Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Culture - Page 340

  • Une réalité historique occultée : les esclaves chrétiens en Méditerranée

    IMPRIMER

    Sur le site des Archives de Sciences Sociales des Religions, nous trouvons ce compte-rendu d'un livre paru en 2006 : Robert C. Davis, Esclaves chrétiens, maîtres musulmans. L'esclavage blanc en Méditerranée (1500-1800), Cahors, Éditions Jacqueline Chambon, 2006, 335 p.

    "L'une des scènes les plus populaires de Molière est celle où le fourbe Scapin extorque cinq cents écus à Géronte en lui faisant croire que son fils Léandre a été emmené à Alger comme esclave. « Que diable allait-il faire dans cette galère ? » se lamente Géronte, qui finit par lui remettre cet argent, le prix de la rançon. Cet épisode des « Fourberies de Scapin », exposé sur le mode comique, révèle en fait une pratique relativement fréquente et, en tout cas, dramatique que Robert C. Davis présente et analyse dans ce livre passionnant sur l'esclavage des chrétiens par les Turcs et leurs corsaires algérois, tunisiens et tripolitains. L'esclavage des Blancs, explique l'auteur, minimisé et tenu pour relativement doux en comparaison de celui des Noirs dans les Amériques, offre pourtant des chiffres qui montrent l'étendue d'une activité qui se maintiendra jusqu'au xixe siècle et ne disparaîtra qu'avec l'installation du colonialisme français...

    lire la suite ici : http://assr.revues.org/3905?&id=3905

    Carmen Bernand, « Robert C. Davis, Esclaves chrétiens, maîtres musulmans. L'esclavage blanc en Méditerranée (1500-1800) », Archives de sciences sociales des religions [En ligne], 136 | octobre - décembre 2006, document 136-30, mis en ligne le 12 février 2007. http://assr.revues.org/3905

  • Pour philosophes en herbe

    IMPRIMER

    1764_9782953607833_132066489264973300.jpg« Brunor n’a pas froid aux yeux. Il s’est embarqué dans une série philosophico-théologique  : « Enquête sur Dieu – Les indices pensables », dont paraît le tome 3. De façon très pédagogique, par la BD et l’humour, il veut rendre accessibles, dès l’adolescence (à partir de 15-16 ans), des problèmes fort complexes, autour de la science et de la foi.

    Tom, un jeune d’aujourd’hui, s’est lancé dans une enquête sur l’existence de Dieu. En s’interrogeant d’abord sur le commencement de l’univers et son histoire (tome 1  : Le Mystère du soleil froid, éd. Du Jubilé, 13 €), puis sur le commencement de la vie (tome 2  : Un os dans Évolution, éd. Du Jubilé, 13 €).

    Dans ce nouvel album, Le hasard n’écrit pas de messages, il interroge des spécialistes sur trois grands commencements  : de l’univers, de la vie et de la pensée. Le livre fourmille de personnages, mais aussi d’astuces visuelles et graphiques pour récapituler les grands courants de la pensée humaine sur ces questions, et faire comprendre, de façon simple et amusante, des notions difficiles. Car, à la suite de Tom, Brunor nous conduit à nous poser cette question capitale  : « A-t-on jamais vu le hasard, réputé aveugle et idiot, écrire le moindre message intelligent  ? » Autrement dit, une intelligence créatrice serait-elle à l’origine de l’infinie complexité des merveilles de l’univers  ? Et qu’en est-il de l’homme, chef-d’œuvre de l’Artiste  ? Réponse… dans le tome 4  ! »

    C’est signé Marie-Catherine d’Hausen, ici :Le hasard n'écrit pas de messages (vol. 3) | Famillechrétienne.frLivres –

  • Neutralité ou pluralisme : un cycle de rencontres organisé à l’Université de Liège

    IMPRIMER

    photos_services_admissions_place_du_xx_aout.jpgA l’initiative du groupe de réflexion « Ethique sociale », l’Union des Etudiants Catholiques de Liège organise à l’Université de Liège un cycle de « lunch-débats » sur le thème « Neutralité ou Pluralisme ». Entre liberté des consciences et marché libre de la pensée, quelle est la place légitime des religions et des idéologies dans l’espace public ? Entre neutralité et pluralisme, quelle doit être l’attitude des institutions de l’Etat ? Ce thème soulève beaucoup de questions de principe ou d’actualité auxquelles seront appelés à répondre huit orateurs spécialisés :

    • Mercredi 23 novembre 2011 : Les catholiques et la vie politique : présentation du Chanoine Éric de Beukelaer, Doyen de l’Unité pastorale « Rive Gauche » de Liège, auteur du livre « Credo politique »
    • Lundi 5 décembre 2011 : Humanisme, Libéralisme et socialisme : présentation de Laurent de Briey, professeur au Département des sciences politiques des Facultés Universitaires Notre-Dame de la Paix à Namur, Directeur du CEPESS  - Centre d'études politiques, économique set sociales à Bruxelles
    • Mercredi 25 janvier 2012 : Questions et compatibilité entre Christianisme et Franc-maçonnerie: présentation de Philippe DEITZ, ancien fonctionnaire public et membre de la Grande Loge Régulière de Belgique (GLRB).
    • Mardi 28 février 2012 (date à confirmer) : le laicisme et laicité dans les institutions de l’Union Européenne : présentation de Mario MAURO, député au Parlement européen, membre de la Commission des affaires étrangères
    • Mardi 27 mars 2012 : Politique et Religion dans la pensée grecque : présentation de André MOTTE, professeur ém. à l’Université de Liège, président du Groupe universitaire de contact (FNRS) pour l’étude de la religion grecque
    • Mercredi 25 avril 2012 : Neutralité ou pluralisme dans l’espace public : présentation de Francis Delpérée, sénateur, professeur ém. de droit constitutionnel à la Faculté de droit de l'Université Catholique de Louvain (UCL) 
    • Mardi 29 mai 2012 : Religions et État et dans l’Islam : présentation de Vincent LEGRAND, professeur à  la Faculté des sciences économiques, sociales, politiques de l’Université Catholique de Louvain (UCL), ancien chargé de cours au Centre interdisciplinaire d'étude des religions et de la laïcité de l’ULB à Bruxelle
    • Mardi 27 juin 2012 : la religion en droit comparé à l'aube du XXIe siècle : présentation de Louis-Léon Christians, professeur de droit des religions à la Faculté de Théologie de l’Université Catholique de Louvain (UCL), Vice-Président de l’Institut de recherche Religions, Spiritualités, Cultures, Sociétés.

    Ce cycle est organisé avec le concours du forum de conférences « Calpurnia ».

    Les rencontres ont lieu aux dates indiquées ci-dessus, de 18h15 à 20h. Elles se tiennent à la Salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale). Horaire : apéritif d’accueil à 18h15 ; exposé suivi du lunch-débat: de 18h30 à 20h. P.A.F. : 10 € par réunion. Inscription obligatoire trois jours à l’avance.

    Renseignements et inscriptions : e-mail : à info@ethiquesociale.org

    téléphone : 04.253.25.15 ou 04.344.10.89  portable : 0475.83.61.61

    Pour s’inscrire à la rencontre du 23 novembre 2011 animée par le chanoine Éric de Beukelaer, RSVP le 18 novembre au plus tard.

  • Philippe Muray, la femme et Dieu, de Maxence Caron, aux éditions Artège

    IMPRIMER

    nl26_02.jpgPhilippe Muray, la femme et Dieu
    de Maxence Caron, 160 pages - 15 euros.

    Disparu en 2006 dans l’indifférence, Philippe Muray est aujourd’hui le penseur le plus à la mode. Mais si son humour et son impitoyable analyse de notre société se retrouvent sous les feux des projecteurs, il a sans doute été trop vite rangé dans la catégorie des “nouveaux réactionnaires”. Or, jusqu’ici, en dépit du nombre toujours croissant de ses adulateurs et de ses détracteurs, son œuvre n’a pas fait l’objet d’une étude objective et approfondie. Avec le brio et l’acuité qui lui sont habituels, Maxence Caron dépasse non seulement les clichés que l’époque plaque sur les thèmes murayens, mais va également au-delà de l’image même que Muray voulait bien donner de soi. En s’attachant à la question de la femme et à celle du divin, à travers les ambiguïtés, les contradictions et les non-dits de l’auteur de Festivus Festivus, c’est le sens profond de toute une œuvre que Maxence Caron met en lumière.

    L’auteur :
    Agrégé de philosophie, Maxence Caron est l’auteur de l’ouvrage qui fait aujourd’hui autorité sur Heidegger, Heidegger : Pensée de l’être et origine de la subjectivité, ainsi que d’un nouveau système de philosophie, La Vérité captive, qui a créé l’événement à sa parution. Directeur des Cahiers d’Histoire de la Philosophie aux Éditions du Cerf où il a entre autres coordonné le premier collectif consacré à Philippe Muray, il est également poète et auteur d’ouvrages littéraires (Pages, Microcéphalopolis, Le Chant du Veilleur). Docteur ès Lettres, lauréat de l’Académie Française, musicien émérite, il a consacré plusieurs textes à la musique, de Bach à Mahler en passant par Beethoven et Liszt.

  • Un nouveau cycle de cours de chant grégorien à Liège

    IMPRIMER

    ACADEMIE DE CHANT GREGORIEN

    2539424014.gif

    cours de chant grégorien à liège

    cycle 2011-2012

    Douze leçons, un séminaire, une journée festive de clôture

    500818431.gif

    à partir du samedi 12 novembre 2011 à 15 heures

    Lire la suite

  • Tintin est un "héros catholique" (Denis Tillinac)

    IMPRIMER

    Catho.be s'est fait écho, hier, d'un article de l’ (7 novembre) qui fait longuement l’analyse du film « Les Aventures de – Le secret de la Licorne ».

    "Un bel hommage du journal du Vatican au réalisateur Steven Spielberg, et au personnage hautement célèbre d’Hergé,

    "Tintin est un « héros catholique ». Tel sont les termes que l’écrivain français Denis Tillinac emploie pour décrire le jeune reporter belge, dans un article repris par l’Osservatore Romano.

    C’est un symbole de l’ »humanisme chrétien », analyse le journaliste Antonio Carriero.

    Voir la suite ici : http://info.catho.be/

    Il est clair, n'en déplaise aux esprits grincheux qui ont vu dans cet article une tentative de "récupération" par le Vatican du phénomène Tintin, que Hergé et son héros ont participé à ce beau moment de la bande dessinée belge inspirée par le catholicisme, à une époque où celui-ci n'était pas ostracisé quotidiennement par les médias comme c'est le cas aujourd'hui.

  • Le christianisme, religion la plus agressée dans l'art

    IMPRIMER

    Le 31 octobre dernier, le Figaro a publié une interview fort intéressante du père dominicain François Boesplflug, professeur d'histoire des religions à la faculté de théologie catholique de l'université de Strasbourg; le père François Bœspflug est l'auteur d'une monumentale histoire de l'Éternel dans l'art, Dieu et ses images. Il analyse les scandales et les controverses qui entourent l'art d'aujourd'hui, de plus en plus souvent qualifié de «christianophobe».

    C'est ici : http://www.lefigaro.fr/culture/

    Extrait :

    Le christianisme est-il devenu la cible privilégiée des artistes ?

    Oui, sans doute. L'art contemporain est l'une des manifestations de la christianophobie. Pas la seule… Encore faut-il préciser que ce n'est évidemment pas systématique. L'art sacré d'inspiration et de destination chrétienne poursuit sa route et continue de susciter des œuvres. Le septième art, à ma connaissance, est beaucoup moins souvent christianophobe que ne le sont les arts plastiques. Voyez au cinéma le film Des hommes et des dieux, ou Habemus papam, au théâtre les pièces d'Olivier Py, en littérature, en BD…

    Est-ce qu'il est mieux ou moins bien traité que les autres monothéismes ?

    Moins bien, c'est incontestable. Il a droit, pour ainsi dire, à un traitement de faveur. Imaginez qu'à la place du visage du Christ, comme décor d'une pièce de théâtre, figure celui de Moïse, de Mohammed ou de Bouddha. Ce serait un tollé immédiat. De toutes les religions, le christianisme est, sans conteste, la plus agressée. Et selon moi c'est normal. Cela tient au fait que le christianisme aime autant l'image, qui s'expose, que la personne, qui oblige.

     

  • Une déclaration surprenante de Michel Onfray

    IMPRIMER

    A propos de la pièce de Castellucci, lors de l'émission de Laurent Ruquier ("on n'est pas couché") :

    "J'ai écrit le traité d'athéologie donc je peux en parler. On fait de moi un athée radical, mais je trouve que ce n'est pas bien de provoquer les chrétiens comme ça. Je ne suis pas pour l'insulte, le mépris. Je pense que cette espèce de mise en scène où l'on envoie des grenades ou des matières fécales sur le visage du Christ, ce n'est pas nécessaire. C'est une provocation un peu facile. On peut provoquer sans insulter les gens".

    cité par l'abbé G. de Tanoüarn ici : http://ab2t.blogspot.com/2011/11/leveque-le-ministre-le-journaliste-et.html

  • Sainte Sophie de Nicée transformée en mosquée

    IMPRIMER

    Le blog d'Yves Daoudal rapporte cette information :

    "L’église Sainte-Sophie de Nicée (aujourd’hui Iznik, en Turquie), qui accueillit le 2e concile de Nicée, transformée en mosquée en 1331, détruite en 1923, reconstruite en 2007 comme “musée”, a de nouveau été transformée en mosquée. L'appel du muezzin a retenti le 2 novembre pour la première fois depuis 1923."

  • Une lecture théologique de la pièce "Sur le concept du visage de Dieu"

    IMPRIMER

    Sur le site de l'Homme Nouveau, le Père Michel Viot propose une lecture théologique de la pièce "Sur le concept du visage de Dieu" :

    "Une pièce de théâtre dont le titre est "Sur le concept du visage du fils de Dieu" a été jouée au Théâtre de la Ville à Paris. Un très beau portrait du Christ d'Antonello da Messina trônait dans le fond de la scène. L'auteur Roméo Castellucci veut donc nous parler de Jésus. Soit! Mais voilà que ce qui se passe sur scène crée la perturbation. Les perturbateurs sont qualifiés d'extrémistes catholiques par les voix qui ont le moyen de se faire entendre. Pour d'autres, plus modestes dans leurs pouvoirs, il ne s'agit que de catholiques de diverses sensibilités. Je me garderai de trancher cette question, n'ayant pas l'autorité nécessaire pour cela. De même que je ne donnerai aucun qualificatif à cette pièce de théâtre, des voix épiscopales s'étant prononcées. L'une d'entre elles conseille à juste titre de se reporter aux propos mêmes de l'auteur sur sa pièce pour comprendre ce qu'il a voulu dire. Je m'empresse donc de suivre ce conseil me limitant à ce qui nous est dit de Jésus Christ. Je ne me permettrais pas d'ajouter quoi que ce soit à une parole d'évêque, surtout quand elle est estimée. Je veux simplement attirer l'attention sur un point qui ne me semble pas assez exploré, en me disant que si Dieu a bien voulu parler à un prophète (Balaam) par une ânesse, il peut aussi passer par l'intermédiaire d'un curé pour attirer l'attention épiscopale sur un point de théologie."

    Lire la suite ici : http://www.hommenouveau.fr/index.php?id_billet=308

  • Une conférence à Bruxelles, le 8 novembre, sur la nouvelle christianophobie

    IMPRIMER

    Conférence-débat

     « La nouvelle christianophobie : jusqu'où, jusqu'à quand ? »

     par Alexandre Del Valle

        le mardi 8 novembre prochain à 18 h 30
    au siège de la Fédération Pro Europa Christiana,
    49 rue du Taciturne, 1000 Bruxelles

    Titulaire de deux DEA – Histoire militaire-sécurité-défense et Histoire des doctrines et des institutions politiques – et diplômé des Sciences politiques, Alexandre Del Valle enseigne la géopolitique et les relations internationales aux Universités de Rome et de Metz ; il est aussi chercheur associé à l'Institut Choiseul et éditorialiste à France Soir.

    Écrivain et conférencier, Alexandre Del Valle est devenu un des meilleurs experts des questions liées à l'affaiblissement des démocraties et au renforcement de l'islamisme, dans des livres tels que Le Totalitarisme islamiste à l'assaut des démocraties (2002), La Turquie dans l'Europe : un cheval de Troie islamiste ? (2004), Le Dilemme turc, ou les vrais enjeux de la candidature d'Ankara (2006), Rouge - Brun - Vert (2008).

    Lors de sa conférence, il nous parlera de son dernier ouvrage Pourquoi on tue des chrétiens dans le monde aujourd'hui (2011). En l'écoutant vous connaîtrez les quatre principaux vecteurs de la nouvelle christianophobie qui vit, actuellement, une dramatique recrudescence.

    Veuillez confirmer votre participation par message téléphoné au 02 2310 944 ou par email : europachristiana@gmail.com (RSVP jusqu'au 4 novembre 2011)

    Lire la suite

  • Destructeur, l'amour du "Metal" ?

    IMPRIMER

    "Il y a 6 ans je me suis converti à la religion catholique et j'ai pris conscience de la violence de la haine qu'inspiraient certains groupes de Métal. Ils sont capable juste avec leurs musique de détruire un jeune non-averti en le plongeant dans une culture de mort, et le mener petit à petit vers la pornographie, les drogues, la perversion, la dépression, la haine de l'autre, le suicide...

    J'ai baigné dans cette culture pendant des années et j'ai été détruit au plus profond de mon être. Le souvenir de cette souffrance est encore présent en moi et on n'imagine pas à quel point l'amour du Métal peut être destructeur. On ne voit pas la chose venir et un jour la destruction est si complète qu'il ne reste que le suicide. La foi catholique et ma conversion m'ont permis de sortir de cet engrenage et de tout reconstruire.

    Aujourd'hui, je suis marié, j'ai deux enfants de 1 et 2 ans et je travaille comme Ingénieur."

    Ce témoignage, reproduit par "le Barde" ici, suscite de graves questions au sujet de certaines formes de "culture jeune". Il figure dans la conclusion d'une réflexion menée en dix étapes et dont on trouvera le "fil" ici : http://www.citeetculture.com/categorie-12048726.html