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Eglise - Page 757

  • 7 motifs qui plaident en faveur de la messe traditionnelle

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    De Madeleine-Marie Humpers (sur son blog) :

    7 motifs en faveur de la messe traditionnelle

    Parfois, après une messe célébrée sous la forme ordinaire, le fidèle reste sur sa faim. L’intériorité, le sacré, l’intégration de la doctrine catholique dans l’homélie peuvent, entre autre, ne pas avoir été assez prégnants. A certains, la messe traditionnelle convient mieux et ce, pour plusieurs raisons. 

    A la suite du Concile Vatican II, de nombreuses célébrations se sont voulues très pastorales. Et pourtant, certains fidèles ne s’y retrouvent pas. Ils peuvent même être tentés d’abandonner la messe, tant celles qu’ils fréquentent correspondent peu à leurs besoins spirituels et à leurs attentes. Avant de découvrir la messe traditionnelle, c’est-à-dire sous la forme extraordinaire, ils tâtonnent parfois pendant longtemps. Dans les Vicariats et les paroisses où la messe est célébrée sous la forme ordinaire, bien souvent on évite d’indiquer aux fidèles qui l’ignoreraient l’existence de cette autre manière de célébrer, jugée souvent rétrograde, passéiste et surannée. Et c’est dommage, car un certain nombre de fidèles seraient bien plus assidus à se rendre à l’église, si c’était pour assister à des messes traditionnelles...

    1. Un langage précis et rigoureux

    Le langage doctrinal qui domine dans les messes (et surtout dans les homélies) sous la forme extraordinaire, est bien souvent plus rigoureux, plus précis et plus universel que celui des homélies des messes sous la forme ordinaire. Dans un souci pastoral, Vatican II a privilégié un « langage concret, narratif, affectif »[1]. Trop souvent, hélas, la « pastoralisation » des homélies a porté un coup à la richesse de la doctrine catholique.

    2. Une participation intérieure

    Sacrosanctum Concilium a voulu encourager la participation des fidèles. Il s’agissait essentiellement d’une participation intérieure, mais l’aspect extérieur l’a parfois emporté, comme si celle-ci n’avait d’autre fin qu’elle-même. Ne manque-t-elle pas alors son but, qui est bien de participer « à l’action de Dieu » ? C’est Dieu qui est le premier acteur lors de l’eucharistie : la participation du croyant à ce sacrement est d’abord une participation passive, car il s’agit d’une ouverture, d’une disposition à accueillir le don de Dieu, avant de devenir une participation active.En somme, l’obsession de la « participation active » a nui à la primauté de Dieu au sein même de la célébration, en inversant symboliquement les données de la foi.

    Rappelons à ce propos que la messe a été instituée pour quatre fins : pour adorer Dieu; pour expier nos péchés; pour remercier Dieu de ses bienfaits; pour obtenir ses grâces. Toute idée de participation n’a donc de sens que si elle est ordonnée à ces fins.

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  • Du shintoïsme à la vie consacrée : la conversion de Sœur Piermaria Kondo Rumiko, une religieuse japonaise

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    Du site des Missions Etrangères de Paris (Eglises d'Asie) :

    Du shintoïsme à la vie consacrée : la conversion d’une religieuse japonaise

    Sœur Piermaria Kondo Rumiko, une religieuse de la congrégation des Filles de Saint-Paul, est née dans une famille adepte du shintoïsme, une religion polythéiste et animiste traditionnelle japonaise. Ce sont les livres et la découverte de la Bible qui, à 24 ans, l’ont amenée à se convertir. Originaire de la préfecture d’Ehime, dans le nord-ouest de l’île de Shikoku, la religieuse témoigne de son parcours, du shintoïsme à la vie consacrée.

    Sœur Piermaria Kondo Rumiko confie qu’elle est « chrétienne et religieuse par la grâce du Seigneur ». Née dans une famille shinto, elle a rejoint les Filles de Saint-Paul (sœurs paulines) après sa conversion. Fille d’un menuisier, sœur Piermaria est née dans la préfecture d’Ehime, dans le nord-ouest de l’île de Shikoku. Sa famille est adepte du shintoïsme, une religion polythéiste et animiste traditionnelle japonaise. « Quand je suis née », a-t-elle confié à MattersIndia. « Mes parents m’emmenaient souvent au temple. Comme beaucoup de Japonais, je me rendais au temple shinto le premier jour de l’année. À neuf ans, j’ai dansé lors d’une fête shinto pour un rite d’initiation », explique-t-elle. Quand elle était petite, sœur Piermaria était également marquée par sa grand-mère, poursuit la religieuse. « Elle était une shinto et une bouddhiste fervente. Elle priait le Bouddha à chaque fois qu’elle voyait une statue. Cela m’a transmis un fort sentiment d’amour envers Dieu. » Elle est devenue chrétienne à l’âge de 24 ans, après avoir traversé la maladie et plusieurs difficultés personnelles. Sœur Piermaria confie également être une bibliophile passionnée.

    « Depuis que j’aime lire, je parcours souvent les librairies », explique-t-elle. « J’y suis allée pour trouver quelque chose à lire qui puisse m’apaiser et me donner une forme d’encouragement dans ma vie. J’ai trouvé un livre de Carl Hilty appelé ‘Pour les nuits blanches’. Le livre contenait beaucoup de citations de la Bible. J’ai trouvé les versets de l’Évangile particulièrement réconfortants, donc j’ai commencé à lire la Bible », raconte-t-elle. « J’ai compris que Jésus ne m’abandonne jamais quoi qu’il puisse m’arriver dans ma vie. J’ai ressenti cela quand j’ai lu un passage de l’Évangile selon saint Jean : ‘Tous ceux que me donne le Père viendront jusqu’à moi ; et celui qui vient à moi, je ne vais pas le jeter dehors.’ J’aimais aussi un chant protestant, il me semblait que j’entendais l’appel de Jésus à travers ce chant. » La jeune femme a donc commencé à se rendre dans une église protestante.

    « J’ai alors ressenti l’inspiration de me donner au Seigneur pour la vie, entièrement. J’en ai parlé au pasteur. Il m’a suggéré de contacter une église catholique, puisqu’il n’y avait pas l’équivalent dans l’église protestante pour ceux qui voulaient suivre une vie consacrée. » Elle a finalement rencontré une femme travaillant à l’accueil d’une paroisse catholique, qui est devenue sa marraine. « Je lui ai parlé de mon désir d’être religieuse, et elle m’a guidée et encouragée. Après deux années de catéchuménat, j’ai reçu le baptême. Ma marraine avait deux amies au sein des Filles de Saint-Paul, elle m’a donc conseillé de les rejoindre. » En 2012, elle a prononcé ses vœux perpétuels. Sœur Piermaria confie que bien que ses parents n’approuvaient pas, « ils m’ont laissée partir ». La religieuse ajoute qu’elle ne ressentait pas le besoin d’essayer de les convertir : « La foi est une grâce, et je pense qu’ils croient en Dieu, même s’ils le prient différemment. » Depuis, son père est décédé. « Ma mère et mon frère ne comprennent toujours pas mon choix, mais ma mère m’a dit qu’elle est heureuse de me voir épanouie dans ma vocation de religieuse. »

    (Avec Asianews)

  • Les "hommes en noir" débattent des scandales à répétition et des actes anti-chrétiens qui se multiplient

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    Pour cette septième émission, avec l'abbé Celier, l'abbé Barthe et Daniel Hamiche, sous la direction de Philippe Maxence les sujets suivants ont été abordés :

    1°) Scandales à répétition, l'Église est-elle dans la tourmente ?

    2°) Augmentation record des actes anti-chrétiens.

    3°) Le ralliement, un basculement historique ?

  • Liège : Carême 2019 à l’église du Saint-Sacrement. Une date à retenir : mercredi 27 mars (19h30).

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    EGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Bd d’Avroy, 132 à Liège

    careme à l'église du saint sacrement Liège GOPR0645.JPG

    MERCREDI 27 MARS 2019 À 19H30

    Récollection animée par l’abbé Claude GERMEAU, directeur du Foyer des Jeunes d’Herstal et l’abbé Marc-Antoine DOR, recteur de l’église du Saint-Sacrement 

    affiche_recollection careme 2019.jpg 

    A retenir aussi :

    mardi 19 mars 2019

    de 17h00 à 19h00 : adoration eucharistique et confessions

    19h00: messe en l'honneur de saint Joseph, patron principal de la Belgique (missel de 1962, chant grégorien) 

    ______________ 

    Restauration_depliant - Copie.jpgSursum Corda asbl. Association pour la sauvegarde de l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, 132 à Liège. Siège social : Rue Vinâve d’île, 20 bte 64, Liège

    Tel. 04 344 10 89 (si on ne répond pas : GSM 0470 94 70 05).

    E-mail : sursumcorda@skynet.be.

    Web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com .

    Faire un don pour la restauration de l’église du Saint Sacrement ? 300.000 euros restent à trouver ! Vous pouvez faire un don fiscalement déductible pour la restauration de l’église du Saint-Sacrement en versant le montant de votre choix au compte de projet : IBAN BE10 0000 0000 0404 – BIC BPOTBEB1 de la Fondation Roi Baudouin, rue Brederode, 21, 1000 Bruxelles, avec, en communication, la mention structurée (indispensable) : 128/2980/00091.  

    Pour en savoir plus sur les enjeux de cette restauration, cliquez ici : Restauration de l'église du Saint-Sacrement à Liège . L'évêque s'implique. Et vous?

    JPSC

  • Le cri d'alarme d'un missionnaire : "Eglise catholique, où es-tu ?"

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    Du site Diakonos.be :

    Église catholique, où es-tu ? Le cri d’un missionnaire aux frontières

    Un père missionnaire qui a passé sa vie aux frontières à des milliers de kilomètres de Rome m’écrit : « Désormais, il n’est plus possible de douter de l’endroit où sont en train de nous mener ceux qui gouvernent l’Église : au point où nous nous devons tous absolument de réagir. Combien de temps encore pouvons-nous garder le silence ? »

    D’autant que lui n’a pas hésité à le rompre, ce silence. Avec seize réflexions éclairantes.

    Un article de Sandro Magister, vaticaniste à L’Espresso.

    *

    Se convertir… mais à quoi ?

    1. C’est à présent évident. L’Église catholique n’est plus la même qu’en 2013. Et j’aimerais bien savoir si quelqu’un pourrait définir ce qu’est l’Église catholique aujourd’hui.
    2. Ce problème me préoccupe d’autant plus que la chose me touche personnellement. Si je dois présenter l’Église à ceux qui n’en font pas partie, j’ai avant tout besoin de savoir à quel genre d’Église j’appartiens. Et en deuxième lieu, ce que je dois dire.
    3. Nous qui vivons en pays de mission où se de nombreuses religions se côtoient plus ou moins en harmonie, ce qui nous distingue, c’est la vie pratique les coutumes, les lois, les usages, les obligations bien avant la doctrine et le théories.
      Par exemple, les musulmans ne mangent pas de porc, ils pratiquent la circoncision, ils observent le jeûne du Ramadan, ils peuvent divorcer et se remarier plusieurs fois, ils peuvent avoir deux ou plusieurs femmes, ils prient cinq fois par jours et font une prière spéciale le vendredi, etc.
      Les hindous ne mangent pas de viande bovine, ils jeûnent avant certaines fêtes, les femmes ne se marient qu’une seule fois même si leur mari décède, ils honorent un grand nombre de divinités, ils incinèrent leurs morts, etc.
      Et les chrétiens catholiques ? Jusqu’à il y a peu, au moins, il ne pouvaient se marier qu’une seule fois jusqu’à la mort de l’un des conjoints, leurs prêtres et leurs religieuses devaient rester célibataires, ils obéissaient au pape, ils avaient une dévotion pour la sainte Vierge et pour les saints, ils ne croyaient pas à la sorcellerie ni aux esprits, ils ne sacrifiaient pas d’animaux, les hommes et les femmes priaient ensemble à l’église, ils mangeaient n’importe quel type de viande et de poisson, le dimanche ils avaient l’obligation de se reposer et d’aller à la messe, etc.
    4. Jésus ressuscité a envoyé les apôtres baptiser toutes les nations de la terre au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Et c’est ainsi que le christianisme s’est répandu et a façonné les coutumes, les lois et les usages de civilisations entières. Tout cela a donné comme fruit de nombreux martyrs et saints et a permis à de nombreuses personnes d’avoir des expériences mystiques et de nous faire partager la lumière éclatante du paradis.
    5. Pour recevoir tous ces dons et toutes ces grâces, tant de personnes se sont converties et ont abandonné leurs communautés d’origine et leur mode de vie au prix de nombreuses privations !
    6. Mais à présent, en tant que missionnaire, je ne sais plus précisément ce qu’est l’Église catholique. Et depuis que je vois que le pape, les cardinaux, les évêques tolèrent graduellement et inexorablement l’adultère, approuvent la sodomie, bénissent des mariages homosexuels, admettent l’égalité du salut avec les autres religions… à quelle conversion dois-je donc inviter les autres ?
    7. La même chose vaut pour toute personne athée ou non-croyante en Occident. Pour quelle raison devraient-elles se convertir et accepter notre foi si nous professons toutes ces choses ? Je comprends à présent certaines phrases du pape quand il dit qu’il ne faut pas faire de prosélytisme. Il faut beaucoup de courage pour tenter de convaincre les gens de croire à ces aberrations.
    8. Par bonheur, nos évêques ici en mission ne parlent pas de toutes les bizarreries que l’on discute à Rome. La seule nouveauté c’est qu’ils rendent à présent les procès en nullité des mariages un peu plus faciles, malgré que les gens ne l’acceptent pas facilement parce qu’ils ont appris que le mariage ne pouvait en aucun cas être dissous.
    9. Le risque ici, comme dans d’autres pays de mission, serait d’en arriver au scandale que les chrétiens, protestants et catholiques, soient les seuls à approuver l’adultère et la sodomie. En effet, chez les musulmans et les hindous, l’adultère (c’est-à-dire une relation hors mariage) est un crime punissable au niveau communautaire et civil. La sodomie est considérée comme un acte très grave et est réprouvée. La polygamie des musulmans n’a rien à voir avec l’adultère parce qu’il s’agit d’un contrat social sanctionné par le rite du mariage, avec toutes les obligations de subvenir aux besoins des épouses et de s’occuper des enfants.
    10. Le côté tragicomique de la chose c’est que les autres religions, même sans connaître l’Évangile, proposent des normes morales solides et fondées sur le bon sens et sur la nature tandis que le christianisme et ses leaders officiels soutiennent et encouragent le mode de vie et la morale de l’antiquité préchrétienne. Mais alors Jésus est vraiment venu pour rien !
    11. En Allemagne, certains vont jusqu’à railler les évêques d’Afrique et à les traiter de rétrogrades parce que l’homosexualité est interdite sur leur continent. Il ne manquerait plus que l’on lance une nouvelle « évangélisation » au nom de cet évangile à l’envers, ce qui reviendrait à en réalité à imposer à nouveau les fausses conquêtes anthropologiques de l’Occident aux pauvres qui sont encore sains d’esprit.
    12. Ce que je ne comprends pas, c’est la soumission et le silence de tant d’évêques et de prêtres. Je ne vois même pas de résistance passive. Les martyrs affrontaient la mort. Mais aujourd’hui, les seuls à parler à voix haute, ce sont les laïcs qui ne sont pas bâillonnés par les structures ecclésiastiques alors que les prêtres et les évêques – à quelques exceptions près – se taisent par peur des représailles et des accusations infâmantes.
    13. On continue à prêcher qu’il ne faut pas diviser mais unir. Et donc se taire parce qu’une opposition trop ouverte causerait trop de tort à l’Église. Mais cette attitude respectueuse finit justement par favoriser ceux qui provoquent des désastres.
    14. Le pape le sait et il rivalise d’ingéniosité pour se rendre inattaquable. Ses incessants voyages, les accords avec les luthériens, les accords avec les musulmans, les accords avec le Chine et ainsi de suite sont autant de tranchées qui le défendent. Comment pourrait-on le critiquer quand il est accueilli partout en grande pompe et sous les applaudissements ?
    15. Une précaution que les autorités de l’Église ne manquent jamais de prendre avant de parler ou de décider, c’est de ne jamais faire mine d’aller le moins de monde à l’encontre de l’idéologie et du credo LGBT. Pas une seule fois ils ne se demandent si Dieu le Père en sait quelque chose et si Dieu le Père pense comme eux. Dieu le Père ne se plaint jamais et, Jésus ayant confié les clefs à Pierre, on pense qu’on peut les utiliser selon son bon plaisir et se comporter en maître.
    16. Mais l’Esprit de Dieu est toujours vivant. Ce qui veut dire que même aujourd’hui, nous pouvons être sûrs qu’il y a de nombreux saints qui permettent encore à Dieu de vivre au milieu de nous. Ô Seigneur, reste avec nous !
  • Carême 2019 avec saint Bernard de Clairvaux : des degrés de l’humilité et de l’orgueil

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    KTO : la foi prise au mot : « voici le second numéro de notre série de Carême sur les grands textes spirituels. Après le XXe siècle avec Thérèse de Lisieux, nous voilà maintenant au Moyen Âge pour parler des Degrés de l'humilité et de l'orgueil de saint Bernard de Clairvaux. Faisant passer en Occident, les méditations des Pères grecs sur l´échelle de la sainteté, ce texte influença durablement la morale et la pratique des monastères, mais aussi des laïcs. Nous allons découvrir que ce traité exerce jusqu´à aujourd´hui une influence considérable. Partons donc à sa découverte en compagnie des trois invités de Régis Burnet : Catherine Vincent, historienne médiéviste, Christian Trottmann, auteur de Bernard de Clairvaux philosophe et homme d'action (Institut universitaire européen Rachi), et pendant toute la série, le père François Potez, curé de la paroisse Notre-Dame du Travail, à Paris. Diffusé le 17/03/2019 / Durée : 52 minutes »

    JPSC

  • Les évêques allemands veulent revisiter l'enseignement catholique en matière de sexualité... Bientôt un schisme ?

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    De "Lifesitenews" (en traduction rapide) :

    «Besoin de changement»: le cardinal Marx dit que les évêques allemands revisiteront l'enseignement sexuel catholique

    14 mars 2019 (LifeSiteNews) - Le cardinal Reinhard Marx a annoncé aujourd'hui que l'Église catholique en Allemagne était ouverte à une révision de l'enseignement sexuel catholique qui interdit la contraception, la cohabitation et les relations homosexuelles.

    Lors de leur assemblée de printemps à Lingen, en Allemagne, du 11 au 14 mars, la Conférence des évêques allemands a examiné les causes et les raisons possibles de la crise actuelle des sévices sexuels commis en Allemagne. Les orateurs invités ont évoqué l'idée d'ordonner ceux qu'on appelle les viri probati ainsi que d'accepter la contraception, la cohabitation, les relations homosexuelles, ainsi que la théorie du genre.

    Les évêques allemands ont maintenant décidé de poursuivre la discussion sur ces thèmes dans une série de discussions qu’ils qualifient de «voie synodale».

    Le cardinal Marx, président de la Conférence des évêques allemands et archevêque de Munich-Freising, a donné une conférence de presse à l'issue des travaux de l'Assemblée de printemps. Il a souligné que les évêques allemands traitaient des problèmes «systémiques» liés à la crise des abus, ce qui «n'a pas été discuté à Rome» lors du récent sommet sur les abus sexuels. Ici, il s'agit de «dangers de nature systémique». Pour autant qu'il sache, Marx a ajouté: «Nous sommes la seule Eglise locale à affronter cette question maintenant».

    La conférence de presse avait été retardée parce que, comme l'a révélé Marx, les évêques allemands n'ont pu se mettre d'accord sur le lancement d'un «processus synodal» en Allemagne que dans les trente dernières minutes de leur rassemblement. Pour y arriver, trois forums de discussion seront dirigés par Mgr Felix Genn (sur le célibat), par Mgr Franz-Josef Bode (sur la morale sexuelle) et par Mgr Wiesemann (sur les questions de pouvoir et de participation). En septembre, les premiers résultats devraient être présentés. Ce processus doit être entrepris "avec le Comité central des catholiques allemands" (ZdK), a expliqué le cardinal Marx, très satisfait du résultat de cette assemblée de printemps. Il a ensuite déclaré au public qu'il avait rapidement appelé le professeur Thomas Sternberg, responsable du ZdK, afin de recevoir son engagement à collaborer.

    Sternberg est connu pour avoir promu l'idée de mariage pour les prêtres, de communion pour les divorcés «remariés» et d'autres thèmes progressistes.

    En expliquant les sujets proposés qui seront discutés plus en détail par les évêques allemands, le cardinal Marx a souligné trois aspects: la question du pouvoir, du célibat et de la morale sexuelle de l'Église.

    "La question est autorisée: le célibat doit-il toujours être imposé?", a-t-il expliqué, ajoutant que "l'Eglise catholique a déjà accepté des prêtres mariés". Marx s'est également référé à la communication d'un des orateurs qui s'est exprimé durant la rencontre des évêques, le Professeur Eberhard Schockenhoff qui a proposé un assouplissement de l'enseignement moral de l'Église pour inclure l'acceptation de la contraception, de la cohabitation, de la théorie du genre et des couples homosexuels. Le cardinal Marx a commenté avec sympathie la contribution de cet orateur, affirmant que Schockenhoff "l'a très bien présentée [le débat sur la morale sexuelle]". Il a également ajouté "qu'il est nécessaire de discuter du Catéchisme".

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  • Condamnation du Cardinal Barbarin : le parquet fait aussi appel du jugement rendu en première instance

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    Le cardinal rencontre aujourd’hui le pape François pour lui présenter sa démission mais l’affaire n’est pas close puisqu'un double appel a été interjeté et qu'a priori un pourvoi en cassation n'est pas à exclure: en toute logique, le pontife devrait donc, à tout le moins, réserver sa réponse.  

    Rappelons aussi que, paradoxalement, l’auteur des  faits (antérieurs à 1991) que l’on reproche au cardinal de ne pas avoir dénoncé n’a, lui-même, pas encore été condamné. Le zèle judiciaire serait-il  à deux vitesses ? (JPSC).

    Lu sur le site « aleteia » :

    "Le pape François doit recevoir ce lundi 18 mars au Vatican le cardinal Barbarin, onze jours après l’annonce du jugement du tribunal correctionnel de Lyon qui l’a condamné à six mois de prison avec sursis pour non-dénonciation d’abus sexuels commis dans les années 1980 par un prêtre de son diocèse.

    Il avait surpris tout le monde en annonçant son choix de présenter sa démission au Saint Père. Le cardinal Barbarin sera reçu ce lundi à 10h au Vatican par le pape François une rencontre entre le primat des Gaules et le souverain pontife qui rentre tout juste de sa retraite de Carême

    Lire aussi :

    La réaction du cardinal Barbarin en apprenant sa condamnation

    Les avocats du cardinal Barbarin ont rédigé une note juridique sur sa condamnation le 7 mars dernier à six mois de prison. Ils y exposent les perspectives d’un jugement en appel. Un document traduit en espagnol à l’attention du pape argentin. Le parquet de Lyon, qui n’avait pas demandé de condamnation à son encontre, a précisé dimanche qu’il avait fait « appel incident » dans « le prolongement de l’appel » principal du cardinal.

    Le pape argentin a longtemps pris personnellement la défense du cardinal français, notamment en 2016 lorsqu’il avait estimé qu’une démission avant l’issue d’un procès serait « un contresens, une imprudence ». Il pourrait se donner plusieurs semaines avant d’accepter ou non la démission du cardinal Barbarin, 69 ans, évêque de Lyon depuis 2002."

    Ref. Le cardinal Barbarin à Rome pour rencontrer le pape François

    JPSC

  • Prions pour nos évêques

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    Prier pour nos évêques (source)

    Le préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements soutient la « Neuvaine à Marie qui fortifie les évêques » éditée par Life. Il invite aussi les fidèles à soutenir leurs pasteurs par la prière, particulièrement en ces temps difficiles.

    Saint Paul exprime en quelques mots ce qu’est le ministère apostolique de l’évêque : «  qu’on nous considère donc comme des serviteurs du Christ, et des intendants des mystères de Dieu  » (1 Co 4,1). Le jour de son ordination épiscopale, le rituel prévoit de remettre au nouvel évêque, dont la tête vient d’être ointe de l’huile du saint chrême, un anneau qu’il va devoir porter constamment, car il est le signe du lien spécial, permanent et définitif, qui l’unit à l’Église, et plus particulièrement à la portion du Peuple de Dieu dont il a reçu la charge.

    Revêtu de la plénitude du sacerdoce, le nouvel évêque, successeur des apôtres, coiffe aussi la mitre, symbole de sa responsabilité pastorale suprême au service du Peuple de Dieu, avec cette sainteté toute particulière du pasteur offert en sacrifice pour le salut des âmes, qu’il doit désirer et quémander auprès du Seigneur Jésus Christ, chaque jour, dans la prière, à l’exemple des bienheureux évêques qui sont pour lui des modèles et des intercesseurs : saint Augustin, saint Charles Borromée, saint François de Sales ou saint Alain de Solminihac…

    Enfin, le nouvel ordonné reçoit le bâton pastoral du Berger (ou crosse), car, désormais, toute sa vie a pour raison d’être et donc pour but de prendre soin des âmes qui lui sont confiées par Jésus, le Bon Pasteur, pour les conduire sur ces «  verts pâturages  » que chante le psaume 22, vers l’Eau vive de la grâce qui jaillit du Cœur de Notre-Seigneur Jésus Christ.

    Ainsi, à partir des rites liturgiques, on comprend immédiatement que l’épiscopat est une lourde charge qui requiert une sollicitude pastorale inlassable… un fardeau qui peut provoquer une grande fatigue, en particulier spirituelle. En effet, devant des décisions graves à prendre, l’évêque est seul devant Dieu, et c’est pourquoi, certains jours, il peut ressentir une solitude très pesante et indicible. La tâche des évêques est donc immense : en Occident, en raison des situations complexes dues à la déchristianisation ; en Afrique et dans de nombreux pays d’Asie et d’Amérique latine, à cause du développement exponentiel de la chrétienté, qui engendre des soucis pastoraux gigantesques. Et, surtout, nombreux sont les évêques qui vivent de véritables situations de détresse : détresse matérielle, avec parfois des diocèses qui font face à des situations de misère, et, bien entendu, détresse morale dans tous ces pays qui maltraitent voire persécutent les chrétiens à cause de leur foi. Notamment sous la férule de la loi islamique, ou encore de nos jours, dans des pays écrasés par le totalitarisme communiste.

    L’évêque trouve un grand réconfort et la force dans la prière de son peuple qui monte comme un encens d’agréable odeur vers le Trône de Dieu. Saint Augustin, évêque d’Hippone, qui se fit le modèle de son troupeau, en l’instruisant par ses sermons et ses écrits, dans lesquels il mit en lumière, avec beaucoup de science, la vraie foi, et lutta avec énergie contre les erreurs de son temps, suppliait son peuple de le soutenir par une prière fervente. En effet, affirmait-il, étant donné que Dieu entend toujours le cri de ceux qui l’implorent, le Seigneur «  veut par la prière exciter et enflammer nos désirs, pour nous rendre capables de recevoir ce qu’il nous prépare  » (cf. Lettre 130, à Proba).

    Prier pour celui qui a reçu la charge du Peuple de Dieu, afin que, muni de l’esprit de sagesse et l’abondance des grâces divines, il remplisse fidèlement les devoirs de son ministère épiscopal, est donc nécessaire, et même vital dans le contexte actuel d’une Église en proie à la persécution et aux affres du relativisme et de l’indifférence. L’initiative de la «  Neuvaine qui fortifie les évêques  » me paraît donc, non seulement excellente, mais encore indispensable. Car elle manifeste l’union intime et indissociable du pasteur et du peuple chrétien dans le Cœur Immaculé de Marie.

    Que la Mère de l’Église, Mère des fidèles et des pasteurs, nous aide, nous éclaire, nous guide, et nous conduise au Cœur de Jésus transpercé à cause de nos péchés ! Parce qu’elle fut la première disciple de notre Sauveur, la Vierge Marie, Redemptoris Mater – la Mère du Rédempteur –, nous apprend, dans la prière méditative du Rosaire, à l’écouter et à garder confiance en Lui malgré tous les obstacles. Elle nous apprend donc à prier Jésus, son Fils bien-aimé, à entrer peu à peu dans son intimité, et donc à l’aimer et à se mettre humblement à son service. Je bénis de tout cœur cette initiative en la confiant à Notre-Dame, Mère de l’Église, que le saint évêque Charles Borromée invoquait sous le vocable de «  Notre-Dame du Bon Conseil  ».

  • L’abstinence du vendredi

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    careme854.jpgEn Belgique, comme en France depuis la « suppression » de cette loi par l’épiscopat en décembre 1966, la pratique semble avoir plus ou moins disparu. Pourtant, l’intention n’était pas de l’abandonner mais de la remplacer éventuellement par d’autres œuvres de pénitence (privation d’alcool, de friandises…). À l’entrée du Carême, il est opportun de s’interroger sur cette pratique du vendredi et de mieux connaître la position réelle de l’Église. Lu sur le site web du mensuel « La Nef » :

    « La pénitence, dans la Constitution apostolique Paenitemini du 17 février 1966. Ce texte postconciliaire signé par Paul VI présente le sens et l’importance du précepte divin de la pénitence dont le terme ultime est d’aimer Dieu et de s’abandonner à lui. Voici quelques extraits : « La pénitence est une exigence de la vie intérieure. Sa nécessité est particulièrement urgente dans la société d’aujourd’hui. À aucune époque la vraie pénitence ne peut faire abstraction d’une ascèse également physique. Tout notre être, en effet, corps et âme, doit participer activement à l’acte religieux par lequel la créature reconnaît la sainteté et la majesté de Dieu. Le devoir de la pénitence est motivé surtout par la participation aux souffrances du Christ. Il y a trois façons principales de satisfaire au précepte divin de la pénitence : la prière, le jeûne, et les œuvres de charité. L’Église a toujours spécialement prôné l’abstinence de viande et le jeûne. »

    Les jours de pénitence pour l’Église universelle dans le Code de Droit canonique de 1983 :
    Canon 1249 : « Tous les fidèles sont tenus par la loi divine de faire pénitence chacun à sa façon ; mais pour que tous soient unis en quelque observance commune de la pénitence, sont prescrits des jours de pénitence durant lesquels les fidèles s’adonneront d’une manière spéciale à la prière et pratiqueront des œuvres de piété et de charité, se renonceront à eux-mêmes en remplissant plus fidèlement leurs obligations propres, et surtout en observant le jeûne et l’abstinence selon les canons suivants. »
    Canon 1250 : « Les jours et temps de pénitence pour l’Église tout entière sont chaque vendredi de toute l’année et le temps de Carême. »
    Canon 1251 : « L’abstinence de viande ou d’une autre nourriture, selon les dispositions de la conférence des Évêques, sera observée chaque vendredi de l’année. »

    Les dispositions de la Conférence épiscopale française de 1984 : « Tous les vendredis de l’année, en souvenir de la Passion du Christ, ils doivent manifester cet esprit de pénitence par des actes concrets, soit en s’abstenant de viande ou d’alcool ou de tabac… soit en s’imposant une pratique plus intense de la prière et du partage. »

    Plusieurs conférences épiscopales ont décidé de rétablir la loi de l’abstinence du vendredi. Les évêques d’Angleterre et du pays de Galles prennent cette décision en mai 2011, au terme de leur assemblée plénière. Et pour ceux qui ne consomment pas habituellement de viande à se priver d’une autre nourriture. Tous sont invités à ajouter à cette privation un acte particulier chaque vendredi en mémoire du jour où le Christ est mort. Il est « important », remarque la Conférence épiscopale, « que tous les fidèles soient unis dans une célébration commune de pénitence du vendredi » afin, également, de donner un « signe clair et distinct de leur identité catholique ».
    Le cardinal Dolan, président de la Conférence des évêques américains, le 12 novembre 2012, déclare lors de l’Assemblée plénière : « Le travail de notre Conférence dans les années qui viennent doit inclure une réflexion sur le retour du vendredi comme jour particulier de pénitence, ce qui comporte le rétablissement de l’abstinence tous les vendredis et pas seulement pendant le Carême. »

    Récapitulons les principaux arguments qui plaident en faveur de la pratique de l’abstinence: elle maintient une volonté de pénitence régulière en mémoire de la Passion du Christ ; elle associe le corps à la vie spirituelle ; elle rend visible un témoignage d’union au Christ ; elle rapproche les baptisés dans une observance commune ; elle nous unit par cette tradition ancienne à tous ceux qui nous ont précédés et notamment aux saints qui ont été fidèles à cette discipline.

    Il ne s’agit pas cependant de remplacer la viande par du poisson. Aucune loi religieuse n’a jamais demandé cela. Simplement, il a été admis à l’époque médiévale que l’on pouvait consommer du poisson le vendredi car celui-ci est un aliment maigre qui n’était pas considéré comme un mets de choix. Plus tard, l’habitude de manger du poisson est devenue un moyen d’affirmer une identité chrétienne. Il se trouve effectivement que le poisson était le symbole des chrétiens dans les premiers temps de l’Église. En effet, le mot grec ICHTHUS qui veut dire poisson correspond à l’acronyme de Jésus-Christ Fils de Dieu Sauveur (Iesous CHristos THéou Uios Soter). Cependant, le fait de manger du poisson le vendredi, plat finalement appréciable, ne nous rapproche pas vraiment de l’esprit de la pénitence qui est un esprit de sacrifice et de privation. Aux yeux des non-croyants, nous paraissons ridicules si nous expliquons que nous faisons pénitence le vendredi par amour du Christ pour nous unir à son sacrifice en remplaçant la viande par du poisson.

    Conclusion. Il n’est pas souhaitable d’abandonner un à un tous les signes extérieurs communs de la foi et toutes les exigences qui expriment l’union au Christ. L’intention des épis­copats qui ont supprimé la loi de l’abstinence était plutôt de renforcer l’esprit de pénitence en favorisant aussi d’autres expressions sans supprimer pour autant l’expression traditionnelle de l’abstinence de viande du vendredi qui reste une pratique juste et bonne. Certes, quelques fidèles vivent la loi de pénitence par des actes qui vont au-delà de ce minimum, mais dans la pratique, la très grande majorité n’a pas remplacé cet acte de pénitence du vendredi par d’autres actes. Le résultat est bel et bien un triste abandon à l’inverse de ce qui était espéré à l’origine. Si on veut être fidèle à l’esprit de la loi, nous devons nous encourager à vivre ensemble cette abstinence et apporter de cette manière un témoignage visible communautaire d’union au Christ souffrant et de communion entre nous.

    Stanislas Grymaszewski »

    © LA NEF n°312 Mars 2019 

    Ref. L’abstinence du vendredi

    JPSC

  • Rome, 21 mars : prière pour les martyrs de notre temps

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    De Marina Droujinina sur zenit.org :

    Rome : prière pour les martyrs de notre temps le 21 mars

    Présidée par le cardinal vicaire Angelo de Donatis

    Une initiative de prière pour les martyrs de notre temps, y compris de nombreux missionnaires, mais aussi des laïcs, des pasteurs et des chrétiens de toutes les confessions, sera organisée le 21 mars 2019 par le diocèse de Rome et la Communauté de Sant’Egidio, indique le vicariat de Rome ce 15 mars. Elle sera présidée par le cardinal vicaire Angelo de Donatis.

    Une marche accompagnée de la récitation du chapelet missionnaire et des litanies des martyrs débutera à 18 h au Colisée pour arriver à la basilique de Saint-Barthélemy-en-l’Île, où la veillée aura lieu.

    Pour chaque nom de martyr, une bougie sera allumée, « ce qui permet de voir la lumière de Pâques même au moment de la mort et de la souffrance », lit-on dans le communiqué. Des représentants orthodoxes et évangéliques ainsi que des jeunes de différents continents participeront à cette initiative.

    « En 2018, souligne l’évêque auxiliaire du Centre et secrétaire général du vicariat, Mgr Gianrico Ruzza, une quarantaine de témoins ont été tués : 35 prêtres, 4 laïcs et un séminariste. Nous avons choisi de partir du Colisée parce que c’est un symbole du martyre, un lieu où des centaines de chrétiens sont morts et où ce n’est pas un hasard si le Chemin de Croix est célébré chaque année par le pape. Tandis que la basilique de Saint-Barthélemy-en-l’Île abrite les nouveaux martyrs des XXe et XXIe siècles, recherchés par saint Jean-Paul II et confiés à la Communauté de Sant’Egidio. »

  • Le voyage du pape à Abu Dhabi décrypté par le "Club des Hommes en Noir"

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    Pour cette sixième émission du Club des Hommes en Noir, avec l’abbé Viot, l’abbé de Tanouärn et le père Thomas, ainsi que Daniel Hamiche, sous la direction de Philippe Maxence, le deuxième sujet abordé est celui du voyage apostolique du pape François à Abu Dhabi. Voici la vidéo… (via le site "Riposte catholique")