, un argument essentiel motivait principalement ce changement de nom[1] : "le changement du corps social". D'une part, l'identité chrétienne s'érode petit à petit dans nos sociétés mais, surtout, le label "chrétien" constitue, de l'aveu des cadres du parti eux-mêmes, un "handicap pour la conquête de l'électorat étranger".

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  • Bruxelles : UNPLANNED sera projeté le 29 mars prochain

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    Venez regarder UNPLANNED avec nous !

    Le Pôle Jeunes XL et CLARA Life vous proposent UNPLANNED, une histoire vraie sur la réalité de l’avortement, vue par les yeux d’une directrice d’un clinique d’avortement devenue pro-vie, Abby Johnson.

    La seule chose qui importe pour Abby Johnson, c’est d’aider les femmes. Touchée par la souffrance de beaucoup d’entre elles, elle est convaincue des bienfaits du droit à l’avortement. Elle s’engage comme bénévole au planning familial américain puis devient l’une de ses plus jeunes et brillantes directrices de clinique, elle a été impliquée dans plus de 22 000 avortements et a conseillé d’innombrables femmes sur leurs problèmes de reproduction. Sa passion pour le droit de choisir d’une femme l’a même amenée à devenir porte-parole de Planned Parenthood, luttant pour promulguer une législation pour la cause en laquelle elle croyait si profondément Jusqu’au jour où ce qu’elle voit va tout bouleverser, amenant Abby à rejoindre ses anciens ennemis à 40 Days For Life et à devenir l’une des oratrices pro-vie les plus ardentes de tous les temps.

    Avec une intervention de notre invitée

    Brigitte De Win

    (gynécologue, obstétricienne & éthicienne)

    Au programme

    • 18h45 : Ouverture des portes
    • 19h20 : Présentation de CLARA Life
    • 19h30 : Projection « Unplanned »
    • 21h20 : Intervention de Brigitte De Win, gynécologue et éthicienne
    • 21h50 : Questions/Réponses
    • 22h10 : After bar
    • 22h30 : Clôture de la soirée
    Lieu : Espace Lumen: Chaussée de Bondael 36 – 1050 Ixelles
    Billetterie :
    • Adulte : 5€
    • Étudiants : 4€

    Réservez vos billets

    ATTENTION: PLACES LIMITÉES !!
    *Déconseillé aux moins de 16 ans, à moins d’être accompagné par un adulte*
  • La nouvelle Croix de Jeumont sur la E411, une initiative de la Fraternité de Tibériade

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    Communiqué de presse

    La nouvelle Croix de Jeumont sur la E411,
    une initiative de la Fraternité de Tibériade

    Wellin, mercredi 23 mars 2022. Il y 125 ans, une croix en pierre a été érigée sur la butte de Jeumont à Wellin. Effondrée il y a une trentaine d’années, le site accueille aujourd’hui une nouvelle croix, haute de 15 mètres, qui saluera dorénavant les centaines de milliers d’automobilistes qui empruntent sans doute la plus belle autoroute de Wallonie, précisément sur la E411, à hauteur de la sortie Wellin, entre Namur et Libramont.

    Né dans l’esprit du frère Marc Piret, fondateur de la Fraternité de Tibériade, ce projet a mûri durant plusieurs décennies. Il nous explique l’origine et le sens de sa démarche : “Il y a 125 ans, une famille a fait le vœu d’élever une croix sur la butte. Reconstruire cette croix est un hommage à cette famille. C’est aussi une opportunité de créer une croix visible depuis l’autoroute, une croix qui n’est pas une croix de malheur mais une croix de bénédiction. Dans le contexte de la guerre en Ukraine ou ailleurs, cette croix s’élève à un moment où la paix est nécessaire. Jésus cherche la paix et la bienveillance. La croix est un signe de réconciliation. Croyants ou pas, nous sommes invités à reconnaître que derrière la souffrance naît la vie, la paix. Il n’y a pas d’amour sans souffrance. Jésus est allé jusqu’à aimer ses ennemis. La croix appelle à la réconciliation, à aimer comme le christ. Aimez vos ennemis et priez pour eux. Chacun peut y trouver un signe de compassion, de joie”.

    Pierre-Louis François, fondateur de “La Croisée Architecture“, coordinateur du projet explique : “Lorsque le frère Marc m’a fait découvrir le site en 2018, nous avons été marqués par la beauté des jeux de lumières filtrants à travers une forêt de conifères. Rapidement, aidés par mon épouse, collaborateur et amis, des croquis et maquettes ont été élaborés. Une petite forêt d’une trentaine de chênes a servi à édifier une grande croix formée elle-même de 14 croix. Cette croix formée de multiples croix nous rappelle les souffrances et joies de chacun mais également la colline des croix visible près de la ville de Šiauliai, au nord de la Lituanie, dans la région d’une implantation de la Fraternité de Tibériade. Une croix à traverser, où sa vision évolue par rapport au point de vue, que l’on peut s’approprier, où chacun peut venir se recueillir ou simplement admirer la beauté du paysage”.

    Ce mercredi 23 mars, la croix a été installée sous un soleil radieux grâce à une équipe de monteurs aidés par des grues et des nacelles. La croix est implantée sur un site classé, propriété de la Fraternité de Tibériade. De longues démarches de permis d’urbanisme, d’études en stabilité, de tests, d’assemblages en atelier et sur site ont été nécessaires pour découvrir aujourd’hui une croix qui est le fruit d’une intense collaboration entre l’architecte Pierre-Louis François, le bureau d’étude Ney Partners, la société de charpenterie AVLN, l’entreprise de construction Nonet, la Fraternité de Tibériade et de généreux donateurs.

    Le bourgmestre Benoît Closson était présent lors de l’élévation de la Croix. Le site privé est ouvert à tous et le bourgmestre a annoncé qu’un circuit de promenade balisé sera prochainement créé par la commune de Wellin. L’investissement global s’élève à environ 100.000 euros, dont la moitié a déjà été récoltée. Les amis de la Croix recherchent encore de généreux donateurs. Nul doute que les amis de la Croix ainsi que les frères et sœurs de la Fraternité de Tibériade s’y retrouveront fréquemment.

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  • L’Église catholique belge se joint à la consécration de la Russie et de l’Ukraine à Marie

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    Communiqué de presse : L’Église catholique belge se joint à la consécration de la Russie et de l’Ukraine à Marie

    Ce vendredi 25 mars, le Pape François consacrera la Russie et l’Ukraine au Cœur Immaculé de Marie au cours d’une célébration pénitentielle en la Basilique Saint-Pierre de Rome.

    Le monde entier priera lui aussi à cette intention. Dans notre pays, le Cardinal Jozef De Kesel présidera une célébration eucharistique dans la Basilique de Koekelberg. Au cours de cette célébration pour la paix en Ukraine, qui débutera à 19 heures, l’adoration perpétuelle du Christ dans le Saint-Sacrement, organisée dans la Basilique depuis 10 ans, sera également commémorée.

    Avec la consécration de la Russie et de l’Ukraine au Cœur Immaculé de Marie, le Pape François réalise le souhait des évêques catholiques ukrainiens qui le lui avaient récemment demandé. La consécration est une manière particulière de demander la protection et l’intercession de Marie.

    Le même jour, l’aumônier pontifical, le Cardinal Konrad Krajewski, procédera également à cette consécration dans le lieu de pèlerinage portugais de Fátima. Marie y est apparue en 1917 et ses messages aux trois petits bergers, mentionnaient explicitement la Russie, la consécration, la guerre et la paix.

    La célébration pour la paix en Ukraine dans la Basilique de Koekelberg est la deuxième célébration pour la paix du Cardinal De Kesel. Le dimanche 13 mars, il a présidé une célébration eucharistique très suivie dans la cathédrale de Bruxelles.

    Toutes les églises et lieux de culte catholiques de notre pays prient pour la paix depuis l’aggravation des tensions entre la Russie et l’Ukraine et le début de la guerre.

    De nombreux chrétiens individuels, des paroisses et des institutions et organisations catholiques s’engagent également à accueillir des réfugiés ukrainiens ou à collecter des biens pour la population ukrainienne restée sur place dans ce pays terriblement détruit et dont de nombreux habitants ont fui vers les pays voisins.

    Caritas International, une ONG mandatée par les évêques, fournit une aide matérielle et financière importante en tant que membre du Consortium 12-12. Les évêques belges ont précédemment appelé à prier pour la paix, à soutenir Caritas International et ont demandé à tous ceux qui le pouvaient d’accueillir des réfugiés. Les communautés catholiques ont largement répondu à cet appel.

    Les Évêques de Belgique
    SIPI – Bruxelles, mardi 22 mars 2022

    et à Liège :

    Consécration de l’Ukraine et de la Russie au Cœur immaculé de Marie, le 25 mars 2022

    Le diocèse de Liège s’associera au pape François, aux évêques et aux fidèles du monde entier pour la consécration de l’Ukraine et de la Russie au Cœur immaculé de Marie, le vendredi 25 mars 2022.

    L’évêque de Liège, Mgr Jean-Pierre Delville, s’associera à cet acte de consécration lors de la messe de la solennité de l’Annonciation le 25 mars à 9h00 à la cathédrale de Liège.

    Les prêtres et les fidèles qui le peuvent sont invités à faire de même lors des célébrations du 25 mars. Une proposition de texte de prière à cette occasion est procurée par le diocèse et peut être lu ci-après. Elle pourra être complétée ou remplacée par les textes diffusés par le Saint-Siège dans les jours prochains.

    Acte de consécration de l’Ukraine et de la Russie

  • Lontzen, 24 mars : rencontre-présentation autour d’un évêque « selon le coeur de Dieu »: Mgr Boleslas SLOSKANS (1893-1981)

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    Sloskans 2022_03_24.jpeg

    Rencontre-présentation autour de la figure, du récit de vie et de la spiritualité d’un évêque « selon le coeur de Dieu »: Mgr Boleslas SLOSKANS (1893-1981)

    Boleslas Sloskans, né en Lettonie,  évêque de l'église catholique, pasteur des diocèses de Minsk et de Mohilev en Biélorussie, a connu la persécution de 1927 à 1933, déporté dans l'archipel du Goulag. Après sa libération, il est accueilli par le pape Pie XI comme « confesseur de la foi »Obligé par les nazis de quitter son pays, il vit en Belgique, et continue de remplir en Europe sa mission de témoin selon sa devise épiscopale « hostia pro fratribus », ne cessant de rappeler que le martyr, par son amour de l'ennemi, est un « témoin de l'Agneau », témoignage qui, au-delà des persécutions vécues, atteint une Europe sécularisée, où les chrétiens, trop souvent divisés, oublient que, par leur baptême, ils sont dans le monde une force d'amour et de pardon. (A-M. Jerumanis)

    Son extrême humilité m’a toujours frappée et elle témoignait d’un extraordinaire sens de Dieu »  (Mgr A. Houssiau, évêque émérite de Liège)

    Cette soirée aura lieu ce jeudi 24 mars à 19h00 au Centre Catherine de Sienne (Caterina von Siena-Haus), Hochstrase 73 à Astenet/Lontzen.

    Présentation d’un film documentaire et conférence avec l’abbé Pascal-Marie Jerumanis, doyen de Ciney, postulateur de la cause de béatification de Mgr Sloskans.

    Cordiale invitation ! Merci d’en parler autour de vous!

  • Demandons à nos évêques d'organiser une cérémonie publique de consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Marie

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    Demandons à nos évêques d'organiser une cérémonie publique de consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Marie

    Voici une lettre que vous pourriez copier/coller dans un mail et l'envoyer à la conférence épiscopale des évêques de Belgique. Vous pouvez aussi copier/coller les adresses.

    Malines-Bruxelles : archeveche@catho.be

    Brabant wallon : secretariat.vicariat@bw.catho.be

    Bruxelles : accueil@catho-bruxelles.be

    Brabant flamand : vicariaat@vlbm.be

    Liège : communication@evechedeliege.be   mgr.jpdelville@evechedeliege.be

    Tournai : veronique.jambe@evechetournai.be 

    Namur : mgrwarin@diocesedenamur.be  

    Forces armées : srtsarmc@mil.be  

    Anvers : bisdom.antwerpen@kerknet.be  

    Bruges : bisdom.brugge@kerknet.be  

    Gand : bisdom.gent@kerknet.be  

    Hasselt : bisdom.hasselt@kerknet.be 

    A l’Attention de nos chers archevêque et évêques

    Chers archevêque et évêques,

    Nous avons appris avec une très grande joie l'annonce de la consécration de la Russie au Coeur Immaculé de Marie par le pape François le 25 mars prochain.

    Nous pensons que cet acte d’une haute valeur spirituelle est de nature à ramener la paix, non seulement dans cette région du monde touchée par une guerre horrible et meurtrière, mais encore qu’elle est capable de donner un nouvel élan à l’humanité éprise de paix et de bonheur.

    Nous nous associons de tout coeur à cette démarche et nous joignons nos prières à celles du Saint Père.

    Nous sommes sûrs que vous voudrez également donner à notre cher pape François la preuve de votre solidarité sans faille en vous unissant le 25 mars à 17 heures à l’acte solennel de consécration.

    Et comme nous aimerions vous montrer notre soutien dans les efforts que vous déployez pour mettre fin à cette guerre fratricide, nous vous demandons d’organiser une cérémonie publique de consécration à laquelle les simples fidèles comme nous pourront participer.

    En espérant une réponse favorable à notre humble requête, nous vous assurons, chers évêques, de nos prières fidèles et accrues en cette période de Carême. Pour la gloire de Dieu et la paix du monde.

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