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Culture - Page 352

  • Ce qu'est devenu le cercle du Libre Examen (Librex)

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    A propos d'une invitation adressée par le cercle du Libre examen (ULB) à l'exposition intitulée : "Pudeurs et Colères de Femmes", Allegra, sur un blog du Nouvel Obs, fait remarquer :

    "Le cercle du Librex, institution engagée dans la défense de la laïcité, qui s’est toujours montrée férocement anti-calotine dans le passé,  on dirait laïcarde selon les critères d’aujourd’hui, a désormais viré à l’islamo-gauchisme et à son corollaire, l’antisionisme virulent, et en a donné une preuve éclatante récemment en organisant une soirée-débat sur le thème de la liberté d’expression pour Dieudonné, avec projection d’un film faisant l’apologie du comique. Soirée qui s’est terminée par des prises de parole antisémites. Il y a quelques années, le cercle du Libre examen associé au cercle des étudiants arabo-européens invitait Tariq Ramadan à un débat soi-disant contradictoire.

    Le cercle du Libre examen, impitoyable quand il s’agit de contrer les dogmes de l’Église est devenu aveugle à une idéologie répressive qui opprime aussi les femmes,  et c’est ainsi qu’à l’occasion d’une prochaine conférence, il se pose même la question de savoir si le port du voile n’est pas l’expression d’un féminisme musulman."

    http://lavissauveaconditiondeclairer.blogs.nouvelobs.com/archive/2011/09/03/pudeurs-et-coleres-de-femmes.html

  • Jean-Claude Guillebaud : la bioéthique est une urgence politique

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    "Dans un entretien accordé à l’hebdomadaire Famille Chrétienne, l’essayiste Jean-Claude Guillebaud souligne l’importance des questions de bioéthique, "les plus importantes de toutes" dans la mesure où "elles touchent directement à l’humanité de l’homme".

    Alors que la société s’aperçoit qu’elle ne peut vivre sans un minimum d’éthique, il appelle les hommes politiques à "moraliser" leur vie privée : "je continue à penser qu’un homme qui a des vices en privé ne peut avoir en même temps des vertus en public…Les Français attendent confusément que nos hommes politiques prennent cet engagement minimal." II dénonce "une nouvelle pudibonderie de type scientifique portée notamment par les techno-prophètes de la cyberculture" qui conduit nos sociétés à mépriser le corps humain et alerte sur le risque d’eugénisme de masse attaché à la pratique systématique du diagnostic prénatal (DPN). "Pour le citoyen lambda, l’eugénisme est une invention d’Hitler, note-t-il. Mais on oublie que l’eugénisme a d’abord été la pensée dominante des démocraties ! A commencer par les Etats-Unis au tout début du XX° siècle".

    Il note également l’imposture de la théorie du gender "qui est déjà récusée dans sa version radicale, celle à laquelle nous accordons encore du crédit en France" et ce notamment par Judith Butler, qui fut pourtant une des têtes de file de cette pensée.

    A l’approche de la campagne présidentielle, il constate que le débat bioéthique a été escamoté à chaque élection. "Mon sentiment, c’est qu’il ne pourra pas l’être éternellement. Tout simplement parce qu’on le prendra en pleine figure ! " affirme-t-il en notant que l’une des grandes urgences de 2012 sera pour le monde politique d’avoir à cœur de produire des argumentations claires en bioéthique."

    http://www.genethique.org/

  • Dostoïevski, le visionnaire

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    " En général, je demande de nouveau la permission de me récuser à ce sujet, répéta Pierre Alexandrovitch, et à la place, je vais vous raconter, messieurs, une autre anecdote, sur Ivan Fédorovitch lui-même, fort intéressante et des plus caractéristiques. Pas plus tard qu'il y a cinq jours, dans une société principalement féminine, il a déclaré solennellement, au cours d'une discussion, que sur toute la terre il n'est rigoureusement rien qui force les hommes à aimer leurs semblables, qu'il n'existe aucune loi de la nature ordonnant à l'homme d'aimer l'humanité et que s'il y a eu et qu'il y ait encore l'amour sur la terre, ce n'est pas en vertu d'une loi naturelle, mais uniquement parce que les hommes croyaient en leur immortalité. Ivan Fédorovitch ajouta, entre parenthèses, que c'est en cela que consiste toute la loi naturelle, de sorte que si l'on détruit dans l'humanité la foi dans son immortalité, cela fera tarir aussitôt en elle non seulement tout amour, mais encore toute force vive qui permette de continuer la vie du monde. Bien mieux : il n'y aura alors plus rien d'immoral, tout sera permis, même l'anthropophagie. Mais cela n'est pas tout encore : il conclut en affirmant que pour tout individu, tels que nous maintenant par exemple, qui ne croit ni en Dieu ni en son immortalité, la loi morale de la nature doit immédiatement devenir le contraire absolu de l'ancienne loi religieuse, et que l'égoïsme poussé jusqu'à la scélératesse doit non seulement être permis à l'homme, mais reconnu pour une issue indispensable, la seule raisonnable et presque la plus noble dans sa situation. D'après un tel paradoxe, vous pouvez juger, messieurs, de tout le reste que proclame et qu'a peut-être l'intention de proclamer encore notre cher excentrique et amateur de paradoxes Ivan Fédorovitch. (...) Et son absurde théorie, tu l'as entendue tout à l'heure : " S'il n'y a pas d'immortalité de l'âme, il n'y a pas non plus de vertu, donc tout est permis. " (Et ton frère Mitenka, à propos, tu te rappelles comme il a crié : " Je m'en souviendrai ! "). C'est une théorie séduisante pour les gredins... je vitupère, c'est stupide... pas pour les gredins mais pour les fanfarons primaires avec " une profondeur insondable de pensée ". C'est une bravache mais, quant au fond, c'est bonnet blanc et blanc bonnet. Toute sa théorie n'est que bassesse. L'humanité trouvera en elle la force vive pour la vertu, même sans croire à l'immortalité de l'âme. Elle la trouvera dans l'amour de la liberté, de l'égalité, de la fraternité..."

     

    F.  DOSTOIEVSKI, Les Frères Karamazov, traduction d'E. Guertik, Hazan T. I

    source : http://sergecar.perso.neuf.fr/documents/dostoievski.htm

  • La théorie du "gender" repose sur des présupposés non scientifiques

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    FRANCE : "La presse, nous dit généthique.org,  se penche largement sur la polémique suscitée par l’introduction d’enseignements directement inspirés de la théorie du gender dans les nouveaux manuels de Sciences de la vie et de la terre (SVT) de la classe de première ES et L (Cf. synthèses de presse du 23/05/11 et du 19/07/11 et Lettre mensuelle d’août 2011).
     
    Les tenants de la théorie du gender soutiennent que la différence sexuelle n’est pas biologique mais d’abord socioculturelle. Il n’existerait ainsi selon eux "qu’un être indifférencié sexuellement qui deviendrait homme, femme ou autre chose par la culture" comme le résume le philosophe Yves-Charles Zarka, professeur à la Sorbonne, dans un article publié dans La Croix.

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  • Saint Grégoire le Grand (3 septembre)

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    052.jpgLe 29 juin 1990, Jean-Paul II a adressé cette Lettre à tous les évêques, les prêtres et les fidèles de l’Eglise, pour le quatorzième centenaire de l’élévation de saint Grégoire le Grand au pontificat :

    "Au terme de l'Antiquité et à l'aurore du Moyen Age, saint Grégoire le Grand, à la fois issu du patriciat romain et du monachisme bénédictin, s'efforce, en réglementant le présent, de transmettre au futur les enseignements du passé et l’héritage de la tradition. Au début de son pontificat (février 590), les structures de l’empire romain, bouleversées par les invasions des Goths, puis des Normands, s’écroulent, tandis que renaît l’hérésie donatiste et que l’arianisme règne encore sur la plupart des barbares ; la discipline monastique s’est généralement relâchée et le clergé, souvent démoralisé, conduit des fidèles catastrophés par les invasions barbares : « Ballotté par les vagues des affaires, je sens la tempête gronder, au-dessus de ma tête. Avec le psaume1 je soupire : Dans l'abîme des eaux, je suis plongé et les flots me submergent.2 »

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  • Les "pédagogistes" sur la sellette

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    Les pédagogistes sauveront-ils l’école ?, se demande "Daniel54" sur Agoravox. On se doute que non; même si le propos est hexagonal, il vaut pour nos pédagogistes belges qui ne méritent pas mieux :

    "Qui sont-ils, ceux que l’on nomme « les pédagogistes » ? Une chose est certaine, ils font la loi à l’Education Nationale depuis plus de 20 ans . Les « Sciences de l’Education » leur servent de socle pour avancer leurs théories « fumeuses ». A vrai dire , cette science n’a de scientifique que le nom . Elle a abreuvé les IUFM (Instituts Universitaires de Formation des Maîtres) . Merci à ces IUFM , maintenant supprimés (ouf !) qui ont permis souvent aux enseignants formateurs de gravir plus rapidement les échelons que les autres. Il reste cependant qu’ils ont réussi à formater ces jeunes professeurs avant qu’ils soient jetés dans la cage aux lions !

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  • Quand l'annonce du Christ mort et ressuscité a besoin d'une vigoureuse relance

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    "...l'Eglise n'a jamais cessé de proclamer le mystère salvifique de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ,. Cette annonce a besoin aujourd'hui d'une vigoureuse relance dans nombre des régions qui avaient reçu jadis la lumière évangélique et qui, sous l'effet de la sécularisation, voient s'affaiblir la dimension profonde de l'homme... Dans un monde contradictoire, on constate un oubli ou de l'insensibilité face à la transcendance, mais aussi de multiples symptômes d'une profonde nostalgie de Dieu, avec de nombreuses personnes engagées dans une recherche spirituelle sincère".

    Benoît XVI, aujourd'hui (2 septembre) dans un message au Cardinal Kurt Koch (VIS 20110902 (260))

  • Liège : "La Passion de saint Denis" - 2 octobre 2011

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    Denis.jpgLa Passion de St Denis à Liège  2 Octobre 2011  
    Dans le cadre du millénaire de la collégiale, jeu scénique ou s’entremêleront musique, texte et images. Sur une musique de Philippe Robert, un texte de Ghislain Pinckers, avec le chœur de St-Denis. Bienvenue!
    Date(s), horaire(s) et lieu(x)
      Le 02/10/2011 à 19:00
    Où ?: Eglise St Denis Liège, rue Cathédrale
    Personne de contact Judith Bollingh
    Téléphone de contact 0478/239530
    Site web (URL) http://www.catho.be/blog/millenaire_st_denis_liege/

  • La théologie du corps d'après Jean-Paul II

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    Un site lui est consacré : il se présente ainsi :

    "George Weigel, biographe de Jean-Paul II, a qualifié ces enseignements datant du début de son pontificat de "bombe à retardement théologique", affirmant qu'ils portent le changement théologique le plus profond que l'Église ait connu depuis des siècles sur "chacun des thèmes majeurs du Credo". 

    Cependant, cet enseignement est encore peu connu : pensée dense et souvent mal traduite, elle ne fait l'objet que de peu de commentaires en langue française. Sans avoir l'ambition d'en faire un commentaire exhaustif, ce site web a pour objectif de faire connaître et de promouvoir les enseignements du Pape, dans un langage le plus clair et accessible possible.

    Si les répercussions théologiques sont importantes, elles ne sont pas l'essentiel : cette parole peut marquer chacun de nous, aujourd'hui. Loin d'être accessoire dans nos vies, la manière dont nous comprenons et vivons la corporéité et la sexualité est "au coeur de toute la Bible". Elle nous entraîne dans la "perspective de l'évangile, de l'enseignement et de la mission du Christ tout entiers" : cette mission, selon Jean-Paul II, est de "se marier" avec nous, de nous faire entraîner dans une union d'amour éternelle avec le Père.

    L'union sexuelle proclame et préfigure l'union du Christ et l'Église. En rétablissant le lien entre la sexualité et le mystère chrétien, Jean-Paul II ne se contente pas d'ouvrir des nouvelles perspectives pour le mariage et la famille, mais permet à chacun de redécouvrir le sens de notre existence entière, le sens de notre vie."

  • Les JMJ analysées par le prix Nobel de littérature Mario Vargas Llosa

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    C'est à découvrir sur le site Benoît-et-moi où figure la traduction d'un article de cet auteur (agnostique) paru dans le quotidien espagnol de gauche "El Païs": http://benoit-et-moi.fr/

    Extrait :

    "Durant longtemps on a cru qu’avec le progrès des connaissances et de la culture démocratique, la religion, cette forme élevée de superstition, irait en se défaisant, et que la science et la culture se substitueraient largement à elle. Aujourd’hui nous savons que c’était là une autre superstition, que la réalité a mise en pièces. Et nous savons, aussi que cette fonction que les libres penseurs du XIXème siècle, avec autant de générosité que d’ingénuité, attribuaient à la culture, celle-ci est incapable de la remplir, surtout maintenant. Parce qu’aujourd’hui, la culture a cessé d’être une réponse sérieuse et profonde aux grandes questions de l’être humain sur la vie, la mort, le destin, l’histoire, qu’elle a tenté d’être dans le passé, et qu’elle s’est transformée, d’un côté, en un divertissement léger et sans conséquences, et de l’autre, en une cabale de spécialistes incompréhensibles et arrogants, confinés dans leurs fortins de jargon et charabia, et à des années lumières du commun des mortels."

    et de conclure :

    "Croyants et non croyants nous devons nous réjouir de ce qui a eu lieu à Madrid ces derniers jours où Dieu semblait exister, le catholicisme être une religion unique et vraie, et tous comme de bons petits enfants nous marchions main dans la main avec le Saint Père vers le royaume des cieux."

  • Quand les enseignants ne sont pas heureux...

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    Hier, mercredi 31 août, le Soir faisait écho à cette information : 

    "67 % des enseignants sont mécontents de la qualité de l’enseignement en Communauté française, selon un sondage publié par un éditeur de manuels scolaires."

    http://www.lesoir.be/actualite/belgique/2011-08-31/deux-tiers-des-enseignants-insatisfaits-859889.php

    Le même jour, La Libre constatait que "l'ascenseur social ne fonctionne pas". Autrement dit, tous les prétextes de démocratisation des études avancés depuis l'introduction de l'enseignement rénové jusqu'à la pédagogie dite des compétences sont démentis dans les faits. Les carences de l'école sont telles que les enfants qui bénéficient d'un environnement familial capable de les compenser sont favorisés tandis que les enfants des milieux défavorisés pâtissent de cette dégradation tandis que le nombre d'élèves par classe ne permet pas aux enseignants des pratiquer une "pédagogie différenciée".

  • La grande procession de Tournai (11 septembre)

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