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Jeunes - Page 162

  • Une confession dont il se souviendra

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    Nous lisons ici :

    Augustin Deney garde précieusement en souvenir sa rencontre en tête-à-tête avec Benoît XVI, le matin du samedi 20 août (2011). Peu avant l’ouverture des JMJ, un tirage au sort est organisé au siège de l’organisation dans la banlieue de Madrid parmi des centaines de jeunes bénévoles pour désigner quatre personnes qui seront confessées par le pape. 

    Augustin, qui souffre d’un handicap visuel l’obligeant à travailler devant un écran adapté, est le benjamin et la coqueluche de toute l’équipe. Lorsque son nom est tiré au sort, les autres volontaires explosent de joie.

    Quelques jours plus tard, il rencontre Benoît XVI dans l’un des confessionnaux en plein air installés dans le jardin du Retiro. « Le sacrement était le même qu’avec n’importe quel autre prêtre. Il n’empêche, c’était très fort. Par ce qui s’est dit et par le contexte. »  Il se remémore à certaines occasions les propos de Benoît XVI, qu’il tient secrets. Sa famille et ses amis lui rappellent aussi régulièrement cette entrevue extraordinaire. « Quand nous rencontrons de nouvelles personnes, mes amis me présentent comme celui “qui a été confessé par le pape” », sourit-il.

    Tout l'article est ici : http://www.la-croix.com/Religion/S-informer/Actualite/Augustin-Desney-marque-par-les-mots-du-pape-_EG_-2012-08-27-846597

  • La rentrée académique au Séminaire de Tournai

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    La rentrée académique aura lieu le mercredi 3 octobre 2012 au Séminaire de Tournai.
    - à 17h, dans l’église du Séminaire, Eucharistie présidée par Mgr Guy Harpigny, au cours de laquelle trois candidats-diacres recevront le lectorat.
    - à 18h30, au grand auditoire, conférence par le Père Philippe Henne, o.p., professeur à la Faculté de Théologie de Lille : « L’utilité des études sur les Pères avec la présentation de deux figures, Clément de Rome et la communauté paroissiale, Grégoire le Grand et l’Eglise dans le monde ».
    - à 19h30, réception
    Chacun est cordialement invité.

    Le frère Philippe Henne est né le 11 septembre 1954 à Ville-sur-Haine, près de Mons. Il a fait ses études secondaires au collège Saint-Vincent de Soignies. Après ses études de philologie romane, il enseigna à l’Institut Sainte-Marie de Quiévrain. Après une année de postulat résidentiel à Froidmont, il commença son noviciat à Fribourg (Suisse) en 1978. Il y étudia la théologie et obtint son diplôme en 1983. Il défendit une thèse de doctorat sur la christologie chez Clément de Rome et dans le Pasteur d‘Hermas en juin 1989. Depuis Depuis 1993, il est professeur à la faculté de théologie de l’Université catholique de Lille.

  • La crise des vocations

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    Un article paru en 2003 dans la revue Kephas, sous la plume de Mgr Martin Viviès, analysait la situation des vocations. Une dizaine d'années plus tard, cette analyse conserve toute sa pertinence. Elle montre notamment que le Concile n'est pas à l'origine de cette crise qui a commencé bien avant. On peut évidemment débattre au sujet du rôle joué par Vatican II et se demander s'il a enrayé cette crise ou, au contraire, contribué à l'aggraver. Extraits :

    L’indice des vocations au sacerdoce est révélateur de l’avenir d’un pays. Un pays peut continuer à croître quant à la proportion interne de baptisés, et ne plus susciter de vocations (cas de l’Irlande). C’est une grave hypothèque sur la capacité d’évangéliser ; c’est non seulement un ressort interne de générosité qui est brisé ou qui ne trouve pas de lieu pour être accueilli, mais c’est une transmission de la foi qui ne se fera pas. Qu’on le veuille ou non, il ne peut pas y avoir d’Église sans prêtres. (...)

    Une considération vaut pour l’Europe uniquement : après avoir commencé à remonter la pente en 1975, une nouvelle crise des vocations intervient à partir de 1986, qui touche surtout les pays anglophones et germanophones. Il paraît symptomatique que cette nouvelle chute soit concomitante à l’instauration de politiques d’assistants pastoraux laïcs, conçus comme étant un clergé à plein titre puisqu’on prétend les faire agir au nom de l’Église. Les cas de la Belgique et de l’Allemagne sont particulièrement flagrants. (...)

    ... la crise (des vocations) démarre pendant la guerre, en France et en Belgique ; elle avait donc commencé bien avant le Concile. (...)

    ... la question des motifs. C’est un terrain beaucoup plus hasardeux, et à propos duquel les sensibilités sont encore très vives, mais on ne peut vivre sans chercher à comprendre.

    Le motif de la crise pourrait être principalement intellectuel, comme si le catholicisme occidental avait douté de lui-même, de son patrimoine, et n’avait plus été capable de le présenter de façon renouvelée, notamment aux nouvelles générations d’étudiants. Dans la hantise de se réconcilier avec toute l’humanité, le clergé abandonnait dans l’après-guerre tout ce qui avait saveur de dogmatisme pour se jeter à corps perdu dans la pastorale.

    Dans les séminaires des années 50, le contenu enseigné ne donnait pas satisfaction, et de toute manière on n’étudiait plus. On pensait ainsi se rapprocher des gens, au risque de devenir insignifiant et étranger à son propre monde, notamment à ceux qui façonnent la culture ambiante. À travers la crise de la théologie du sacerdoce, l’incompréhension de ce que peut être un changement « ontologique » et donc de la notion de « caractère » et de consécration propre au sacerdoce ministériel, toutes rejetées comme une prétention anti-égalitaire, c’est l’image du prêtre qui s’est dégradée, avec la conséquence qu’elle n’attire plus. (...)

  • RDC : fillettes, adolescentes et femmes paient le prix fort

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    L'information paraît sur La Libre d'aujourd'hui :

    A Bukavu, une section de l’hôpital Panzi accueille les femmes victimes des viols collectifs de la guerre. Le Dr Mukwege se bat pour leur redonner un espoir. Prix Roi Baudouin en 2011, le médecin congolais a reçu jeudi Didier Reynders dans son hopital de Bukavu, où près de 40 000 femmes et jeunes filles ont déjà été soignées.

    Fatigué de voir les délégations ministérielles défiler dans son établissement sans que rien ne change, désespéré de voir que la situation empire à l’est du Congo, il a parlé, devant le ministre belge, d’injustice et de lâcheté, de courage qui faisait défaut.

    "La Libre" l’a interviewé peu après.

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  • Le formatage des esprits à l'école

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    Les programmes et les manuels scolaires sont loin d'être exempts de contenus tendancieux. La réflexion sur l'évolution démographique est un terrain particulièrement propice à des dérapages évidents. Je me rappelle l'étonnement des élèves lorsque, au cours d'histoire, on analysait les facteurs qui ont permis un développement économique et civilisationnel important, que ce soit au XIIIème siècle, à la Renaissance, à l'aube de la Révolution Industrielle, et que l'on mettait en évidence la croissance démographique comme facteur évident de progrès. Cela semblait aller à l'encontre de leur perception habituelle, dûment formatée ailleurs, et suivant laquelle l'augmentation de la population était perçue négativement. C'est donc très opportunément que Pierre-Olivier Arduin dénonce le malthusianisme qui se cache dans les manuels scolaires lorsqu'est abordée la question du développement économique en corrélation avec l'évolution démographique.

    A lire ici : Géographie au collège : Malthus embusqué

  • Inquiétant

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    Nous lisons ICI :

    L'Arabie saoudite finance des écoles radicales en Belgique

    Selon la Sûreté de l'Etat, une dizaine d'écoles sont financées dans notre pays par l'Arabie saoudite. L'objectif final du régime est de diffuser à terme le wahhabisme, une interprétation radicale de l'islam. Pour le service de renseignement, ces écoles représentent un danger.

    L'Arabie saoudite finance en Belgique "une dizaine d'écoles" où l'on enseigne la langue arabe et une version radicale de la religion islamique. La ministre de la Justice Annemie Turtelboom (Open Vld), se basant sur des données de la Sûreté de l'Etat, attire l'attention sur cet état de fait ce mardi dans le journal De Tijd.

    "Dans certains cas, les écoles sont créées à la demande expresse du régime grâce à des fonds provenant d'Arabie saoudite", indique la ministre. "Cela correspond à la volonté affichée par les autorités de ce pays de diffuser la forme officielle de l'islam en vigueur là-bas, le wahhabisme. Cette doctrine se base sur une interprétation stricte de la religion islamique, comme elle était enseignée du temps du prophète".

    Un danger pour la lutte contre le radicalisme

    La Sûreté de l'Etat ne peut pas fournir de chiffre exact à propos du nombre d'élèves fréquentant ces écoles. "Nous estimons qu'il doit y en avoir quelques dizaines", précise la ministre Turtelboom. "En investissant dans ce type d'écoles, le régime espère ainsi recruter des étudiants pour ses universités afin qu'ils y poursuivent leur enseignement religieux. L'objectif est qu'ils puissent à leur tour enseigner et diffuser le wahhabisme". La Sûreté de l'Etat estime que ces écoles ne sont pas sans danger. Elles constituent un problème dans le cadre de la lutte contre le radicalisme.

  • Abbé Pierre-Hervé Grosjean (34 ans) : le style nouvelle évangélisation ?

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    Extraits de l’article publié sur le site de « Valeurs actuelles » :

    imagesCA2NFL1T.jpg(…) « J’ai toujours eu l’intuition qu’il me fallait servir une grande cause. » Laquelle ? La France, répond-il d’abord, après son baccalauréat. Comment ? Il songe à la politique, préfère l’armée.

    Admis en classe préparatoire au Prytanée de La Flèche, il décidera pourtant au bout d’un an d’« aller un peu plus loin dans le don », en choisissant la plus grande des causes. « C’est au sein du scoutisme que j’ai trouvé ma vocation, au contact d’un aumônier dont la joie de servir m’a profondément marqué. » Entré au séminaire à 19 ans, il en sort sept ans plus tard pour son ordination à Versailles, en 2004. Aujourd’hui vicaire de la paroisse d’Houilles-Carrière, il vient d’être nommé curé de Saint-Cyr-l’École, qu’il rejoindra à la rentrée.

    Les jeunes qui le côtoient – ils sont nombreux – le disent très accessible : « Il rappelle tous ceux qui lui laissent un message sur son portable, dont il donne facilement le numéro. » Et les invite souvent à partager une bière. Beaucoup se transmettent le texte d’une conférence qu’il a faite à l’invitation des Associations familiales catholiques : “Aimer en Vérité”. Il y rappelle, avec humour et sans détour, l’enseignement de l’Église sur l’amour, à l’âge où garçons et filles découvrent les jeux de la séduction : « Ni trop tôt, ni trop près, ni trop vite, leur dit-il, pour éviter d’arriver à 25ans avec le coeur usé. » Ce style direct lui vaut une réelle audience parmi les jeunes, mais c’est surtout son exigence qu’ils apprécient. « L’Église vous montre le sommet », leur dit-il dans sa conférence. « Il est carré », résume l’une de ses lectrices.

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  • Homélie de l’Assomption hier à l’abbaye de Fontgombault : dire oui avec Marie

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    imagesCAHCEB44.jpgVoici un extrait de cette homélie prononcée par le TRP Dom Jean Pateau, Abbé de N.-D. de Fontgombault, une des plus grandes abbayes de France :

     « (…) Marie s’est appliquée à rechercher la volonté de Dieu et à l’accomplir. Aussi le Seigneur a-t-il fait de grandes choses pour Elle, avec Elle, grâce à Elle.

    Cette beauté, cette paix du cœur, cette union à Dieu, que Marie goûtait dès son pèlerinage sur la terre, n’ont pas aveuglé néanmoins la Mère de Dieu. Marie sait que sa vie et son mystère sont profondément liés aux membres de sa race, à ceux qui depuis le début des temps et jusqu’à la fin du monde ont peiné et peineront sur les chemins souvent tortueux de la terre.

    En face du OUI se trouve la triste réalité du NON :

    Les hommes, les sociétés mêmes, en ont tous fait l’expérience. Celle- ci se cristallise pour l’homme dans le refus de sa condition de créature et pour les sociétés dans le refus de la loi naturelle. L’ivresse d’une illusoire autonomie s’empare alors de l’homme et des sociétés, ouvrant la porte sur la spirale vertigineuse du mal, du mensonge, des guerres, de la souffrance, pain quotidien de notre humanité. (…)

    Le patronage de Notre Dame est aujourd’hui spécialement nécessaire à la France, menacée par des lois ou des projets de lois qui, au mépris de la nature humaine portent une grave atteinte à la famille et à la vie considérée de son début à sa fin naturelle.

    Il s’agit d’obtenir le respect du plan de Dieu annoncé dès la création du monde : « Homme et femme, il les créa » (Gn 1,27). Sur quels principes pourrait se fonder une société pour s’arroger le droit de modifier les concepts de mariage, de famille et finalement d’amour ? (…)

    Faudrait-il rappeler aux hommes et aux femmes de notre temps qu’ils ont été conçus à partir d’une cellule masculine et d’une cellule féminine ? que c’est, pour la plupart, grâce à la présence diverse, complémentaire et gratuite d’un papa et d’une maman que s’est construite leur personnalité ? Faut-il ignorer le drame de tant d’enfants déséquilibrés suite à des situations familiales difficiles ?

    Beaucoup se taisent. Beaucoup se désintéressent. L’enfant devient, toujours plus, un jouet que les adultes suppriment ou se disputent selon les besoins du moment. Paradoxe d’une société qui, à la fois, autorise l’avortement et qui remet l’enfant à des couples, désireux certes d’en posséder un, mais incapables, compte tenu de leur constitution, de lui offrir un lieu favorable à un développement harmonieux.

    Au fond, y-a-t-il vraiment paradoxe ?

    L’enfant a toujours été celui qu’il est facile de sacrifier sur l’autel du dieu du monde qui se nomme plaisir. Les enfants sont silencieux. Certains même ne pourront jamais parler. Mais d’autres, marqués par l’environnement dans lequel ils auront grandi, pourront un jour élever la voix. Au nom de tous, et comme il a déjà été fait, ils pourront construire un mémorial de leur holocauste. A leur tour, ils viendront en accusateurs faire valoir leurs droits devant les hommes et les sociétés qui les ont abandonnés.

    La guerre recouvre notre terre. Mais la plus injuste de toutes est celle qui se déroule dans le sein maternel, dans le sein familial.

    Ce soir, au cours de la procession solennelle, à laquelle vous êtes tous invités, nous prierons pour notre pays en récitant la prière proposée par son Éminence le Cardinal André Vingt-Trois.

    O Marie, Reine de la famille et Mère de tous les hommes, nous vous confions la grande famille humaine et en particulier les enfants. Que les hommes et les femmes de notre temps préfèrent au bonheur éphémère d’un plaisir stérile, la joie de pouvoir en vérité vivre le grand don de l’amour dans le petit Nazareth qu’est chaque famille humaine.

    Amen.

    Tout le texte ici :ASSOMPTION  

  • Les chemins de Saint-Jacques de Compostelle : une foule comme au moyen âge

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    Dans « La Libre », sous la plume de Christophe Lamfalussy (extraits) :

    compostelle-pelerins602.jpg(…) Tous les observateurs et familiers du "Camino" le constatent : la part des jeunes augmente dans ces pèlerins qui convergent toute l’année vers Saint-Jacques-de-Compostelle. "Cet été", nous dit Francine Gaffard, une ancienne pèlerine qui tient un gîte d’étapes à Figeac, "j’ai vu passer plus de jeunes que de gens âgés. De nombreux pèlerins ne disent pas pourquoi ils sont partis mais on sent une prise de conscience personnelle qui n’existait pas auparavant" (…).

    Le "Chemin", comme on dit simplement, en voit passer, de ces jeunes venus de tous les coins de l’Europe, à la recherche d’une plus grande profondeur. Sophie, une jeune Parisienne BCBG, s’est lancée cet été après avoir terminé un boulot d’intérimaire. Régine a passé une semaine sur le chemin après avoir perdu son emploi de caissière. Matthijs, un Hollandais multilingue, avait aussi perdu son travail. Stéphane est lui aussi parti après avoir été jeté dehors de son travail. "Je voulais me vider la tête, trouver un sens à la vie et amortir le choc", dit-il. "Mes deux filles suivent mon itinéraire avec des épingles sur une carte."

    Adeline Rucquoi, historienne et présidente de l’Association française des amis de Saint-Jacques, estime que 30 à 40 % des jeunes entreprennent le chemin avec un but religieux mais que la majorité ne sait pas pourquoi ils partent. Cette randonnée parfois épuisante serait en quelque sorte un révélateur plus que l’aboutissement de convictions. "Quand ils partent, ils ne savent pas", dit-elle. "Et puis, le chemin fait son travail. Petit à petit, ils se rendent compte qu’ils cherchaient autre chose."

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  • Les 30 ans d'Emmanuel Adoption

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    Affiche 30 ans web rvb.jpg

    «Emmanuel Adoption» a été créée suite au constat que certains enfants porteurs d’un handicap ou atteints d’une maladie se retrouvent en situation d’abandon.  Ils ne sont pas les enfants dont les parents de naissance rêvaient.  Lorsque ceux-ci, après réflexion, ne se sentent pas capables de les prendre en charge,  ils sont souvent écartés des circuits habituels de l’adoption car ils ne correspondent pas aux ouvertures de la majorité des candidats adoptants.  Ces enfants sont là, qui attendent l’amour et la sécurité d’une famille.

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  • Un athlète olympique espagnol entre au séminaire après les jeux de Londres

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    Madrid, Espagne, le 3 août 2012 (CNA / EWTN News)

    Carlos Ballve - "Litus" pour ses amis – joue en défense dans l'équipe espagnole de hockey sur gazon, qui se retrouve en compétition aux Jeux Olympiques de Londres de 2012. Mais dès que la compétition se termine, il se rendra dans un séminaire en Belgique pour commencer son parcours conduisant à la prêtrise.

    Selon le quotidien espagnol El Pais, même s'il s'est toujours considéré comme croyant, ce n'est qu'en 2005 qu'il a pris conscience de l'importance de Dieu dans sa vie. Lors de l’été de cette année-là, tout a commencé à changer alors qu’il participait aux Championnats du Monde des moins de 21 ans.

    «Nous avons commencé la compétition affreusement mal. C’était si pénible qu’un dimanche, je suis allé à la messe et j’ai fait un pacte avec Dieu. Je lui ai dit que s’il arrangeait le championnat, j’irais à Medjugorje (où les présumées apparitions mariales sont encore à l'étude au Vatican (ndB), avec mon père. Nous avons gagné. Jamais auparavant une équipe des moins de 21 ans n’avait gagné une médaille, et nous sommes arrivés en troisième position », a-t-il affirmé.

    Ballve tenu sa promesse et s’est rendu à Medjugorje. Cependant, sa vie n’avait pas encore changé alors. Il a continué « à aller à des soirées avec des filles, à dépenser de l’argent à droite et à gauche, avec peu ou pas du tout l’intention de prier ». Mais  « quelque chose à l’intérieur de moi-même m’a dit : « Litus, tu es libre et tu peux faire ce que tu veux. Mais pour le moment tu n’es pas heureux ». Bien qu'il fût au sommet de son sport, Carlos décide d’arrêter, et de partir à la recherche de Dieu. « Je lui ai dit : ‘ Je ne sais pas ce qui ne va pas. Il se passe des choses étranges. Je veux être franc avec toi, donc me voici, fais ce que tu veux’ ». Sa vie a commencé à changer, et il a seulement demandé au Seigneur de le laisser réaliser son rêve de participer aux Jeux olympiques.  Ballve considère sa présence aux jeux comme « une expérience incroyable et précieuse ». Il a également expliqué qu’il espérait « non seulement gagner, mais aussi progresser dans ma vie de foi, et la partager avec des gens de plein d’endroits dans le monde ».

  • Trois petits tours et puis s’en vont

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    Lu sur le site web de la Conférence des évêques de France :

    « A la veille de la clôture du ConcileVatican II, le 7 décembre 1965, Paul VI et les Pères du Concile adressaient leur dernier message aux jeunes garçons et filles du monde entier. « C'est vous qui allez recueillir le flambeau des mains de vos aînés et vivre dans le monde au moment des plus gigantesques transformations de son histoire, écrivaient-ils (...). C'est pour vous (...), qu'elle (L'Eglise) vient, par son Concile, d'allumer une lumière: lumière qui éclaire l'avenir, votre avenir. »

    Presque 50 ans plus tard, Samuel Grzybowski a décidé de faire sienne cette adresse et de la partager. « C'est une évidence. Après les Ecritures, il est un texte central, assure le jeune homme âgé de 20 ans. Tout ce qu'on vit aujourd'hui comme Eglise vient de ce texte. Je pense à la liturgie, par exemple : la messe en français, le prêtre face à l'assemblée, etc. »

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