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Foi - Page 958

  • Le Saint Suaire de Turin n'est pas un faux

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    sindovolto.jpgVatican Insider (La Stampa.it) a mis en ligne hier un article rendant compte des recherches menées par l'institut scientifique italien ENEA sur le Saint Suaire. Nous vous en donnons la traduction ci-dessous en vous priant d'excuser certaines approximations de cette traduction et de vous reporter à l'article en italien et à l'étude scientifique dont il rend compte.

    "Le Saint Suaire n’est pas un faux

    « Enea » a procédé à de nouvelles recherches sur le Saint Suaire conservé à Turin
    Marco Tosatti
    Rome

    Enea, l'Agence Nationale pour les Nouvelles Technologies, l'Energie et le développement économique durable, a publié un rapport portant sur cinq ans d'expériences menées dans le centre ENEA de Frascati sur la «coloration similaire à celle du linceul de tissus en lin obtenue par rayonnement ultraviolet ». Pour faire simple: on a essayé de comprendre comment s’est imprimée sur la toile de lin du Suaire de Turin cette image si particulière qui en constitue tout l’attrait, et de résoudre la question la plus importante et la plus radicale : «identifier les processus physiques et chimiques qui peuvent produire une coloration similaire à celle du Saint Suaire ».

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  • La confiance en la volonté du Père, clef de la prière du Christ

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    Vatican Information Service (V.I.S. 20111214 (670)

    Le Saint-Père a consacré la catéchèse de l'audience générale à la prière de Jésus correspondant à ses prodiges, et tout particulièrement à la guérison du sourd et muet et à la résurrection de Lazare. Le premier épisode, rapporté par Marc, montre que "l'acte de Jésus est intensément rattaché à son rapport au Père comme au prochain". Si Jésus touche les oreilles et la langue du malheureux pour le libérer, "le point central est qu'il en appelle à Dieu au moment d'opérer la guérison" en élevant les yeux au ciel. "Son empathie avec le malade porte Jésus à prier. Une fois de plus se manifeste le rapport unique qu'il a avec le Père, et son identité de Fils. A travers lui se réalise l'action bénéfique de Dieu. La résurrection de Lazare, rapportée par Jean, montre d'abord la forte amitié liant Jésus au défunt, "qui se manifeste dans l'émotion qu'il éprouve devant la douleur de Marthe et Marie et des amis de Lazare", au point "d'éclater en sanglots, combien humains, devant le tombeau". Il lit le décès de l'ami en fonction de "son identité et de sa mission, mais aussi de la glorification qui l'attend. En apprenant la maladie de Lazare, Jésus avait dit qu'elle ne le porterait pas à la mort mais vers la gloire divine, afin que le Fils de Dieu soit glorifié".

    Ensuite le Saint-Père a dit que la prière de Jésus au Père devant le tombeau de Lazare représente le sommet de l'épisode. Il éleva les yeux et dit: "Père, je te rends grâce car tu m'as exaucé...une phrase qui révèle qu'il n'a pas cessé de prier en faveur de la vie de Lazare. Cette prière continue a renforcé son lien avec l'ami tout en confirmant la décision de Jésus de demeurer en communion avec le Père et son projet d'amour, dans lequel la mort de Lazare manifeste la gloire céleste... Dans cette prière, on ne doit pas voir un accomplissement immédiat de ce qui est demandé mais avoir confiance en la volonté du Père. Tout évènement doit être lu dans la perspective de la gloire, de l'amour et du projet de Dieu, généralement cachée à nos yeux. Notre prière et notre louange doivent se fondre y compris lorsque Dieu semble ne pas répondre. S'abandonner à l'amour de Dieu...est l'une des règles de notre dialogue avec lui... Au-delà de ce qu'il nous donne lorsque nous l'invoquons, son plus grand don est son amitié, sa présence, son amour... Par sa prière, Jésus veut conduire à la foi, à la totale confiance en Dieu et en sa volonté. Il veut montrer que Dieu a aimé l'homme au point de lui envoyer son fils unique. Il est le Dieu de la vie, celui qui offre l'espérance et est capable de retourner les pires des situations humaines. La prière confiante du croyant constitue un témoignage de la présence au monde de Dieu". En Jésus, vrai Dieu et homme véritable, l'homme dans le besoin ou affligé par la maladie, se tourne vers Dieu. "Vice versa, sa communion et son dialogue permanent avec le Père, poussent Jésus à être attentif à toutes les attentes humaines, afin d'apporter aux hommes la consolation et l'amour divins". Notre prière, a conclu Benoît XVI, "ouvre la porte à Dieu, qui nous invite à sortir de nous afin de nous approcher de l'autre, en particulier dans les moments d'épreuve, afin de les consoler, de leur apporter espérance et lumière".

  • La foi engendre la morale et non l’inverse

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    bienvenue-au-nouvel-eveque-de-lausanne-geneve-et-fribourg_fullview.jpg“ D’abord être avec le Christ, ensuite la vie change ” dit le dominicain Charles Morerod, nouvel évêque de Fribourg, Lausanne et Genève.  Nous avons déjà attiré l’attention sur la nomination par le pape de cette forte personnalité à la tête de l’un des diocèses européens-types où la foi s’est effondrée sous les coups du sécularisme et du melting pot postconciliaire.   Mais il y a beaucoup de Fribourg, Lausanne et  Genève en Europe  et peu de Charles Morerod. Portrait du nouvel évêque par Jean Mercier, hier dans “La Vie”:

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  • Mgr Harpigny : "on a cru qu'en annonçant l'Evangile d'une manière nouvelle, tout serait plus simple. Ce discours ne tient plus."

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    Dans le Vif, l'évêque de Tournai, Mgr Harpigny, répond aux questions d'Olivier Rogeau. Extrait :

    Le Vif/L'Express : Il y a quarante ans, votre diocèse comptait 1 200 prêtres, effectif qui a fondu comme neige au soleil. L'Eglise permettra-t-elle un jour à des hommes mariés d'accéder à la prêtrise ?

    Guy Harpigny : C'est vrai, il nous reste moins de 400 prêtres, dont 150 réellement encore en activité, pour s'occuper des 579 paroisses du diocèse. Le doyen d'Antoing est en charge, à lui seul, de 22 paroisses ! D'autres curés en ont près d'une vingtaine. Ici comme ailleurs en Belgique, l'âge moyen des prêtres dépasse 70 ans. Mais ce n'est pas en faisant de la retape, en recrutant des gens qui n'ont rien d'autre à faire, qu'on sauvera l'Eglise. On me dit qu'en Orient les prêtres peuvent être mariés. Et alors ? Moi, je ne suis pas évêque en Orient, mais à Tournai !

    Que dites vous aux prêtres qui, face au poids des ans, à la charge de travail et au scandale de la pédophile qui a éclaboussé l'Eglise se disent fatigués, démotivés, voire désespérés ?

    Ceux-là ont été formés dans les années cinquante à septante. Vatican II a apporté un souffle puissant dans le diocèse, mais on a cru qu'en annonçant l'Evangile d'une manière nouvelle, tout serait plus simple. Ce discours ne tient plus.

    Lire cette interview dans son intégralité : http://www.levif.be

  • Pour Éric de Beukelaer, la liturgie préconciliaire a sa place dans l’Église actuelle.

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    deBeukelaer-Pvignette.pngDans l’édition verviétoise de l’Avenir, le chanoine Eric de Beukelaer répond  aux clichés du journaliste local  concernant le retour de la messe en latin à Malmédy, à partir du premier dimanche de carême 2012 :

     « Nous avons, écrit le journaliste,  demandé à Éric de Beukelaer, l’ancien porte-parole des évêques de Belgique, aujourd’hui doyen de Liège-rive-gauche, de nous apporter son éclairage sur cette nouvelle à Malmedy. S’il n’est « plus porte-parole de qui que ce soit » et qu’il tient à « uniquement donner un avis personnel », comme il le précise, il est tout de même l’auteur de plusieurs ouvrages consacrés à la religion et constitue un intellectuel très écouté parmi les chrétiens belges.

    Éric de Beukelaer, des messes selon le rite d’avant Vatican II vont être célébrées à Malmedy dès février. Qu’en penser ?

    Je l’ai effectivement appris ce mardi à la conférence des doyens. Il est important de se rappeler que cela n’est pas du tout en contradiction avec l’Église telle qu’elle existe depuis Vatican II. Depuis quelques années, certaines personnes expriment en effet le souhait de renouer avec ce type de liturgie que, c’est important, toutes les personnes de 50 ans et plus ont connue. ./...

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  • BXL : l'église Sainte-Catherine : où en est-on ?

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    Sur le site des "Amis de l'Eglise Sainte-Catherine", on trouve cette communication :

    Une délégation des « Amis de Sainte Catherine » a été reçue le 16 novembre par Monseigneur Léonard

    Que ce soit du côté de la ville de Bruxelles ou de l'évêché il est répondu que rien n'est encore décidé. 

    Le 20 novembre à la fin de la célébration, le doyen, Claude Castiau, a informé la communauté catholique de son déplacement à l'église des Riches Claires à partir du 31 décembre tandis que la communauté orthodoxe était enjointe de quitter l’église Sainte Catherine pour cette date ainsi qu'il avait été signifié antérieurement à son pasteur. Il ne lui a pas été proposé d'hébergement cultuel alternatif. 

    Le 4 décembre 2011, le doyen, Claude Castiau, a informé la communauté catholique des Riches-Claires que la paroisse Sainte-Catherine la rejoindrait à partir du 31 décembre 2011 et que son curé se voit attribué de nouvelles fonctions.

    Une délégation des " Amis de Sainte Catherine sera reçue le 14 décembre par Mgr. Kockerols.

    Un débat a eu lieu au Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale suite à une question au Ministre-Président, Charles Piqué.

    Nous vous tiendrons informés de la suite."

    Par ailleurs, un relais de prière et d'adoration eucharistique est proposé : s'inscrire ici : http://www.eglisesaintecatherinebruxelles.be/

  • Fêter sainte Lucie ou sainte Odile? Les deux!

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    C'est la conclusion de missel.free :

    "Chaque année, le curé qui accorde de l’importance au sanctoral est mis en demeure de choisir entre sainte Lucie et sainte Odile et, quelle que soit celle qu’il choisit de présenter, il s’attire la déception d’une partie de ses paroissiens qui ont de bonnes raisons, familiales ou régionales, de célébrer l’autre.(...)

    Pourquoi ne pas célébrer ensemble sainte Lucie et sainte Odile ? En effet, pendant que l’Eglise chemine à travers l’Avent vers le fulgurent avènement du Soleil de Justice, toutes les deux sont, de singulière façon, les témoins de la lumière du Christ qui éclaire les nations, auquel elles ont parfaitement offert leur vie, l’une dans l’éclatant martyre sanglant et l’autre par l’obscure observance monastique. La brune vierge de Syracuse, Lucie, dont le nom est dérivé du latin lux (la lumière), qui préféra s’arracher les yeux pour goûter la lumière céleste plutôt que de jouir de la lumière terrestre annonce la blonde jeune fille d’Alsace, Odile, qui recouvra la vue lorsque, rejetée par ses parents des honneurs du monde, elle reçut, dans le baptême, la lumière de la foi. Si, pour la fête de la sicilienne, on allume des cierges qui annoncent l’approche du solstice et de la naissance du Christ, dans les attributs de l’alsacienne, on place un coq qui annonce le lever du jour et le triomphe de la lumière du Christ sur les ténèbres de la mort. Quand le propre de Syracuse, par l’intercession de sainte Lucie, nous fait demander à Dieu, d’être délivrés de tout aveuglement de l’esprit et du corps pour mériter plus facilement de contempler les biens célestes, le missel de Frissingue, par l’intercession de sainte Odile, supplie la clémence divine, de nous accorder la grâce de la lumière terrestre et la gloire de l’éternelle clarté. Jadis, au temps ténébreux de l’occupation allemande, l’Alsace espérait la lumière libératrice de la prière de sainte Odile qu’elle priait sur sur sa montagne, tandis que la Lorraine se confiait à sainte Lucie dont elle gardait les reliques à Ottange.

    Prions donc  ensemble sainte Lucie et saint Odile qui ne seront pas trop de deux, pour nous aider à bien recevoir le Divin Enfant de Noël. Puisse leur commune intercession nous obtenir davantage de grâces pour les pieux exercices de l’Avent : que leurs prières nous aident mieux voir les vérités que le Seigneur nous a révélées, à mieux observer les commandements qu’il nous a donnés et à mieux goûter les secours qu’il nous a préparés."

  • L'Eglise catholique progresse en Afrique

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    C'est ce qui ressort d'un entretien avec le Supérieur général des Missionnaires d'Afrique :

    "Le pape Benoît XVI a fait son deuxième voyage en Afrique au Bénin du 18 au 20 novembre 2011. Mark Riedemann de « Là où Dieu pleure » en coopération avec l’A.E.D. (Aide à l’Eglise en Détresse, www.aed-france.org) a interviewé le P. Gérard Chabanon, supérieur général des Missionnaires d'Afrique (M.Afr., Père Blanc).

    Le nombre de catholiques Africains est en constante progression : ils étaient 2 millions en 1900, ils sont désormais 140 millions depuis l’an 2000.

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  • Les chrétiens du Kashmir subissent de rudes persécutions

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    Fides.org

    Les chrétiens présents au Kashmir subissent de dures persécutions de la part des groupes islamiques extrémistes qui, dans l’Etat indien à majorité musulmane, gouvernent également la politique et la magistrature, annihilant l’Etat de droit. Les 400 chrétiens de la capitale, Srinagar, « sont dans un état de panique face à l’incertitude de l’avenir ». « Ils ne savent s’ils pourront célébrer Noël » alors que « la police agit pour le compte des responsables politiques », expression de la majorité musulmane de la population. C’est ce qu’affirme dans un rapport détaillé envoyé à l’Agence Fides une délégation de responsables chrétiens et de militants des droits humains, conduite par le catholique John Dayal, secrétaire général de l’organisation oecuménique « All India Christian Council ». La délégation s’est rendue pendant une semaine au Kashmir après l’épisode lié au pasteur protestant Chander Mani Khanna, de la « All Saints Church », accusé de baptêmes et de conversions frauduleuses. Le pasteur, arrêté par la police, a été remis en liberté le 1er décembre après 10 jours de prison à condition qu’il ne quitte pas le pays. La délégation entendait vérifier le respect des droits humains et de la liberté religieuse au Kashmir et a trouvé une situation « grave et alarmante ».

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  • Noël à la chapelle Saint-Lambert de Verviers

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    NOËL 2011 EN MUSIQUE

     À LA CHAPELLE SAINT-LAMBERT DE VERVIERSclip_image001.jpg 

     

    À la Chapelle Saint-Lambert de Verviers, au cœur de la Cité  lainière, (rue du Collège, 80), la veillée et la messe de la nuit de Noël auront lieu le samedi 24 décembre à 23h30.


    Au programme de la liturgie : chants grégoriens, polyphonies anciennes du XIIe au XVIIIe siècles, un extrait du « Messie » de Haëndel, sans oublier les incontournables « Stille Nacht » et « Adeste Fideles » , interprétés par la Capella Verviensis, la Schola de Saint-Lambert et Patricia Moulan, alto solo. Albert Schäfer à la flûte  et Léonard Aussems à l’orgue joueront des œuvres françaises, allemandes et italiennes du XVIIIe siècle.

    (messe célébrée selon le missel de 1962)

  • Golgota Picnic : Radin Rue sort de sa réserve

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    Golgota Picnic : L’immonde insulte à la Foi

    www.radinrue.com le XI -XII - MMXI, 18h34 par : KM

    "Des milliers de catholiques réagissent à la pièce de théâtre obscène et diffamante du nom de Golgota Picnic.

    Dans un premier temps, Radin rue s’est refusé de communiquer sur cette pièce théâtrale sans aucun intérêt et dont le talent aussi bien des artistes sur scène que du réalisateur restera aux oubliettes de l’histoire. Aussi nous ne souhaitions pas mettre d’avantage en lumière cette farce soit disant intellectuelle qui sent la recherche du scandale en s’attaquant à ceux qui ne risquent pas de se faire exploser dans la salle en kamikaze.

    Face aux chrétiens choqués et blessés dans leur foi, des activistes de gauche, qui se prétendent défenseurs de la"liberté de création" se sont mobilisés ce dimanche pour une contre manifestation dans les rues de Paris. 4500 catholiques, plus particulièrement liée à la sensibilité traditionaliste ont manifestés donc en partant de la place de l’Alma (VIIIe arrondissement) et se dirigeant vers le théâtre du Rond-Point où se joue cette pièce blasphématoire écrite par l’Argentin Rodrigo Garcia.

    Les contre manifestants au petit nombre de 200 scandaient pour leur part des profanations de gauches, parmi eux une grande majorité représentait une branche de communistes révolutionnaires. Ils ont défilé de la place Saint-Michel (Ve arrondissement) jusqu’à Jussieu. Il étaient soutenus par le syndicat Sud, le NPA et le PCF.

    La pièce en question est blasphématoire. Pour ceux qui ne le reconnaissent pas, il faut se demander comment auraient-ils réagit si on faisait, comme cela est fait dans cette pièce pour le Christ, couler de la merde sur le visage de De Gaulle, de Victor Hugo ou d’un autre personnage qui a fondé notre culture.

    "Ce spectacle est une injure au Christ. Les scènes et les dialogues sont viscéralement antichrétiens, sordides, pervers et humiliants, les évangiles y sont présentés de façon ordurière", précise Alain Escada, secrétaire général de l’Institut Civitas qui est un des organismes à l’initiative des manifestations et des protestations contre cette pièce de théâtre insupportable.

    Les gauchistes se sont rapidement dispersés sous des bannières aux revendications d’un autre âge. Les catholiques pour leur part ne baissent pas la garde.

    radinrue.com"

  • La vraie joie : un don qui naît de la rencontre avec le Christ

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    Ce midi, après avoir rendu visite à la paroisse de Sainte-Marie des Grâces, le pape...

    "...a rappelé que la « vraie joie est liée au rapport avec Dieu. Qui a rencontré le Christ dans sa propre vie, éprouve dans le cœur une sérénité et une joie que ni personne ni aucune situation ne peuvent enlever ».

    « La vraie joie n’est pas le fruit du divertissement, qui implique d’échapper aux obligations de la vie et à ses responsabilités, elle est liée à quelque chose de plus profond. » Certes, a déclaré le Pape, « dans les rythmes de la vie quotidienne, souvent frénétiques, il est important d’avoir du temps pour le repos, pour la relaxation mais la vraie joie est liée au rapport avec Dieu. »

    « La vraie joie, a ajouté Benoît XVI, n’est pas un simple état d’esprit passager, ni quelque chose que l’on obtient avec ses propres forces, c’est un don qui naît de la rencontre avec Jésus. Le chrétien est donc invité à vivre l’Avent sans se laisser distraire par les lumières, par l’environnement extérieur qui propose les habituels messages de type commercial, mais en sachant donner leur juste valeur aux choses, pour que ses yeux soient capables de reconnaitre dans le Christ la vraie lumière du monde. »

    Le Pape a également salué les représentants du Mouvement pour la vie de plusieurs pays européens, rappelant que le premier des droits de l’Homme, était le droit à la vie."

    source : Radio Vatican