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Défense de la Vie - Page 104

  • Rome, 8 mai : Marche pour la Vie

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    Dear . .,

    In less than two weeks-time the March for Life will be held in Rome. 

    The March unites representatives of pro-life movements, from all corners of the globe, in the capital of Christendom. The 2016 March will take place on Sunday, May 8th, starting at 9 am, departing from piazza Bocca della Verità, arriving at noon to St Peter for the Regina Coeli

    It is only through the firm commitment of public testimony, through standing up publicly to defend Life, that we will be able to fight today's culture that, as stated by John Paul II in Evangelium Vitae, strives for hegemony, where a crime becomes a right. The battle for Life has taken center-stage in the court of public opinion; consequently, the support of each and every individual to this March for Life becomes critical to the survival of a society founded on Life, rather than Death. 

    As done with past Marches, also that of this year will be preceded by the adoration of the Blessed Sacrament in the Church of Santa Maria sopra Minerva onSaturday May 9th, starting at 8 pm

    We really hope you will be able to attend the March. 

    Looking forward to meeting you in Rome, we send you our best wishes. 


    March for Life - Italian Committee -  



    Website: www.marciaperlavita.it - E-mail: info@marciaperlavita.it

    Comitato Marcia Nazionale per la Vita - Piazza Santa Balbina 8 – 00153 Rome

     
  • Pologne : un bébé de vingt-quatre semaines survit à un avortement et provoque le débat

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    De la synthèse de presse bioéthique de genethique.org :

    EN POLOGNE, UN BÉBÉ DE 24 SEMAINES SURVIT À UN AVORTEMENT ET RELANCE LE DÉBAT

    Alors qu’en Pologne une proposition de loi visant à restreindre l’avortement a été déposée (Synthèse Gènéthique du 30 mars 2016), Gènéthique revient sur les raisons pour lesquelles le sujet de l’avortement revient sur le devant de la scène polonaise. 

    Republika Television rapporte qu’à la suite d’un avortement bâclé, les médecins et le personnel médical de l’hôpital de la Sainte Famille à Varsovie ont laissé un bébé de 24 semaines pleurer pendant une heure avant de mourir. L’enfant, né vivant le 7 mars 2016, était atteint de trisomie 21. Interrogé par les médias, l’hôpital se défend en arguant que l’avortement s’est déroulé dans le respect de la loi et des procédures médicales. 

    Plusieurs associations polonaises appellent le procureur à poursuivre l’hôpital dans la mesure où l’enfant né vivant était devenu un patient et à ce titre aurait du recevoir un soutien médical. Mi-mars, le Ministère de la Santé, face à l’ampleur émotionnelle de l’évènement, a lancé un contrôle de l’hôpital de la Sainte Famille. 

    Depuis, le Parlement polonais travaille sur une proposition de loi visant à rendre illégal l’avortement dans tous les cas, sauf lorsque la vie de la mère est en danger (Synthèse Gènéthique du 30 mars 2016). 


    Sources: 
  • Défendre la vie, c'est bien mais...

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    De Henri Hude, ces réflexions interpellantes :

    "... je suis déçu de voir nombre de jeunes catholiques, justement soucieux d’engagement politique, militer pour la famille et la vie de manière trop abstraite, sans préoccupation suffisante pour les conditions de vie de plus en plus précaires d’un peuple qui n’a plus d’avenir économique.

    La défense de la vie (Amoris Laetitia, n°83) est probablement de tous les sujets chers (et à raison) aux catholiques (...), celui où ils s’y prennent le plus mal. Qu’on me comprenne bien. Beaucoup d’efforts individuels sont admirables. Malheureusement, ils ne pourront jamais déboucher sur un changement structurel, tant qu'ils ne prendront pas place dans une action politique transpartisane plus audacieuse et plus large. Faute de cet appui, l’approche reste trop partiale, trop étroite et pas assez en lien avec l’expérience des (...) gens.

    Parmi les questions que l’on oublie de poser, quand on parle d'éthique familiale, n’ayons pas peur de répéter celles-ci : comment peut-on fonder une famille quand on ne peut pas payer un loyer et qu’on est forcé de rester chez papa maman[1] ? Comment peut-on nourrir des enfants, quand on n’a pas de travail[2] ? Comment être largement ouvert à la vie quand on sait qu’on ne pourra jamais acheter plus de 50 mètres carrés ? Et peut-être même pas.

    Un système économique où le travail ne permet pas d’élever une famille est profondément immoral. Et prêcher la famille aux pauvres dans ces conditions sans faire en même temps quelque chose pour remédier à des injustices qui crient vers le Ciel, c’est une hypocrisie. Ceux qui installent ce système d’injustice économique portent une grande partie du péché de l’avortement. Quant à ceux qui y vivent bien, qui s’en contentent, et qui font la morale aux gens, ils ne convaincront personne, s’exposant aux reproches de pharisaïsme, de pensée trop superficielle, et bien souvent aussi, d’arrivisme."

    --------------

    [1] « Le manque d’un logement digne ou adéquat » (A.L., n°44).

    [2] « La société vit tragiquement dans beaucoup de pays… ce manque de sources de travail affecte de diverses manières la sérénité des familles (A.L.,n°25). » Il s’agit de « créer les conditions législatives et d’emploi pour garantir l’avenir des jeunes et les aider à réaliser leur projet de fonder une famille (A.L., n°43). »

  • Des centaines de personnes à la Marche pour la Vie

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    Seule la "Marche contre la terreur" qui, à grand renfort de publicité et de soutien médiatique, devait réunir quinze mille personnes et n'en a rassemblé que le tiers, semble avoir capté l'attention des journalistes. Tandis qu'en ce qui concerne la "Marche pour la Vie" qui a rassemblé des centaines de participants malgré un black out total, la presse ne s'intéresse qu'aux contre-manifestants  comme en témoigne ce seul écho publié aujourd'hui sur le site d'un quotidien de la Capitale :

    Une trentaine de contre-manifestants arrêtés en marge de la marche pour la vie à Bruxelles

    La police a arrêté administrativement, dimanche après-midi, 33 contre-manifestants en marge de la marche pour la vie entre le Monts des Arts et le Palais de Justice à Bruxelles.

    Les personnes arrêtées appartenaient aux mouvements féministes Les Malfrap, Féminisme Libertaire Bruxelles, Les Affranchies, les JOC Wallonie-Bruxelles, le Cercle féministe de l’ULB, Activistchildcare et Belges et culottées.

    Les contre-manifestants estiment que le mouvement «pro life» est un mouvement réactionnaire, composé de fascistes et de néoconservateurs en tout genre, qui joue sur la culpabilisation des femmes qu’ils agressent devant les centres de planning familiaux.

    Ils rappellent également que le droit à l’avortement a notamment été remis en question récemment en Espagne et que 80 pc des médecins en Italie refusent encore de le pratiquer.

    «Il nous faut réagir pour empêcher leurs idées sexistes et rétrogrades de se répandre», a soutenu une des participantes. «En Belgique, nous avons lutté pour acquérir ce droit, il n’est pas question que celui-ci soit remis en cause».

  • Le Cardinal Sarah apporte son soutien à la Marche pour la Vie à Bruxelles

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    20130217nw286.jpgLe Cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements, a adressé ce message aux organisateurs : 
    « Je soutiens l'initiative de March for Life Brussels du dimanche 17 avril à Bruxelles qui défend la vie et les plus faibles.
    C'est un combat juste et courageux.
    +RS »

  • Infanticides néonataux : pour une prise de conscience européenne

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    Lu sur genethique.org (Le coin des experts) :

    INFANTICIDES NÉONATAUX, POUR UNE PRISE DE CONSCIENCE EUROPÉENNE

    Ce 13 avril après-midi s’est déroulée au Parlement européen une conférence sur les « aspects médicaux, légaux et éthiques de l’infanticide néonatal ». Grégor Puppinck, expert de Gènéthique, et Claire de La Hougue, docteurs en droit, du Centre européen pour la loi et la justice (ECLJ) ont exposé les résultats de leurs recherches sur cette réalité occultée de l’avortement. Gregor Puppinck répond aux questions de genethique.org :

    G : Pourquoi avoir organisé une conférence aujourd’hui alors que le Conseil de l’Europe a refusé de donner suite à la pétition sur les infanticides néonataux en juillet 2015 ?

    Gr.P. : En effet, on aurait pu se dire qu’après l’absence de réponse à la question écrite du député Pintado le 31 janvier 2014, faute de consensus du Conseil des Ministres, le déni du commissaire européen aux droits de l’homme, le 20 novembre 2014, (cf. les infanticides néonataux doivent être condamnés) qui a considéré que cette question ne relevait pas de sa compétence, l’avis négatif du comité des affaires juridiques et des droits de l’homme de l’Assemblée parlementaire le 23 juin 2016 puis le rejet, le 2 octobre 2015, de la pétition contre les infanticides néonataux (240 000 signatures – la plus importante des annales du Conseil de l’Europe) par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe qui a considéré que le sujet était « trop sensible »et susceptible de « diviser l’Assemblée », nous aurions pu baisser les bras. Mais ce sujet est trop important pour s’arrêter là. Car il ne s’agit pas de situations exceptionnelles, et le tabou qui entoure ces enfants est propice aux abus puisqu’aucun contrôle n’est possible, la plupart des informations provenant de témoignages.

    Des députés membres de l’Assemblée Parlementaire se sont saisis de la question et avaient annoncé qu’ils réintroduiraient ce sujet au Conseil de l’Europe (cf. Le conseil de l’Europe rejette la pétition sur les infanticides néonataux). Cette question n’est donc pas close. En outre, sur la base du rapport que nous avions soumis à l’Assemblée Parlementaire nous avons publié une étude « Enfants survivants à l’avortement et infanticides en Europe » dans la Revue Générale de Droit Médical. Le fruit de ces recherches devait être présenté publiquement aux Parlementaires pour les interpeller sur la maltraitance et l’infanticide des nouveaux nés. Et puis, il était essentiel aussi de donner la parole aux médecins et sages femmes qui ont assisté à des infanticides néonataux et qui ne veulent plus se taire. Nous espérons que ces témoignages et cette présentation ne laisseront pas insensible les membres du Parlement, et les convaincront d’agir.

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  • Bruxelles, église Sainte-Catherine, 16 avril : Veillée d'Adoration et de Prière en faveur de la Vie et de la Protection des plus Fragiles

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    Samedi prochain, le 16 avril à 20h

    Veillée d'Adoration et de Prière
    en faveur de la Vie et de la Protection des plus Fragiles

     Eglise Sainte Catherine à Bruxelles 


    Pour les répétitions de la chorale et des instruments, rdv juste avant la veillée, le 16 avril à 19h00.

    Pour ceux qui ont des problèmes d'hébergement, contacter Claire-Marie Etchecopar par mail (claire-marie@vigilforlife.be).

    S'habiller chaudement !

     
  • La Libre Belgique : à Liège, Tugdual Derville, Délégué général d’Alliance Vita, sera reçu à l’Espace Prémontrés (lundi 18 avril à 18h00)

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  • Marche pour la Vie : "il y a urgence à manifester en masse pour le droit à la vie pour tous et la protection des plus faibles"

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    Un appel d'Action pour la Famille :

    Dimanche 17 avril Marche pour la vie à 15h au Mont des Arts. Bruxelles

     Il y a urgence à manifester en masse pour le droit à la vie pour tous et la protection des plus faibles dans un pays où les violations du respect dû à la vie humaine ne cessent d’augmenter.

     L’avortement est à présent considéré comme un droit des femmes (alors qu’il est seulement dépénalisé dans certains cas précis) et certains veulent en faire un droit humain fondamental. Il ne s’agit pas de nier l’existence de cas particulièrement difficiles, mais peut-on refuser à l’enfant à naître le droit fondamental à la vie tel qu’il est stipulé par la Déclaration universelle des droits de l’homme ? La meilleure réponse à une grossesse non désirée est-elle nécessairement l’avortement ?

    Ne vaut-il pas mieux développer une attitude d’accueil et un accompagnement adéquat qui permettrait aux femmes en difficulté de garder leur enfant ?

     Du côté de l’euthanasie, là aussi nous ne pouvons que constater l’extension de cette pratique. Dans les faits, le nombre d’euthanasies déclarées est en progression forte et constante. Sur le plan légal, après l’élargissement de l’accès de l’euthanasie aux enfants (sans limite d’âge), des propositions de loi ont été déposées pour retirer aux institutions (hôpitaux, maisons de repos etc.) la liberté de refuser de la pratiquer en leurs murs.
     

         De plus, certains veulent autoriser l’euthanasie de personnes qui n’auraient plus conscience d’elles-mêmes, les personnes démentes alors qu’elles sont tout à fait incapables de donner un consentement éclairé à ce qu’on mette fin à leurs jours. Enfin, des propositions de loi visent à rendre illimitée la validité de la déclaration anticipée (actuellement égale à 5 ans) dans laquelle un patient souhaite avoir accès à l’euthanasie dans les conditions de la loi dans l’éventualité où il ne serait plus capable d’exprimer sa volonté. La meilleure réponse à une demande d’euthanasie n’est-elle pas la lutte contre la souffrance, l’écoute, l’empathie et l’accompagnement spirituel ?

     Le minimum que nous puissions faire à l’égard de nos frères et sœurs humains c’est de respecter leur vie. Bien sûr, cela ne suffit pas. La solidarité et la fraternité en sont des compléments indispensables. Mais une société qui ne respecte pas la vie d’autrui est une société qui engendre la violence, aussi bien en son sein, qu’en dehors d’elle.

     Pour toutes ces raisons, il est plus que jamais nécessaire de se mobiliser et de marcher pour la vie, ce dimanche 17 avril ! Venez très nombreux avec vos parents, enfants, petits-enfants, amis etc. pour défendre le droit fondamental à la vie, un droit dont tous les autres dépendent !

     Pour plus d’infos

    http://marchforlife.be/ / Fb https://www.facebook.com/March4LifeBrussels/

  • L'interdiction de la recherche sur l'embryon humain est maintenue en Italie

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    L’INTERDICTION DE LA RECHERCHE SUR L'EMBRYON HUMAIN MAINTENUE EN ITALIE

    La Cour constitutionnelle italienne a réaffirmé la légitimité de l'interdiction de la recherche sur l'embryon humain. Dans une décision du mois dernier, la Cour a déclaré que l'article 13 de la loi 40, une loi de 2004 sur la procréation assistée, était constitutionnelle.

    Cette législation avait été contestée par un couple qui avait créé plusieurs embryons dans une clinique de fécondation in vitro. Ce couple a demandé a ce que les « embryons défectueux » soient mis à disposition pour la recherche génétique, bien que la loi 40 l’interdise.

    Le généticien Bruno Dallapiccola, de l'Hôpital du Bambino Gesù, a commenté la décision : « L'embryon est pas simplement une masse de cellules, mais quelque chose de plus qui mérite d'être respecté. La décision de la Cour constitutionnelle, en maintenant l'interdiction d'utiliser des embryons congelés pour la recherche, confirme ce principe. » Il a également exprimé son scepticisme quant à l'utilité des cellules souches embryonnaires humaines : «On n'a pas obtenu les résultats que beaucoup espéraient. L'idée que la recherche sur cellules souches embryonnaires est utile dans le traitement des maladies graves aujourd'hui est, à mon avis, seul un slogan qui ne se reflète pas dans la réalité. Alors que les cellules souches adultes ont conduit à des résultats tangibles qui sont transférables au travail clinique, et tandis que les cellules pluripotentes induites ont conduit à la création de modèles expérimentaux de maladies, les cellules souches embryonnaires n’ont conduit nulle part ».

    Sources: Bioedge (8/04/2016)

  • Mercredi 13 avril au Parlement Européen : Conférence sur l'infanticide néonatal en Europe

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    Lu sur zenit.org :

    Parlement Européen: Conférence sur l’infanticide néonatal en Europe

    « Une réalité effrayante qui se déroule partout en Europe »

    Le mercredi 13 avril 2013, le Groupe de travail sur la bioéthique du PPE, le groupe Human Dignity et le European Ideas Network organisent au Parlement Européen une conférence sur « Les aspects médicaux, légaux et éthiques de l’infanticide néonatal ».

    Cette question inexplorée et peu connue traite d’une réalité effrayante qui se déroule  partout en Europe : l’infanticide de nouveau-nés qui survivent à un avortement tardif. En effet, dans de nombreux pays d’Europe, l’avortement est autorisé après 20 semaines de grossesse. Entre 20 et 22 semaines, un fœtus peut être capable de respirer et survivre en dehors de l’utérus maternel. Mais puisque l’intention initiale était d’avorter l’enfant, les médecins et infirmières, lorsqu’ils sont confrontés à la situation d’un enfant survivant à un avortement, l’euthanasient le plus souvent, ou le laissent mourir sans lui apporter aucun soin.

    Au cours de cette conférence, Claire de la Hougue et Grégor Puppinck, docteurs en droit, du Centre Européen pour le droit et la Justice (ECLJ) exposeront aux députés le résultat de leurs recherches sur cet aspect occulté de l’avortement. Ils ont publié récemment une étude « Enfants survivant à l’avortement et infanticides en Europe » à la Revue Générale de Droit Médical, sur la base d’un rapport remis au Conseil de l’Europe et soutenu par plus de 225 000 personnes.

    Au Parlement Européen, l’ECLJ présentera aussi des vidéos de témoignages de médecins et de sages-femmes qui ont assisté en France, de différentes manières, à des infanticides néonatals d’enfants nés prématurément.

    L’ECLJ espère que cette présentation convaincra des membres du Parlement Européen à agir sur cette importante question, et en particulier ;

    1. D’enquêter sur la situation des enfants nés vivants durant leur avortement.

    2. De réaffirmer que tous les êtres humains nés vivants ont le même droit à la vie et aux soins de santé appropriés et nécessaires sans discrimination fondée sur les circonstances de leur naissance.

    3. De recommander aux États membres de prendre en compte le seuil de viabilité des fœtus humains dans leur législation relative à l’interruption de grossesse.

    La conférence sera donnée en français et sera traduite en anglais, en allemand et en espagnol le mercredi 13 avril 2016, de 15:30 à 17:00, salle SDM-S3, Parlement Européen, Strasbourg.

    Inscriptions à l’adresse suivante: epp-bioethics@europarl.europa.eu

  • La carte du plus grand holocauste silencieux de l'Histoire

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    Il fait vingt mille victimes par an en Belgique (c'est plus qu'il n'y a d'habitants à Poperinge), 200.000 en France (autant qu'il y a d'habitants à Charleroi) ...

    Voici la carte de l'avortement sur la planète (source) :

    • en rouge : interdit ou autorisé seulement pour sauver la vie de la mère ou en cas de viol;
    • en orange : pour des raisons de santé
    • en jaune : pour des raisons socio-économiques
    • en vert : sans restrictions
    • en gris : données non disponibles

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