Jeunes - Page 103
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Le pèlerinage des Routiers scouts d'Europe à Vézelay - les images
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Liège, 24 novembre : NightFever "Que veux-tu que je fasse pour toi ?"
Le grand rendez-vous des jeunes liégeois en quête de sens

NightFeverLiege ce jeudi 24 novembre
Le rendez-vous des jeunes liégeois en quête de sens
Seconde NightFever de l'année, à l'église saint-Jean.
La question t'es posée: "Que veux-tu que je fasse pour toi?"
C'est aussi la demande de Jésus à l'aveugle Barthimée.
L'eucharistie sera présidée par notre ami Thomas Sabbadini, récemment ordonné.
Le thème de cette nouvelle année : "NightFever Meets Jesus", ou comment Jésus a t'il rencontré ses contemporains ?Rejoignez sur Facebook l'évènement de ce jeudi 24 novembre
Venez aussi allumer une bougie et prier pour la paix. Elle symbolise aussi votre intention, peu importe si c’est de la joie ou un remerciement, si vous êtes en deuil, si vous êtes soucieux, ou tout simplement bouleversé. De la bonne musique, adoration, ambiance feutrée, un vrai coeur à coeur avec Jésus.
- 19h30: messe festive animée par les jeunes
- 20h00: accueil et partage
- 20h15: veillée NightFever (ambiance feutrée, adoration, chants, réconciliation)
- 21h00: début de l'accueil & talk au "42"
- 22h00: fin de la veillée
Eglise Saint-Jean, Place Xavier Neujean, 4000 Liege
Invitez vos amis et vrais amis à l'évènement de ce jeudi 24 novembre

- Jasmine (21) : Beautiful! Nous reviendrons certainement. Je suis heureuse que vous apportiez Jésus et Dieu si proche.
- Bexxi (19) : Je suis entrée pour la première fois dans l’église. La lumière dégage une puissance qui m’interpelle.
- Stefanie (20): Une merveilleuse surprise, je viens de la gare … Le Night Fever était exactement ce que je cherchais depuis des semaines … comme un signe de Dieu. Je vous remercie!
- Jose (44) : Je vous remercie de tout mon cœur, très impressionnant.Prochaines NightFever à St-Jean Liège:
- Jeu 23/2, avec le père Rodney Barlathier, jeune prêtre salésien, rencontre du bon larron, "Jésus, souviens-toi de moi", Lc 23,39
- Jeu 27/4, avec l'abbé Vincent Jemine, Curé de Liège à Neupré-Sart-Tilman, rencontre de la samaritaine, "Donne moi à boire", Jn 4, 3
- Jeu 15/6, Fête-Dieu, à la Cathédrale, depuis 1246... !!
Nightfever 21h30-23h00
A Liège, le projet NigthFever est porté par la plupart des groupes et communautés qui s’impliquent dans la pastorale des jeunes et des étudiants: SDJ, Emmanuel, Chemin Neuf, Dominicains, Salésiens, Jésuites, MEJ, Renouveau, Jesus Trip, Frères de Saint-Jean, etc.. Le team de Liège collabore avec les teams de NightFever Bruxelles, Leuven et à l'international. A Liège, la cité Ardente, nous avons souhaité combiner un module « causeries et rencontres » dans la cadre du pub le "42″ afin de favoriser et développer un réseau d’amitiés.
Plus d'infos:

- Site web: www.nightfeverliege.be
- Page facebook: https://www.facebook.com/
pages/Nightfever-Li%C3%A8ge/ 408970262537849?fref=ts
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La très belle homélie du Cardinal Sarah prononcée à Vézelay la veille de la Toussaint pour les routiers scouts d'Europe
Ecouter : Homélie du Cardinal Sarah, lundi 31 octobre 2016 à la Basilique de Vézelay aux routiers FSELe texte est ICI -
Ce week-end : grand rassemblement des routiers scouts d'Europe à Vézelay
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Liège Ardennes - Fête familiale de HolyWins 2016 - vive la sainteté plutôt que les araignées
La Toussaint approche et nous vous invitons à venir fêter avec les enfants :
HOLYWINS 2016
les Saints vainqueurs, avec nous dans la joie !
Et mieux vaut une bonne soupe au potiron que de vilaines araignées qui font peur.Nous vous donnons rendez-vous ce samedi 29 octobre à 15h dans le village de Samrée
pour une belle balade type "chasse aux trésors", à la découverte d'un grand Saint.Les plus jeunes peuvent venir déguisés en Saint s'ils le souhaitent.
Nous terminerons vers 18h après avoir partagé un goûter dans la convivialité.L'adresse du jour:
Samrée 11r à 6982 Samrée (suivez le fléchage)
Sortie Baraque de Fraiture, dans un endroit exceptionnel !
Plan d’accès : https://goo.gl/maps/KXSwVoMyUv62
Pour plus d'infos: 0496/633.474, Anne-FrancePourriez-vous apporter un petit goûter à partager ?
Le team préparera du chocolat chaud pour tous.Dans la joie de partager ce beau moment ensemble en manifestant notre espérance chrétienne.
Evènement facebook : https://www.facebook.com/events/905203556278024/
Une initiative de la Communauté de l’Emmanuel à Liège

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Belgique : mettre en œuvre des réformes permettant de donner les cours de religion ou de morale non-confessionnelle plébiscités à plus de 90% par les parents
Plus de 90 % des parents souhaitent l’organisation d’un cours de religion ou de morale non-confessionnelle.
Aujourd’hui, parents comme enseignants lancent des cris d’alarme. Ils demandent que tout soit mis en œuvre pour que ces cours puissent être donnés dans les meilleures conditions. Tant pour la qualité de l’enseignement des religions que pour celui de la citoyenneté. Au nom même du sens de la responsabilité sociale qui habite les enseignants comme les parents.
Chaque enseignant de religion assume en ce moment de lourdes charges d’ajustement, y compris par des pertes d’heure temporaires. Divers ajustements dans les écoles sont encore attendus pour relever ce défi. Ainsi, il nous revient que certains maîtres de religion doivent assurer leurs cours dans 14 écoles (!) ou se voient imposer des horaires impraticables ! Certains d’entre eux n’ont pas encore reçu leurs attributions et leurs élèves attendent.
Pour le bon déploiement de la réforme, et le maintien des dynamiques nouvelles, toutes ces difficultés doivent être résorbées rapidement. Par ailleurs, il apparaît qu’en certains lieux ces difficultés relèvent davantage de stratégies de pourrissement ou d’hostilité de certains PO. Nombre de parents ou d’enseignants ont subi des pressions.
De telles situations, heureusement exceptionnelles, doivent être dénoncées comme inconstitutionnelles, et plus encore comme trahissant un esprit inconciliable avec la citoyenneté. Nous demandons à nouveau que la mise en œuvre des réformes permette effectivement de donner les cours de religion ou de morale non-confessionnelle – plébiscités à plus de 90% par les parents – en veillant à des articulations créatrices des horaires pour les uns et les autres. Les parents le demandent pour leurs enfants !
Mgr. J. De Kesel, Archevêque de Malines-Bruxelles
Le Métropolite Athenagoras, Eglise Orthodoxe en Belgique
Ph. Markiewicz, Président du Consistoire Central Israélite de Belgique
Mr. Salah Echallaoui, Président de l’Exécutif des Musulmans de Belgique
Pasteur S. Fuite, Président de l’Eglise Protestante Unie de Belgique
Dr. Geert Lorein, Président du Synode Fédéral des Eglises Protestantes et Evangéliques,
Chanoine Jack McDonald, Président du Comité Central de l’Eglise anglicane de Belgique,
Contacts presse : P. Tommy Scholtes, 0475 67 04 27
Et les responsables presse de chaque signataire.Lien permanent Catégories : Actualité, Belgique, Enseignement - Education, Jeunes, Politique, Société 0 commentaire -
Des jeunes assoiffés d'espérance et de vérité
De LaLibre.be (débats) :
Assoiffés d’espérance et de vérité
Une opinion de douze jeune chrétiens. Organisateurs de la Session Lead (1).
Le 22 septembre dernier, dans un texte implacable publié par le journal "Libération", le collectif Catastrophe regroupant une quinzaine de jeunes nés en 1990 traçait à grandes lignes le portrait d’une société globalisée et désenchantée qui ne put offrir de place à leur génération. "Nous avons grandi dans une impasse […] Nous arrivions trop tard […] Au lycée, on nous avertit d’emblée que l’Histoire était finie. On nous expliqua que Dieu, le Roman et la Peinture étaient morts. Sur les murs de la capitale, on nous apprit que l’Amour l’était aussi. Nous n’en connaissions pas le visage que déjà, nous n’avions plus le droit d’y croire." Quelques jours plus tard, dans "La Libre" du 29 septembre, plus sereinement mais tout aussi inquiète, l’essayiste Anne Mikolajczak se penchait sur nos âges. Elle décrivait à son tour "une génération en panne de projets, de confiance et de repères".
Leurs constats respectifs qui se croisent et se complètent ne s’arrêtaient cependant pas là. L’un comme l’autre, ils évoquaient des échappatoires possibles, des énergies propres, des chemins de traverse qui ouvrent à la création et à de nouveaux horizons.
Une vérité commune pour nous rassembler
A notre tour, nous les rejoignons, mais sans doute pour aller plus loin encore, dans le constat comme dans l’espérance. Plus loin, car nous le reconnaissons, nous sommes assoiffés d’une vérité vers laquelle la société ne nous mène plus.
Dans les pas d’un saint Thomas d’Aquin, nous affirmons pourtant que cette vérité existe et qu’elle n’est "ni dans les choses, ni dans la pensée" mais bien "dans une relation d’adéquation entre notre pensée et la réalité qui nous fait face". Ainsi, la vérité ne dépend pas de nous, et ne pourrons jamais la détenir, mais nous sommes appelés à la chercher inlassablement. Or, une société qui se contente d’affirmer que chacun détient "sa" vérité, qu’il y a autant de vérités que de points de vue, et que tout ce qui est sincère est vrai, ne nous pousse plus à dépasser ou à réinterroger humblement nos convictions et nos a priori. Pire, elle nous écarte irrémédiablement les uns des autres, tant nous restons enfermés dans nos conceptions respectives sans ne plus oser les confronter. Et en définitive, elle se délite par elle-même. Car comment pourrions-nous "faire" société, si aucune vérité, aucune perspective commune ne pouvait plus nous rassembler ?
Il ne nous revient donc pas de créer une vérité préfabriquée soucieuse d’aiguiller le monde. Simplement de reconnaître que la recherche du vrai, du beau, du bien et de ce qui est juste est plus que jamais ce qui doit animer notre génération en quête de sens. De reconnaître également que nous ne serons jamais les détenteurs de la vérité, mais que nous pouvons en être les "coopérateurs" répéterons-nous avec Benoît XVI. Car si la vérité ne dépend pas des hommes, elle a besoin des hommes pour être dite, et les hommes ont besoin de s’en approcher pour être éclairés. Là est notre credo et là est notre espérance : ce cheminement, même infini, est possible. Pour ce faire, il nous revient donc, dans la société que nous sommes appelés à bâtir, de permettre aux hommes de chercher cette vérité de par l’éducation, la charité, et des lieux de réflexion à retrouver.
Le sens et l’espérance
Nous plaidons en ce sens pour le retour de la transmission d’abord et avant tout à l’école. Tout simplement parce que le retour aux savoirs, loin de nous aliéner, nous offre des appuis pour mieux nous émanciper et découvrir ce que nous sommes. Tout simplement aussi parce que nous ne nous sommes pas faits tout seuls et que nous avons autant besoin du savoir de nos prédécesseurs, que de celui de nos contemporains pour progresser vers la vérité. "Tout homme a quelque chose d’unique à dire de la vérité", nous rappelait en ce sens François-Xavier Bellamy. Et nous avons besoin de tout homme, quel qu’il soit, pauvre ou petit, faible ou fragile, âgé ou étranger, pour nous guider et nous apporter son regard spécifique.
Ce sont donc la transmission et le développement des liens fraternels qui sauveront notre génération. L’une comme l’autre élargiront notre regard et nous feront progresser. L’une comme l’autre nous permettront de reconnaître ce que notre voisin est aussi : celui qui peut nous guider vers la vérité. C’est d’ailleurs cette reconnaissance que nous oublions trop souvent de poser sur nos contemporains. Et c’est en son absence, lorsque l’on oublie ce que le plus petit d’entre nous a à nous apporter, que ne cesse de grandir "la globalisation de l’indifférence" comme le rappelle le pape François.
L’Histoire n’est pas finie
Cette double nécessité du lien et de la transmission est d’autant plus urgente que le sens et l’espérance ne sont pas de vains mots. Partout ils ne demandent qu’à renaître. Philippe de Woot, décédé le mois dernier, nous le rappelait au quotidien, lui qui offrit au monde de l’entreprise de retrouver des finalités au service de l’humain. Mère Teresa, canonisée dernièrement, ne peut que nous édifier, elle qui derrière les blessures les plus profondes voyait le sens et l’exceptionnel de chaque vie. Plus près de nous encore, l’initiative Teach4Belgium qui pousse les élèves à aller au bout de leurs capacités et de leurs ambitions est un exemple de ce qui encourage et valorise la jeunesse.
Le lien et la transmission seront des clés pour soulager une société avide de vérité et d’espérance. Des clés complexes à assumer cependant, car elles requerront du courage : celui de conformer notre pensée à la réalité qui lui préexiste; car elles nécessiteront de l’humilité : celle de voir en l’autre celui qui peut m’aider, me faire grandir et me guider vers la vérité; car elles nous imposeront enfin de la persévérance : celle capable de rejeter la confortable indifférence comme le trop rassurant relativisme.
Si donc les repères manquent parfois et que la confiance s’éclipse, l’Histoire n’en est pas finie pour autant. Pour répondre à Libération, Dieu lui-même n’est pas mort, et l’Amour ne s’est même pas retiré. Au contraire, ils n’attendent que nous. A notre génération dès lors de répondre avec confiance à cette soif de vérité et d’espérance qui habite nos cœurs. A notre génération de créer du lien, de transmettre et d’aimer.
(1) Charles-Henry Cattoir (25 ans), Geoffrey de Hemptinne (24 ans), Hugues Bocquet (25 ans), Lorraine Grisard (23 ans), Maël Dumont (23 ans), Mathilde Van Breuseghem (23 ans), Marie-Alice Milcamps (25 ans), Philippe Cartuyvels (23 ans), Priscille de Truchis (26 ans), Tanguy Bocquet (25 ans), Thomas de Richecour (25 ans) et Valentine Hermans (23 ans). En septembre, la deuxième édition de la "Session LEAD" a rassemblé plus de 140 jeunes de 21 à 30 ans, pendant 5 jours. Objectif : encourager la réflexion personnelle et l’engagement dans la société à la lumière de la foi chrétienne.
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Les quarante ans de la Communauté Saint-Martin
Philippe Maxence, sur le site de l'Homme Nouveau, interroge le modérateur de cette communauté florissante, une communauté de prêtres et de diacres au service de l'Eglise comme aurait pu le devenir la Fraternité des Saints Apôtres si l'on ne s'était pas mis en tête de la détruire... :
Saint-Martin : une communauté en fête
Quarante ans déjà… Fondée en 1976 en Italie par Mgr Guérin, la Communauté Saint-Martin compte actuellement plus de 100 prêtres et 110 séminaristes. Rencontre avec le modérateur de la Communauté, don Paul Préaux.
Vous vous préparez à fêter les quarante ans de la Communauté Saint-Martin.
Notre quarantième anniversaire sera marqué par trois évènements principaux. Nous célébrerons d’abord une messe d’action de grâce le 5 novembre, à la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, qui a vu naître la Communauté. Le 11 novembre, en la fête de saint Martin, nous réunirons les séminaristes de la Communauté et leurs familles, à Évron, notre maison mère et maison de formation, située dans le diocèse de Laval. Puis, du 14 au 16 novembre, ce sont les membres de la Communauté, nos 100 prêtres et diacres et nos 110 séminaristes, qui se rassembleront.
Votre Communauté a été fondée le 1er octobre 1976. Quel bilan tirez-vous de ces quarante ans ?
De plus en plus, je pense que si la Communauté ne correspondait pas à un dessein de Dieu, il y a longtemps qu’elle n’existerait plus. Nous avons reçu beaucoup de grâces. Avec Mgr Jean-François Guérin, d’abord, qui a accepté de répondre à ce projet de Dieu, en quittant la France pour aller fonder la Communauté dans le diocèse de Gênes, en Italie. Cette période d’enfouissement nous a permis de grandir dans une certaine humilité, de ne pas être un phénomène de mode, mais d’avancer, au milieu des difficultés, en nous enracinant dans le Seigneur. La grâce de trouver Mgr Joseph Madec, ensuite, le premier évêque français qui nous a fait confiance en nous appelant à servir dans son diocèse de Fréjus-Toulon. Sans lui, nous n’aurions sans doute pas pu retrouver la France et y implanter des communautés.
La fécondité d’aujourd’hui s’explique beaucoup par cet enfouissement d’hier, qui nous appris que c’est le Seigneur qui donne. Nous n’avons pas de méthode de recrutement. Nous essayons de vivre au mieux notre vie commune et notre mission, tout en réfléchissant à notre place dans l’Église. Il s’agit de contribuer au souffle missionnaire « à notre place, toute notre place, rien que notre place », selon une formule de notre fondateur. Nous ne sommes pas toute l’Église, mais nous avons une place dans l’Église.
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Le Pôle Jeunes XL : un lieu de foi pour jeunes professionnels et étudiants dans le sud-est de Bruxelles

Concept résolument novateur de colocations catholiques en Belgique, le pôle jeunes XL s’organise à Ixelles (région bruxelloise). Ce pôle jeunes rassemble plus de 150 étudiants et jeunes professionnels à Bruxelles, tous les mercredis soir. Il rassemble même plus de 300 étudiants lors des messes XXL avec nos évêques.
"Le Pôle Jeunes XL se veut être un lieu de foi dans le sud-est de Bruxelles, animé par des jeunes professionnels & étudiants, ouvert aux 18-35 ans. Il propose aux jeunes de se rassembler pour vivre des moments de foi et conviviaux telles la messe des jeunes, une prière dans l’esprit de Taizé, la veillée Nightfever, les 20 km de Bruxelles suivis d’un barbecue et de la messe. Le Pôle Jeunes XL est ouvert à tous, quelque soit la culture, l’origine ou le chemin de foi des participants. Ce projet est animé par notre désir de partager notre joie d’être chrétiens."
"Le Pôle Jeunes XL est porté principalement par le kot Cuatro Vientos (étudiants), la Mezza (jeunes pros) et des jeunes. Notre assistant paroissial, Olivier Dekoster et notre curé, l’abbé Luc Terlinden, les accompagnent, aidés à l’occasion par le Père Tanguy Rivière, o.praem., et le Père Jean-Louis Van Wymeersch, s.j. Pour compléter le projet, chaque jeune est le bienvenu, avec sa motivation et ses talents. N’hésitez pas à nous contacter pour rejoindre notre équipe !"

- Facebook : https://www.facebook.com/PoleJeunesXL/
- Site web : http://polejeunesxl.be/
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Bruxelles, 20 octobre : "C'est quoi ce bordel avec l'amour ?"; conférence de Thérèse Hargot
EN BREF :
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LIEU: Salle Lumen (Chaussée de Boondael 36, Ixelles)
Entrée à partir de 20:00 - Fermeture des portes à 20:30
PAF libre - After bar - Séance dédicaces
THÉMATIQUE
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Banalisation de la " culture porno ", course à la performance, multiplications des plans Q, l'avortement nouveau service après vente de la contraception en passant par les conséquences de la pilule sur la santé et la sexualité des femmes... Si les jeunes se sentent sexuellement libérés, ils sont prisonniers de nombreux diktats. Qu'avons-nous fait de la libération sexuelle ? Thérèse Hargot, philosophe et sexologue intervenant en milieu scolaire depuis une dizaine d'années, s'interroge face à la jeunesse d'aujourd'hui.
Après le succès de son livre "Une jeunesse sexuellement libérée ou presque" qui a propulsé la jeune intellectuelle sur les plateaux télé (TF1 et autres), cette mère de famille au regard éclairé donnera à Bruxelles, le 20 octobre prochain, une conférence exceptionnelle. Elle offrira une vision neuve et exempte de tabous qui promet de soulever de nombreuses questions et apporter son lot de réponses.
LA CONFÉRENCIÈRE
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Thérèse Jacob-Hargot est mariée et mère de trois enfants. Philosophe (Paris I - Sorbonne) et sexologue (UCLouvain - Belgique), elle intervient dans les écoles, les médias et pour diverses organisations afin de susciter la réflexion sur les enjeux de la vie sexuelle et affective. Elle travaille notamment sur les problématiques du féminisme et de la libération sexuelle. En octobre 2008, elle fonde Love Génération un mouvement de jeunes qui vise à réconcilier la sexualité, l’amour et la fécondité.
Son blog --> www.theresehargot.com
Sa page FB --> https://www.facebook.com/profile.php?id=559695307 -
Un quart des élèves d’une génération arrive dans le secondaire sans maîtriser de manière satisfaisante la lecture
De Laurent Joffrin sur le site de Libération (liberation.fr) :
Pourquoi nos enfants ne savent plus lire
La journaliste Carole Barjon dresse un diagnostic effrayant de l’enseignement du français à l’école. En cause le rejet de la méthode syllabique.
Comment les militants du bien peuvent-ils faire le mal ? Cette question qui taraude la gauche depuis toujours se pose en termes crus dans un domaine essentiel pour elle, celui de l’éducation. Dans les années 60 et 70, un courant de pensée progressiste s’est mis en tête de réformer l’apprentissage de la lecture. Les méthodes traditionnelles, disaient-ils, sont trop arides, trop mécaniques, elles assomment les élèves et participent à la sélection sociale qui frappe les enfants des classes populaires. Elles doivent être mises au rencart au profit de pédagogies plus modernes. Bientôt dominant dans l’appareil de l’Education nationale, ce courant bien intentionné a inspiré les changements qui ont affecté l’enseignement du français dans les classes élémentaires.
Contrairement à ce que disent parfois les adversaires de ces réformes (souvent engagés à droite, mais pas toujours), il ne s’agissait pas d’imposer la «méthode globale», inventée par un pédagogue du début du XXe siècle, Ovide Decroly, pour les élèves affectés de handicaps (la surdité, par exemple), et qui fut fort peu enseignée, mais de rejeter l’antique méthode syllabique (b.a.- ba) au profit de pédagogies plus ou moins influencées par la «méthode globale» sans en imiter le systématisme (méthodes semi-globales, idéo-visuelle, etc.), qui partent non des syllabes qu’on répète mécaniquement mais des mots complets dont l’enfant appréhende directement le sens, dans le but de l’éduquer à la découverte personnelle du savoir.
En faisant foin de la grammaire traditionnelle et des pédagogies répétitives, ce courant a produit des méthodes et des explications techniques qui inquiètent souvent les parents d’élèves, troublés par ce qui leur paraît un abandon des exigences habituelles en matière d’orthographe et de grammaire, le tout accompagné d’une rhétorique obscure et jargonnante à souhait.
Journaliste politique à l’Obs, Carole Barjon est de ceux-là. Entendant les professeurs de ses enfants faire peu de cas des dictées et relativiser d’un ton condescendant la maîtrise de l’orthographe, qui lui paraissait néanmoins utile aux élèves, notamment pour se mettre plus tard à la recherche d’un emploi, elle a décidé de se renseigner par elle-même, à l’aide d’une enquête journalistique sérieuse, sur l’état de l’enseignement du français dans l’Education nationale. Compulsant les études nombreuses réalisées sur la question, consultant les programmes, les instructions et les circulaires émises par le ministère, interrogeant directement les anciens ministres, retrouvant les pédagogues, les sociologues ou les professeurs qui furent à l’origine des réformes, elle livre un diagnostic vivant et précis de l’apprentissage de la langue française par les élèves de la République. Le résultat est effrayant.
Précaution immédiate ! En lisant cette conclusion lapidaire, le lecteur averti se dira : encore un de ces pamphlets sommaires qui encombrent les étals des libraires et qui nous expliquent que tout était mieux avant, qu’il ne fallait surtout pas tenter de démocratiser l’éducation nationale, que Jules Ferry a été trahi et que la gauche enseignante à détruit la bonne vieille école républicaine. Erreur : outre qu’il s’appuie sur des chiffres difficiles à contester, le diagnostic de la journaliste est très souvent dressé par des spécialistes engagés à gauche. Cité par Carole Barjon, le livre le plus critique sur la question émane par exemple de deux spécialistes, Sandrine Garcia et Anne-Claudine Ollier, qui se réclament de Pierre Bourdieu.
Qu’il s’agisse des études internationales Pisa, des rapports internes du ministère ou des travaux sociologiques les plus divers, les analyses concordent : un quart des élèves d’une génération arrive dans le secondaire sans maîtriser de manière satisfaisante la lecture. Et comme souvent, ce sont les élèves issus des milieux les plus modestes qui font les frais de cette dégradation, dans la mesure où les parents plus diplômés peuvent plus facilement corriger à la maison des déficiences de l’école publique.
La raison en est simple, a découvert Carole Barjon : en réduisant le temps de répétition, d’entraînement, d’apprentissage des automatismes de lecture, le rejet de la méthode syllabique a rendu l’apprentissage du français plus lent, plus incertain, alors même que le temps dévolu à la lecture se réduisait progressivement. Les enfants de profs et ceux des classes supérieures ont compensé le handicap, les enfants des classes populaires se sont retrouvés démunis : l’école qu’on voulait rendre plus juste est devenue plus injuste. Le plus cruel dans cette enquête, c’est que les promoteurs des réformes, interrogés vingt ou trente ans après, admettent d’un ton primesautier leur échec historique et accusent de manière confuse un «on» mystérieux («on» n’a pas fait ce qu’il fallait), ou bien nient que la méthode globale ait jamais été appliquée (ce qui est un faux-fuyant, puisque l’on a avant tout rejeté la méthode syllabique au profit d’une pléiade de méthodes différentes). Aimable irresponsabilité des gourous de l’éducation. La logique voudrait qu’on reconnaisse l’échec et qu’on redresse la barre. C’est l’appel lancé par Carole Barjon en conclusion. Peut-être est-il temps de l’entendre…
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"Les jeunes, la foi et le discernement des vocations" sera le thème du prochain synode des évêques (octobre 2018)
LE PROCHAIN SYNODE DES ÉVÊQUES EN 2018 SUR LES JEUNES, LA FOI ET LES VOCATIONS
Vatican - le 06/10/2016Le XVe Synode des évêques décidé par le pape François se déroulera en octobre 2018, sur le thème : “Les jeunes, la foi et le discernement des vocations“. L’information a été rendue public le 6 octobre 2016 par le Bureau de presse du Saint-Siège. (source)
De Nicolas Senèze sur le site du journal La Croix :
En 2018, un Synode sur les jeunes et les vocations
Une nouvelle assemblée synodale se tiendra en octobre 2018 à Rome sur « la jeunesse, la foi et le discernement vocationnel ».
Le pape François a annoncé jeudi 6 octobre la convocation, en octobre 2018, d’une nouvelle assemblée générale du Synode des évêques sur le thème de « la jeunesse, la foi et le discernement vocationnel ».
Ce thème, « expression de la sollicitude pastorale de l’Église pour les jeunes », se situe « en continuité avec les conclusions des dernières assemblées synodales sur la famille et avec le contenu de l’exhortation post-synodale Amoris laetitia », souligne le Saint-Siège dans un communiqué.
La question de l’éducation affective des jeunes avait en effet été souvent abordée lors des deux dernières assemblées du Synode sur la famille.
Les débats du Synode viseront notamment à « accompagner les jeunes dans leur chemin existentiel vers la maturité de sorte que, à travers un processus de discernement, ils puissent découvrir leur projet de vie et le réaliser dans la joie, l’ouverture de la rencontre avec Dieu et avec les hommes, et participer activement à l’édification de l’Église et de la société »
Cette assemblée générale du Synode des évêques sera la 15e réunie depuis la création de cet instrument de collaboration entre le pape et les évêques.
Le communiqué du Saint-Siège signale d’ailleurs que le thème de la rencontre de 2018 a été choisi « après consultation, comme il est d’usage » de l’épiscopat et des supérieurs généraux, ainsi qu’après « avoir écouté les suggestions des Pères de la dernière assemblée synodale ».


