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Enseignement - Education - Page 81

  • La session LEAD s'est tenue le 17 septembre dernier au prieuré de Corsendonk

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  • « Nova et vetera ». Le sentier de la bonne musique liturgique

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    Lu sur « diakonos.be » la version française d’un article publié par Sandro Magister sur son site « Settimo Cielo » :   

    « Je publie un article qu’on m’a envoyé. L’auteur est un illustre compositeur et musicologue, expert en liturgie, directeur de la revue international « Altare Dei » éditée à Macao et à Hong Kong. On peut écouter un extrait de sa « Missa Summorum Pontificum » ici. Il est également l’auteur de la dramatique « déclaration » sur la situation actuelle de la musique sacrée que Settimo Cielo a publiée en mars dernier.

    *

    Vrais et faux amis de la tradition

    par Aurelio Porfiri

     Aurelio_Porfiri_300x300_preview.png« A la mi-septembre s’est déroulé à Rome le pèlerinage des fidèles liés à la forme extraordinaire du rite romain pour célébrer leur fidélité à l’Eglise – une, sainte, catholique, apostolique et romaine – et pour fêter le dixième anniversaire du motu proprio « Summorum Pontificum » qui autorisait une usage plus large du missel antérieur à Vatican II.

    A cette occasion, on m’a commandé une messe que j’ai baptisée « Missa Summorum Pontificum » qui a été exécutée dans la Basilique Saint-Pierre le 16 septembre au cours d’une messe pontificale solennelle célébrée par l’archevêque Guido Pozzo.

    Cette messe reprenait les parties du propre et celles de l’ordinaire. J’ai essayé d’innover dans la tradition « nova et vetera », en prenant le grégorien et la polyphonie comme modèle mais pour composer une musique qui sonne comme en 2017 et pas comme relique du passé.  J’ai d’abord pensé au rythme et ensuite à la musique, en cherchant à comprendre comment ma musique aurait servi au mieux ce moment rituel.  J’ai cherché à faire en sorte que mes morceaux n’alourdissent pas le rite et qu’ils prévoient l’intervention des fidèles là où c’est possible parce qu’il serait erroné de laisser à la réforme postconciliaire le monopole de la participation alors que cette dernière était également réclamée par tous les documents précédant le Concile.  Il est clair que cette idée de participation ne signifie pas qu’il faille se laisser aller à la banalisation, à la médiocrité ni au mauvais goût.  Car malheureusement notre réalité est celle-là.

    Au cours du pèlerinage, j’ai rencontré de véritables amis de la Tradition. Parmi eux, une majorité a approuvé les efforts entrepris pour chercher à montrer combien la Tradition ne consiste pas essentiellement à fixer le passé mais à regarder vers l’origine et à se projeter dans l’avenir.  La forme extraordinaire est toujours jeune quand elle s’habille de courage, elle ne se laisse pas impressionner par la minorité (parce que c’est une minorité mais qui sait faire du bruit) qui a peur du moindre changement.

    On peut ne pas être d’accord avec mon style, c’est parfaitement légitime. Mais on ne peut pas et on ne doit pas penser que la forme extraordinaire serait le culte du passé.  Le catholique (et non le traditionaliste comme l’a bien dit le cardinal Sarah) regarde Jésus qui vient et, sans la Tradition, il tombe dans les bras de l’esprit du monde, même en matière de liturgie.

    Il m’est arrivé, cette année et l’année dernière, d’avoir des conversations intéressantes avec des grandes personnalités ecclésiastiques du monde anglo-saxon en visite à Rome pour le pèlerinage. Quand ils me reprochaient le niveau médiocre de la musique que l’on entend dans les églises italiennes, je tentais de répliquer que la mauvaise influence venait également de chez eux.  Mais que le niveau soit médiocre, on n’a pas besoin de se l’entendre dire.  La recherche de la nouveauté pour la nouveauté nous a jeté dans le gouffre dans lequel nous nous trouvons.

    Moi, j’ai voulu essayer d’emprunter un autre chemin, le « nova et vetera ». Ce qui importe, c’est que la forme extraordinaire ne devienne pas le frigo où l’on conserve les choses pour ne pas qu’elles moisissent mais bien la serre d’où naissent de nouvelles fleurs aux côtés des anciennes.

    Au cours de ce pèlerinage, j’ai croisé de nombreuses personnes amoureuses de l’Eglise, de sa Tradition et de ses rites. Des jeunes et des moins jeunes, issus des quatre coins du monde.  Et ces gens n’avaient pas peur de la nouveauté, ils ne sont pas de ceux que le pape François a qualifiées de « rigides ».  Non, ce sont des personnes d’aujourd’hui qui ne veulent pas perdre la beauté de la liturgie mais qui veulent se perdre dans la beauté de la liturgie.  Je suis l’un d’entre eux.

    Il est clair qu’une partie de ce monde tombe sous le coup de cette définition du pape François. Ce sont ceux qui voudraient vivre dans le passé ou le faire revivre comme si nous étions encore aujourd’hui au XVIè siècle ou plus tard.  Ils n’ont pas le visage serein des pèlerins que j’ai croisés mais ils cultivent des rancœurs et les laissent éclater dans l’ombre.  Je voudrais vraiment les aider comme leur frère dans le Christ et leur dire qu’à chaque siècle, l’Eglise a été à l’avant-garde de l’excellence artistique parce qu’elle a donné lieu à de nouvelles créations.

    De nouvelles créations basées non pas sur le vide ou sur des esthétiques contraires ou opposées à l’esthétique catholique, mais qui prenaient pour modèle la grande Tradition et qui n’avaient rien à envier aux modèles des maîtres précédents qui, avec ces modèles, servaient bien le culte de Dieu.

    J’ai fait de mon mieux. J’ai suivi l’enseignement des papes, à commencer par Saint Pie X.  Je crois au moins avoir contribué à violer une sorte de tabou qui est l’antithèse de ce que l’Eglise catholique a toujours été, une mère toujours féconde de beauté et non, comme certains le pensent, une vieille dame rabougrie qui ne sort jamais de chez elle parce qu’elle est seule et impotente.

    Un article de Sandro Magister, vaticaniste à L’Espresso.

    Ref. « Nova et vetera ». Le sentier de la bonne musique liturgique

    On relira aussi avec profit le texte de cette homélie, extraite du site web du diocèse de Liège,  que nous avons publiée le 25 août dernier : Mgr Jean-Pierre Delville, évêque de Liège : le sens de la forme extraordinaire du rite romain

    JPSC

  • Les "samedis philo" : programme du premier trimestre 2017-2018

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    programme-du-premier-trimestre-2017-2018-3-1_orig.jpg

  • "Bâtir sa maison sur le Roc" : deux cycles de formation au mariage à Bruxelles et à Rixensart

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    Sans titre.jpgBâtir sa maison sur le Roc :
    ce cycle de formation au mariage s’adresse tant aux couples fiancés que mariés, qui souhaitent fonder les bases de leur mariage sur le Christ, pour bâtir leur foyer sur le Roc, à l’aide des enseignements de l’Eglise, d’une meilleure connaissance des vertus humaines du mariage et d’une communication favorisée par des questionnaires préalables à chacune des sept soirées étalées sur une année scolaire. Le tout, dans une ambiance familiale et conviviale. 

    Deux nouveaux cycles de formation à l'amour et au mariage "Bâtir sa maison sur le roc", débuteront en parallèle :

    • l’un à Bruxelles (WSL), chez et animé par Oriane et Christophe de Hemptinne (première soirée le samedi 28 octobre 2017), 
    • l’autre à Rixensart, chez et animé par Véronique et Christophe Depreter (première soirée le vendredi 17 novembre 2017).  
    Les autres dates se trouvent sur le site : www.batirsamaisonsurleroc.be
  • Il y a onze ans : le fameux discours du pape Benoît XVI à l'Université de Ratisbonne

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    VOYAGE APOSTOLIQUE DU PAPE BENOÎT XVI 
    À MUNICH, ALTÖTTING ET RATISBONNE 
    (9-14 SEPTEMBRE 2006)

    RENCONTRE AVEC LES REPRÉSENTANTS DU MONDE DES SCIENCES

    DISCOURS DU SAINT-PÈRE

    Grand Amphithéâtre de l'Université de Ratisbonne
    Mardi 12 septembre 2006

    Foi, Raison et Université:  
    souvenirs et réflexions

    Eminences, Messieurs les Recteurs, Excellences, 
    Mesdames, Messieurs!

    C'est pour moi un moment émouvant que de me retrouver encore une fois à l'université et de pouvoir de nouveau donner une conférence. Mes pensées me ramènent aux années durant lesquelles, après une belle période à l'Institut supérieur de Freising, j'ai commencé mon activité académique comme enseignant à l'université de Bonn. C'était encore le temps – en 1959 – de l’ancienne université des professeurs ordinaires. Les différentes chaires n'avaient ni assistants ni secrétaires propres, mais, en revanche, il y avait un contact très direct avec les étudiants et surtout aussi entre les professeurs. Dans les salles des professeurs, on se rencontrait avant et après les cours. Les contacts avec les historiens, les philosophes, les philologues et naturellement entre les deux facultés de théologie étaient très vivants. Chaque semestre avait lieu ce qu'on appelait le dies academicus, au cours duquel des professeurs de toutes les facultés se présentaient aux étudiants de l'ensemble de l'université. Cela rendait possible une expérience d'Universitas, à laquelle, Monsieur le Recteur magnifique, vous venez précisément de faire allusion. Malgré toutes les spécialisations, qui nous rendent parfois incapables de communiquer les uns avec les autres, nous faisions l'expérience de former cependant un tout et qu'en tout nous travaillions avec la même raison dans toutes ses dimensions, en ayant le sentiment d'assumer une commune responsabilité du juste usage de la raison ; voilà ce que nous pouvions vivre. Sans aucun doute, l'Université était aussi très fière de ses deux facultés de théologie. Il était clair qu'elles aussi, en s'interrogeant sur la raison de la foi, accomplissaient un travail qui appartient nécessairement au tout de l'Universitas scientiarum, même si tous pouvaient ne pas partager la foi, dont la corrélation avec la raison commune est le travail des théologiens. Cette cohésion interne dans l'univers de la raison n'a pas même été troublée quand on entendit, un jour, un de nos collègues déclarer qu'il y avait, dans notre université, une curiosité : deux facultés s'occupaient de quelque chose qui n'existait même pas – de Dieu. Il s'avérait indiscutable dans l'ensemble de l'Université que, même devant un scepticisme aussi radical, il demeurait nécessaire et raisonnable de s'interroger sur Dieu au moyen de la raison et de le faire en relation avec la tradition de la foi chrétienne.

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  • La sexualité et l'affectivité des jeunes au menu du synode 2018 ?

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    De Radio Vatican :

    Synode 2018: «L'Église doit s'emparer de la question de la sexualité des jeunes»

    (RV) Entretien- Dans un an, en octobre 2018, l’Église universelle se penchera sur la situation de la jeunesse. Des évêques du monde entier, entourés d’experts religieux et laïcs, seront en effet réunis en synode autour du thème: «Les jeunes, la foi et le discernement vocationnel».

    C’est dans l’optique de ce synode très attendu que s’est tenu du 11 au 15 septembre, à Rome, un séminaire international «sur la condition des jeunes», rassemblant de nombreux intervenants autour de débats, conférences et groupes de discussion. Les jeunes et l’identité, les jeunes et l’altérité, les jeunes et le projet, les jeunes et la technologie, les jeunes et la transcendance: voici quelques-uns des thèmes qui ont fait l’objet d’interventions durant ce séminaire.

    Certains participants ont cependant déploré que d’autres sujets n’aient pas, ou peu, été abordés, comme ceux ayant trait à la sexualité et à l’affectivité des jeunes. Des questions pourtant cruciales et déterminantes, que l’Église est invitée à prendre en considération et à suivre.

    C’est par exemple l’avis de Thérèse Hargot, sexologue et essayiste. Auteure d’un ouvrage remarqué, Une jeunesse sexuellement libérée ou presque, (éditions Albin Michel), elle a été invitée à participer à ce séminaire et à témoigner de son expérience de femme de terrain auprès des jeunes. Elle répond aux questions de Manuella Affejee.

     

  • L'enseignement de la religion en Belgique : un "grand angle" de KTO

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    Le sens de la vie - Enseigner la religion en Belgique /Documentaire

    L´enseignement de la religion occupe une place toute particulière dans les écoles belges, qu´elles soient publiques (réseau officiel) ou privées (réseau libre). Malgré les attaques dont il a été l´objet au fil de l´histoire, le cours de religion a gardé toute sa place dans le réseau libre et l´enseignement catholique n´a cessé de se développer partout sur le territoire belge. Il totalise à ce jour plus d´un millier d´écoles et une cinquantaine d´internats- Fait exceptionnel en Europe, L´enseignement catholique en Belgique représente environ 50% des écoles et scolarise la moitié des élèves belges appartenant à des profils sociaux, culturels et religieux différents. Comment l´enseignement de la religion catholique se vit-il au sein des écoles, en Belgique francophone ? Quels en sont les enjeux dans un monde en plein bouleversement, une société en quête de valeur et de sens ? Telle sont les questions auxquelles le documentaire se propose de répondre en allant, sur le terrain, à la rencontre d´enseignants et d´élèves de tous âges.

    UNE COPRODUCTION KTO/GRAND ANGLE PRODUCTION 2017 - Réalisé par Christine Stromboni

    Diffusé le 11/09/2017 / Durée : 52 minutes

  • Congo : une chute inexorable…qui nous concerne

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    De Marie-France Cros dans « La Libre Belgique » de ce jour et sur le site « La Libre Afrique » sous le titre « RDC: une chute inexorable » :

    virunga-national-park-1-681x511.jpg" Alors que l’Organisation mondiale de la Santé a lancé ce week-end un cri d’alarme au sujet de l’épidémie de choléra qui s’est propagée à 20 des 26 provinces du Congo sans que le gouvernement de Kinshasa réagisse, le Premier ministre Bruno Tshibala poursuit son séjour à Paris à la recherche d’appuis pour un régime mal en point et tenterait d’y négocier une visite du président hors mandat Joseph Kabila.

    Car, ayant passé le plus clair de ces dernières années à préparer son maintien anticonstitutionnel au pouvoir, le chef de l’État a peu travaillé au bien-être des 80 millions de Congolais. La tension que cela crée – ainsi que l’insécurité juridique dans un pays où la famille Kabila s’est extraordinairement enrichie – font fuir les investisseurs et provoquent une chute régulière du franc congolais depuis 2016; rien que depuis le début 2017, il a perdu plus de 55 % de sa valeur. Kinshasa en rejette la faute sur la chute des prix des matières premières; cela a été vrai mais, depuis septembre 2016, le cours du cuivre ne cesse d’augmenter, alors que la production congolaise de métal rouge a été multipliée par trois depuis 2011.

    Après avoir beaucoup vilipendé les Occidentaux qui ont pris des sanctions contre les principaux responsables des violations des droits de l’homme, Kinshasa a, il y a quelques mois, demandé leur aide financière. En juin, le Fonds monétaire international (FMI) a insisté pour que Kinshasa promulgue un calendrier électoral (toujours absent, alors que la date limite de convocation des élections tombe ce mois-ci) et mette en œuvre des mesures de décrispation politique (alors que le nombre de détenus politiques n’a jamais été aussi élevé).

    Aujourd’hui, le Congo est donc comme une grange où se promèneraient des fumeurs : la moindre flammèche peut y provoquer un incendie.

    En raison de la chute du franc congolais, de nombreuses stations à essence avaient fermé, fin août – après plusieurs hausses du prix au consommateur depuis le début de l’année – les pétroliers assurant vendre le carburant à perte; une commission mixte a été créée début septembre pour trouver une solution.

    La chute du franc et le mauvais état des routes ont aussi entraîné une hausse des prix des denrées alimentaires, qui doublent ou triplent par rapport aux derniers mois selon l’aliment et le lieu considérés. Or, on sait que septembre et décembre sont les mois les plus “explosifs” au Congo en raison du désespoir que causent, dans la population, l’impossibilité de financer la rentrée scolaire et celle de bien manger au moins à Noël.

    La rentrée scolaire du 4 septembre a été peu honorée à Kinshasa, dans le Sud-Ubangui et l’Équateur (nord-ouest du pays), et à Kisangani (nord-est) notamment, à cause des difficultés de paiement des parents et d’une grève des enseignants qui réclament une hausse de leur pouvoir d’achat, amputé de moitié. De nombreux fonctionnaires ont d’importants arriérés de salaire.

    Et alors que la Banque centrale a tout juste de quoi payer seulement deux semaines d’importations – dans un pays si mal géré qu’il importe presque tout – son gouverneur, au début du mois, dénonçait dans “l’État” le “premier mauvais client” des banques du pays.

    Comment arrêter l’inexorable chute du Congo?"

    Ref. RDC : Une chute inexorable

    Le Congo paie toujours les conséquences du péché originel commis par la Belgique : celui d’une indépendance jetée à la figure des autochtones dans l’impréparation la plus totale après 18 mois (janvier 1959-juin 1960) de tergiversations incohérentes et irresponsables. Un bon demi-siècle plus tard, Ponce-Pilate continue à secouer la tête:  azali likambo na ngai mosusu te…

    JPSC

  • Soutien à Arnaud Dumouch : on ne lâche rien !

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    Du Comité de Soutien à Arnaud Dumouch (7 septembre) :

    Le scandale du renvoi sans préavis, sans indemnités, sans faute professionnelle d'un professeur de religion nommé depuis des années, père de famille, jeté à la rue, est à l'étude au Vatican.

    Ce précédent inouï, qu'on ne voit que dans l'Eglise catholique et que l'on ne pratiquait qu'au XIX° s dans la société belge, à un moment où les évêques passent leur temps à se frapper la poitrine pour les fautes de leurs prédécesseurs d'il y a 70 ans, ne peut rester sans suite.

    C'est toute la profession de professeur de religion catholique qui a été mise en danger par des inspecteurs idéologiques. Aucun professeur ne sera plus en sécurité dans son emploi.

    Dans le cas présent, les prétextes sont absurdes au point de faire rire le Président de la "chambre de recours" qui s'est réunie pour la forme, deux jours après le départ de Monseigneur Léonard et pour contourner son avis écrit. L'avocate italienne devant le Vatican parle avec raison d'"Arbitraire".

    Voici l'enregistrement du pauvre frère Jean-Pierre Berger (à partir de la minute 19) et le commentaire du Président de la chambre de recours : "Mais, avec des reproches aussi absurdes, vous allez faire renvoyer tous les professeurs !!"
    http://visitationpourlavie.free.fr/90_2_Fond_du_recours.MP3

    A quoi sert la nomination si on peut retirer d'un simple geste un Visa ecclésiastique et contourner ainsi tout bon sens et toute morale ?

    Les coupables de cette affaire (Frère Patrick Vandeputte, frère Jean-Pierre Berger des frères des écoles Chrétiennes, Michel Gomez et Jean Barbier du Pouvoir Organisateur de l'institut saint Joseph de Châtelet, l'Abbé Jacques Piton et Myriam Gesché qui sont à l'origine de cette histoire à cause de leur conflit idéologique violent avec leur collège de du Diocèse de Namur, Henri Ganty) devront rendre compte devant la justice civile.

    Le scandale de cette affaire est manifeste et, comme disait un des professeurs de l'Institut Saint Joseph, les meilleurs inspecteurs en religion restent les élèves. Voici leur appel, toujours resté sans réponse auprès de Monseigneur Harpigny. Cet évêque se frappera-t-il un jour la poitrine pour son silence ?

    http://visitationpourlavie.free.fr/PetitionCommentairesMai2016.pdf

    Comme vous pouvez le constater sur cette page la pétition lancée par ces élèves est toujours active. Nous ne lâcherons rien jusqu'à la réhabilitation du professeur Arnaud Dumouch !

  • Communauté Saint-Martin : ordinations 2017

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    JPSC

  • Retirer les statues des saints pour ne pas heurter les élèves incroyants ?

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    De Jala Kebbe sur aleteia.org :

    Californie : une école catholique retire ses statues de saints

    L'école San Dominico vante une démarche "inclusive" visant à ne pas heurter les élèves incroyants.

    La plus ancienne des écoles privées catholiques américaines, l’école Saint-Dominique de San Anselmo (Californie) a décidé de retirer les statues de saints et autres symboles catholiques présents dans ses murs. À ce jour, 18 statues sur 180 ont déjà été escamotées.

    L’école, fondée en 1850, n’est plus placée sous la tutelle de l’enseignement catholique local, même si des sœurs dominicaines de San Rafael y sont toujours présentes. Désormais, seulement 20% des élèves se déclarent catholiques. C’est cette réalité administrative et démographique qui aurait poussé la direction à retirer les statues de saints, au risque de créer une nouvelle polémique aux États-Unis, où l’on déboulonne beaucoup de statues en ce moment.

    Des parents catholiques s’opposent en effet à cette décision de la direction qui dénaturerait selon eux l’identité de l’école Saint-Dominique, 167 ans après sa fondation. Certains parents ont ainsi retiré leurs enfants dès le retrait d’une Vierge à l’enfant, reléguée de la cour à la cave : un symbole particulièrement marquant puisqu’il était toujours de coutumes, pour les écoliers croyants, de l’orner régulièrement de couronnes de fleurs. Au-delà des parents d’élèves, ce retrait des statuts est en train de créer une vive controverse sur les réseaux sociaux américains. Elle n’est sans doute pas près de s’éteindre.