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Belgique - Page 55

  • Bruxelles (Cambre), 13 avril : Concert du Mercredi Saint - Les Sonates du Rosaire - Les Mystères Douloureux (Biber)

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    Concert du Mercredi Saint - Les Sonates du Rosaire - Les Mystères Douloureux ce mercredi 13/04 2022 à 20H

    Les Grandes Heures de la Cambre vous invitent à ouvrir le Triduum Pascal avec Les Sonates du Rosaire "les Mystères douloureux" de Heinrich Biber 1676

    Un des grands chefs d'oeuvre de la musique baroque pour violon pour une impressionnante méditation dont l'écriture étonne par sa modernité.

    Au violon Jeanne Mathieu
    A l'orgue Lionel Desmeules
    Lecteur : Claude Vonin

    Prix d'entrée : 20 euros, Etudiants : 15 euros



    Claude Vonin : comédien, violoniste, poète, réalisateur. Derniers spectacles et films : « Souffle Musical à travers le temps 2016 », « Totus Cordus 2017 », « La Vieille Dame et le Merle 2020 »… www.claudevonin.com

  • Liège : Semaine Sainte & Semaine Pascale 2022 à l’église du Saint-Sacrement (Boulevard d’Avroy 132)

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    affiche semaine sainte 2022.jpg

    Plus d’informations : sursumcorda@skynet.be.

    Tel. +32 (0) 4 344 10 89

  • Quentin Moreau réédite les Trois Ages de la Vie Intérieure du Père Garrigou-Lagrange

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    Les trois âges de la vie intérieureLes trois âges de la vie intérieure

    par Réginald Garrigou-Lagrange

    La vie de la grâce est le commencement de la vie du ciel. Née au baptême, elle atteint son plein épanouissement dans la sainteté, antichambre de la gloire céleste.

    Voilà la doctrine que le père Réginald Garrigou-Lagrange expose et développe dans son maître-ouvrage qui vient de paraître et que nous avons la joie de vous présenter.

    Acheter

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  • Un nombre record d'euthanasies déclarées en Belgique a été atteint en 2021

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    Du site de l'Institut Européen de Bioéthique (L. Vanbellingen) :

    ALERTE INFO - Nombre record d'euthanasies déclarées en Belgique en 2021

    31/03/2022

    Ce jeudi 31 mars, la Commission fédérale de contrôle et d'évaluation de l'euthanasie en Belgique a communiqué les chiffres relatifs aux euthanasies déclarées durant l'année 2021.

    Le nombre d'euthanasies officiellement pratiquées l'année dernière a ainsi atteint un nouveau record : 2699 euthanasies ont été déclarées à la commission en 2021, chiffre jamais atteint jusqu'alors.

    Alors que l'année 2020 avait été marquée par une baisse inédite des cas (en raison du contexte sanitaire, voy. news IEB), cette parenthèse semble refermée avec la reprise de la hausse constante des euthanasies.

    À ces euthanasies officiellement déclarées à la Commission, les études scientifiques estiment qu'il convient d'intégrer environ 25 à 35% d'euthanasies non déclarées (et donc illégales).

    Si la proportion majoritaire des euthanasies déclarées concerne des personnes âgées, notons que près d'un tiers (32,2 %) des personnes officiellement décédées par euthanasie étaient âgées de moins de soixante ans.

    On compte également une hausse importante de la part d'euthanasies pratiquées à domicile, qui confirme la tendance observée l'année dernière. Cette hausse s'explique notamment par la restriction des visites aux patients hospitalisés, les hôpitaux enregistrant ainsi un nombre d'euthanasies proportionnellement moins élevé.

    Les chiffres 2021 confirment également la part substantielle d'euthanasies pratiquées en raison de polypathologies. Celles-ci représentent près d'une euthanasie déclarée sur cinq, soit le deuxième type d'affection mentionné, après le cancer. Comme l'indique la Commission, les polypathologies désignent « une combinaison de la souffrance provoquée par plusieurs affections chroniques qui évoluent vers un stade final ». En pratique, ces affections peuvent notamment consister en la baisse de la vue ou de l'audition, la polyarthrite ou l'incontinence. La Commission précise toutefois qu'elle n'est pas en mesure de vérifier la réalité des pathologies mentionnées dans la déclaration du médecin.

    Enfin, pour près de 20% des euthanasies déclarées en 2021, le patient était atteint de souffrances psychiques, pour la plupart conjuguées à des souffrances physiques.

    Ce critère lié à la souffrance ne doit pas être confondu avec le critère relatif aux affections psychiques. Dans ce cas, sont visées les affections psychiatriques (comme les troubles de la personnalité ou la dépression) et les troubles cognitifs (comme la maladie d'Alzheimer), dont étaient atteints cinquante personnes décédées par euthanasie en 2021.

     

    Notons qu'une analyse plus détaillée des tendances relatives aux euthanasies déclarées en Belgique sera publiée dans les prochaines semaines par la Commission fédérale, concernant les années 2020 et 2021.

  • Caritas Belgique ouvre un Point d'Info Ukraine

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    Caritas International
    Point d'info Ukraine : 0800 2 41 41

    POINT D'INFO UKRAINE : 0800 2 41 41

    En plus de la réponse humanitaire déployée en Ukraine et dans les pays voisins, Caritas a ouvert son Point d'info Ukraine pour répondre aux questions des Ukrainien-ne-s et des Belges qui les hébergent. L’idée ? Vous aider à aider !

    « L’enjeu est de pouvoir apporter rapidement et facilement une information de qualité, croisée et mise à jour de sorte à pouvoir aiguiller les personnes désorientées ou en difficulté vers les instances ou les ressources adéquates », indique Pieter Van Roeyen, juriste et coordinateur du Point d’info Ukraine de Caritas International.

    > JE DECOUVRE LE POINT D'INFO UKRAINE

  • 1/4/2022 : le grand retour de la lettre C

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    De RCF :

    Le grand retour de la lettre C

    ► Cliquer sur l'image pour regarder le reportage spécial.

    EDITION SPÉCIALE : Tous les autres partis récupèrent la lettre "C". Des milliers de militants se réjouissent de l'attachement de leur parti aux valeurs chrétiennes.

    Alors que le repositionnement des "engagé(e)s" rompt avec le personnalisme chrétien, les autres familles politiques en profitent et récupèrent la lettre "C".
    L'objectif ? Séduire l’électorat chrétien représentant 65% des électeurs, selon les derniers sondages, et d'endiguer une vague d'abstentions record aux prochaines élections. Une question se pose alors : devra-t'on bientôt montrer un certificat de baptême pour se présenter aux élections ?
    ► Reportage exclusif aux 4 coins du royaume.
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  • Le Congrès Mission : une belle réussite

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    Le Congrès Mission a rassemblé 1600 participants à Bruxelles le week-end du 19 mars. Cette manifestation a été un grand succès et on peut s'étonner que la presse ne l'ait pas évoqué. On trouve toutefois cet écho sur le site de Famille Chrétienne :

     

    Marie de Harenne fait partie de l’équipe organisatrice de ce premier Congrès Mission belge et elle a répondu à nos questions. Âgée de 35 ans, elle travaille dans le monde associatif.

    En octobre, vous avez décidé de décaler le Congrès Mission prévu à Bruxelles. Pourquoi ?

    À l’époque, les restrictions sanitaires imposées en Belgique face au Covid-19 étaient très strictes. Si nous avions maintenu, nous n’aurions pas eu l’autorisation de nous réunir à plus de deux cents dans la basilique de Koekelberg, cœur du Congrès. Or, il s’agit de la cinquième plus grande église au monde ! Et le succès du Congrès repose aussi sur la joie de se réunir en nombre. Si cette décision n’a pas été simple à prendre, elle s’est finalement avérée bénéfique : cela nous a permis de doubler le nombre de bénévoles pour le porter à cent cinquante, de mieux communiquer dans les médias et dans les paroisses. Enfin, le Congrès s’est tenu sous un beau soleil le week-end du 19 mars, fête de saint Joseph, patron de la Belgique.

    Quels ont été les moments marquants de ce Congrès belge ?

    Comme dans toutes les autres villes, la prière pour les prêtres a été particulièrement forte. Nous prions trop peu pour eux ! Je retiens aussi l’envoi en mission des parents, des personnes engagées dans les médias, la vie publique... Et l’enthousiasme de 1 600 participants lorsqu’ils se sont tous mis debout pour répondre à l’exhortation : « Si aujourd’hui, vous avez décidé d’aller proclamer l’Évangile, levez-vous ! » En dehors des célébrations, l’ambiance conviviale du village des exposants a été très appréciée. Les évêques belges présents sont venus rencontrer en toute simplicité les congressistes autour d’une barquette de frites. Après deux années particulières, les uns et les autres étaient simplement heureux de pouvoir se réunir à nouveau, comme en famille. Enfin, nous avons été touchés par l’audace de la centaine de missionnaires partis évangéliser dans le quartier Saint-Gilles, où les Bruxellois se retrouvent le samedi soir pour aller boire un verre. Beaucoup de personnes abordées dans la rue sont venues déposer une bougie dans l’église.

    Quelle est la portée d’un tel événement ?

    Tout d’abord, je crois que chacun est rentré chez lui renouvelé dans la prière et dans sa relation à Dieu. Je pense aussi que ce Congrès, dans les temps troublés que nous traversons, aura permis de rappeler que la solution est toujours de se tourner vers Dieu. L’évangélisation n’a jamais été une option pour un chrétien. C’est encore plus vrai aujourd’hui.

  • Le pape François et la liturgie : navigation par brouillard

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    Lu dans le mensuel « La Nef » d’avril 2022 :

    Amar-2022©DR-620x330.jpg« L’abbé Pierre Amar, prêtre du diocèse de Versailles, nous livre ses réflexions sur l’actualité du monde « tradi » qu’il connaît bien, après le décret confirmant la Fraternité Saint-Pierre dans son usage des livres liturgiques de 1962, et en attendant de nouvelles précisions de Rome annoncées …pour fin mars.

    La Nef – La question liturgique continue de nous occuper en ce moment…

    Abbé Pierre Amar – Oui, voilà une vieille histoire, avec un lourd passif dans notre pays ces 60 dernières années. Prenez, par exemple, la figure émergente du moment chez les catholiques qui pensent : François Sureau. Il vient d’être reçu, en grande pompe, sous la Coupole. Voici ce que cet émigré liturgique disait au journal La Vie, le 15 juin 2020 : « Je vais à la messe chez les melkites [l’Église grecque catholique de rite byzantin, ndlr] parce que je trouve leur liturgie incomparable et leur ecclésiologie plus convaincante : nulle dinguerie autour de la figure du prêtre que Vatican II a installé au centre du dispositif alors même que sa prétention, au moins apparente, était de mettre fin au cléricalisme. Les tempéraments sont divers et le mien est mieux accordé à la tradition orientale, plus incarnée, plus spirituelle et plus ascétique tout en étant moins moralisatrice et pessimiste que le catholicisme tel que l’Occident le pratique. »

    C’est vraiment à tous les niveaux que l’on retrouve les affres de cette guerre liturgique fratricide, pour reprendre des propos du Père Abbé de Fontgombault. Nous en sommes tous, d’une manière ou d’une autre, les héritiers et les victimes.

    Que vous inspire l’enchaînement des récentes décisions romaines ?

    Tout le monde s’accorde pour dire que le « feuilleton tradi » n’en finit pas. Il est vrai que les connaisseurs du dossier peinent à le suivre, tant les semaines véhiculent des signaux contradictoires. Pour faire court, il y a eu la première surprise du Motu proprio Traditionis custodes. Puis le coup d’assommoir avec les Responsa de Mgr Roche. Et enfin, la main tendue – paternelle et bienveillante – avec le décret pontifical en faveur de la Fraternité Saint-Pierre. Il ne règle pas tout, loin de là, mais c’est une surprise et un véritable soulagement. Quant à nos évêques, dont la mission au quotidien n’est pas une sinécure, il leur faut désormais éviter les généralisations (tous les « tradis » ne sont pas à mettre dans le même sac) et continuer d’avancer sur cette question complexe.

    Était-ce une tentative de certains pour éradiquer la liturgie ancienne ?

    Liquider l’affaire une bonne fois pour toutes est une vieille tentation. Mais je pense que c’est impossible. Car on parle ici de personnes, de familles, d’une « pâte humaine », une subjectivité délicate à appréhender où s’entremêlent des considérations spirituelles, psychologiques, cul­turelles, politiques, esthétiques, historiques… et j’en oublie sûrement ! D’ailleurs, les querelles liturgiques sont souvent la source de grandes violences. La première dispute après le péché originel n’est-elle pas, justement, une dispute liturgique : celle de Caïn et Abel ? En ce domaine, et pour éviter de nouvelles blessures, il vaut mieux être trop bon que pas assez. Même avec ce tradiland qui ne fait pas toujours ce qu’il faut pour se faire aimer…

    Que voulez-vous dire ?

    L’œuvre de réconciliation patiemment entreprise depuis plus de 30 ans par les deux papes précédents est menacée. Ici et là, on entend des voix qui semblent n’avoir qu’une envie : en découdre et s’entredévorer à nouveau, comme dans les années 70. Par exemple, ces propos d’un prêtre de l’Institut du Bon Pasteur au journal Présent, en janvier dernier, sont scandaleux et empêchent tout dialogue : « Je suis de ceux qui pensent que notre refus absolu de la messe de Paul VI […] est théologal, théologique, dogmatique et moral. Absolu, quoi ! » Dans un autre style, la tribune d’un évêque émérite dans La Croix fin décembre 2021, où il évoque en généralisant « la violence réactionnaire d’un combat d’arrière-garde » est tout aussi injuste. Elle laisse entrevoir une certaine amertume devant un mouvement qui se développe modestement et dont la moyenne d’âge est jeune. Tout le monde doit faire un effort pour dépasser ces dialectiques.

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  • À Liège, messe du premier dimanche du mois, le 3 avril 2022 à 10h00 en l’église du Saint- Sacrement : chants grégoriens et trio de musique baroque.

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    EGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

    logo 300px.jpg

    Le dimanche 3 avril 2022 à 10h00

    MESSE DU PREMIER DIMANCHE DU MOIS

    Chants grégoriens du dimanche de la Passion

    Extraits de sonates  baroques pour violon et orgue

    affiche_premier dimanche du mois 3 Avril 2022.jpg

    Plus de renseignements :

    sursumcorda@skynet.be 

    • http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com 

    • Tel 04 344 10 89

  • Une émission KTO sur la vie des diocèses : flash sur Liège avec son évêque, Mgr Delville (2022)

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    Prêtres, diacres, religieux, laïcs en mission : ils sont 500 acteurs pastoraux au sein du diocèse de Liège. Un enjeu prioritaire pour le diocèse qui a lancé il y a deux ans un vicariat dédié spécialement à leur accompagnement, sous forme individualisée. Il est placé sous la délégation d'une assistante sociale. Un autre enjeu mobilise l'Église du diocèse de Liège : le secours matériel et la reconstruction humaine après les terribles inondations de la mi-juillet 2021. Elles ont beaucoup touché la province de Liège. Encore aujourd'hui des centaines de familles sont dans des situations précaires.

  • "Engagez-vous qu’ils disaient" : une interview de Maxime Prévot, président des "Engagés"

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    Voici le podcast de l’interview faite par Jacques Galloy sur RCF, "cordialement mais sans complaisance", avec Maxime Prevot.

    Engagez-vous qu’ils disaient.
    Grand interview de Maxime Prévot, président des engagés

    Comment régénérer les héritiers de l’ancien parti catholique qui fut un acteur incontournable de la vie politique belge ? Quelles sources d’inspiration et quelles nouvelles priorités ? Quels changements par rapport à la ligne du CdH ? Pourquoi un seul réseau d’enseignement ? Pourquoi une rupture avec le personnalisme chrétien ? Maxime Prévot, tête de file des Engagés, n’esquive aucune question sur ce grand défi de repositionnement du mouvement dont il remet bientôt la présidence en jeu et en tant que candidat à sa propre succession.

    Lire l'article en entier : https://rcf.fr/articles/actualite/engagezvous-quils-disaient-maxime-prevot-president-des-engages

    Pour aller plus loin : https://www.lesengages.be/

  • "Les engagés" ou la chronique d'une fin annoncée

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    Une Carte blanche de Simon Lefebvre parue sur le site du Vif :

    Les Engagés : chronique d'une fin annoncée

    Le récent changement de nom du cdH, devenu "Les Engagés", suffira-t-il à sauver le parti de Maxime Prévot ? pas selon l'avocat Simon Lefebvre, qui considère que la formation politique a "oublié l'essentiel" et que sa disparition semble inexorable.

    Les Engagés : chronique d'une fin annoncée (carte blanche)

    Elle est loin l'époque du parti catholique tout puissant ou de son successeur social-chrétien, majoritaire à la Chambre et premier parti belge. Lointaine, l'époque où les oranges se dressaient fièrement comme troisième voie entre capitalisme et socialisme. Toute aussi lointaine, l'époque de ce grand parti populaire qui rayonnait, ancré autour de valeurs fortes.

    Il ne plaide plus en faveur d'une troisième voie, ni libérale, ni socialiste. Maintenant, il se veut à la fois libéral et socialiste.

    Un peu des deux. Mais, surtout, un peu de tout. Les oranges sont devenus turquoises, à mi-chemin entre le bleu et le vert, mais ni vraiment bleu ni vraiment vert. Une couleur résume parfois mieux qu'un long discours.

    Créé en 1884, le parti catholique a fait les belles heures de la Belgique jusqu'en 1945, où le parti devient le "Parti social chrétien", avant d'être officiellement scindé en deux entre son aile francophone et son aile flamande à la suite à l'affaire de Louvain.

    En 2002, le Parti social-chrétien devient le cdH que l'on connait : centriste, démocrate et humaniste. De quoi augurer le néant idéologique qui rongera le parti et les années difficiles qui suivront.

    En vingt-cinq ans, le cdH n'aura plus participé qu'à deux gouvernements fédéraux, alors qu'il avait participé à tous les gouvernements belges entre 1958 et 1999. En 2014, il sera même pour la première fois relégué dans l'opposition là où son parti frère, le CD&V, montera au gouvernement.

    Le CDH n'est désormais même plus centriste, ni démocrate, ni humaniste - sans doute étaient-ce des valeurs encore trop harassantes à porter.

    Le CDH est devenu "Les Engagés". Mais engagés vers quoi ?

    Un parti en quête d'un nouvel électorat

    En 2002, le PSC finalisait son processus de réforme par un changement de nom en devenant le CDH, présidé alors par Joelle Milquet.

    Comme le développait feu Paul Wynants dans un article du Courrier hebdomadaire du CRISP de 2005, un argument essentiel motivait principalement ce changement de nom[1] : "le changement du corps social". D'une part, l'identité chrétienne s'érode petit à petit dans nos sociétés mais, surtout, le label "chrétien" constitue, de l'aveu des cadres du parti eux-mêmes, un "handicap pour la conquête de l'électorat étranger".

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