Un article de Massimo Introvigne, dans la Bussola quotidiana, rend compte des recherches d'un historien, marxiste repenti, qui a consacré une oeuvre monumentale au problème des aborigènes d'Australie. Ce travail de "réinformation" vient à point quand on sait l'exploitation éhontée qui a été faite des prétendues "générations volées" pour incriminer l'oeuvre réalisée par des générations de missionnaires chrétiens sur ce continent. A lire absolument :
"Dans l'Encyclique "Caritas in veritate", Benoît XVI a dénoncé "un éclectisme culturel manquant souvent de discernement", dans lequel les cultures sont considérées par une approche relativiste comme étant substantiellement équivalentes et interchangeables." En fait, selon le pape, les cultures peuvent et doivent faire l'objet d'un "discernement" à la lumière de la "loi morale universelle", que la raison peut découvrir, même en dehors de la sphère religieuse; et cela vaut pour toutes les cultures. Une des formes les plus agressives du relativisme culturel moderne, promue notamment par certaines tendances de l'anthropologie moderne qui ont même contaminé des missionnaires chrétiens, est le relativisme anthropologique selon lequel il n'y a pas de vérités ni de valeurs universelles. Chaque vérité prétendûment universelle serait un simple produit d'une culture spécifique et ne serait donc valide que dans cette culture. Les personnes désirant proposer, la vérité et les valeurs nées dans un contexte occidental aux populations d'autres régions de la Terre, considérées comme "primitives" seraient coupables de génocide culturel, voire d'«ethnocide».
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