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Foi - Page 694

  • 6 mai : la démission de Mgr Léonard

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    phpthumb_generated_thumbnailjpg-g.jpgDe la page facebook du Père T. Scholtes S.J. :

    "Le mercredi 6 mai 2015, Mgr. André-Joseph Léonard aura 75 ans et remettra au Pape François, sa démission comme Archevêque de Malines-Bruxelles et Président de la Conférence épiscopale de Belgique, conformément au canon 401§1 du Code de Droit canonique (“L’Evêque diocésain qui a atteint soixante-quinze ans accomplis est prié de présenter la renonciation à son office au Pontife Suprême qui y pourvoira après examen de toutes les circonstances.”). Pour ce faire, il remet sa lettre au Nonce Apostolique, Mgr Giacinto Berloco, Ambassadeur du Saint-Siège dans notre pays.

    Les semaines et les mois à venir, trois scénarios sont possibles.

    1) Le Pape peut immédiatement accepter la démission de Mgr. A.-J. Léonard et demander au Collège des consulteurs de désigner un administrateur pour l'Archidiocèse jusqu’à la nomination d’un nouvel Archevêque de Malines-Bruxelles.
    2) Le Pape peut également demander à Mgr Léonard de rester en fonction jusqu’à l'arrivée du nouvel Archevêque.
    3) La troisième possibilité est la prolongation du mandat de l'Archevêque pour une période spécifique.

    Le Nonce apostolique joue un rôle central dans la succession de Mgr. Léonard comme Archevêque de Malines-Bruxelles. Il doit établir la liste de trois candidats - la «terna» - et l’envoyer à Rome (cf. Canon 377 §3). Cette liste est une compilation des suggestions de l'Archevêque et de tous les évêques diocésains. Le Nonce note aussi sa préférence personnelle. Il doit également entendre l’avis de certains membres du Collège des consulteurs et du Chapitre des chanoines. Le Nonce est libre de demander l'avis d'autres membres du clergé ou de laïcs. Le Pape garde la liberté de confirmer un choix ou non (cf. Canon 377 §1; 378 §2)."

     

    Nous regretterons le départ de Mgr Léonard qui a eu à coeur, durant ses années d'épiscopat à Namur et d'archiépiscopat à Malines-Bruxelles, de veiller avec sollicitude sur les communautés diocésaines qui lui ont été confiées. Soucieux des réalités de terrain, il a consacré son temps et ses énergies à de nombreuses visites pastorales à la rencontre des paroisses. Cela ne l'a pas empêché de se dépenser pour la relève sacerdotale avec le succès que l'on sait et qui fait des séminaires dont il a assuré la responsabilité de notables exceptions à l'affaissement généralisé observé dans nos régions. La Fraternité des Saints Apôtres représente, grâce à lui, un espoir de renouveau et de relève sacerdotale dont bénéficie déjà l'église Sainte-Catherine au coeur de la capitale. Mais nous avons surtout apprécié le courage avec lequel, malgré un climat d'hostilité entretenu à son égard par les médias et par certains politiques, il a su, à temps et à contretemps, rappeler les positions de l'Eglise concernant notamment le respect de la vie, le mariage, la famille et la morale sexuelle. Espérons que Rome veillera à placer à la tête de l'Eglise de Belgique une personnalité forte capable de maintenir le cap avec cette même détermination au service de la foi et de l'Eglise. Nous prierons pour cela.

    belgicatho

  • L'appel aux jeunes apôtres d'aujourd'hui

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    Une école de mission diocésaine à Montpellier, Cap Missio, lance son appel aux jeunes apôtres grâce à un teaser "Et aujourd'hui, qui va répondre ?". Avec la bénédiction du Pape François.

  • Laïcisme en Afrique : le coup de gueule de l'archevêque de Jos, au Nigéria

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    kagaima.jpgMgr Kaigama, Président de la Conférence épiscopale du Nigeria, appelle médecins et infirmiers africains à ne pas se laisser phagocyter par les « valeurs » laïcistes occidentales. Lu sur le site « aleteia », sous la signature d’Isabelle Cousturié :

    « On ne saurait se laisser phagocyter par les pressions despotiques  de certains gouvernements ou organisations non gouvernementales qui veulent dicter les tendances morales mondiales en les fondant sur leurs « valeurs » laïcistes », a déclaré  Mgr Ignatius Ayau Kaigama, Archevêque de Jos et Président de la Conférence épiscopale du Nigeria, aux médecins et infirmiers  catholiques du pays, lors de l’ouverture de leur séminaire au Centre pastoral de Jos.

    S’inspirant du thème de la conférence, « La pratique de l’assistance sanitaire et les enseignements sociaux de l’Eglise catholique », l’archevêque de Jos, est parti des critiques souvent faites à l’Eglise pour ses positions concernant la défense de la vie et la morale sexuelle qui dérivent selon lui de  « positions préjudicielles »,  fruit d’une « connaissance insuffisante des enseignements catholiques », rapporte l’agence Fides. .

    « L’Eglise catholique est fréquemment jugée par des personnes qui ne se soucient pas de savoir ce en quoi elle croit réellement. Ces préjugés, transmis de génération en génération, ont rendu aveugles les critiques de l’Eglise catholique et ainsi, aujourd’hui, beaucoup ne sont pas en mesure d’être objectifs sur ce qui relève de la tradition et des croyances catholiques », déplore l’archevêque de Jos.
     
    En Afrique, lorsqu’il s’agit de contrôle de la population, d’usage du préservatif, d’homosexualité ou autre, « les positions occidentales sont parfois imposées par la force au travers de subsides financiers », faisant croire aux africains que tout ce qui provient de l’Occident est juste, regrette Mgr Kaigama.

    L’archevêque de Jos a conclu son discours en appelant les médecins et infirmiers catholiques à ne pas perdre ce «  discernement culturel ou intellectuel » qui les protège du risque de « perdre » les valeurs auxquelles ils ont toujours tenu, et du risque de «  ne devenir ni africains ni occidentaux ».

     « Ne soyez pas des imitateurs », a-t-il insisté, « restez fidèles à votre héritage religieux même si une partie de ceux qui nous ont introduits au Christianisme sont devenus des critiques véhéments et que certains nourrissent une haine pathologique vis-à-vis des directives ou des analyses morales de l’Eglise ».

    Ref. Laïcisme en Afrique : le coup de gueule de l'archevêque de Jos, au Nigéria

    JPSC

    Légende photo: Mgr Ignatius Ayau Kaigama, Archevêque de Jos (Nigéria)

  • Le catholicisme a-t-il un avenir au Québec?

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    Il n’est pas trop tard ! – Présent et avenir de l’Église d’ici. Normand Provencher ;, ed.Novalis , Montréal, 2015, 108 pages. Commentaire d'un essai  lu sous la plume de Louis Cornellier, dans le grand quotidien québecois « Le Devoir »:

    « Au Québec, c’est une criante évidence, l’Église catholique est en déclin. Le taux de pratique dominicale est passé de 85 %, au début des années 1960, à plus ou moins 5 %, aujourd’hui. Selon un sondage CROP, réalisé pour l’émission Second Regard en 2013, moins de 60 % des Québécois se disent maintenant catholiques et la moitié d’entre eux avouent accorder peu ou pas d’importance à la religion. « L’Église d’ici, constate donc Normand Provencher dans Il n’est pas trop tard !se fait plus discrète, fatiguée, vieillie, un peu triste, comme si elle était menacée de disparaître dans un avenir prochain. »

    Membre des Oblats de Marie Immaculée depuis 1964, le théologien, qui réfléchit sans faux-fuyants à l’avenir de l’Église d’ici depuis des années, est lucide, mais refuse le désespoir. « Nous ne sommes pas, écrit-il, en train de vivre les derniers jours du christianisme et de l’Évangile, nous vivons la fin d’une Église, liée étroitement à notre histoire, avec ses institutions variées, son clergé nombreux, son autorité incontestée. » Ce qui disparaît ici, en fait, c’est la « civilisation paroissiale ». Le choc, pour les catholiques engagés, est dur, mais il peut être l’occasion d’un retour, non pas à l’Église d’avant le concile Vatican II, mais à « la mentalité évangélique ».

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  • BXL, 14 mai : rencontre des familles chez les Frères de Saint-Jean

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  • A Turin : l'ostension du Saint Suaire

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    De KTO :

    REPORTAGE
    Turin : L'ostension du Saint Suaire

    Reportage sur l'ostension publique du Saint Suaire à Turin, exposé à la vénération des fidèles à partir du dimanche 19 avril et jusqu'au 24 juin 2015. Défi pour la science, il est pour les croyants le signe de la Passion du Christ. L'exposition du Saint Suaire reste un évènement rare. Cette année, elle est liée au 200ème anniversaire de la naissance de Don Bosco, et donc à une attention particulière au monde des jeunes et des personnes qui souffrent. Le Custode pontifical du Saint Suaire, Mgr Cesare Nosiglia, a choisi comme thème " L'amour le plus grand " (Jn 15,13). L'archevêque de Turin entend ainsi souligner le lien profond entre tous les aspects de l'amour : " la vie, la vocation, et l'amour de Dieu, toujours présent dans le don de Jésus-Christ, jusqu'à la mort sur la croix et sa résurrection ". Comme l'ont fait précédemment Jean-Paul II et Benoit XVI ainsi que des millions de pèlerins du monde entier, le pape François viendra prier lui-même devant le Saint Suaire lors d'une visite à Turin le 21 juin prochain.

    Voir également, sur France Catholique :

  • Les croyants confrontés au terrorisme de la bien-pensance

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    De Jean-Michel Castaing sur le site de Liberté Politique :

    Les croyants face au terrorisme de la bien-pensance

     

    Le nihilisme post-moderne est un terrorisme intellectuel très dogmatique : « Le Rien n’a pas son pareil pour nous vendre l’absence d’héritage comme une conquête de l’“autonomie”. » Face à ce terrorisme, grande est la tentation d’adhérer à d’autres fondamentalismes, tout aussi religieux que déraisonnables…

    NOTRE EPOQUE est-elle sortie de la « religion » ? L’horizontalité dans laquelle évoluent nos sociétés sécularisées est-elle le signe d’un affranchissement à la fois de la morale et des soi-disant contraintes du « croire » ? Ou bien n’est-ce là qu’un moment de l’histoire du nihilisme occidental, moment appelé à être dépassé ?

    Il est d’autant plus difficile d’éluder cette question, pour les chrétiens, qu’elle en induit une autre, tout aussi importante : la religion a-t-elle encore ses chances dans notre modernité tardive ? Si le « retour du religieux » est indiscutable, cela ne doit pas masquer toutefois les tendances lourdes qui freinent un retournement de direction en ce domaine. Les « élites avancées » de l’Occident, durant ces dernières décennies, se sont en effet rêvées sans Dieu fixe, sans religion, sans croyances. Ou plutôt, elles se rêvent affranchies du besoin de croire. Pour elles, seuls les êtres aliénés (elles n'osent dire « faibles », ou « demeurés », ce qui serait stigmatisant, discriminatoire...) nourrissent encore le désir de se soutenir avec la « béquille » des croyances.

    Se renvoyant les unes les autres des images très flatteuses d’elles-mêmes, tous bords politiques confondus, les diverses familles de cette oligarchie de la pensée estiment avoir fait table rase de ses vieilles lunes depuis belle lurette. Seules sont tolérées en leur sein les divinités volatiles qu’on ira chercher dans le réservoir symbolique des « cultures du mondes ». De telle sorte que notre individu « branché » se pensera désormais à l’abri de la lourdeur des « dogmes », des oukases du magistère des professionnels des « traditions ».

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  • Vocations sacerdotales : marasme et contrastes

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    Lu ce jour sur le site « Pro Liturgia »:

    "A deux reprises déjà, une statistique diligentée par le Vatican a attiré l’attention du public sur le recul inexorable du nombre de candidats à la prêtrise, et ce, dans le monde entier. 

    Selon les chiffres publiés, ce nombre aurait diminué de 2% entre 2011 et 2013. Le Vatican parle d’une tendance affirmée, d’un virage. Tendance confirmée par un signal très clair : non seulement l’Europe et l’Amérique du Nord sont touchés, mais aussi la très catholique Amérique du Sud. 

    En pourcentage, on constate même que c’est là-bas que la diminution est la plus forte. Entre 2011 et 2013, le nombre de jeunes hommes se destinant au sacerdoce a diminué de 7%. En Europe, ce pourcentage n’est que de 3,6%. Seule l’Afrique reste en dehors du mouvement, avec 1,5% de progression.

    Analyse par pays.

    Le problème se révèle encore plus dramatique lorsqu’on regarde pays par pays. 

    Il faut ainsi parler du Pérou et du Chili (avec une baisse de 11,2% chacun), de la Colombie (-10,5%), et du Brésil (-6,7%). En Europe, ce sont la Tchéquie (-13%), la Grande-Bretagne (-11,5%) et l’Autriche (-10,9%) qui sont le plus durement touchées. L’Allemagne, avec 7,7% de recul se trouve dans la moyenne.
    Pour ce qui est du vieux continent, on trouve certes un regain de l’intérêt pour la prêtrise en Italie (+0,3%), en Ukraine (+4,5%) et en Belgique (+7,5%) ; mais cela ne fait en chiffres bruts qu’une poignée de nouveaux séminaristes. 
    Même en Corée du Sud, qui pourtant passe pour une communauté des plus dynamiques de l’Eglise en Orient, et dans les Philippines, l’attractivité du sacerdoce tend à reculer peu à peu.

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  • Les intentions de prière du pape pour le mois de mai

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    Intentions de prière pour mai

    L'intention de prière générale du Saint-Père pour mai est:

    "Pour que, refusant la culture de l'indifférence, nous puissions prendre soin des personnes qui souffrent, en particulier des malades et des pauvres".

    Son intention missionnaire est:

    "Pour que l'intercession de Marie aide les chrétiens vivant dans des contextes sécularisés à y annoncer l'Evangile".

  • Cardinal Gerhard Müller « La doctrine de l'Église n'est pas une théorie »

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    Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi depuis sa nomination par Benoît XVI le 2 juillet 2012, le Cardinal Gerhard Ludwig Müller a été créé cardinal par le pape François. Il répond aux questions de La Vie, en particulier sur les divorcés remariés :

     (...)

    Vous avez contribué à un livre qui prenait le contre-pied des thèses favorables à une ouverture aux divorcés remariés sur l'accès aux sacrements, ce qui a alimenté l'impression qu'il existait de fortes tensions entre les cardinaux au cours du synode.

    Le cardinal Kasper a présenté une hypothèse pour aider les personnes qui vivent une liaison qui, selon l'Église, n'est pas sacramentelle. Nous sommes tous unanimes sur le fait de vouloir aider nos frères et soeurs concernés par cette situation. Mais comment ? La doctrine de l'Église n'est pas une théorie, elle repose sur la fidélité à la parole de Dieu. Le mariage entre deux baptisés est un sacrement effectif, une réalité objective. Dissoudre un mariage sacramentel avec tous ses attributs constitutifs de liberté, d'indissolubilité, de fidélité et de fécondité est impossible. Comme préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, je dois présenter la doctrine de l'Église. L'Église ne peut changer la sacramentalité des mariages : on promet d'être fidèle jusqu'à la mort.

    Mais l'un des objets du synode n'est-il pas de trouver une solution au problème des divorcés remariés, question qui a occupé une grande partie des débats ?

    L'objet premier du synode n'est pas de discuter du problème des divorcés remariés, mais de réaffirmer le mariage comme le fondement de la société civile et de la communauté des Églises, de revivifier sa dimension fondamentale. Le risque est grand de se concentrer sur cette question particulière en oubliant l'essentiel. Il ne s'agit pas de dire ce que nous désirerions, chacun dans notre situation particulière. Si le synode doit provoquer un changement, c'est celui d'un renforcement du rôle prophétique de l'Église. Faire des compromis serait plus facile pour nous, mais le bon remède est celui qui permet de regarder la situation avec vérité et de dépasser la situation qui a rendu l'accident possible. Il n'est pas possible d'adapter la doctrine de l'Église à nos pays sécularisés, à moins d'accepter un christianisme superficiel.

    Qu'est-ce qu'un christianisme superficiel ?

    Dans bon nombre de pays d'Europe, les chrétiens sont des baptisés non croyants et non pratiquants. Ils n'acceptent pas la substance du christianisme, dont l'effet est de produire un changement de la pensée et du comportement : une conversion. Je ne porte pas de jugement sur les personnes en disant cela, mais dans nos pays, il suffit de regarder le pourcentage de chrétiens baptisés non confirmés ou la multiplication des avortements pour voir que l'existence d'un christianisme superficiel est une réalité.

    On évoque souvent la solution de l'Église orthodoxe, qui autorise une deuxième union non sacramentelle après un temps de pénitence.

    Ce n'est pas une solution. » 

    Ref. Cardinal Gerhard Müller « La doctrine de l'Église n'est pas une théorie »

    JPSC

  • Séminaires belges : la palme pour Monseigneur Léonard

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    Lu ce jour sur infoCatho.be

    L’Eglise de Belgique a publié le nombre de séminaristes pour cette année en Belgique. Ils sont 106 dont 20 nouveaux, répartis dans les différents diocèses du pays.

    C’est dans le diocèse de Malines-Bruxelles qu’on trouve le plus de séminaristes et le plus de nouveaux également : 53 séminaristes dont 10 nouveaux. En termes de proportion, la partie francophone est largement plus représentée avec 83 séminaristes dont 15 nouveaux. En Flandre, ils sont 23 dont 15 nouveaux.

    Découvrez ci-dessous le détail de ce recensement pour l’année 2014-2015, diocèse par diocèse :

    Anvers : 4 séminaristes dont 1 nouveau : 3 à Leuven et 1 à Bovendonk.

    Bruges : 10 séminaristes dont 3 nouveaux : 9 à Bruges et 1 en stage.

    Gand : 2 séminaristes : 1 à Leuven et 1 en stage.

    Hasselt : 3 séminaristes dont 1 nouveau : à Leuven.

    Liège : 4 séminaristes : 3 à Namur et 1 en stage.

    Namur :

    • Séminaire Notre-Dame : 8 séminaristes dont 1 nouveau.
    • Séminaire « Redemptoris Mater » : 13 séminaristes dont 2 nouveaux : 11 à Namur et 2 en stage.

    Total pour Namur : 21 séminaristes.

    Malines-Bruxelles :

    • Johannes XXIII – Seminarie : 4 séminaristes : 3 à Leuven (dont 1 de la Fraternité des Saints Apôtres) et 1 à Bovendonk.
    • Séminaire Notre-Dame d’Espérance : 11 séminaristes dont 1 nouveau : 8 à Namur et 3 en stage (dont 1 de la Communauté du « Verbe de Vie »).
    • Séminaire « Redemptoris Mater » : 22 séminaristes dont 2 nouveaux : 19 à Limelette et 3 en stage.
    • Fraternité des Saints Apôtres : 16 séminaristes dont 7 nouveaux : 14 à Marche-les-Dames (résidence) et à Namur (études) ; 2 en stage.

    Total pour Malines-Bruxelles : 53 séminaristes (dont 6 néerlandophones).

    Tournai : 9 séminaristes dont 2 nouveaux : 8 à Namur (dont 1 en stage) et 1 à Lille en stage.

    Total pour la partie francophone du pays : 83 séminaristes (N.B. : parmi eux 2 néerlandophones de Malines-Bruxelles) dont 15 nouveaux.

    Total pour la partie néerlandophone : 23 séminaristes dont 5 nouveaux ; (N.B. : en plus des 23 : 2 néerlandophones de Malines-Bruxelles formés à Namur).

    Total pour le pays : 106 séminaristes dont 20 nouveaux.

    Réf. Les séminaires belges accueillent 20 « nouvelles vocations » cette année

    Malines –Bruxelles et Namur récoltent les fruits du travail de Mgr Léonard.

    Pour mémoire, si vous voulez marquer votre soutien à notre archevêque , un click ici

    http://www.lalibre.be  puis dérouler  vers le bas le menu principal qui apparaît.

    JPSC 

  • Mgr Léonard à Christian Laporte : « je ne suis pas celui qu’on a présenté dans les médias »

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    Sous la forme d’un entretien accordé à l’inamovible Christian Laporte, « La Libre » du 29 avril consacre deux pages à Mgr Léonard, dont elle salue anticipativement la sortie de charge. Cet article n’est pas disponible sur le « net », comme nous l’avons déjà signalé ici. Petite anthologie, toute subjective, des réponses apportées par le prélat aux questions de son interlocuteur :

    Sur le prochain synode romain consacré à la famille (octobre 2015) : 

    « […] J’attends qu’il traite en profondeur les sujets insuffisamment abordés l’an dernier. A partir de la mi-synode, l’attention s’était focalisée de manière excessive en suscitant des « buzz » médiatiques sur des aspects peut-être importants chez nous, mais pas ailleurs dans le monde

    […] Il faut un travail de clarification, car les débats houleux de 2014 en ont laissé beaucoup perplexes. Je me suis aussi demandé  pourquoi à la fin du synode, le pape avait de manière aussi instante parlé de lui comme « le » pape.

    […] J’ai été surpris. Jusqu’ici, il se présentait comme l’évêque de Rome. Il a rappelé avec une certaine insistance que le rôle de Pierre était d’être le signe de l’unité et qu’il fallait trvailler avec et sous l’autorité du pape. Jamais auparavant, il ne fut aussi explicite. Certains , dont moi, ont interprété cela comme sa volonté d’exercer sa responsabilité dans ce synode… »

    Sur la Fraternité des Saints-Apôtres :

    « […] Elle a fait ses preuves ; tous les dimanches, il y a trois cents personnes voire plus [à l’église Sainte-Catherine à Bruxelles] ; même bon démarrage à Uccle, à l’église Saint-Joseph. C’est bien perçu par la pastorale locale. Les préjugés tombent devant la réalité. C’était un pari risqué mais j’avais la conviction que ça pouvait marcher. Mieux, d’aucuns veulent rejoindre la Fraternité.  Elle a ce qui manque le plus dans l’Eglise en Occident : un feu intérieur, un grand amour pour l’eucharistie et aller au devant des gens… »

    Sur les affaires de pédophilie cléricale : 

    « […] Nos évêques référendaires ont bien travaillé et nous ont ouvert les yeux. J’avais traité fermement quelques situations à Namur, parfois plus que la Justice. J’ai ainsi dû dégommer un curé par respect pour les victimes et les villageois. Mes cas les plus difficiles eurent trait à une victime qui ne voulait pas que je bouge ou lorsque je me suis heurté à un adversaire public ; on aurait pu dire alors que je me vengeais… » 

    Et dans l’affaire Devillet :

    « J’ai été surpris par l’arrêt [de la Cour d’appel de Liège, ndB) ; en première instance, la demande était non fondée, la Justice a changé d’avis. Le plaignant a été approuvé partiellement dans sa requête. Je ne conteste évidemment pas  la décision de justice et des avocats nous diront s’il y a lieu de la contester sur un plan strictement formel. Pour moi, l’essentiel, je le dis avec une grande sincérité, est que si payer 10.000 euros est symboliquement une manière de contribuer à la sérénité, à la paix intérieure du plaignant, je m’en réjouis. C’est une personne que j’ai continué à apprécier comme par le passé. » Lire sur ce point notre opinion ici 

    JPSC

    Ecouter aussi : il était une foi : mgr Léonard