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Histoire - Page 133

  • "Shades of Truth" : la réalisatrice du film sur Pie XII répond aux critiques

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    Locandina-Shades-Of-Truth.jpgDe Zenit.org :

    Film sur Pie XII : "Shades of Truth", un succès avant même sa sortie en salle

    La réalisatrice des "Ombres de vérité" répond aux critiques

    Antonio Gaspari

    Le film "Shades of Truth", "Ombres de vérité", écrit et réalisé par Liana Marabini a été présenté à Rome le 2 mars. Il est produit par Condor Pictures.

    Des acteurs d’exception, parmi lesquels Christophe Lambert, Marie-Christine Barrault, Giancarlo Giannini, Remo Girone, Gedeon Burkhard, David Wall, pour un film qui sera présenté hors concours, à l’occasion du Festival de Cannes et pendant les dix jours de la Rencontre mondiale des familles, en septembre 2015, à Philadelphie (Etats-Unis).

    Le film raconte l’histoire d’un journaliste chargé de mener une enquête sur Pie XII. Très sceptique et critique au début,  il rencontre des témoins qui vont peu à peu remettre sa thèse en question. Au cours des différentes rencontres avec des personnes qui ont survécu à l’holocauste, ou avec leurs enfants, l’enquêteur découvre que Pie XII n’a pas été un pape craintif qui n’aurait pas réussi à s’opposer à Hitler, mais qu’il a réellement réussi à sauver des centaines de milliers de juifs des chambres à gaz.

    Devant les réactions à la projection du film ont été vives, parfois critiques et polémiques, mais parfois aussi très élogieuses, ZENIT a rencontré la réalisatrice, Liana Marabini.

    Zenit - Les réactions à la projection du film ont été variées. Certaines sont très positives, d’autres neutres et quelques-unes très négatives. Vous y attendiez-vous ?

    Liana Marabini - Oui, je m’y attendais. C’est un sujet très controversé et il est normal que les réactions soient de toutes sortes. Personne ne peut être assez ingénu pour penser que les avis seront unanimes. Le but du film est de faire parler de Pie XII et des injustices qu’il a subies et qu’il subit encore, en apportant des preuves étayées : non pas des preuves inédites, mais une sélection de celles qui existent déjà et il y en a énormément. Le film a été pensé non comme un monument historique mais comme une fenêtre ouverte sur une période controversée et il donne un espace pour permettre d’approfondir le sujet. Pie XII est le personnage le plus incompris du XXème siècle, alors c’est bien de chercher à expliquer un peu les choses, surtout le pourquoi de son silence.

    Il ne faut pas ensevelir le pape Pacelli sous les cendres de l’oubli que l’histoire accumule parfois sur les choses et sur les personnes.

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  • Le grand secret de l'Islam

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    9781326074012_1_033409.jpgLe grand secret de l'islam - 2éme édition

    L'histoire cachée de l’islam révélée par la recherche historique
    Olaf - En collaboration avec le Père Edouard-Marie Gallez

     

     

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  • Pie XII, un "Schindler du Vatican" ?

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    Shades-of-truth.jpg(Source : Zenit.org)

    "Ombres de vérité", un film sur l'action de Pie XII en faveur des juifs

    Une enquête historique sur "le Schindler du Vatican"

    Federico Cenci

     - Le film-enquête « Shades of Truth » (Ombres de vérité), sur l'action de Pie XII en faveur des juifs pendant la shoah, a été projeté en avant-première à l’Institut « Maria Bambina » de Rome, le 2 mars 2015, jour anniversaire de sa naissance et de son élection comme pape.

     

    Réalisé par l'historienne Liana Marabini, il sera présenté en mai au Festival de Cannes, et en septembre à Philadelphie, lors de la VIIIème Rencontre mondiale des familles à laquelle participera le pape François.

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  • Le pape Pie XII par-delà la légende noire

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    Lu sur le site de l'Homme Nouveau, sous la plume d'Yves Chiron :

    Le pape Pie XII, au-delà de la légende noire

    Ce 2 mars est un double anniversaire pour le pape Pie XII : celui de sa naissance et celui de son élection pontificale. L'occasion de revenir sur plusieurs ouvrages publiés sur ce pape. De valeurs inégales, ces biographies mettent l’accent sur tel ou tel aspect de la riche personnalité de Pie XII. Parmi elles, celles de Pierre Milza ou de Gordon Thomas méritent une analyse plus approfondie.

    Des livres sur Pie XII paraissent régulièrement, en diverses langues. Certains apportent des lumières nouvelles sur tel ou tel aspect, d’autres sont décevants parce qu’ils ne prennent pas la mesure de pontificat qui aura duré près de vingt ans. Le Secret de Pie XII de Gordon Thomas, historien de l’espionnage, appartient à la première catégorie parce qu’il met en lumière, comme l’indique son sous-titre, « le réseau secret du Vatican pour sauver les Juifs de Rome ». Le Pie XII de Pierre Milza relève, hélas, de la seconde catégorie.

    Lire la suite sur le site de l'Homme Nouveau

    Lire également : un film réhabilite Pie XII

  • Zita : à quand la béatification ?

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     Le 3 octobre 2004, lorsque le Bienheureux Jean-Paul II béatifia l'Empereur Charles I d'Autriche, le souverain des parents du Pape grâce auquel il portait le prénom de  Karol (Charles en polonais), il annonça comme date de la mémoire du nouveau bienheureux celle de son mariage avec la princesse Zita de Bourbon-Parme, le 21 octobre (1911).

    Charles de Habsbourg, dernier empereur d’Autriche-Hongrie et son épouse, Zita de Bourbon-Parme : deux vies qui nous parlent , deux hautes figures chrétiennes qui mériteraient d’être canonisées ensemble. Peut-être même avant tous ces papes qu’on élève aujourd’hui à la gloire des autels. Les Habsbourg: une famille rayonnante aussi à laquelle nous lient des souvenirs très simples, nous Belges de Belgique ou de ce Congo d’autrefois dont l’image demeure. JPSC

  • Des milliers de livres rares brûlés à Mossoul

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    Lu sur NouvelObs.com :

    IRAK. L'Etat islamique brûle 8.000 livres rares à Mossoul

    Les djihadistes ont utilisé des bombes artisanales pour détruire de vieux ouvrages qui reposaient dans la bibliothèque de la ville.

    Les victimes de l'Etat islamique (EI) ne sont pas seulement humaines. 8.000 livres rares sont partis en fumée, dimanche 22 février, dans la bibliothèque de Mossoul, en Irak, emportés par la folie des djihadistes. 

    "Ils ont utilisé des bombes artisanales", raconte au site américain "The Fiscal times" le responsable du lieu, Ghanim al-Ta'an. Plusieurs notables de la ville, contrôlée depuis huit mois par l'EI, ont essayé en vain d'empêcher les djihadistes de procéder à cet autodafé. 

    Cette bibliothèque, construite en 1921, abritait des ouvrages rares. Notamment des manuscrits du XVIIIe siècle, des livres syriens du XIXe siècle, ainsi que de vieilles antiquités qui dataient de plusieurs siècles. 

    100.000 livres brûlés par l'EI

    Le même jour, raconte "The Fiscal times", l'EI a également brûlé une vieille église de Mossoul - l'église de la Vierge Marie, ainsi que le Théâtre de l'université.

    Au cours du mois de janvier, les djihadistes avaient déjà organisé des autodafés de milliers d’ouvrages pillés dans une autre bibliothèque, celle de l’université. Selon des responsables locaux, depuis le début de cette terrible campagne d'autodafés, 100.000 livres ont été détruits au total dans la province d'al-Anbar, dans l'ouest de l'Irak.

  • "Prêtre avant tout", l'abbé Franz Stock mort le 24 février 1948

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    http://laurentius-media.gloria.tv/7o/mediafile-404413-1-sd.mp4?upstream=justina-media.gloria.tv%2ff&sum=GYG1fDh8-lPSVwAVlQIsUA&due=1424807856

    Prêtre de la paroisse catholique allemande et aumônier des prisons de Paris sous l'occupation allemande, " Franz Stock symbolise la preuve de l'amour plus fort que le mal, plus fort que la haine, l'ultime espérance d'une humanité capable d'aimer par-dessus les frontières ", selon René Closset. Franz Stock sera sa vie durant, comme l'écrit Jean-Pierre Guérend, " amoureux de la France et fidèle à son pays ". Il sera amené à assister de nombreux prisonniers et à accompagner plus d'un millier de condamnés à mort au peloton d'exécution. Ce programme, tourné sur les lieux mêmes où il naquit en 1904, vécut et mourut en février 1948, retrace le parcours de cet être exceptionnel qui se disait " prêtre avant tout, ne répondant qu'à une seule question : a-t-il besoin de moi ? ". Franz Stock, c'est aussi un site : " le Séminaire des barbelés ", véritable lieu de mémoire auquel il se consacra de 1945 à 1947 à la formation des séminaristes allemands. Témoignage de la réconciliation franco-allemande, une consécration pour Franz Stock qui y laissa sa vie. Un film réalisé par Janine Isnard. Une coproduction Cat Productions et KTO - 2010.

  • Saint Eleuthère de Tournai (20 février)

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    La vie de saint Eleuthère (source)

    Le Missel diocésain est assez bavard au sujet d’Eleuthère : « Issu d’une grande famille de la région de Tournai, Eleuthère serait le descendant d’un converti de saint Piat. Il fut élevé, avec son ami saint Médard, à la cour des monarques mérovingiens dont Tournai était la résidence. En 486, le christianisme étant en suspicion, Eleuthère se réfugie à Blandain. En 495, la conversion de Clovis change la destinée d’Eleuthère : il est choisi comme évêque de Tournai et sacré par saint Rémy.

    L’implication du politique et du religieux – qui est un des aspects de la société mérovingienne – amène sans doute Eleuthère à assumer les responsabilités du pouvoir. Il s’efforce de reconquérir son peuple contre le paganisme et l’hérésie. Il sera victime des hérétiques : assailli et enlevé par eux, il est blessé et laissé pour mort. Il succomba à la suite de ses blessures (536). Il eût mérité le titre de martyr ».

    Ainsi, Eleuthère serait né vers 456 sous Childéric, roi des Francs salins (dont la cour était à Tournai). C’est d’ailleurs la présence de la cour à Tournai qui valut sans doute à cette ville de devenir siège épiscopal.

    Eleuthère appartenait à une famille chrétienne où se transmettait pieusement le souvenir d’un aïeul non seulement converti par saint Piat, mais même martyrisé avec lui. Il avait reçu au baptême le beau nom grec d’Eleuthère (eleutheros : « libre »).

    Eleuthère a dû faire partie de ces jeunes nobles élevés et formés à la cour ; sans doute a-t-il dès lors connu Clovis qui avait sensiblement le même âge que lui. Il semble aussi qu’il y ait alors connu Médard – malgré la différence d’âge – celui-ci, né vers 470, devait avoir une quinzaine d’années de moins que lui.

    Selon la tradition, c’est en 486 qu’il serait devenu évêque (selon d’autres, en 495, donc à l’âge de 40 ans). Il soutint ses fidèles dans leurs difficultés. Mais, ses adversaires lui rendant la vie intenable, il quitta le cœur de la ville pour s’installer à quelques kilomètres de là, à Blandain, probablement dans une propriété familiale d’où il dirigea quelques années son immense diocèse avant de rentrer à Tournai. Et puis, il se mit à évangéliser avec ardeur les Francs qui s’étaient installés dans la région : les Barbares, et aussi ceux qui étaient devenus ariens (les ariens nient la divinité du Christ).

    Le baptême de Clovis, à la fin du Ve siècle, dut grandement réjouir Eleuthère – et changea sans doute la donne dans l’opposition qu’il avait rencontrée parmi les habitants de Tournai ; beaucoup d’entre eux acceptèrent alors le baptême, à l’exemple de Clovis, l’enfant du pays. Selon la légende, Eleuthère baptise, en une semaine, onze mille païens.

    Saint Eleuthère aurait été évêque pendant quarante ans, d’où sa grande célébrité.

    Il aurait été deux fois à Rome pour y demander conseil : il rencontra d’abord le pape Symmaque (qui exerça son ministre de 498 à 514), puis le pape Hormisdas (514-523) : celui-ci lui remit des reliques qu’il rapporta pieusement dans son église et qui furent l’occasion, de la part de son peuple, d’un accueil triomphal en procession jusqu’à sa cathédrale.

    En 531 ou 532, des hérétiques ne lui pardonnèrent pas d’avoir organisé un synode à Tournai (sur la Trinité, sur la divinité du Christ) et lui tendirent une embuscade alors qu’il sortait de la Cathédrale. Grièvement blessé, l’évêque devait mourir peu de temps après des suites de ses blessures. C’est pourquoi la tradition aimerait en faire un martyr mais comme il n’est pas mort sur le coup et qu’il a survécu quelques semaines à cet attentat, il n’a pas reçu officiellement ce titre. Avant de mourir, il implora le pardon pour ses meurtriers.

    Fête liturgique : 20 février

  • BXL, 16 mars : Quelle(s) mémoire(s) pour le génocide arménien ?

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    De auschwitz.be :

    Journée d'étude

    « Quelle(s) mémoire(s) pour le génocide arménien ? », 16 mars 2015

    La prochaine journée d'étude de l'ASBL Mémoire d’Auschwitz, intitulée « Quelle(s) mémoire(s) pour le génocide arménien », aura lieu le lundi 16 mars à Bruxelles au Palais des Académies.
     
    armenie site
     
    Le génocide des Arméniens de Turquie (1915-1916) suscite toujours de nombreux débats. D’une part, l’obstination des gouvernements turcs de nier cette qualification est en opposition radicale avec sa reconnaissance par de nombreux gouvernements. D’autre part, les communautés arméniennes militent pour cette reconnaissance en construisant la mémoire publique de ce génocide.

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  • Le bienheureux Antoni Leszczewicz, prêtre et martyr († 1943) (17 février)

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    Le bienheureux Antoni Leszczewicz, prêtre et martyr († 1943) (source : EAQ)

    Antoine Leszczewicz naît le 30 septembre 1890 à Abramowszczyźnie (Lituanie), alors dans l'Empire russe, de parents polonais, Jana et Karoliny Sadowskiej.

    À Saint-Pétersbourg : en 1902 il commence ses études secondaires au lycée catholique de la paroisse Sainte-Catherine ; en 1907 il entre au séminaire catholique, et ensuite à l'académie impériale de théologie; le 13 avril 1914 il est ordonné prêtre.

    Il est nommé vicaire à Irkoutsk à la paroisse de l'Assomption, puis à Tchita, et suit ses fidèles, qui fuient les conséquences de la Révolution d'Octobre, vers l'Extrême orient.

    Il s'installe donc à Harbin en Mandchourie (Chine), où sont réfugiés des milliers d'émigrés de l'ancien Empire russe dont un certain nombre de catholiques. La congrégation des marianistes polonais, où il entrera plus tard, est dirigée à Harbin depuis 1928 par le P. Fabian Abrantovitch. Il est d'abord prêtre à l'église Saint-Stanislas et enseigne, dans les écoles polonaises, le latin, le russe et le catéchisme. Il ouvre une crèche, une école pour enfants de familles catholiques pauvres, et construit une petite église : l'église paroissiale Saint-Josaphat, dont il devient le curé en 1924.

    Le P. Leszczewicz demande à partir pour la Pologne en 1937 et passe par le Japon, où il entend parler du P. Maximilien Kolbe, et prend le bateau pour l'Europe qu'il n'a pas vue depuis de nombreuses années. Il se rend à Rome auprès des marianistes polonais qui l'envoient faire son noviciat en Pologne en 1938. La congrégation des marianistes polonais correspond à ses attentes de congrégation missionnaire moderne. Il prononce ses vœux en juin 1939 et il est aussitôt envoyé à Drouïa à la frontière de la Pologne et de la Biélorussie bolchévique, où la congrégation a ouvert un lycée en 1923, dirigé depuis 1938 par le P. Kulesza. En septembre, les soviétiques envahissent la région. Le lycée des marianistes est fermé et ils sont expulsés de leur maison, mais, curieusement, les communistes n'arrêtent pas les prêtres et les religieuses qui peuvent en habit laïc poursuivre un apostolat discret en ville.

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  • Jésus est-il vraiment ressuscité ? Un livre qui vient à son heure

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    De la maison d'édition Téqui :

    I-Grande-7529-jesus-est-il-vraiment-ressuscite.net.jpgJésus est-il vraiment ressuscité ?

    Bernard LEGRAS

    Préfaces de Jean-Christian PETITFILS et de Mgr Jean-Louis PAPIN

    17 x 18 cm - 120 pages env. - 13,50 env. €

    Office février 2015

    réf. Téqui : 20081

    Editions Téqui

     

     

    Présentation

    Aujourd'hui pas moins de 38 % de personnes se disant « catholiques pratiquantes » ne croient pas à la Résurrection de Jésus. Or, « si le Christ n’est pas ressuscité, comme l’écrit saint Paul, vaine est notre foi. » Ainsi, en 55 de notre ère, le disciple veut s’adresser aux chrétiens grecs de Corinthe, gagnés par les divisions, le laxisme moral et l’incrédulité.

     

    Ce livre, sous forme de questions réponses claires et accessible, permet de se positionner et aide les baptisés à s’approprier leur foi et/ou à répondre aux interrogations des incroyants.

     

    Professeur honoraire à la Faculté de médecine de Nancy, Bernard Legras s’appuie essentiellement sur la raison et son objectivité – non la raison raisonnante emplie de préjugés positivistes – pour expliquer, commenter et débattre sur la Résurrection, il puise dans la pensée de grands auteurs, de haute volée ; il en vient à affirmer : « Si la Résurrection n’avait pas eu lieu, les évangiles n’auraient pas été écrits de la même façon. »

     

    Sans tabou, les thèmes les plus controversés sont passés en revue : l’historicité de Jésus, la matérialité de sa mort sur la croix, l’authenticité du tombeau vide, le mystère qui règne autour des apparitions, leur difficile chronologie : l’argumentation est serrée. N'est-il pas dans ce cas plus rationnel de croire que de ne pas croire ?

     

    À propos de l’auteur

    Professeur honoraire à la Faculté de médecine de Nancy, Bernard Legras a publié de nombreux ouvrages dans le domaine scientifique ou lié à l'histoire de la médecine.