Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Culture - Page 343

  • Protestations contre un spectacle outrageant la foi chrétienne à Paris

    IMPRIMER
    "Jeudi 21 octobre se tenait à Paris un spectacle intitulé "Sur le concept du visage de Dieu". Ce spectacle fait polémique chez les catholiques car certaines scènes sont jugées blasphématoires. Une manifestation organisée contre ce spectacle a failli virer au drame."
    Voir ici : http://www.terrafemina.com/ (article et video)

  • L’Académie de Chant Grégorien lance un nouveau cycle de cours à Liège

    IMPRIMER

    imagesCAJXVX6L.jpgLe grégorien : pour qui, pourquoi ? outre sa principale fonction de servir la liturgie, le chant grégorien occupe une place primordiale dans l’histoire et le patrimoine musical de l’Occident. Or, il n’existe en Wallonie et à Bruxelles, aucune école ou académie où il soit enseigné.

    L’Académie de Chant grégorien a été créée pour combler cette lacune. Le samedi 12 novembre 2011 à 15h, elle ouvre à Liège son cycle de cours 2011-2012 dans les locaux de l’église du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy, 132 (face à la statue équestre de Charlemagne). La formation est ouverte à tous, sans prérequis.

    n663488723_6811.jpgCe cycle illustrera « Les quatre saisons du plain-chant » (les plus belles monodies et diaphonies de l’année liturgique) en douze leçons dirigées par Stéphan Junker, professeur au conservatoire de Verviers : de 15 à 17h30 les samedis 12/11/11, 26/11/11, 10/12/11, 14/1/12, 28/1/12, 11/2/12, 3/3/12, 17/3/12, 31/3/12, 28/4/12, 5/5/12 et le jeudi soir 10/5/12. La journée festive de clôture aura lieu le samedi 12 mai 2012.

    En option, on peut également s’inscrire à un travail individuel de la voix (4 leçons d’une heure, à fixer avec le professeur). Un séminaire d’initiation à la lecture des neumes et à la fonction liturgique du chant grégorien est également prévu.

    Enfin, la possibilité est offerte d’inscrire des jeunes (de 8 à 16 ans) à l’académie des juniors (cinq leçons de deux heures, les samedis après midi à convenir avec le professeur). C’est Erna Verlinden (chef de chœur et professeur de l’Académie à Bruxelles) qui a été sollicitée pour animer ce cycle des juniors (10 inscrits minimum sont nécessaires).

    Pour se renseigner ou s’inscrire

    Tél. 04.344.10.89 (en cas d’absence : portable 0498.33.46.94)

    e-mail jpschyns@skynet.be

    Site web : www.gregorien.be (inscriptions en ligne)

  • 22 octobre : bicentenaire de la naissance de Franz Liszt

    IMPRIMER

    image092.jpgSait-on combien Liszt fut un compositeur religieux et tout particulièrement catholique ?

    « Tu appartiens à l’art, pas à l’Eglise »; ainsi Adam Liszt tentait-il de convaincre son fils adolescent, lorsque Liszt, âgé de 15 ans, lassé du rôle d’« animal de compagnie artistique » célébré par les salons, se mit à témoigner un intérêt grandissant pour la littérature religieuse, voire pour une carrière ecclésiastique. L’autorité paternelle a triomphé, cependant, mais Liszt n’a jamais perdu de vue, même pendant ses années virtuoses les plus tumultueuses, les éternelles questions relatives à la croyance, à l’Eglise et à la musique religieuse.

    Lire la suite

  • Au sommaire du numéro 1503 de l'Homme Nouveau (22 octobre 2011) :

    IMPRIMER

    Dossier

    Mgr Dominique Rey, évêque missionnaire. Dans un entretien, Mgr Rey, évêque de Fréjus-Toulon, pose les bases de l'avenir du catholicisme en France.

    Evénement

    Fontgombault : Un nouveau père abbé. Le 7 octobre dernier, Mgr Armand Maillard conférait la bénédiction abbatiale au nouveau père abbé de Fontgombault, dom Jean Pateau. Une cérémonie d'Église émouvante.

    Actualités

    Au Kosovo, la restauration des églises avance.

    La guerre juste prônée à nouveau par le Saint-Siège.

    L'Élysée face à un Sénat de gauche.

    En Syrie, les chrétiens encore délaissés.

    Culture

    Les Questions disputées sur la vérité de saint Thomas.

    Tintin : Une lecture attentive d'Hergé.

    Visite au pays des comédies de Shakespeare.

    Figure spirituelle

    Bienheureux Bartolo, sauvé du spiritisme par Marie.

    Magistère

    Transfert de compétence au sein de la Curie romaine.

  • Apprécier les choses humaines participe à la beauté du christianisme

    IMPRIMER

    Le 25 juillet 2007, lors d'une rencontre avec des prêtres italiens, Benoît XVI a tenu des propos qui en étonneront sans doute plus d'un mais qui sont dans le droit fil de la vision catholique de l'existence où les choses d'ici-bas ont toute leur consistance :

    (ZENIT.org) – Le secret de la beauté du christianisme réside aussi dans le fait d’apprécier les choses humaines car nous vivons « les pieds sur terre et le regard tourné vers le ciel », a déclaré Benoît XVI.

    Le pape a rencontré, hier, mardi, quelque 400 prêtres des diocèses de Belluno-Feltre et Trévise, dans l’église de sainte Justine martyre, près de Lorenzago di Cadore où il poursuit ses vacances jusqu’à vendredi. Il a répondu aux questions posées par dix d’entre eux.

    Lire la suite

  • "Anges et démons" sur nos petits écrans : un film cathophobe

    IMPRIMER

    Le 6 mai 2009, le Salon Beige mettait cette note en ligne sous la signature de Michel Janva :

    "Anges & Démons : un film cathophobe"

    Dans un dossier de 5 pages, L'Homme Nouveau décrypte le film Anges & démons, qui sort bientôt au cinéma. On y lit notamment cette révélation du père Bernard O’Connor, prêtre canadien qui travaille à la Congrégation pour les Églises orientales et chroniqueur régulier du magazine américain Inside the Vatican, dans lequel il a raconté être allé se mêler à l’équipe d’Anges et Démons à Rome :

    Lire la suite

  • Les PRINCIPES NON NEGOCIABLES

    IMPRIMER

    Il est de plus en plus fréquent d'invoquer "les principes non négociables" que les catholiques, mais aussi les non-catholiques, ne devraient jamais perdre de vue dans leur engagement dans la Cité. Ces trois principes ont été mis en avant dans le dicours que le pape Benoît XVI a adressé aux participants d'un Congrès promu par le Parti Populaire Européen, le 30 mars 2006. Il s'agit du

    • respect de la vie
    • respect de la famille
    • respect des parents à l’éducation de leurs enfants

    Eminents Parlementaires,
    Mesdames et Messieurs,

     

    Je suis heureux de vous recevoir à l’occasion des Journées d’étude sur l’Europe, organisées par votre groupe parlementaire. Les Pontifes romains ont toujours accordé une attention particulière à ce continent. L’audience d’aujourd’hui le démontre une nouvelle fois, et s’inscrit dans une longue série de rencontres entre mes prédécesseurs et les mouvements politiques d’inspiration chrétienne. Je remercie M. Pöttering des paroles qu’il m’a adressées en votre nom, et je lui présente, ainsi qu’à chacun de vous, mes cordiales salutations.

    Actuellement, l’Europe doit faire face à des questions complexes de grande importance, telles que la croissance et le développement de l’intégration européenne, la définition toujours plus précise de politiques communes au sein de l’Union et le débat sur son modèle social. Pour atteindre ces objectifs, il sera important de s’inspirer, avec une fidélité créative, de l’héritage chrétien qui a apporté une contribution tout à fait particulière à la formation de l’unité de ce continent. En tenant compte de ses racines chrétiennes, l’Europe sera capable de donner une orientation sûre au choix de ses citoyens et de ses peuples, elle renforcera sa conscience d’appartenir à une civilisation commune et elle consolidera l’engagement de tous dans le but de faire face aux défis du présent en vue d’un avenir meilleur. Par conséquent, j’apprécie la reconnaissance accordée par votre groupe à l’héritage chrétien de l’Europe, qui offre de précieuses orientations éthiques dans la recherche d’un modèle social qui réponde de manière adéquate aux questions posées par une économie déjà mondialisée et par les mutations démographiques, en assurant la croissance et l’emploi, la protection de la famille, l’égalité des chances pour l’éducation des jeunes et la sollicitude pour les plus pauvres.

    Lire la suite

  • Prendre la mesure de la gravité de la situation

    IMPRIMER

    formatage-masques-malko.jpgLorsqu'on se rend sur des blogs et des sites d'information étrangers, ils ne semblent pas s'intéresser à ce qui se passe réellement chez nous et la récente affaire concernant Mgr Léonard et ses conseils pastoraux adressés aux laïcs exerçant des responsabilités au sein de l'école ne paraît pas avoir retenu leur attention. Pourtant, la situation est grave et il ne s'agit pas d'un quelconque accident de parcours.

    Si l'on devait tirer des conclusions de cette affaire, il faudrait, me semble-t-il, relever celles-ci :

    - le primat de Belgique ne dispose pas du droit à l'expression même dans le cadre d'une réflexion pastorale publiée dans une revue diocésaine; ses propos sont immédiatement déformés, dénoncés et condamnés sans appel;

    - le primat de Belgique n'a pas le droit d'exercer son influence sur l'enseignement catholique en rappelant l'enseignement de l'Eglise;

    - le primat de Belgique est seul; ses frères dans l'épiscopat restent retranchés dans leur mutisme et ses collègues référendaires pour l'enseignement se gardent bien d'intervenir;

    - l'enseignement catholique (SEGEC) prend publiquement ses distances par rapport à ce qu'il est censé représenter, rejette les directives de l'archevêque et est suivi en cela par les organisations de parents qui marquent leur désapprobation;

    - il n'y a plus de réel pluralisme au sein de l'opinion publique belge (francophone, mais c'est la même chose au Nord); un consensus y règne, conditionné par la RTBF, RTL-TVI, les grands quotidiens (Le Soir, La Libre) et même par les médias catholiques (où l'on voit l'hebdomadaire "Dimanche" titrer : "Mgr Léonard sème le trouble dans les écoles");

    - la distinction entre la sphère religieuse et celle du politique n'est plus respectée dans notre pays comme en attestent les prises de position de la classe politique (tous partis confondus) pour stigmatiser les propos de Mgr Léonard, certain allant même jusqu'à inciter des fidèles à boycotter des offices religieux. Lorsque la distinction entre le politique et le religieux disparaît ainsi, on évolue alors dans un contexte totalitaire qui ne dit pas son nom;

    - en-dehors de Belgicatho (entre 650 et 800 visites par jour), il n'y a guère de voix qui se soit fait entendre pour tenir un discours différent; la dictature du politiquement et culturellement correct est solidement établie; quelle sera l'étape suivante pour étouffer les voix discordantes?

    On le voit, la situation est bien plus grave qu'il n'y paraît et presque tout le monde semble s'y être résigné. Lorsqu'insensiblement un système démocratique glisse vers une forme de démocratie totalitaire, on peut être légitimement inquiet en pensant aux mesures que préconisait Rousseau dans son Contrat Social à l'égard de ceux qui n'accepteraient pas de se rallier à la "volonté générale"...

  • La théorie du gender n'est qu'une composante d'un processus révolutionnaire mondial

    IMPRIMER

    "Marguerite A. Peeters est la directrice de l’Institute for Intercultural Dialogue Dynamics à Bruxelles. Professeur à l’Université pontificale Urbaniana, elle a publié environ 290 rapports détaillés sur les évolutions de la gouvernance mondiale. Auteur de La mondialisation de la révolution culturelle occidentale : concepts-clefs, mécanismes opérationnels (Bruxelles, 2006), elle s’est intéressée, à ce titre, aux questions de gender. Marguerite A. Peeters a participé au colloque organisé sur la théorie du gender par l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon en septembre."

    Nouvelles de France

    source de la video : http://webtvcn.fr/?p=46497

  • Un nouveau livre de Jean SEVILLIA : "Historiquement incorrect"

    IMPRIMER

    historiquement.jpg

    Présentation de l'éditeur : " En France, plus que jamais, le passé s’invite dans le débat d’idées,mais sur le mode polémique.

    Qu’il s’agisse de définir l’identité nationale ou de s’interroger sur la place de la religion dans l’espace public, que la controverse porte sur l’héritage de l’Occupation ou sur les séquelles de la décolonisation, qu’il soit question de la réforme des programmes d’histoire à l’école ou de la création d’une Maison de l’histoire de France, tout est matière à division. Mais la discussion est biaisée au départ, car les préjugés idéologiques, les tabous du moment et les intérêts partisans interfèrent dans le débat.

     En dix chapitres, en voici autant de grands exemples. Quelle a été vraiment la part des Arabes dans la transmission du savoir antique au Moyen Âge ? L’Église a-t-elle fait obstacle à la science ? À qui a profité la colonisation ? La Première et la Deuxième Guerre mondiale ont-elles été menées au nom des droits de l’homme ? Quel rôle l’immigration a-telle joué dans la construction de la France ? Quelle est la place de l’islam dans notre histoire nationale ? "

    On peut se le procurer dans toutes les bonnes librairies. Ce livre fait suite à "Historiquement correct". (cite et culture.com)

  • Un pays en pleine déchéance

    IMPRIMER

    Il est de plus en plus désespérant d'habiter ce pays. La mesquinerie linguistique hypothèque le "vivre ensemble" et accapare les énergies des politiques alors qu'il y a tant d'autres urgences. L'économie belge est menacée par les agences de cotation qu'inquiète notre instabilité chronique. L'immigration massive déstabilise peu à peu certaines régions. L'insécurité gagne du terrain et les actes d'incivilité deviennent monnaie courante.

    Mais ce qui nous inquiète le plus, c'est que, dans notre pays, aucun homme ou femme politique ne se fait entendre pour défendre les valeurs non négociables : le respect de la vie humaine de la conception à la mort naturelle, la défense de la famille fondée sur l'union entre un homme et une femme et ouverte à l'accueil de la vie, la liberté d'éducation où les parents sont considérés comme les premiers responsables de l'éducation de leurs enfants. Alors qu'en France, en Italie (même à gauche), en Espagne... des hommes politiques relaient ces valeurs, nous n'en trouvons aucun chez nous. C'est comme si notre pays avait contracté une espèce de sida mental et était devenu incapable de résister à toute forme de mal susceptible de dégrader le climat politique, social, culturel et moral. Toute voix qui se ferait entendre pour contester ce processus de délitement généralisé est aussitôt dénoncée, stigmatisée, condamnée sans appel.

    Au milieu de ce processus de dégradation, l'Eglise ne fait malheureusement pas exception. Ses institutions ("piliers") ne sont plus chrétiennes que de nom, ses pasteurs sont muets; seuls sont entendus ceux qui contestent l'institution et se singularisent par des prises de position subversives. Mgr Léonard est le seul qui ose faire entendre un discours différent mais on voit le sort qui lui est réservé tandis que ses confrères restent "planqués". Ce qui arrive à notre archevêque confirme étrangement les théories de René Girard selon lesquelles une société en proie à tous les facteurs de dissociation peut tenter de retrouver une cohérence en se réunissant dans le même rejet du bouc émissaire.