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Eglise - Page 1541

  • Michel Garicoïts : "me voici pour faire Ta volonté

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    Un saint que l'on fête aujourd'hui : Michel Garicoïts.

    Saint Michel Garicoïts, un apôtre de l’amour de Dieu

     

    L’enfance d’un saint

    Né le 15 avril 1797, aîné de six enfants, Michel Garicoïts a passé ses plus tendres années dans une maison isolée au pied des Pyrénées, près de la frontière franco-espagnole. Il grandit au sein d’une famille catholique, restée fidèle à l’Église de Rome pendant les persécutions révolutionnaires. Par leur piété et leur exemple, ses parents et grands-parents le marquèrent profondément. De sa mère notamment, il reçut une éducation très stricte ; plus tard Michel dira qu’après Dieu, c’est à elle qu’il devait tout.

    Lire la suite sur le site de la Société du très saint Coeur de Jésus

  • Les évêques canadiens dénoncent le relativisme agressif hostile à la religion

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    (ZENIT.org) – La Conférence des évêques catholiques du Canada (CECC) publie, ce 14 mai, une lettre pastorale sur la liberté de conscience et de religion. Émise par le Conseil permanent de la CECC, la lettre manifeste de l’inquiétude à propos du « relativisme agressif » au Canada qui cherche à reléguer la religion dans la sphère privée.

    « Une laïcité légitime distingue entre religion et politique, entre l’Église et l’État» peut-on lire dans la lettre pastorale, mais est ouverte à l’engagement des confessions religieuses et des communautés croyantes au débat public et à la vie citoyenne. Le « laïcisme radical », par contre, exclut la religion de l’arène publique et ainsi « de participer au débat public nécessaire à la vie civile.»

    Ils dénoncent notamment certaines situations :

    "Pendant la dernière décennie sont survenues au Canada plusieurs situations qui amènent à se demander si notre droit à la liberté de conscience et de religion est toujours respecté. Il arrive en effet que des croyants soient contraints par la loi d’exercer leur profession sans égard à leurs convictions religieuses ou morales, voire à leur encontre. Cela se produit chaque fois que sont promulguées des lois – portant le plus souvent sur des questions reliées à la dignité de la vie humaine ou à la famille – qui limitent le droit à l’objection de conscience chez les professionnels de la santé et du droit, les enseignants et les politiciens.

    Par exemple, des collèges de médecins exigent de leurs membres qui refusent de pratiquer l’avortement qu’ils redirigent leurs patients vers un collègue disposé à le faire; ailleurs, des pharmaciens sont menacés d’être forcés de remplir des ordonnances de contraceptifs ou de « pilules du lendemain »; en Colombie-Britannique, au Manitoba, à Terre-Neuve et en Saskatchewan, les commissaires de mariage doivent désormais célébrer les mariages homosexuels ou présenter leur démission."

  • Odoardo Focherini, "juste parmi les nations", bientôt bienheureux

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    Sur ZENIT.org, Antonio Gaspari (Traduction d’Océane Le Gall) trace le portrait héroïque de ce journaliste qui devrait être proclamé bienheureux dans un avenir proche :

    Un homme de 37 ans, père de sept enfants, mari exemplaire, fervent catholique (…) qui a sauvé 105 juifs de la déportation nazie : le journaliste italien, Odoardo Focherini, est mort en héros et en martyr dans le camp nazi d’Hersbruck en Bavière orientale, le 27 décembre 1944.

    Odoardo Focherini est l’un des 37 catholiques dont le Saint-Siège, sur autorisation du pape et par décret,  vient de reconnaître le martyre, ouvrant ainsi la voie à sa béatification  (cf. ZENIT, 11 mai 2012).

    Né à Carpi (Italie), le 6 juin 1907, cet ancien journaliste et administrateur du journal « Avvenire », qui fut aussi directeur diocésain d’Action Catholique, organisait la fuite des juifs persécutés vers la Suisse et favorisait les contacts avec les soldats au front ou portés disparus, avec l’appui de la curie épiscopale de Modène et de Carpi mais aussi grâce à sa maison de Mirandola.

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  • Contradictions au sein de l'Académie pontificale pour la Vie

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    Sans vouloir entrer dans les détails, il semble que certaines choses devront être éclaircies au sein de l'Académie pontificale pour la Vie, notamment suite à des exposés où les conférenciers se sont permis de prendre des positions assez éloignées de celles du Magistère de l'Eglise.

    Jeanne Smits, sur son blog, rend compte de cette situation :

    L'Académie pontificale pour la vie est en « grand danger »…

    Académie pontificale pour la vie : clarifications et révélations

    En regard de ces informations, la note parue sur catho.be nous paraît assez légère.

  • Homophobie : la RTBF manipule l’information

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    D’Eric de Beukelaer, Doyen de Liège Rive-gauche, sur son « minisite » :

    J’ai quitté le débat « Mise au Point » de ce dimanche [13 mai 2012 ndlr] avec un goût amer à la bouche. Et après avoir vu les deux JT du jour, je suis carrément en colère. Une première – car d’habitude je participe à ce genre d’exercice sans état d’âme. Je connais les règles du jeu et du format médiatique (…).

    Je me suis levé à l’aube ce dimanche matin et j’ai fait un aller/retour Liège-RTBF – au cours d’un WE avec deux mariages en paroisse et des professions de foi – parce que je pensais que le débat permettrait de bâtir des ponts. Des ponts entre le monde des religions et la communauté homosexuelle. Et cela, non pas par irénisme. Je ne crains pas l’opposition. Mais – comme tant d‘autres – le meurtre du jeune Ishan par des paumés sur le territoire de ma paroisse, m’a profondément choqué. Je compte des homosexuels dans ma famille et parmi mes amis. Je ne souhaite pas qu’ils tremblent en sortant dans la rue.

    Bref, en arrivant à la RTBF ce dimanche matin, je ne craignais pas un débat musclé. Mais j’espérais aussi un peu d’écoute et de dialogue. Un dialogue sans langue de bois pour lequel je me suis toujours mouillé, sans jamais avoir eu le moindre mot de reproches de la part de la hiérarchie ecclésiastique. Ainsi, cette interview donnée en 2004 au site Gaybelgium.

    Mais voilà – une fois de plus les clichés bêtes et faciles ont pris de dessus : « les religions cassent du pédé ». Au lieu d’entrer en dialogue avec le musulman Yacoub Mahi – qui a courageusement répondu à l’invitation – chacun s’est cru autorisé de lui tomber dessus. Quant à votre serviteur, quand il essaya de ramener la balle au centre en parlant d’accueil et de non-discrimination, on lui envoya dans les gencives un mystérieux texte « haineux » contre les homosexuels du pape Jean-Paul II (qu’on se garda cependant bien de citer).

    Il y eut ensuite le traitement médiatique ultérieur du débat. Une dépêche RTBF qui souligne que mon appel au dialogue ne reflétait « pas forcément la position officielle de l’Eglise » et que le Vatican avait soutenu « dans les pays africains des initiatives législatives qui condamnent (juridiquement) l’homosexualité » (ce qui est archifaux). De la même veine fut la séquence du JT de dimanche midi, et plus encore celle de dimanche soir. En tant que représentant à ce débat de la première communauté religieuse de Belgique, face au découpage de mes interventions lors de ces JT, un seul mot me vient à la bouche : désinformation.

    Bref, au lieu d’être une occasion de bâtir des ponts, le débat du jour contribua à construire des murs. Les faucons l’ont emporté sur les colombes. La raison de tout ceci n’est pas difficile à chercher. Il y a, d’une part, la colère de nombre d’homosexuels face à ce qu’ils ressentent comme du rejet de la part des religions. Cela, je puis le comprendre. Mais il y a également la bonne conscience anticléricale d’une certaine culture bobo.(…)

    Tout le post ici : Homophobie – Triste débat à Mise au Point. Traitement médiatique peu éclairé (RTBF) 

  • Anticonformiste, le chrétien ?

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    Oui, si l'on en croit Benoît XVI :

    Il existe un anticonformisme du chrétien, qui ne se laisse pas conformer. Cela ne signifie pas que nous voulons fuir le monde, que le monde ne nous intéresse pas; au contraire, nous voulons nous transformer nous-mêmes et nous laisser transformer, en transformant ainsi le monde. Et nous devons garder à l’esprit que dans le Nouveau Testament, en particulier dans l’Evangile de saint Jean, le mot «monde» possède deux significations et indique donc le problème et la réalité dont il s’agit. D’une part, le monde créé par Dieu, aimé de Dieu, arrivé au point de se donner lui-même et de donner son Fils pour ce monde; le monde est une créature de Dieu, Dieu l’aime et veut se donner lui-même afin qu’il soit réellement création et réponse à son amour. Mais il y a également l’autre concept du «monde», kosmos houtos: le monde qui se trouve dans le mal, qui est au pouvoir du mal, qui reflète le péché originel. Nous constatons ce pouvoir du mal aujourd’hui, par exemple, dans deux grands pouvoirs, qui en eux-mêmes sont bons et utiles, mais dont on peut facilement abuser: le pouvoir de la finance et le pouvoir des médias. Tous les deux sont nécessaires, car ils peuvent être utiles, mais on peut tellement en abuser qu’ils deviennent souvent le contraire de leurs véritables intentions.

    Nous voyons que le monde de la finance arrive à dominer l’homme, que le fait de posséder et d’apparaître dominent le monde et l’esclavagisent. Le monde de la finance ne représente plus un instrument pour favoriser le bien-être, pour favoriser la vie de l’homme, mais il devient un pouvoir qui l’opprime, qui doit être presque adoré: «Mammon, la véritable fausse divinité qui domine le monde. Contre ce conformisme de la soumission à ce pouvoir, nous devons être anticonformistes: avoir ne compte pas, mais ce qui compte est être! Ne nous soumettons pas à cela, utilisons-le comme moyen, mais avec la liberté des fils de Dieu.

    Il y a ensuite l’autre pouvoir, le pouvoir de l’opinion publique. Nous avons certainement besoin d’informations, de connaissance des réalités du monde, mais cela peut ensuite devenir un pouvoir de l’apparence; à la fin, ce qui est dit compte plus que la réalité elle- même. Une apparence se superpose à la réalité, devient plus importante, et l’homme ne suit plus la vérité de son être, mais veut surtout apparaître, être conforme à cette réalité. Et contre cela également, il existe l’anticonformisme chrétien: nous ne voulons pas toujours «être conformés», loués, nous ne voulons pas l’apparence, mais la vérité et cela nous donne la liberté et la véritable liberté chrétienne: se libérer de cette nécessité de plaire, de parler de façon conforme à ce que la masse pense, et avoir la liberté de la vérité, et ainsi recréer le monde de manière à ce qu’il ne soit pas opprimé par l’opinion, par l’apparence qui ne laisse plus apparaître la réalité elle-même; le monde virtuel devient plus vrai, plus fort et on ne voit plus le monde réel de la création de Dieu. L’anticonformisme du chrétien nous rachète, nous restitue à la vérité. Prions le Seigneur pour qu’il nous aide à être des hommes libres dans cet anticonformisme qui n’est pas contre le monde, mais qui est le véritable amour du monde.

    Source :vatican.va

  • L'icône du Christ et son ami

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    En ce dimanche où il nous est dit que le Christ ne nous appelle plus "serviteurs" mais "amis", il est bon de méditer sur cette icône du Christ et de son ami, en réalité, Le Christ et saint Ménas, supérieur du monastère de Baouit en Moyenne Egypte. (Icône copte du VIIème siècle conservée au Louvre, à Paris.)

    2835005683.jpgPrésentation sur le site de la Communauté de Taizé :

    A la fin de la rencontre de Calcutta (octobre 2006) comme aussi le dernier jour de la rencontre européenne de Zagreb (décembre 2006), frère Alois a donné aux jeunes de chaque peuple représenté une icône du Christ et de son ami. Il en a expliqué le sens et il a ajouté : « Cette icône vous aidera à accomplir de petits pèlerinages de confiance dans des lieux où des jeunes se retrouvent, d’une ville à une autre, d’une paroisse à une autre, dans un hôpital ou une maison d’enfants abandonnés, dans d’autres lieux où des personnes souffrent. »

    Sur cette icône, deux personnes côte à côte.

    Ils se ressemblent : même taille, même silhouette, même regard, même rayonnement de lumière. Ils ne sont pourtant pas identiques : leurs couleurs, leurs amples vêtements et leurs gestes diffèrent.

    Ils ne sont pas face à face dans une relation qui nous exclurait, mais ils partagent la même perspective. Leurs visages silencieux, leurs yeux larges ouverts nous accueillent en paix.

    Le Christ est reconnaissable par la croix évoquée dans son nimbe. A son côté un compagnon de route. Jésus pose son bras sur son épaule d’un geste qui ne retient pas mais qui montre le lien qui les unit et aussi la responsabilité qu’il lui confie. Il s’appuie sur son ami et l’envoie au devant de lui.

    Le compagnon montre le Christ et bénit. Ce dernier geste du Christ sur la terre (Luc 24.50), propre au Sauveur sur les icônes, est accompli ici par le disciple, encouragé par son Seigneur. Bénir, c’est manifester et célébrer que Dieu veut donner la vie en plénitude.

    Le Christ porte un gros volume, le disciple un rouleau : la Bonne Nouvelle. Le Christ est la Parole en personne, il a transmis à ses amis tout ce qu’il a reçu de son Père et leur demande de proclamer l’Evangile par toute la terre.

  • Lutter contre la culture de l'éphémère

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    Benoît XVI à Arezzo : lutter contre la culture de l'éphémère (Radio Vatican)

    Pour lutter contre la crise, il faut partager les ressources et changer de style de vie. Benoît XVI l’a affirmé ce dimanche au cours d’une messe en plein air à Arezzo. Le Pape effectue sa première visite pastorale en terre toscane. Il a été accueilli à son arrivée par le premier ministre italien Mario Monti et son épouse.

    Dans son homélie, Benoît XVI a exhorté à lutter contre la culture de l’éphémère qui a trompé tant de personnes et provoqué une crise spirituelle profonde. Face aux difficultés actuelles, la recette c’est de ne pas céder au matérialisme et de relancer l’éducation aux valeurs. La crise économique impose la recherche de solutions plus rapides et efficaces, surtout en faveur des jeunes, les plus éprouvés. Le Pape a recommandé l’attention aux plus faibles, le respect de la dignité de chacun, la solidarité avec les pauvres, l’accueil, faisant appel à l’histoire et aux traditions de la Toscane, patrie de la Renaissance, avec sa culture et ses valeurs. Evoquant quelques grands noms de la Renaissance italienne, le Pape s’est demandé quelle vision de l’homme nous sommes aujourd’hui en mesure de proposer aux nouvelles générations. La Toscane a joué un rôle actif dans l’affirmation d’une conception de l’homme, fondée sur les valeurs chrétiennes, qui a marqué l’histoire de l’Europe. Et Benoît XVI a encouragé les chrétiens à être le ferment de la société, des protagonistes actifs, audacieux et cohérents. Le Pape a concélébré l’Eucharistie dans un grand parc situé au pied de la cathédrale Saint-Donat, avec tous les évêques de Toscane et plus de 200 prêtres, en présence de quelque 30 000 personnes.

    Auparavant, l’évêque et le maire de la ville avaient tous deux évoqué la crise économique qui n’épargne pas cette région, sans oublier le dossier sensible de l’immigration. L’Eglise – a répondu Benoît XVI – doit elle aussi se montrer concrètement solidaire avec ceux qui sont dans le besoin en partageant ses ressources et en encourageant un style de vie plus sobre.

    Et à l’occasion de la prière du Regina Coeli, à la fin de la messe, le Pape a invité les fidèles à demander à Dieu le réconfort moral pour que la communauté d’Arezzo et l’Italie tout entière réagissent à la tentation du découragement. Forte de sa grande tradition humaniste, l’Italie doit reprendre résolument le chemin du renouveau spirituel et éthique pour obtenir une amélioration authentique de la vie sociale et civile. Chacun peut et doit offrir sa propre contribution. (...)

  • Iran : conversions au christianisme et répression

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    L’avocat du pasteur Youcef Nadarkhani et défenseur des droits de l’homme Mohamed Ali Dadkhah est à son tour envoyé en prison !

    La cour d’appel a confirmé la sentence le 28 avril 2012. Mohamed Ali Dadkhah devra purger sa peine. Il avait été condamné à 9 ans de prison en juillet dernier. De confession musulmane, il n’avait pas hésité à assurer la défense du pasteur Youcef  Nadarkhani, en prison depuis octobre 2009, et condamné à mort pour « apostasie ».

    La peine de Mohamed Ali Dadkhah est assortie d’une interdiction d'exercer comme juriste et d'enseigner le droit pendant dix ans. Il a été déclaré coupable d'«appartenance à une association tentant de renverser le gouvernement», et de «propagande contre le régime par le biais d'interviews accordées à des médias étrangers».

    Radio Vatican consacre un "dossier" au "boom des conversions en Iran" :

    En Iran, le nombre de musulmans qui se convertissent au christianisme explose. Il y a 40 ans, le nombre de chrétiens auparavant de confession musulmane était estimé à 400. Aujourd’hui, ils ne seraient pas moins de 370 000. C’est une information que révèle l'ONG protestante américaine Portes Ouvertes. Selon elle, la croissance du nombre de converstion est particulièrement flagrante dans les villes, où les programmes télévisés chrétiens jouent un rôle important dans ce développement. Ce phénomène est particulièrement répandu parmi les jeunes générations. Mais le gouvernement iranien tente de contrer ce mouvement : le pays est classé au cinquième rang de l’index, publié par l’association, sur les pays considérés comme les plus répressifs envers les chrétiens dans le monde.
    Ecoutez Clémence Martin, responsable médias à Portes Ouvertes en France RealAudioMP3
    Dossier réalisé par Charles Le Bourgeois.

  • Défendre rationnellement ses croyances...

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    ...tel est l'objet de l'apologétique. Une notice est consacrée à cette discipline sur le blog de "Théophile".

    Entrée en matière :

    Qu'est-ce que l'apologétique?

    L’apologétique vient du mot grec « apologia » qui veut dire « défense ». Dans la culture grecque, ce mot et son équivalant sous forme de verbe, « étaient utilisés premièrement en contexte légal où, dans une cours de justice, une personne se défendait contre des accusations spécifiques. » (Verbrugge, Verlyn D. New International Dictionnary of New Testament Theology. Zondervan : Grands Rapids. 2000. p.63) 

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  • 6e dimanche de Pâques : "Vous êtes mes amis"

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    Le_Christ_et_son_ami_3.jpg

    Réflexion sur l'évangile dominical par le Père Yvon-Michel Allard, s.v.d., directeur du Centre biblique des Missionnaires du Verbe Divin, Granby, QC, Canada.

    Ci-contre : "l'icône de l'ami" (VIe s.)

    La page d’évangile d’aujourd’hui est un hymne composé en l’honneur de l’amour de Dieu et de l’amour des autres. Jésus livre le coeur de son message et nous confie son testament. Le mot amour (aimer, ami) est répété onze fois dans ce court passage. Jésus se présente comme étant le modèle de l’amour, dans ses paroles et dans ses gestes les plus simples.

    «Vous êtes mes amis» : ceci est le cœur même de notre relation avec Dieu. Parce que nous sommes ses amis, il nous met au courant des pensées et des plans de Dieu pour notre monde. Dieu nous invite à construire un monde de paix, de compréhension, de pardon, de partage, d’amitié et d’amour. Et ceci commence au cœur de nos familles où les enfants apprennent la tendresse, l’accueil, le pardon, la tolérance, le respect des autres, l’amour de Dieu.

    Notre vie chrétienne peut se développer dans la mesure où nous permettons à cette amitié avec Dieu de grandir et de s’épanouir.

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  • L'épître de ce 6e dimanche de Pâques

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    Première lettre de saint Jean 4,7-10.

    Mes bien-aimés, aimons-nous les uns les autres, puisque l'amour vient de Dieu. Tous ceux qui aiment sont enfants de Dieu, et ils connaissent Dieu.
    Celui qui n'aime pas ne connaît pas Dieu, car Dieu est amour.
    Voici comment Dieu a manifesté son amour parmi nous : Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde pour que nous vivions par lui.
    Voici à quoi se reconnaît l'amour : ce n'est pas nous qui avons aimé Dieu, c'est lui qui nous a aimés, et il a envoyé son Fils qui est la victime offerte pour nos péchés.