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Culture - Page 349

  • Pourquoi je crois au christianisme ?

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    G.K. Chesterton, dans "Orthodoxie", répond de la façon suivante :

    La doctrine catholique et sa discipline sont peut-être des murs ; mais elles sont les murs d’une aire de jeux !

    Si on me demande, de façon purement abstraite, pourquoi je crois au christianisme, je ne peux que répondre : “J’y crois pour la même raison qu’un agnostique intelligent ne croit pas au christianisme” : j’y crois plutôt rationnellement, sur la base d’une preuve. Mais la preuve dans mon cas, comme pour notre agnostique intelligent, n’est pas réellement dans telle ou telle démonstration : c’est plutôt une énorme accumulation de petits faits allant tous dans le même sens. On ne doit pas blâmer l’homme du monde parce que ses objections au christianisme ne sont que des détails et ou parce qu’elles sont parcellaires : c’est précisément ces mêmes preuves parcellaires qui arrivent à convaincre l’esprit. Je veux dire qu’ un homme peut être moins bien convaincu d’une philosophie par quatre livres que par un livre, une bataille, un paysage et un vieil ami. Le fait que ces choses sont de nature différente renforce l’importance du fait qu’elles désignent toutes la même conclusion. Maintenant, pour lui faire justice, le non chrétien moderne d’éducation moyenne s’est presque toujours forgé une opinion à partir de ces expériences vagues mais vivantes. Je peux simplement dire que mes preuves de la véracité du christianisme sont de la même trempe que celles qui sont contre lui : vivantes et variées. Mais lorsque que je regarde ces vérité anti-chrétiennes variées, je découvre tout simplement qu’aucune d’elles n’est vraie : j’ai découvert que la véritable direction de tous ces faits part en sens opposé.

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  • Le 26 octobre 1440 : l'exécution de Gilles de Rais

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    Pourquoi relever aujourd'hui cet évènement historique plutôt qu'un autre? Peut-être parce qu'il nous livre quelque chose d'intéressant sur le sentiment religieux qui environne cette exécution :

    "Gilles réitère son repentir le 26 octobre. Il se confesse et communie dans une tenue. Le jour de son exécution, à 9 heures, une foule nombreuse attend sur le parvis de la Cathédrale Saint-Pierre. Munis de cierges, parents et amis des petites victimes, paysans et inconnus sont là, taisant leur colère et leur
    désir de vengeance, faisant acte d'humilité en chantant le De Profundis. Autant de gestes classiques pour un homme ou une femme du XVème siècle.

    Le cortège est conduit par Jehan de Malestroi, suivi de Jean V, Pierre de L’Hospital, les juges puis les trois condamnés. Sur la prairie de Biesse sont dressés trois gibets et trois bûchers. La tribune est recouverte d'une draperie noire et blanche, frappée des armes de Bretagne. Y prennent place le duc, l’évêque de Nantes, le chancelier, le président de Bretagne et les Juges.

    Alors que la foule entonne des cantiques, Gilles se dirige vers le bûcher en encourageant ses deux compagnons, "leur disant qu'ils fussent forts et vertueux contre les tentations dyaboliques (…) qu'ils eussent telle ardeur et amour de Dieu (…) qu’ils ne craignissent en rien la mort (...) et qu'ils
    dévoient bien désirer estre hors de ce monde, où n'y avoit que misère, pour aller en gloire perdurable."

    Laissons Jean de Touscheronde, secrétaire de Pierre de l'Hospital, rapporter les derniers instants de l'exécution : "Gilles de Rais mourut dans ce repentir. Et avant que le feu n'eût ouvert son corps et ses entrailles, il en fut tiré et le corps fut placé dans un cercueil et porté dans l'église des Carmes de Nantes où il fut enseveli. Et aussitôt Henriet et Poitou furent pendus et brûlés, de telle sorte qu'ils furent réduits en poudre. Et ils eurent beaucoup de contrition et de regrets de leurs méfaits, et dans cette contrition et ce regret, ils persévérèrent jusqu'à la fin."

    source : http://leblogdebrunochiron.hautetfort.com/media/02/02/768545160.pdf

  • Fuir l'étroitesse d'esprit...

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    Il y a un danger qui guette tout particulièrement celles et ceux qui se font les champions d'une Eglise agressée ou d'une orthodoxie menacée. Celui d'une attitude crispée, volontiers intolérante, et pour tout dire, mesquine.

    Les artistes du Moyen Age ne se gênaient pas pour caricaturer des clercs et même les faire figurer en enfer au tympan des cathédrales; combien de stalles ne sont pas décorées de figures grimaçantes, de moines bedonnants, qui devraient scandaliser nos "âmes pieuses" désireuses de limiter l'art chrétien à des représentations mièvres et édifiantes. Sous Jules II, combien se seraient émus de voir Michel Ange, réputé homosexuel, peindre des corps dénudés sur le plafond de la Sixtine!

    Aujourd'hui, il est vrai, des gens qui ne partagent pas notre foi peuvent se saisir de symboles ou de figures religieuses et les instrumentaliser pour faire passer des messages que ne comprennent pas toujours ceux qui en font une lecture assez primaire. Cela suscite alors des manifestations, des mobilisations, des actes de violence même qui ne sont pas toujours appropriés et qui font passer les chrétiens pour des fanatiques au même titre que les islamistes mobilisés contre les figurations caricaturales du prophète.

    Il ne s'agit pas de nier la réalité d'une culture anti-chrétienne fréquemment dénoncée ici, mais il nous faut faire preuve d'intelligence et d'esprit de finesse dans notre façon de réagir. Je crains bien que ce ne soit pas la manière de certaines associations dont l'action nous paraît contre-productive.

    Voir aussi : http://www.belgicatho.be/

  • C'est comme se trouver dans une cathédrale...

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    Cathedrale-Auch-Gd.gifLe Bayerische Staatsoper et le Jugendchorakademie de Munich, dirigés par Kent Nagano et Martin Steidler, ont offert un concert au Pape, Salle Paul VI, avec la neuvième symphonie et le Te Deum d'Anton Bruckner. Après avoir remercié les exécutants, Benoît XVI a dit qu'écouter Bruckner, "c'est comme se trouver dans une cathédrale, observer chacune de ses structures portantes qui nous dominent, nous enveloppent et nous élèvent. Au-delà des émotions que produisent ses oeuvres, symphoniques ou religieuses, il y la foi de ce musicien, une foi simple et solide qui l'a accompagné toute sa vie... Le grand chef d'orchestre Bruno Walter a dit que Malher, un autre maître de la musique romantique, a toujours été à la recherche de Dieu, tandis que  Bruckner l'avait trouvé. La symphonie que nous venons d'entendre est dédiée au Bon Dieu, comme si Bruckner avait voulu confier le sommet de son art à celui en qui il avait toujours cru, le seul interlocuteur à qui s'adresser à la fin de sa vie... Il demandait ainsi à Dieu de pouvoir accéder à son mystère...de pouvoir louer le Seigneur au ciel comme il l'avait fait sur terre dans sa musique. Son grandiose Te Deum..., qui a été écrit d'un jet, puis peaufiné pendant quinze ans pour louer au mieux le Seigneur, résume la foi de ce grand musicien" autrichien. Il nous encourage "à nous ouvrir spirituellement pour penser à la vie éternelle, non pour fuir un présent fait de problèmes et de difficultés, mais pour le vivre plus intensément avec plus de lumière, d'espérance et d'amour".

    BXVI-CONCERT/                                  VIS 20111024 (280) 

  • Engager une bataille culturelle pour défendre l'honneur du Christ?

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    Le blog "pensées d'outre-politique" pose cette question : "Faut-il une bataille culturelle pour défendre l'honneur du Christ?". Le contenu de cette note correspond à notre sentiment sur cette question; c'est pourquoi nous prenons la liberté de le reproduire ci-dessous :

    "C’est le sujet du moment dans la blogosphère catholique, et au-delà, alors qu’après l’affaire du Piss Christ, l’institut Civitas refait parler de lui en menant une guérilla sans merci contre la christianophobie supposée de deux pièces de théâtre, Sur le concept du visage du fils de dieu et Golgota Picnic. Si ces pièces peuvent choquer le spectateur chrétien, faut-il pour autant rentrer dans une guerre culturelle qui plongerait perpétuellement les croyants sur la défensive et dans une position victimaire qui ne leur ressemblent pas? Modestement, je ne crois pas. Ce qui, il faut insister sur ce point, ne signifie absolument pas qu’il faille se taire et ne rien faire.

    Y’aura-t-il au sein de l’Eglise une guerre entre les « mous » et les « courageux »? Entre les « forts » et les « tièdes »? Entre ceux qui piaffent de sortir leur épée du fourreau, et ceux qui rechigneraient à combattre de cette manière? C’est ce qu’on peut craindre, après le communiqué vengeur diffusé jeudi par l’institut Civitas, le même que celui qui avait mené la fronde contre le Piss Christ à Avignon, et qui livre actuellement une nouvelle bataille contre deux spectacles jugés au choix, antichrétiens ou christianophobes : Golgota Picnic et Sur le concept du visage du fils de Dieu, dont les trois premières représentations parisiennes, jeudi, vendredi et samedi soirs, ont justement été perturbées par des membres de l’institut en question.

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  • Pourquoi Tintin reste jeune...

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    C'est Laurent Dandrieu, dans Valeurs Actuelles, qui met en lumière l'éternelle jeunesse de Tintin ("Tintin et le secret de jouvence", 20 octobre).

    Insistant sur le "grand écart" qui a conduit le jeune reporter des pages du "Petit XXème" au grand écran, Laurent Dandrieu y voit

    ...quelque chose "d'assez symptomatique d’une oeuvre fédératrice sans être aucunement centriste, qui témoigne d’un art particulier à marier l’eau et le feu, la sagesse et la folie, le calme et la tempête, le souffle vibrant de l’aventure et la sérénité de la contemplation – bref à tenir, comme disait Bossuet, les deux bouts de la chaîne."

    "Et si le secret de l’éternelle jouvence de Tintin était là, dans l’aptitude de son créateur à tenir ensemble ce qui paraît contraire, à concilier en un seul monde ce qui paraît inconciliable, à faire tenir dans ses pages toute la diversité, toutes les contradictions, tous les tiraillements et en même temps toute la profonde unité de l’existence ? Si Tintin parle aux gamins de 1929 comme à ceux de 2011, aux jeunes comme aux vieux, aux enfants sages comme aux casse-cou, aux contemplatifs comme aux histrions, n’est-ce pas d’abord parce que son univers renvoie chacun de nous à sa profonde dualité, à ces apparentes contradictions qui se fondent en chacun de nous pour forger notre unicité ? Je dirais même plus : pour forger notre unicité."

    Dans cet article bien ficelé, l'auteur montre comment Hergé sait allier réalisme et fantaisie, sérieux et comique, positif et négatif, l'ancien et le nouveau, la clarté et la complexité, et comment il sait éviter aussi l'écueil d'un parti-pris idéologique : 

    "Ni de droite ni de gauche, bien au contraire Dans ses aventures latino-américaines, Tintin sait bien qu’une dictature en remplace une autre sans que jamais rien ne change. Sans illusion sur la nature humaine, il ne rêve pas de lendemains qui chantent. Il fait juste ce qu’il peut pour éviter qu’ils déchantent de trop. Sans parti pris idéologique : d’un anticommunisme primaire dans Au Pays des Soviets, il n’est pas plus indulgent vis-à-vis du capitalisme technicien et corrompu et de sa dureté à l’égard des minorités dans Tintin en Amérique. Épousant sans mauvaise conscience le paternalisme colonialiste dans Tintin au Congo au nom du progrès matériel indéniable qu’il apporte aux populations locales, il combat résolument l’impérialisme nippon dans Le Lotus Bleu. Mettant en 1956 en échec dans l’Affaire Tournesol une Bordurie dominée par un régime moustachu d’allure stalinienne, il avait en 1938 empêché cette même Bordurie, alors fascisante, d’engloutir la paisible Syldavie, ce qu’Hergé lui-même décrivait comme un « Anschluss avorté » en référence à la mainmise nazie sur l’Autriche. Et ce faisant, désignait ce qui est sans doute l’idéal politique d’Hergé – et de Tintin : la Syldavie du roi MuskarXII, monarchie éclairée où le souverain agit comme père de ses sujets. Car, foncièrement indifférent à la politique moderne comme à tout ce qui divise, Tintin n’a qu’un souci, celui d’un humaniste : que chacun, qu’il soit petit vendeur d’oranges, tireur de pousse-pousse, romanichel ou indien d’Amérique, soit traité et respecté comme une personne à part entière. Ni droite ni gauche : monarchie populaire." 

    Et pour conclure, Laurent Dandrieu, évoquant le goût de la "bourlingue et de l'amour des pénates", conclut :

    Hergé a "compris que les véritables aventures sont intérieures, et qu’il est vain de vouloir chercher une quelconque vérité à l’autre bout de la Terre. Il nous l'a montré, à vrai dire, dès le Trésor de Rackham le Rouge, où le fameux trésor, que nos héros ont vainement cherché aux antipodes, était resté tout le temps sagement caché à Moulinsart. « Car c’est de la lumière que viendra la lumière », disait le parchemin laissé par François de Hadoque. Il aurait pu aussi paraphraser l’Évangile de Matthieu : « Là où est ton coeur, là sera ton trésor. »

    Merci, Laurent Dandrieu, pour ce bel hommage à notre compatriote et à son héros!

  • Protestations contre un spectacle outrageant la foi chrétienne à Paris

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    "Jeudi 21 octobre se tenait à Paris un spectacle intitulé "Sur le concept du visage de Dieu". Ce spectacle fait polémique chez les catholiques car certaines scènes sont jugées blasphématoires. Une manifestation organisée contre ce spectacle a failli virer au drame."
    Voir ici : http://www.terrafemina.com/ (article et video)

  • L’Académie de Chant Grégorien lance un nouveau cycle de cours à Liège

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    imagesCAJXVX6L.jpgLe grégorien : pour qui, pourquoi ? outre sa principale fonction de servir la liturgie, le chant grégorien occupe une place primordiale dans l’histoire et le patrimoine musical de l’Occident. Or, il n’existe en Wallonie et à Bruxelles, aucune école ou académie où il soit enseigné.

    L’Académie de Chant grégorien a été créée pour combler cette lacune. Le samedi 12 novembre 2011 à 15h, elle ouvre à Liège son cycle de cours 2011-2012 dans les locaux de l’église du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy, 132 (face à la statue équestre de Charlemagne). La formation est ouverte à tous, sans prérequis.

    n663488723_6811.jpgCe cycle illustrera « Les quatre saisons du plain-chant » (les plus belles monodies et diaphonies de l’année liturgique) en douze leçons dirigées par Stéphan Junker, professeur au conservatoire de Verviers : de 15 à 17h30 les samedis 12/11/11, 26/11/11, 10/12/11, 14/1/12, 28/1/12, 11/2/12, 3/3/12, 17/3/12, 31/3/12, 28/4/12, 5/5/12 et le jeudi soir 10/5/12. La journée festive de clôture aura lieu le samedi 12 mai 2012.

    En option, on peut également s’inscrire à un travail individuel de la voix (4 leçons d’une heure, à fixer avec le professeur). Un séminaire d’initiation à la lecture des neumes et à la fonction liturgique du chant grégorien est également prévu.

    Enfin, la possibilité est offerte d’inscrire des jeunes (de 8 à 16 ans) à l’académie des juniors (cinq leçons de deux heures, les samedis après midi à convenir avec le professeur). C’est Erna Verlinden (chef de chœur et professeur de l’Académie à Bruxelles) qui a été sollicitée pour animer ce cycle des juniors (10 inscrits minimum sont nécessaires).

    Pour se renseigner ou s’inscrire

    Tél. 04.344.10.89 (en cas d’absence : portable 0498.33.46.94)

    e-mail jpschyns@skynet.be

    Site web : www.gregorien.be (inscriptions en ligne)

  • 22 octobre : bicentenaire de la naissance de Franz Liszt

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    image092.jpgSait-on combien Liszt fut un compositeur religieux et tout particulièrement catholique ?

    « Tu appartiens à l’art, pas à l’Eglise »; ainsi Adam Liszt tentait-il de convaincre son fils adolescent, lorsque Liszt, âgé de 15 ans, lassé du rôle d’« animal de compagnie artistique » célébré par les salons, se mit à témoigner un intérêt grandissant pour la littérature religieuse, voire pour une carrière ecclésiastique. L’autorité paternelle a triomphé, cependant, mais Liszt n’a jamais perdu de vue, même pendant ses années virtuoses les plus tumultueuses, les éternelles questions relatives à la croyance, à l’Eglise et à la musique religieuse.

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  • Au sommaire du numéro 1503 de l'Homme Nouveau (22 octobre 2011) :

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    Dossier

    Mgr Dominique Rey, évêque missionnaire. Dans un entretien, Mgr Rey, évêque de Fréjus-Toulon, pose les bases de l'avenir du catholicisme en France.

    Evénement

    Fontgombault : Un nouveau père abbé. Le 7 octobre dernier, Mgr Armand Maillard conférait la bénédiction abbatiale au nouveau père abbé de Fontgombault, dom Jean Pateau. Une cérémonie d'Église émouvante.

    Actualités

    Au Kosovo, la restauration des églises avance.

    La guerre juste prônée à nouveau par le Saint-Siège.

    L'Élysée face à un Sénat de gauche.

    En Syrie, les chrétiens encore délaissés.

    Culture

    Les Questions disputées sur la vérité de saint Thomas.

    Tintin : Une lecture attentive d'Hergé.

    Visite au pays des comédies de Shakespeare.

    Figure spirituelle

    Bienheureux Bartolo, sauvé du spiritisme par Marie.

    Magistère

    Transfert de compétence au sein de la Curie romaine.

  • Apprécier les choses humaines participe à la beauté du christianisme

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    Le 25 juillet 2007, lors d'une rencontre avec des prêtres italiens, Benoît XVI a tenu des propos qui en étonneront sans doute plus d'un mais qui sont dans le droit fil de la vision catholique de l'existence où les choses d'ici-bas ont toute leur consistance :

    (ZENIT.org) – Le secret de la beauté du christianisme réside aussi dans le fait d’apprécier les choses humaines car nous vivons « les pieds sur terre et le regard tourné vers le ciel », a déclaré Benoît XVI.

    Le pape a rencontré, hier, mardi, quelque 400 prêtres des diocèses de Belluno-Feltre et Trévise, dans l’église de sainte Justine martyre, près de Lorenzago di Cadore où il poursuit ses vacances jusqu’à vendredi. Il a répondu aux questions posées par dix d’entre eux.

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