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Enseignement - Education - Page 116
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Jésus guérit-il encore aujourd'hui?
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Cardinal Burke à Versailles : « De l’Église, nous attendons l’enseignement de la vérité du Christ »
De François de Lens sur le site "Liberté Politique" :
VERBATIM | La paroisse Saint-Symphorien de Versailles recevait ce dimanche 27 septembre le cardinal Raymond Leo Burke, à l’occasion de la sortie de son livre d’entretien (Artège) avec Guillaume d’Alançon. Le cardinal est un homme simple, ne rechignant pas à prolonger sa présence auprès de simples paroissiens, malgré son emploi du temps. « Mon espérance est que l’Église soit de plus en plus fidèle à son identité d’Épouse du Christ. J’espère communiquer cette espérance à travers mon livre. »
Le cardinal est d’abord revenu sur son enfance, et la naissance de sa vocation. Il a rendu hommage à sa famille, à ses parents, et ses grands-parents, immigrés irlandais aux États-Unis, qui lui ont transmis « la foi et sa pratique ». Dans ses entretiens avec Guillaume d’Alançon, il « examine le grand don de [sa] vie de [sa] vocation », réfléchissant « à ce que le Seigneur peut encore [lui] demander comme fidèle serviteur. »
Lorsqu’il était jeune, l’Église était florissante, puis il a vu les effets de la crise au cours de sa formation au séminaire, notamment à cause du « soi-disant esprit du concile Vatican II », différent de son enseignement lui-même. « Le séminaire subissait de manière particulièrement dévastatrice la crise que l’Église a connu au cours de premières années de la mise en ordre des enseignement du concile Vatican II. […] Ayant vécu cette époque particulièrement tumultueuse, marquée symboliquement par les émeutes de mai 68 à Paris, je me suis interrogé sur ce qui était sous-jacent à la tranquillité de mes premières années au séminaire et a conduit à la remise en cause inconsciente et soupçonneuse de la doctrine et de la discipline de l’Église. »
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Bravo les scouts !
Une excellente video évoquant les camp des scouts (GSE) de la 1ère Liège à Couvin cet été :
L'occasion de visiter le site de la 1ère Liège : http://www.gse-liege.be/wp/
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Le pape à Cuba et aux États-Unis : quelle réponse aux vrais défis ?
L’éditorial d’Aymeric Pourbaix dans « famille chrétienne » a le mérite de la clarté sur la nature de ces défis:
À Cuba, la Vierge du Cuivre, sa sainte patronne, est un peu comme Notre-Dame de la Garde à Marseille. Un symbole national ! C’est dans son sanctuaire que pour la première fois les esclaves de l’île, emmenés par leur aumônier, conquirent leur liberté.
Image d’une Église qui progresse dès lors qu’elle apparaît comme une force de libération. C’est vrai aujourd’hui en Asie ou en Afrique. L’Amérique du Sud, elle, a cru un temps en une libération de type marxiste, appuyée sur une certaine théologie. Mais c’est d’abord une libération des esprits et des cœurs dont il s’agit, et qui remet les choses dans l’ordre : la conversion intérieure avant celle de la politique. Cela explique le positionnement délicat et parfois mal compris du pape à Cuba, face à l’idéologie qui asservit le peuple depuis plus de cinquante-cinq ans. Dans un régime à bout de souffle, le Saint-Siège voit loin et veut éviter la guerre civile… au prix de lourds sacrifices pour ses fidèles.
Qu’en est-il de l’autre côté du golfe du Mexique, aux États-Unis, seconde étape du voyage du pape François ? Quelle libération prêchera-t-il à la première puissance mondiale, emblématique d’un Occident – nous – considéré comme chrétien, mais sécularisé et anesthésié par le consumérisme ? Face à cette idéologie qui ne dit pas son nom, l’œuvre de ré-évangélisation semble colossale. Aux évêques américains, en 2008, Benoît XVI avait déjà décrit cette « apostasie silencieuse », athéisme pratique où la foi se dévitalise de l’intérieur. Résultat : on vit comme si Dieu n’existait pas. Et dans le même temps, l’État américain s’acharne à restreindre la liberté d’action des institutions catholiques. Niant ainsi la dimension incarnée et les œuvres de la foi. Comme à Cuba finalement…
Mais les catholiques américains disposent d’un atout majeur : le nombre de vocations sacerdotales, qui remonte depuis plus de quinze ans. Condition essentielle pour la mission, afin de redevenir ce « corps eucharistique » dont parle le théologien William Cavanaugh. Selon cet enseignant de Chicago, l’eucharistie n’est pas un simple culte privé, mais bien une action publique, et même politique. Car dans la liturgie, les fidèles reçoivent un don gratuit qui s’oppose radicalement à la société de consommation. Et ils y manifestent aussi qu’ils ne sont pas vraiment du monde, mais d’abord citoyens du Ciel. Stimulant.
Autre point d’appui pour l’Église : les familles, que le pape rejoindra pour la Rencontre mondiale de Philadelphie. Occasion de préciser son souhait, exprimé mercredi dernier, que la famille « domestique le monde » en nous défendant contre les agressions de l’argent-roi et des idéologies destructrices (gender ). À condition, bien sûr, que l’Église donne aux familles les moyens de réaliser cette ambition. En renforçant le sacrement de mariage plutôt qu’en l’affaiblissant par des exceptions au principe d’indissolubilité ! Mais cela, ce sera le sujet du synode qui suivra.
Ref. Le pape à Cuba et aux États-Unis : libération
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"Foi et philosophies"; s'inscrire aux "Samedis philo" avec Monseigneur Léonard
Samedis philo
Inscrivez-vous au cours de Monseigneur Léonard : "Foi et philosophies" le samedi matin de 9h à 12h d'octobre à février.
Envoyez un mail à l'adresse :
Pour les jeunes (de 18 à 30 ans) Monseigneur Léonard donne un cours de philosophie : "Foi et philosophies"
Il aura lieu à Bruxelles les samedis de 9h à 12h
-le 3 octobre
-le 17 octobre
-le 24 octobre
-le 14 novembre
-le 28 novembre
-le 5 décembre
-le 20 février
-le 27 février
-le 5 mars
-le 12 mars
L'idée générale est de parcourir de manière logiquement organisée les grands courants de la pensée philosophique moderne et contemporaine, d'en discerner les points positifs et moins positifs et d'examiner, de manière critique, leur incidence sur la manière de comprendre la foi et d'élaborer une théologie, c'est-à-dire une compréhension articulée de la révélation chrétienne. Ce qui permet de se situer de manière responsable dans le vaste domaine des courants de pensée actuels.
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Voyage en Amérique : le pape François s'exprime dans une conférence de presse
De Jean-Marie Guénois, directeur adjoint du Figaro, sur son « religioblog » :
Voici la vidéo complète de la conférence de presse et l'article que j'ai écrit dans l'avion et envoyé à Paris, sitôt notre atterrissage à Washington.
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L’Eglise met en joue la Ville de Bruxelles
Petites manœuvres et grande confusion autour de la mise en œuvre du « cours de rien » destiné à concurrencer les cours de religion et de morale dans le réseau officiel de l’enseignement francophone de Belgique. Faut-il rappeler que ce réseau scolarise moins de la moitié des jeunes wallons et bruxellois…
C’est dans « La Libre Belgique » :
« Le pouvoir organisateur des écoles de la Ville de Bruxelles et son échevine Faouzia Hariche (PS) n’en ont pas fini avec l’EPA (l’encadrement pédagogique alternatif), organisé pour les enfants n’ayant pas fait le choix d’un cours de religion ou de morale.
A la suite d’un article paru dans "La Libre" le 12 septembre dernier révélant que la Ville de Bruxelles avait demandé à ses écoles de ne pas organiser de cours de religion ou de morale avant le premier octobre, les évêques de Belgique ont déposé un courrier à la ministre de l’Education Joëlle Milquet (CDH) via Claude Gillard, président de l’instance pour le cours de religion catholique.
Une mission d’inspection mise sur pied
Pour rappel, la Ville a demandé aux enseignants des cours philosophiques de ne pas débuter leurs cours tant que les parents n’avaient pas effectué le choix pour leurs enfants entre un cours de religion ou de morale et un cours d’EPA - ce qu’ils devaient faire pour le 15 septembre. Elle pouvait faire autrement. D’autres écoles ont fait débuter les cours dès la rentrée en fonction du choix des années précédentes ou du choix préalablement indiqué à l’inscription.
L’Eglise s’est inquiétée d’une telle pratique auprès de la ministre de l’Education Joëlle Milquet (CDH). Qui a aussitôt réagi. "Une mission d’inspection a bien été entamée par l’administration à la suite de ce courrier, confirme-t-on au cabinet. Elle a commencé il y a moins d’une semaine. Nous attendons les résultats."
Pour l’Eglise, il s’agit de savoir si la Ville a bien respecté le droit des élèves comme des enseignants. "Quoi qu’il en soit, explique Tommy Scholtès, porte-parole des évêques de Belgique, une telle pratique est dans les faits inacceptable."
Ce nouvel épisode ravive en tout cas les questions qui entourent la mise en place de cet EPA. Pratiquement - qu’y sera-t-il réellement enseigné, comment les écoles pourront-elles l’inclure dans leur programme, qui pourra l’enseigner ? Et philosophiquement - quelle est sa nécessité alors qu’existait déjà le cours de morale, cependant jugé "non neutre" par la cour constitutionnelle ? Il révèle aussi que ce nouveau "cours de rien", comme il fut surnommé, oppose toujours vigoureusement les profs de religion et de morale aux partisans d’une neutralité dure aux premiers rangs desquels se trouve le PS.
Ref : L’Eglise met en joue la Ville de Bruxelles
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« Prions pour le Synode : que ce soit l’Esprit de l’évangile et non l’esprit du monde qui triomphe » (Mgr Aillet, évêque de Bayonne)
Voici l’éditorial de septembre 2015 publié par Mgr Aillet sur le site web du diocèse de Bayonne:
« On a dit que chaque Concile engendre un profil spécifique de sainteté. C’est ainsi que le Concile de Trente, en redéfinissant le sacerdoce catholique, a engendré une lignée de saints prêtres et évêques. Je pense en particulier à ces saints pasteurs qui ont éclairé le grand XVIIe siècle français et qui ont fondé l’École Française de spiritualité : saint François de Sales, Monsieur Vincent, saint Jean Eudes, saint Louis-Marie Grignon de Monfort... Ils ont en commun d’avoir été attentifs aux grandes pauvretés de leur temps, à la fois matérielles et spirituelles, parfois en fondant des oeuvres de charité gigantesques – les filles de la charité de saint Vincent de Paul, pour endiguer le paupérisme de son siècle, la congrégation de Notre-Dame de charité de saint Jean Eudes pour recueillir les prostituées repenties – et des sociétés de prêtres pour la formation du clergé, qui laissait tant à désirer, et pour l’évangélisation des campagnes, par la mise en oeuvre de missions populaires – comme la congrégation de la mission, plus connue sous le nom de lazaristes, ou la congrégation de Jésus et de Marie, appelée plus communément les eudistes. Qui ne verrait d’ailleurs l’actualité pour aujourd’hui de ces grandes intuitions du XVIIe s., en particulier pour ce qui est de la formation du clergé et des missions populaires, pour nous aider à relever le défi de la nouvelle évangélisation propre à notre époque ?
De même, c’est dans les fruits de sainteté qu’il aura produits, que nous pourrons évaluer la vraie fécondité du Concile Vatican II, préparé au XIXe siècle et qui s’est tenu au cœur du XXe. Si le Concile Vatican II a été salué comme le Concile du laïcat, sans rupture avec le Concile de Trente plus centré sur le Sacerdoce, alors il faut s’attendre à une floraison de saints parmi les laïcs et parmi les familles.La vocation universelle à la sainteté n’est-elle pas le ressort le plus caractéristique de la Réforme préconisée par le Concile Vatican II (cf. Lumen Gentium, ch V) ? Je pense par exemple à la béatification de Frédéric Ozanam, fondateur au XIXe siècle des Conférences Saint-Vincent-de-Paul, par Jean-Paul II en 1997. La canonisation de saint José Maria Escriva de Balaguer va dans ce sens, lui qui fut l’apôtre de la sainteté pour tous, à travers l’accomplissement ordinaire du devoir d’état.
En rappelant les exigences de la vie conjugale et familiale, le bienheureux Paul VI, avec l’encyclique prophétique Humanae Vitae, et saint Jean Paul II, avec l’exhortation apostolique Familiaris Consortio, ont tracé la voie à une nouvelle génération de saints pour notre temps. La canonisation des époux Louis et Zélie Martin, annoncée pour le 18 octobre prochain, précisément en marge du Synode de la famille, est emblématique d’une telle programmation pastorale de la sainteté. Si l’on ajoute à cela que la Miséricorde caractérisera le profil de sainteté issu du Concile Vatican II, alors on est en droit d’attendre du Synode de la famille, non seulement que la splendeur de la Vérité de l’Évangile de la famille ne soit pas ternie,et que les couples soient encouragés à vivre saintement leur état, malgré les souffrances et les échecs qui affligent de nombreuses familles aujourd’hui,mais que les situations dites irrégulières soient accompagnées avec miséricorde sur un chemin de croissance qui ne saurait pour autant faire l’économie de la conversion.
C’est que nous ne sommes plus sous le régime de la loi de Moïse, où prenant en compte leur faiblesse et l’endurcissement de leur coeur, le saint Patriarche consentait aux juifs de renvoyer leur femme avec un billet de répudiation (cf. Mt 19). Mais nous sommes entrés définitivement sous le régime de la loi nouvelle promulguée par le Christ ! Si la loi ancienne n’avait pas le pouvoir de rendre l’homme juste, la loi nouvelle, c’est-à-dire la grâce de l’Esprit Saint donnée à ceux qui croient au Christ, a assurément le pouvoir de communiquer la sainteté, en toutes circonstances et quelle que soit notre faiblesse. À condition d’être personnellement accompagné par la communauté de l’Église dans un processus de croissance. Prions donc pour le Synode : que ce soit l’Esprit de l’évangile et non l’esprit du monde qui triomphe. Que le rappel conciliaire de la vocation universelle à la sainteté soit le vrai ressort de la réflexion des Pères synodaux et des préconisations pastorales que le Pape François en tirera. Pour ma part, j’accompagnerai le pèlerinage organisé par la Pastorale familiale du diocèse, de Solesmes à Alençon, du 4 au 8 octobre prochain, pour confier le Synode aux bienheureux époux Martin. »
Ref. Editorial de Mgr Marc Aillet - Notre Église n°62 - septembre 2015.
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Quand justice et miséricorde se rencontrent…
Lu sur le blog « cahiers libres » :
Une tension immémoriale
Le 8 décembre prochain débutera pour l’Église l’année de la Miséricorde. Sans attendre cette date, il m’a paru important de souligner l’importance de celle-ci pour la vie des croyants. De plus, ayant besoin d’un angle d’approche très précis pour ce court article, j’ai choisi d’aborder le sujet de la miséricorde dans son rapport avec la justice.
Thème éternel que ce face à face entre justice et miséricorde ! Très logiquement la justice a été associée à la vérité, et la miséricorde à l’amour. La justice de Dieu nous met face à la réalité de notre péché, de nos contradictions. Quant à la miséricorde, elle déplace le curseur en direction de la bonté : avec elle, Dieu passe outre nos égarements. La justice de Dieu porte la lumière sur nos errements ; la miséricorde, quant à elle, met l’onguent de la tendresse sur nos plaies en y apposant le sceau du pardon. Dieu, à défaut d’être complaisant envers elles, prend pitié de nos faiblesses, parfois même les « comprend ».
De plus, la justice n’est pas seulement l’affaire de Dieu. Nous devons la consolider à notre tour avec nos actes. En religion, cela s’appelle expiation, réparation. Mais point n’est besoin de croire pour cela. En toute justice, nous devons réparer les dégâts que nous avons causés. Par miséricorde, Dieu continue de payer le plus gros de l’addition à notre place – ce qu’il a réalisé principalement en envoyant son Fils dans le monde (dans quelles conditions !).
Cependant, cette distribution des rôle entre justice et miséricorde, vérité et amour, n’est-elle pas trop évidente pour être tout à fait probante ? Les choses ne sont-elles pas un peu plus complexes ? Et si la justice était aussi une question d’amour, et la miséricorde, une question de vérité ?
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De Corydalle à Lérins
Dans l'homélie du pape, prononcée à la cathédrale de la Havane, lors des vêpres de dimanche dernier, on peut retenir ce passage qui introduit opportunément l’article que voici, à paraître dans le magazine trimestriel « Vérité et Espérance-Pâque nouvelle » (sursumcorda@skynet.be) le 30 septembre prochain : « Il est fréquent de confondre l’unité avec l’uniformité, avec le fait que tous font, sentent et disent la même chose. Cela n’est pas l’unité, c’est l’homogénéité. C’est tuer la vie de l’Esprit, c’est tuer les charismes qu’il a distribués pour le bien de son peuple. L’unité se trouve menacée chaque fois que nous voulons faire les autres à notre image et ressemblance. C’est pourquoi l’unité est un don, ce n’est pas quelque chose que l’on peut imposer de force ou par décret »
« Qu’il soit fidèle, plutôt que
minutieusement profilé... »
(Cf. V&E n° 95, Pâque Nouvelle, p. 16)
Il est dans la campagne attique, sur la route qui mène d’Athènes à Eleusis, un patelin oublié aujourd’hui de tous, qui a nom Corydalle. Il importerait peu d’en ressusciter ici le souvenir, si l’endroit n’avait été le théâtre autrefois d’une affaire atroce ; mythologique sans doute, mais donc intemporelle, et, hélas ! ― par le fait même ― toujours bien d’actualité...
Plus évocateur que Corydalle sera probablement le nom de Procuste qui y sévissait. Au dire des Anciens, il offrait avenante hospitalité au voyageur de passage ; mais ce n’était là que tromperie : quelqu’un venait-il en effet frapper à sa porte, après un accueil peint d’affabilités, notre homme plaquait soudain le malheureux sur un lit et s’employait aussitôt à l’étirer ou bien à le rogner, dans sa brutale incapacité à le trouver convenable, qu’il ne l’eût mis au gabarit de cette couche idéale.
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Un inédit à Liège, le dimanche 20 septembre 2015 à 16h00 : les vêpres liturgiques anciennes (Xe siècle) de la fête de saint Lambert célébrées en plain-chant à l’église du Saint-Sacrement
Le chant médiéval avec Marcel Pérès:
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Pour les scouts d'Europe aussi, c'est la rentrée
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