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Histoire - Page 76

  • Quand Jésus est-il né ? De nouvelles précisions scientifiques

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    D'Edward Pentin sur le National Catholic Register :

    Quand Jésus est-il né ?

    Un chercheur italien situe la naissance du Christ en décembre

    Un entretien avec le chercheur Liberato De Caro de l'Institut de Cristallographie du Conseil National de la Recherche à Bari, Italie

    Giotto di Bondone, “The Nativity of Jesus” [Scrovegni Chapel, Padua], 1303
    Giotto di Bondone, "La Nativité de Jésus" [Chapelle Scrovegni, Padoue], 1303

    9 décembre 2020

    ROME - A l'approche de Noël, le débat se pose souvent sur la date exacte de la naissance de Jésus. La Nativité a-t-elle vraiment eu lieu pendant l'hiver à Bethléem il y a 2020 ans ? Des recherches récentes menées par un groupe de chercheurs italiens suggèrent que oui. 

    Le docteur Liberato De Caro, de l'Institut de Cristallographie du Conseil national de la recherche de Bari, en Italie, qui a dirigé les recherches, propose que la date de naissance de Jésus puisse être déterminée grâce à une compréhension des pèlerinages juifs qui ont eu lieu à cette époque, et comment leurs liens avec la visite de Marie à Elisabeth - et la réaction de Marie à l'attente de Jean-Baptiste par Elisabeth, et la mort d'Hérode le Grand - indiquent que la date de naissance de Jésus a eu lieu en décembre. 

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  • Les martyrs scillitains (en 180 à Carthage) (feuillet pour le temps du confinement)

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  • La vie la plus ancienne de l'évêque Lambert de Maastricht (feuillet pour le temps du confinement)

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  • La maison de Marie et Joseph découverte par un archéologue britannique ?

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    De Philippe Keulemans sur Kerknet :

    Archéologue britannique : "J'ai découvert la maison des parents de Jésus.

    26 NOVEMBRE 2020

    Selon les archéologues israéliens, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour une datation correcte.
    L'archéologue britannique Ken Dark, qui fouille depuis 14 ans sous un monastère à Nazareth, est convaincu d'avoir trouvé les fondations de la maison de Joseph et Marie, où Jésus a grandi. Dark est professeur d'archéologie et d'histoire à l'Université de Reading en Angleterre. Les ruines de la maison familiale typique du premier siècle sont situées sous le couvent des Sœurs, au centre de Nazareth. Je n'ai encore rencontré aucun archéologue professionnel qui doute de mon interprétation.

    La découverte a eu lieu dans une église troglodyte du IVe siècle. La maison date du premier siècle. L'archéologue n'exclut pas la possibilité qu'une église ait été construite sur ce site au premier siècle, étant donné l'importance symbolique du site. Un argument de poids est la haute qualité du bâtiment. Le constructeur avait une très bonne compréhension du traitement de la pierre. Cela correspond à la description de Joseph dans la Bible. Le mot grec ancien "tekton" est généralement traduit par  "charpentier", mais en réalité il décrit un artisan qui est familier avec la construction.

    De plus, l'église qui a été construite plus tard au-dessus de la maison était la plus grande église byzantine de Nazareth dans la période du 5ème au 7ème siècle. La seule explication possible est que ce lieu a dû être d'une grande importance pour la première communauté chrétienne. Un argument supplémentaire est que le couvent des Sœurs de Nazareth se trouve à proximité de la célèbre église de l'Annonciation. Selon la tradition biblique, l'archange Gabriel est apparu ici à Marie. L'emplacement de l'église des sœurs était donc considéré comme au moins aussi important que cette annonce elle-même.

    Is dit het huis van de Jozef en Maria? © Ken Dark

    Est-ce la maison de Joseph et Marie ? © Ken Dark

    Il ne reste plus qu'à se demander pourquoi il a fallu tant de temps pour que quelqu'un réalise l'importance de ce lieu. Une brève étude du célèbre archéologue franciscain Bellarmino Bagatti dans les années 1930 a exclu la possibilité que quelque chose de très important puisse être trouvé dans ce lieu. Cependant, Bagatti n'a pas enquêté sur l'ensemble du complexe du monastère et a ignoré les archives des fouilles précédentes.

    L'archéologue Yardenna Alexandre, du gouvernement israélien pour l'Antiquité, déclare qu'il est encore très difficile aujourd'hui de déterminer de quelle période datent les plus anciens vestiges. Par manque d'intérêt, les sœurs de ce site découvert en 1880 ont commencé les fouilles elles-mêmes, sans la compétence nécessaire. Beaucoup de choses ont été détruites au cours de ce processus. Une nouvelle fouille scientifique doit avoir lieu. Mais même dans ce cas, il est presque impossible de déterminer qui étaient les premiers habitants.

  • Le 27 novembre 1095 : l'appel lancé par le pape pour porter secours aux chrétiens d'Orient et aux pèlerins

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    Du site "Pour une école libre au Québec" :

    27 novembre 1095 — Appel lancé pour porter secours aux chrétiens d'Orient et aux pèlerins

    26 Nov 2020

    C’était il y a près de mille ans. À la fin du XIe siècle, le royaume de France était en petite forme. Il ne représentait pas plus de deux ou trois fois l’actuelle région d’Île-de-France ; le domaine royal était bordé par Compiègne au nord, Orléans au sud, Dreux à l’ouest. Les Capétiens régnaient, mais, dit Jacques Bainville qui est indulgent, ce sont des « règnes sans éclat ». Qui se souvient de ces rois-là, les premiers héritiers du fondateur de la dynastie, Robert le Pieux, Henri Ier, Philippe Ier ? C’est à l’extérieur du royaume que les choses se passent. Chez les Normands en particulier : le duc de Normandie, Guillaume le Conquérant, a mis la main sur l’Angleterre (victoire de Hastings, en 1066, illustrée par la tapisserie de Bayeux), et ce sont aussi des Normands qui sont allés délivrer, à leur demande, les populations catholiques de l’Italie méridionale des expéditions sarrasines.


    « Les malheurs des pèlerins »

    Car c’est un temps de pèlerinages. Des foules de pèlerins chrétiens se déplacent en longues colonnes vers Rome ou Saint-Jacques-de-Compostelle, au nord de l’Espagne, venant manifester leur soutien aux dernières victoires de la Reconquista sur l’islam, après des siècles de conquêtes et de conversions musulmanes induites par des vexations et une forte taxation. Mais c’est le pèlerinage de Jérusalem, par terre et par mer, qui attire les fidèles les plus nombreux et les plus ardents, à partir des sols européens, notamment français. « Il crée une vie neuve, il marque la crise décisive où le vieil homme se dépouille », notent les chroniqueurs de l’époque.

    Ces mouvements de population de l’Occident vers les Lieux saints d’Orient créent des routes, des escales, des dispensaires ; ils développent des échanges de toute nature. Arrivés sur place, les pèlerins rencontrent d’autres chrétiens, d’ancienne tradition qui constitue encore une grande partie de la Syrie et de la Palestine, peut-être encore la majorité des habitants, mais aussi des musulmans. Les communautés prospèrent dans des quartiers séparés. Jusqu’à l’arrivée des Turcs seldjoukides. Les anciens « maîtres tolérants et policés venus d’Égypte font place à des fanatiques durs et tracassiers ». La conquête de Jérusalem par ces Turcs s’accompagne de la persécution et du massacre des chrétiens. Les pèlerins rentrent chez eux effrayés. La nouvelle enflamme la fin de ce XIe siècle. Les Seldjoukides se sont emparés de l’Arménie si lointainement chrétienne, de Smyrne, de Nicée, près de Constantinople.

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  • Notre-Dame de Paris : la Ministre Roselyne Bachelot juge "irrecevable" l'idée de vitraux contemporains

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    Un éventuel remplacement des actuels vitraux de Notre-Dame par des vitraux contemporains, proposition suggérée au sein du diocèse de Paris, a été jugé mardi "irrecevable" par la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot. Lu sur France info culture :

    « Monseigneur Michel Aupetit, archevêque de Paris, a évoqué devant des prêtres de son diocèse l'éventualité d'un geste contemporain avec la création de nouveaux vitraux, en chargeant un groupe de travail de réfléchir au futur aménagement du lieu de culte et à un meilleur accueil des millions de visiteurs, selon de récentes informations de presse.

    "L'Etat est compétent sur tous les décors intérieurs"

    "Le clergé est habilité à amener du mobilier culturel" mais "les vitraux ne sont pas du mobilier" et "l'Etat est compétent sur tous les décors intérieurs", a rappelé Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, auditionnée le 24 novembre par la mission d'information de l'Assemblée nationale chargée de veiller à l'application de la loi Notre-Dame de juillet 2019.

    "La France a signé la convention de Venise (de l'UNESCO) de 1964 qui rend absolument impossible toute dépose des dits vitraux et leur remplacement par des oeuvres modernes. La chose est pour moi irrecevable et contraire aux conventions que nous avons signées", a-t-elle martelé. "Je ne serais pas a priori choquée que des éléments décoratifs plus modernes, plus actuels, puissent être amenés dans une chapelle", a-t-elle tempéré.

    L'éventualité d'un geste contemporain pour reconstruire la flèche avait déjà suscité le débat. La décision a finalement été prise de la reconstruire à l'identique. Interrogée sur le futur aménagement du parvis de la cathédrale, Roselyne Bachelot a aussi indiqué vouloir "défendre le respect paysager" du site.

    Polémique autour de l'usage des donations

    Par ailleurs, elle a vivement rejeté le reproche fait par la Cour des comptes à son ministère, qui regrettait qu'une petite partie des sommes reçues des donateurs soit utilisée pour divers frais de fonctionnement comme la communication, les salaires et les loyers de la maîtrise d'ouvrage. Selon le rapport de la Cour, l'Etat et non l'Etablissement public aurait dû prendre en charge ce budget.

    "Nous ne nous entendrons pas sur cette polémique. Il n'y a pas de sujet" sur cette affaire "claire et transparente", a-t-elle tranché. "La maîtrise d'ouvrage fait partie des travaux de conservation" de Notre-Dame, et "n'est pas détachable" du reste des taches, a-t-elle insisté. »

    Ref. Notre-Dame de Paris : la Ministre Roselyne Bachelot juge "irrecevable" l'idée de vitraux contemporains

    L’ archevêque de Paris moins écouté pour "sa" cathédrale que le chapitre des chanoines de la cathédrale Saint Paul de Liège pour la leur. Il est vrai que l’importance de ces deux  monuments (partim neo) gothiques n’est pas comparable…

    JPSC

  • Sauver le Haut-Karabagh d'un génocide culturel

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    De Jeanne der Agopian sur le site Nouvelles d'Arménie Magazine :

    20 novembre 2020

    Sauvons le Haut-Karabagh d’un génocide culturel !

    https://www.valeursactuelles.com/societe/sauvons-le-haut-karabagh-dun-genocide-culturel-125871

    Jeanne der Agopian, directrice de la communication adjointe de SOS Chrétiens d’Orient, craint que le patrimoine culturel arménien fasse, lui aussi, les frais du conflit. Tribune.

    Alors qu’une partie de l’Artsakh (nom arménien du Haut-Karabagh) est tombée entre les mains des forces turco-azerbaïdjanaises à l’issue d’un conflit inégal, le pire est à craindre pour le patrimoine religieux chrétien et pour l’ensemble du patrimoine culturel arménien, menacé d’un génocide culturel.

    Lorsque Raphael Lemkin forgea le concept de génocide, il était empreint de l’indignation née de l’acquittement de Talaat Pacha, l’un des responsables politiques turcs du génocide arménien, par une Cour de Berlin au nom du primat du droit national. Il note, dans sa conception du génocide, que celui-ci vise à la fois l’élimination physique de la présence d’un groupe, mais aussi l’élimination culturelle des preuves de la présence du groupe en question sur un territoire. Cette élimination des marqueurs culturels peut être le signe avant-coureur du génocide, ou venir après dans le but d’effacer les traces du crime. Tout porte à croire que ce qui se passe actuellement en Arménie et sur les territoires alentours entre dans un tel projet de génocide culturel.

    En effet, le génocide arménien de 1915 s’est accompagné d’un génocide culturel gommant les traces de la présence millénaire arménienne en Asie mineure. Il y avait 2 300 églises et monastères arméniens en Arménie occidentale. Il n’en reste plus que 34 dont 6 en Anatolie. Aujourd’hui encore, certains lieux sont menacés, comme l’Eglise Surp Giragos de Diyarbakir. Réouverte avec le soutien de la municipalité, elle avait permis la renaissance d’une vie arménienne à Diyarbakir. Depuis 2015, elle est propriété de l’état turc et fermée au culte. Des 150 églises et monastères qui se trouvaient autour du lac de Van, seule l’église Sainte-Croix d’Aghtamar subsiste - le monastère l’entourant ayant été détruit pendant le génocide – sauvée dans les années 1950 par l’intervention de l’écrivain, journaliste et militant Yachar Kemal. Les panturquistes ajoutant l’injure à la blessure en prétendant qu’il s’agirait d’une église turque.

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  • KTO : un film sur Saint Grégoire le Grand

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    saint grégoire.jpgGrégoire Ier, dit le Grand, est le 64e pape de l'Église catholique. Il est l'auteur d'œuvres patristiques majeures qui ont marqué et marquent toujours l'histoire de l'Église. Né vers 540, il est élu pape en 590 et décède le 12 mars 604.

    Docteur de l'Église, il est l'un des quatre Pères de l'Église d'Occident, avec saint Ambroise, saint Augustin et saint Jérôme. Son influence durant le Moyen Âge fut considérable.

    C'est en son honneur que, deux siècles après sa mort, le chant élaboré dans les abbayes du diocèse de Metz est appelé « chant grégorien » (sans que l'on sache avec certitude son rôle dans l'évolution et la diffusion du chant liturgique).

     Au risque de blesser sa très chrétienne modestie, ce film se propose de sortir de l’ombre ce noble personnage, dont quatorze siècles n’ont pas encore altéré l’oeuvre immense. SAINT GREGOIRE LE GRAND - Une coproduction KTO/CAT Productions 2020 - Réalisée par Armand Isnard :

    JPSC

  • L'interdiction du culte public est illégale et profite de l'éclipse du pouvoir spirituel

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    Nous publions à nouveau cette tribune de Benoît Schmitz, historien, publiée sur le Figaro Vox durant le premier confinement car elle n'a rien perdu de son actualité :

    L'éclipse du pouvoir spirituel et le sort des libertés publiques

    19 mai 2020

    FIGAROVOX/TRIBUNE - L’historien replace la question de l’autorisation du culte public dans la longue histoire des relations entre l’Église et l’État dans les pays occidentaux. Benoît Schmitz est normalien, agrégé d’histoire et ancien membre de l’École française de Rome. Sa thèse de doctorat, soutenue en 2013, porte sur «Le Pouvoir des clefs au XVIe siècle. La suprématie pontificale et son exercice face aux contestations religieuses et politiques». Dans ses recherches, il s’est intéressé au rôle joué par la papauté dans l’Europe du XVIe siècle en examinant l’usage qu’elle fit du pouvoir d’excommunier et de déposer les princes.

    Le maintien par le gouvernement de l’interdiction du culte public après la fin du confinement, que le Conseil d’État vient de juger illégal, a suscité de nombreuses protestations de la part des autorités ecclésiastiques et des fidèles catholiques. Mais, même s’il y eut quelques exceptions - certains évêques relevant, en substance, que l’Église n’est pas soumise à l’État dans les choses spirituelles, qu’«il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes» (Actes des Apôtres 5, 29) et que le gouvernement s’inspire, dans ses autorisations et prohibitions, d’une anthropologie pour le moins réductionniste -, la ligne dominante, exprimée par la Conférence des évêques de France et son président, ne s’en est pas moins cristallisée très rapidement en un appel à l’apaisement et à l’obéissance au pouvoir civil. Certes, beaucoup de bonnes raisons justifiaient la plus grande prudence: la nocivité d’un virus encore mal connu, l’incurie des autorités publiques, la fragilité d’une société d’autant plus exposée au mal qu’elle se croyait devenue invulnérable aux épidémies, une opinion publique tenaillée par la peur et acquise au sacrifice de certaines libertés pourvu que l’État protégeât les citoyens de la mort, tout invitait sans doute à poursuivre loyalement l’effort national pour endiguer la propagation de la maladie.

    Les arguments qui ont été avancés mais aussi ceux qui ont été passés sous silence ne laissent toutefois pas de surprendre l’historien qui étudie, dans la longue durée, les relations entre l’Église et l’État. En premier lieu, la communication officielle des instances ecclésiales a mis l’accent sur la blessure que le mépris du gouvernement aurait infligée aux croyants. Selon une pente propre au catholicisme contemporain, enclin au sentimentalisme, les décisions du pouvoir n’ont pas été considérées politiquement et juridiquement, mais affectivement, comme si l’Église devait, comme d’autres groupes et minorités, voir d’abord en l’État une sorte de mère dont il faudrait rechercher désespérément la reconnaissance et l’approbation. De surcroît, une bonne part des réactions épiscopales semble avoir été dictée par le refus de tout conflit avec le pouvoir civil. Aucune condamnation formelle de l’atteinte portée à la liberté de l’Église n’a été prononcée, ce qui pouvait se faire même sans appeler les fidèles à la désobéissance civile. Les voies de recours qu’autorise le droit positif et que viennent de suivre avec succès certaines associations de prêtres ou de citoyens, ainsi qu’un parti politique, n’ont pas même été tentées par les évêques. Enfin, si on a rappelé, à juste titre, la tradition chrétienne de soumission aux pouvoirs publics, on a mis sous le boisseau la doctrine tout aussi chrétienne qui fixe de justes limites au pouvoir de l’État et distingue le pouvoir spirituel du pouvoir temporel.

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  • Le martyre de saint Cyprien de Carthage (feuillet pour le temps du confinement)

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  • Nous fêtons le Roi et la Dynastie

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    https://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%AAte_du_Roi

  • En l'honneur de saint Martin de Tours (feuillet pour le temps du confinement)

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