Enseignement - Education - Page 107
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"Eveil à la Culture" : une initiative à découvrir et à encourager
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Oraison dominicale : le Père ne soumet plus à la tentation
« Ne nous soumets pas à la tentation » : cette traduction dite « œcuménique » de la sixième demande du Pater « μὴ εἰσενέγκῃς ἡμᾶς εἰς πειρασμόν, » était en usage dans l’Eglise postconciliaire depuis 1966. Elle a été abandonnée dans la traduction officielle liturgique de la Bible en 2013 mais curieusement maintenue jusqu’ici dans le missel de la forme ordinaire (1970) du rite romain.
Il est intéressant de constater que, dans ce discours prononcé devant le clergé lors de son présent voyage au Mexique, le pape François y a renoncé au profit de formulations plus conformes aux usages antérieurs :
« (…) C’est ce Père que nous prions avec insistance tous les jours. Et que lui disons-nous, entre autres invocations ? Ne nous laisse pas tomber en tentation. Jésus lui-même l’a fait. Il a prié pour que ses disciples – d’hier et d’aujourd’hui – nous ne tombions pas en tentation. Quelle peut être l’une des tentations qui peuvent nous assiéger ? Quelle peut être l’une des tentations qui provient non seulement de la contemplation de la réalité mais aussi du fait de la vivre ? Quelle tentation peut venir de milieux souvent dominés par la violence, la corruption, le trafic de drogue, le mépris de la dignité de la personne, l’indifférence face à la souffrance et à la précarité ? Quelle tentation pouvons-nous avoir sans cesse – nous qui sommes appelés à la vie consacrée, au sacerdoce, à l’épiscopat – quelle tentation pouvons-nous avoir face à tout cela, face à cette réalité qui semble devenir un système inamovible ?
Je crois que nous pourrions la résumer en un seul mot : résignation. Et face à cette réalité, l’une des armes préférées du démon, la résignation, peut nous tenter. « Et que pouvons-nous y faire ? La vie est ainsi ». Une résignation qui nous paralyse et nous empêche non seulement de marcher, mais aussi de faire du chemin ; une résignation qui non seulement nous effraie, mais qui nous fait aussi nous retrancher dans nos ‘‘sacristies’’ et dans nos sécurités apparentes ; une résignation qui non seulement nous empêche d’annoncer, mais qui nous empêche aussi de louer, nous retire l’allégresse, la joie de louer. Une résignation qui non seulement nous empêche de prévoir, mais qui nous empêche aussi de prendre des risques et de transformer.
Par conséquent, Notre Père, ne nous laisse pas succomber à la tentation. (…) »
Un signal ?
JPSC
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Le Mexique catholique, un cas unique en Amérique latine
Dans ce pays l’Église romaine a survécu aux persécutions antireligieuses les plus dévastatrices. Et elle résiste davantage qu’ailleurs au défi des sectes pentecôtistes. Un enfant mexicain martyr sera bientôt canonisé Le Mexique que le pape François est en train de parcourir est un cas atypique par rapport à d’autres pays d'Amérique latine. De Sandro Magister sur son site « Chiesa »
Sa population catholique est, en chiffres absolus, la deuxième du monde, derrière celle du Brésil, et le pourcentage de catholiques par rapport à la population totale - 81 % - n’est dépassé que par celui du Paraguay.
C’est précisément par cette présence de catholiques, nombreuse et surtout solide, que le Mexique se distingue par rapport à d’autres pays latino-américains. Cela pour au moins deux raisons.
La première raison est sa résistance à l’expansion des communautés protestantes de tendance charismatique ou pentecôtiste, alors que celles-ci gagnent du terrain dans d’autres pays, en particulier au Brésil et en Amérique centrale.
Au Brésil, les catholiques constituaient, il y a encore quelques décennies, la quasi-totalité de la population. Aujourd’hui, ils n’en représentent plus que 61 %.
Pour ce qui est de l’Amérique centrale, ils regroupent aujourd’hui moins de la moitié des habitants au Honduras, avec 46 %, et environ 50 % au Guatemala, au Salvador et au Nicaragua.
Au Mexique, l'érosion du catholicisme provoquée par les sectes qui viennent d’être citées se manifeste presque uniquement dans le Chiapas, région qui se situe à la frontière avec le Guatemala et qui est l’une des étapes du voyage du pape François. -
Année Sainte de la Miséricorde : pourquoi et comment gagner l’Indulgence plénière
Dans le document par lequel François proclame l’Année Sainte de la Miséricorde, le pape nous invite à recevoir l’indulgence plénière liée à cette Année. Mais qu’est-ce qu’une indulgence? En ce début de carême, un rappel par l’abbé Stéphane Seminckx sur le site « didoc.be » :
« L’Eglise est l’instrument voulu par Dieu pour notre salut, pour notre conversion. Par elle, nous passons de la mort à la vie, à la vie nouvelle de la grâce, dans le Christ. Deux sacrements sont appelés « sacrements des morts », précisément parce qu’ils nous délivrent de la mort en nous faisant participer de la résurrection du Seigneur. Il s’agit des sacrements de baptême et de réconciliation.
Dans le premier, nous sommes sauvés dans la foi de l’Eglise et lavés de la faute du péché originel (et de nos péchés personnels si nous recevons ce sacrement après l’âge de raison). Dans le second, il s’agit d’une démarche personnelle de conversion, de purification du cœur, dans laquelle nous confessons à Dieu nos fautes, nous demandons pardon pour elles et nous nous proposons de lutter sincèrement en vue de nous améliorer. Le Christ nous pardonne alors par l’intermédiaire du prêtre. Celui-ci nous impose une pénitence.
Pourquoi cette pénitence ? L’Eglise opère une distinction entre le pardon de la faute et la remise de la peine encourue pour la faute. La faute est toujours pardonnée, dans toute confession bien faite. Et cette même confession lève la peine éternelle éventuellement encourue pour un péché grave.
Mais tout péché entraîne aussi une peine temporelle. Pourquoi ? Nous l’oublions trop souvent : commettre le mal — le péché —, non seulement offense Dieu et occasionne souvent un dommage aux autres, mais en outre ce mal nous rend mauvais. Le péché provoque des dégâts dans notre monde intérieur. Il cause également un dommage dans les pensées et le comportement des autres, en vertu de la « communion des saints », cette mystérieuse solidarité de tous les membres de l’Eglise, qui, dans le Christ, forment un seul Corps, de telle sorte que les péchés et les mérites des uns ont une répercussion — négative ou positive — sur les autres (on peut comparer ce « mécanisme » à la loi des vases communicants : si un vase se remplit, tous les autres voient leur niveau augmenter ; si un vase se vide, le niveau des autres baisse également).
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Liège: 24 heures pour le Seigneur
Pour en savoir plus
Les équipes diocésaines des vicariats « Annoncer l’Evangile » et « Evangile et Vie » ont mis les petits plats dans les grands pour vous offrir une journée hors du commun : un événement d’Église d’abord qui rassemblera, nous l’espérons, des chrétiens de tous les âges et des quatre coins de l’horizon du diocèse de Liège. Des approches multiples aussi pour approfondir et vivre diverses facettes de la miséricorde et du pardon dans la vie quotidienne, dans son expression sacramentelle, dans l’engagement au service et dans le monde aussi... Une invitation largement ouverte, une expérience à vivre !
Olivier Windels,
Vicaire épiscopal, coordinateur des « 24h pour le Seigneur ».
Les détails que nous pouvons donner à ce jour :
Comme nous avons eu l’occasion de le présenter dans « Eglise de Liège » (janvier-février 2016, p. 29), les « 24 heures pour le Seigneur » se dérouleront en quatre phases :
- La première, le vendredi 4 mars, sur un mode plus jeune mais ouvert à tous, débutera à 18h00 à la Cathédrale
18h00 : Entrée priante dans les 24h, lecture de la Parole et chants.
19h00 : Animation autour du thème de la miséricorde : témoignage, extrait vidéo …
19h30 : Eucharistie simple autour de notre évêque
20h30 : Veillée de la miséricorde animée par le groupe Nightfever : jeunes et adultes admis !
21h45 : simultanément : Concert du groupe Jesus’trip
Prolongation de la prière silencieuse d’adoration
- La deuxième, toujours à la Cathédrale : longue nuit de prière et d’adoration ; relais – prière pris en charge par divers groupes de jeunes et de moins jeunes. Pour les jeunes, expériences de rencontres solidaires.
- La troisième, le samedi 5 mars, à travers toute la ville de Liège, 22 animations sont proposées en continu de 9h30 à 16h15 autour du thème de la miséricorde et du pardon. Chacun, en groupe ou individuellement, choisira au gré de ses désirs et composera son « menu »; on peut arriver quand on veut et repartir de même (voir l’article d’Eglise de Liège cité).
Les différentes animations (sous réserve de légères modifications de détail de dernière minute !) :
A la Cathédrale : lecture continue de la Parole de Dieu
Au Carmel de Cornillon : Silence et adoration du Saint-Sacrement.
A Saint-Remacle : quand la musique parle de miséricorde : pièces d’orgue commentées
A Saint-Nicolas : quand les images parlent de miséricorde : extrait du film « Human » échanges.
A Saint-Pholien : permanence de confessions individuelles et d’écoute fraternelle.
A Saint-Louis : A l’écoute d’une Parole de miséricorde. Partage biblique.
A Notre-Dame des Anges : Peut-on sortir de la violence ? Animation participative.
A Sainte-Véronique : Nourrir l’affamé, vêtir ceux qui sont nus… Témoignage.
A Saint-François de Sales : On ne joue pas avec la miséricorde !!! ... Et pourquoi pas ???
Découvrir la beauté de la miséricorde à travers le jeu. Animations pour petits et grands.
Au Saint-Sacrement : Silence et adoration guidée du Saint-Sacrement.
A l’abbaye des bénédictines : A l’écoute d’une Parole de miséricorde. Partage biblique.
A Saint-Jean : Peut-on tout pardonner ? Mini-conférence
A Saint-Christophe : L’expérience d’être pardonné. Témoignage d’un ex-détenu.
A Saint-Jacques : Résoudre les causes structurelles de la pauvreté. Qu’est-ce que la dette publique, quel impact de celle-ci sur l’économie et la société ? Animation pour un public peu ou pas averti..
Au Grand séminaire : Altruisme et compassion. Réflexion à partir de la pensée de Matthieu Ricard.
A Saint-Denis : Un retable de la miséricorde ; permanence de confessions et d’écoute fraternelle
A Sainte-Catherine : Chanter la miséricorde : découvrir et approfondir quelques chants.
Saint-Barthélemy : l’Islam et le Dieu de la miséricorde. Témoignage.
Chapelle des Filles de la Croix : La réconciliation, un sacrement méconnu. Mini-conférence.
A Saint-Servais : L’attention à l’autre et le pardon dans le couple. Animation, échanges.
A Saint-Martin : Saint Martin, un modèle de miséricorde et de générosité. Animation adultes, jeunes, enfants.
A Sainte-Marguerite : Quand la miséricorde passe aux actes d’Entraide et de Fraternité… Animation.
- La quatrième, 17h00 à la Cathédrale : célébration ecclésiale de la réconciliation autour de notre évêque.
Un fascicule plus complet sera réalisé d’ici peu ; il précisera davantage le contenu des animations ; il aidera à s’orienter dans la ville (plan situant les diverses églises) ; il donnera des indications pour le parking éventuel ; il signalera des lieux où l’on peut se rendre pour manger son pique-nique.
Ce fascicule vous sera envoyé par mail sur simple demande à l’adresse suivante :
Ces informations seront également disponibles dès que possible sur le site du Diocèse ainsi que celui du Vicariat « Annoncer l’Évangile » : www.annoncerlevangile.be
JPSC
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Carême : jeûne et miséricorde
Lu sur le site « Aleteia »
Pour que vous viviez à fond cette année Sainte, l’Aide à l’Église en détresse a fait appel aux service de l’abbé Amar. Après sa recette du jeûne, place au coaching Miséricordieux. C’est en effet urgent de se perfectionner en la matière, car 2016 est l’année absolue de la Miséricorde, la vraie! Mais attention, l’abbé prévient : « Devenir miséricordieux, ce n’est pas seulement de la gonflette, c’est un vrai entraînement de fond ». Alors calculez dès à présent votre IMC, indice de miséricorde, et suivez le guide : « pour augmenter votre IMC en moins d’1 an et vous sentir divinement bien, suivez mes conseils et astuces, pour un esprit sain(t) dans un corps sain! », conseille le père Amar. Suivez pas à pas sa méthode et perdez chaque jour un peu plus cette rancune, ces préjugés et ce dédain qui vous encombrent.
Enfilez un shirt, une paire de baskets et place à l’expert : primo, « augmentez votre bonté », secundo, « musclez votre compassion », tertio courrez vous confesser et enfin quatro, boostez votre pardon!
Ref. Calculez votre Indice de Miséricorde !
JPSC
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Le chant des offices de la liturgie liégeoise médiévale : une conférence de Marcel Pérès à l’église des Bénédictines au Boulevard d’Avroy le dimanche 14 février 2016 à 15h30
Académie de Chant grégorien à Liège
Secrétariat : Jean-Paul Schyns, Quai Churchill , 42/7 4020 Liège
E-mail : academiedechantgregorienliege@proximus.be
Tél. 04.344.10.89 Site : http://www.gregorien.be
Église de l’abbaye des Bénédictines de Liège
Boulevard d’Avroy, 54
Dimanche 14 février 2016 à 15h30
LE CHANT DES OFFICES DE LA LITURGIE LIÉGEOISE MÉDIEVALE
Trinité, Fête-Dieu, Saint Lambert
CONFÉRENCE
donnée par
MARCEL PÉRÈS
Directeur de l’Ensemble « Organum » et du CIRMA (Centre Itinérant de Recherche sur les Musiques Anciennes).
Les manuscrits présentés portent encore beaucoup d’éléments constitués au cours de la renaissance carolingienne et offrent de précieuses indications sur l’art de la scansion du plain-chant, comme le montrera aussi l’interprétation vocale d’extraits de ces manuscrits.
P.A.F : 10 € (à l’entrée)
Renseignements et réservations : 04.344.10.89 (J.P. Schyns) ou 04. 223.77.20 (demander Sœur Petra)
Voir aussi :
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Carême : un temps privilégié pour la miséricorde
Vu sur le « salon beige »
Chaque jour de carême, un membre des Missionnaires de la Miséricorde présentera un aspect de la spiritualité de la miséricorde divine.
Pour recevoir directement chaque jour la vidéo, inscrivez-vous à l'Infolettre ici.
Ref. Pour vous, la Miséricorde, c’est quoi ?
JPSC
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Benoît XVI : la justice ? Message de carême 2010
Pas de vraie miséricorde sans vraie justice. Le site « riposte catholique » reproduit à ce sujet l’intéressant message de Benoît XVI pour le carême de 2010 :
« Alors que l’année de la miséricorde donne la part belle aux œuvres de justice, que notre monde brandit comme étalon cette divinité des temps anciens, mieux vaut savoir de quoi nous parlons. Avec la profondeur qui est la sienne Benoît XVI ouvrait le carême de 2010 en ces termes La justice de Dieu s’est manifestée moyennant la foi au Christ (Rm 3, 21-22). Écho à l’année de la miséricorde, approfondissement du message de son successeur pour la journée mondiale des malades, (voir notre article) voici donc, à l’aube du carême 2016, le message toujours actuel du pape Benoît XVI
Chers frères et sœurs,
Chaque année, à l’occasion du carême, l’Église nous invite à une révision de vie sincère à la lumière des enseignements évangéliques. Cette année j’aimerais vous proposer quelques réflexions sur un vaste sujet, celui de la justice, à partir de l’affirmation de saint Paul : «La justice de Dieu s’est manifestée moyennant la foi au Christ. » (Rm 3, 21-22)
Justice : « dare cuique suum »
En un premier temps, je souhaite m’arrêter sur le sens du mot « justice » qui dans le langage commun revient à « donner à chacun ce qui lui est dû – dare cuique suum » selon la célèbre expression d’Ulpianus, juriste romain du III siècle. Toutefois cette définition courante ne précise pas en quoi consiste ce « suum » qu’il faut assurer à chacun. Or ce qui est essentiel pour l’homme ne peut être garanti par la loi. Pour qu’il puisse jouir d’une vie en plénitude il lui faut quelque chose de plus intime, de plus personnel et qui ne peut être accordé que gratuitement : nous pourrions dire qu’il s’agit pour l’homme de vivre de cet amour que Dieu seul peut lui communiquer, l’ayant créé à son image et à sa ressemblance. Certes les biens matériels sont utiles et nécessaires. D’ailleurs, Jésus lui-même a pris soin des malades, il a nourri les foules qui le suivaient et, sans aucun doute, il réprouve cette indifférence qui, aujourd’hui encore, condamne à mort des centaines de millions d’êtres humains faute de nourriture suffisante, d’eau et de soins. Cependant, la justice distributive ne rend pas à l’être humain tout ce qui lui est dû. L’homme a, en fait, essentiellement besoin de vivre de Dieu parce que ce qui lui est dû dépasse infiniment le pain. Saint Augustin observe à ce propos que « si la justice est la vertu qui rend à chacun ce qu’il lui est dû… alors il n’y a pas de justice humaine qui ôte l’homme au vrai Dieu» (De Civitate Dei XIX, 21)
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Italie : Beppe Grillo retire son soutien à l'union civile
La réussite populaire du Family Day le 30 janvier à Rome interpelle le deuxième parti d’Italie. Lu sur le blog « salon beige » :
« Suite à l'énorme manifestation pro-famille, le chef du Mouvement 5 étoiles (M5S) a changé d'avis. Dans une note de blog publiée sur le site beppegrillo.it, Beppe Grillo appelle ses sénateurs, qui devront voter les articles du projet d'union civile, à user de leur "liberté de conscience" pour se prononcer sur le point le plus litigieux du texte offrant la possibilité d'adopter les enfants du conjoint. Une volte-face pour le M5S (deuxième formation politique du pays) qui avait jusqu'alors affirmé vouloir voter cette proposition de loi avec le Parti Démocrate.
Beppe Grillo justifie sa décision en expliquant que le Mouvement n'a plus le temps d'organiser un référendum des militants sur le texte. Il semble que ce soit la manifestation monstre du samedi 30 janvier qui lui a fait comprendre que voter ce texte est une erreur.
Le sort de la loi Cirinnà est en péril : le Parti démocrate n'a pas la majorité au Sénat et 34 de ses sénateurs ont fait connaître leurs réserves. Le Parti du Nouveau centre droit (NCD), allié du gouvernement, est fondamentalement contre le texte. Enfin Matteo Renzi lui-même ne soutient la loi que du bout des lèvres et s'en remet lui aussi à la liberté de conscience de ses élus.
Angelino Alfano, ministre de l'intérieur et président du NCD exulte sur tweeter:
"le match est relancé. Toute la loi pourrait sauter".
Le ministre de la Santé, Beatrice Lorenzin, a salué "la victoire de ceux qui réclamaient l'ouverture d'une discussion franche et sincère sur les possibles conséquences néfastes" de l'adoption.
Le « Monde » se demande si Beppe Grillo est réellement convaincu ou s'il cherche à élargir sa base électorale en vue des municipales de juin... »
Ref.
Italie : Beppe Grillo retire son soutien à l'union civile
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F.-X. Bellamy : « Vivons-nous la fin de notre civilisation ? ».
François-Xavier Bellamy est professeur de philosophie et maire adjoint de Versailles. Il est l’auteur d’un essai intitulé Les Déshérités ou l’urgence de transmettre (aux éditions Plon) sur la crise de la culture occidentale.
À l’occasion de cette conférence donnée à Moscou, François-Xavier Bellamy a développé le thème de la crise de la culture vue comme une crise de la transmission. La « fin de notre civilisation » : c’est le diagnostic que le philosophe pose sur la crise de confiance des sociétés occidentales
Ref. Vivons-nous la fin de notre civilisation ?
JPSC
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Où vont les droits de l’homme ?
Une réponse de Gregory Puppinck, directeur du centre européen « Droit et Justice », lors de l’ Université de la vie organisée par Alliance Vita:
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