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Culture - Page 345

  • Castellucci et consorts : une note du Président de l'Observatoire Foi et Culture de la Conférence des Evêques de France

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    Peut-être nos visiteurs seront-ils intéressés de découvrir cette note approfondie de Mgr Pascal Wintzer, Administrateur Apostolique du diocèse de Poitiers, Président de l'Observatoire Foi et Culture de la Conférence des Evêques de France, a propos du spectacle de Romeo Castellucci « Sur le concept du visage du fils de Dieu », rendue publique le 16 novembre 2011. Ils pourront la lire ici : http://www.eglise.catholique.fr

    Cette note ne manquera pas d'éveiller réflexions et commentaires, notamment par son côté excessivement irénique qui tend à dédouaner le monde de la "culture" tout en condamnant purement et simplement l'indignation des catholiques qui s'insurgent contre des programmations qui portent atteinte à leur foi et aux symboles liés à celle-ci.

  • Les Chrétiens à l’Université de Liège

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    Union_ royale_logo 2.gifLa Libre Belgique-Gazette de Liège d’hier signale un cycle de huit lunchs- débats  sur le thème "neutralité ou pluralisme", organisé à l’Ulg par l’Union des étudiants catholiques de Liège avec le groupe Ethique sociale :

    « Ces rencontres se tiennent à l’Université de Liège, bâtiment du Rectorat, place du 20 août 7, entrée principale, 1er étage, salle des professeurs.

    La première aura lieu le mercredi 23 novembre de 18 h. 15 à 20 h. avec pour sujet "les catholiques et la vie politique", par le chanoine Éric de Beukelaer, doyen de l’Unité pastorale Rive gauche de Liège, qui vient de publier un "Credo politique".

    PAF :10 euros (à régler sur place). Gratuit pour les étudiants. Inscription obligatoire pour le 18 novembre au plus tard : mail  info@ethiquesociale.org ou tél. 04.344.10.89. ».

    Plus de détails ici :

    Neutralité ou pluralisme : un cycle de rencontres organisé à l’Université de Liège

    Les inscriptions à la conférence du 23 novembre se clôturent demain soir.

  • Des indignés d’un autre genre

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    Odon-Vallet.jpgLu sur le site de TF1 News, cette entrevue avec Odon Vallet (photo) spécialiste des religions, écrivain et chroniqueur au journal « La Croix » :

    L'indignation des intégristes catholiques, provoquée ces derniers jours à Paris et à Rennes par la pièce "Sur le concept du visage du fils de Dieu" de Romeo Castellucci, n'est pas prête de retomber. Hasard des programmations, un second spectacle, "Golgota Picnic" de l'Argentin Rodrigo Garcia, était joué pour la première fois, mercredi soir en France, à Toulouse. Cette pièce met en scène une crucifixion plutôt trash (…)

    TF1 News : Qui sont ces intégristes catholiques qui manifestent contre des pièces de théâtre égratignant l'image du Christ ?

    Odon Vallet, historien spécialiste des religions : On appelle "intégristes catholiques" les disciples de feu Mgr Lefebvre, fondateur de la fraternité Saint-Pie X, qui a fait dissidence avec l'Eglise romaine dans les années 70. Cette fraternité tient notamment l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnay à Paris. Il y a incontestablement un peu de ces intégristes parmi les manifestants.

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  • La haine de Dieu

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    FIC63659HAB40.jpgStéphane BABEY, La haine de Dieu, Artège, 2011, 180 pages, 18 €

    Présentation de l'éditeur :
     
    La société occidentale connaît une crise morale, existentielle mais aussi économique. La volonté de puissance individuelle semble l'emporter sur toute autre considération et malgré cela certains intellectuels médiatiques se font fort de dénoncer le retour en force d'un Dieu castrateur et liberticide – dont Nietzsche avait pourtant annoncé la mort ! Libérer l'homme contemporain des chaînes millénaires du christianisme, tel est donc le mot d'ordre lancé par ces fiers soldats dont la prétendue révolte tourne vite à la quête hédoniste. Comment croire qu'une telle philosophie constituerait une révolte métaphysique ? Elle ne fait que refléter l'esprit d'un temps qui voit l'homme chercher à fuir ses responsabilités et même sa propre condition. Fuir la question de Dieu en transformant celui-ci en coupable idéal d'un procès absurde n'est pas seulement le signe d'une haine à l'encontre de Dieu lui-même mais bien la marque avérée d'une haine de la philosophie en tant que telle, haine qui immanquablement se transforme en détestation de l'homme. Stéphane Babey porte ici un regard original sur la question de Dieu: il n'est pas un chrétien engagé qui transmettrait l'enseignement reçue d'une église. Il est un homme de bonne volonté, un compagnon encore sur le « Parvis des gentils » qui, par amour de la philosophie, dénonce et réfute les raccourcis et les fausses accusations dont Dieu est la cible.
  • Quelques liens (17/11/2011)

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    Radin.rue :

    Afrique, danger sur le manioc

    Tétramorphe :

    L'enluminure

    Zenit.org :

    Apprendre à prier les psaumes
    Reconnaître le "droit à la vie depuis la conception"
    France: Insulte au Christ, veillée de prière

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  • 1914, une tragédie européenne - présentation à Bruxelles ce 18 novembre

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    Yves-Marie ADELINE sera à Bruxelles, ce vendredi 18 novembre à 20H00, pour y présenter son dernier ouvrage consacré au déclenchement de la 1ère guerre mondiale, dans les locaux de la BICS, 86 rue Général Leman, à 1040 Bruxelles.

    (renseignements : 02.230.02.18 / info@bicschool.be)

    Yves-Marie Adeline, docteur de l'université de Paris 1, auteur d'une vingtaine d'ouvrages philosophiques ou littéraires, auteur de Le royalisme en questions 1792-2002 : Perspectives pour le XXIème siècle, a publié chez Ellipses une monumentale Histoire mondiale des idées politiques, une Pensée antique et une Pensée médiévale.

     En 1914, l'Europe gouverne le monde ; un habitant sur quatre est un Européen ou de, souche européenne. Mais cette civilisation est la proie de tensions idéologiques, culturelles et territoriales graves, et pour remédier à ces tensions, elle ne dispose que de valeurs qu'elle croit fortes mais qui se révéleront superficielles. Ce livre raconte le déclenchement de la Grande Guerre de 1914 comme une tragédie, au sens que lui donnaient les Grecs antiques : dès le commencement de l'histoire, toutes les conditions sont réunies pour que les événements tournent au pire. Il n'y a donc rien à faire pour l'éviter. D'autant qu'aux tensions habituelles va s'ajouter un engrenage technique imprévu qui emporte tous les acteurs vers la catastrophe. Après une présentation générale complète du théâtre du drame et des puissances d'alors, aussi bien mineures que majeures, ce récit raconte les événements depuis la fin juin à Sarajevo jusqu'au milieu du mois de novembre (quand le piège se referme tout à fait), mettant au jour des vérités ignorées, analysant les événements sans parti pris, offrant une vision panoramique jamais atteinte, et créant peu à peu un climat de suspense qui tient le lecteur en haleine. Plutôt qu'un requiem pour une Europe défunte, il est écrit dans un esprit équitable, réconciliateur, résolument européen.

    source et une video à découvrir ici : http://www.realpolitik.tv/

  • Liberté Politique et Ichtus créent une plateforme internet multimedia

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    C'est à découvrir et à soutenir. Cliquer ici : http://www.libertepolitique.com/

    7 bonnes raisons de soutenir la nouvelle Plateforme Multimédia :

    Porter plus haut et plus fort la voix des chrétiens dans la société

    Etre très présent dans les débats de société

    Réformer le climat culturel dans lequel nous vivons

    Enraciner notre pensée politique dans une vision chrétienne de l’homme et de la société

    Préparer une société de confiance et de vie juste pour nos enfants

    Porter une nouvelle Espérance

    Représenter un poids politique dont il faudra tenir compte

  • Quand on est confronté aux berceaux vides de la fécondation in vitro...

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    Libé a publié ces opportunes réflexions intitulées : "De l’autre côté du miroir, les berceaux vides de la fécondation in vitro" sous la plume de Geneviève Delaisi de Parceval, psychanalyste, et de Jacques Milliez, Obstétricien, professeur des universités

    "Il n’est pas de commentaires assez élogieux pour célébrer les succès de l’assistance médicale à la procréation (la fécondation in vitro, la FIV, avec ses embryons congelés ou le diagnostic préimplantatoire) et ses enfants du miracle. Nul ne peut contester qu’il s’agit là d’une brillante mutation de la biologie de la reproduction de la fin du siècle dernier, et que Robert Edwards mérite bien le prix Nobel de médecine qui lui fut attribué en 2010. Des images largement diffusées d’embryons artificiellement fécondés, magnifiés par le microscope, à celles de fœtus suçant leur pouce, en passant par les naissances de bébés «éprouvette» aux parents rayonnants, tous les ingrédients médiatiques ont été réunis pour faire chavirer les cœurs. La philosophie a apporté son grain à moudre à propos de cet embryon «nouveau», conçu hors du corps de la mère : est-ce un bébé potentiel ? Est-ce son ADN humain qu’il faudrait respecter ? Ou s’agit-il d’un simple amas de cellules ? ..."

    Lire la suite ici : http://www.liberation.fr/

  • Faire la promotion de spectacles chrétiens

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    Plutôt que de maudire la nuit culturelle de la christianophobie et de faire une publicité gratuite et massive aux spectacles que l'on dénonce, on peut aussi encourager et promouvoir des spectacles en harmonie avec notre foi et nos valeurs. C'est ce qu'un site propose pour la France : auxi150.fr . Sans doute les spectacles renseignés ne sont-ils tous pas d'égale valeur, mais on peut espérer que le public catholique est capable de faire la part des choses sans attendre des consignes infantilisantes.

    Voici un autre lien qui nous renvoie au travail d'un frère de la Communauté de Saint-Jean attentif aux spectacles programmés lors des festivals d'Avignon et qui en relève plusieurs qui l'ont particulièrement marqué : http://www.eglise.catholique.fr/

  • "Golgota picnic" : déclaration de Monseigneur Le Gall, archevêque de Toulouse

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    images.jpgDéclaration de Mgr Robert le Gall

    Le spectacle Golgota picnic, qui va être proposé chez nous à Toulouse du 16 au 20 novembre, nous pose deux questions préalables. Celle de l’intention de l’auteur : M. Rodrigo Garcia veut, dit-on, dénoncer avec force toutes formes d’intégrisme et s’insurger contre un dieu tout puissant qui lui faisait peur dès l’enfance : ce n’est pas le Dieu que les chrétiens annoncent. Celle, plus large, de la liberté d’expression d’un artiste, qui n’est pas sans limite. Est-il légitime de salir la foi de nombreux fidèles, de les heurter de front dans leur attachement au Christ ? Je ne le pense pas.

    Le visage de Dieu que la personne de Jésus nous révèle jusqu’en sa mort sur la croix ne laisse pas nos contemporains insensibles. C’est cette image que l’abbé Pierre, Mère Teresa, Sœur Emmanuelle et bien d’autres ont su contempler dans tous les pauvres, en tous ceux qui subissent l’humiliation : l’image d’un Dieu qui s’est fait l’un de nous et qui a pris sur lui nos misères, jusqu’au bout ! Une multitude de chrétiens depuis des siècles a choisi de servir et d’aimer ce Dieu d’amour qui se révèle dans son apparente impuissance au Golgotha. Comment ne pas penser aujourd’hui aux nombreux chrétiens persécutés à cette heure même ?

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  • La provocation élevée au rang des beaux-arts

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    34(1).pngA propos des « Piss-Christ », » Golgota Picnic », » et autres «  Concept du visage du fils de Dieu » agitant aujourd’hui la France, hier à Paris, aujourd’hui à Rennes (avant de  franchir sans doute demain nos frontières), le site de « Valeurs Actuelles » observe que « les provocations antichrétiennes nourrissent l’exaspération de plus en plus de catholiques. Au risque de favoriser leur repli sur soi ? L’Église peine à trouver la réponse »  et fait notamment ce commentaire :

    « Sur le concept du visage du fils de Dieu met en scène un vieillard incontinent soigné par son fils, qui le nettoie et change ses couches souillées, par trois fois.Une déchéance physique vécue sous le regard du Christ : un immense portrait d’Antonello de Messine (Salvator Mundi),qui finit par suinter non du sang mais une matière évoquant les excréments dont s’est vidé le vieil homme. Derrière la toile, des formes s’agitent jusqu’à la déchirer et la détruire. Apparaît alors en lettres lumineuses une phrase inspirée du psaume 22, « You are my shepherd »(“Tu es mon berger”), qui devient ensuite « You are not my shepherd ».

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