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Culture - Page 349

  • " Présumé coupable " : une justice ubuesque

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    Presume-Coupable_fichefilm_imagesfilm.jpgSur Liberté Politique, 9 Septembre 2011 | Hélène Bodenez*, une analyse intitulée : "Présumé coupable: l'insoutenable légèreté de la justice"

     

    "Kafkaïen. L’erreur judiciaire que relate le film Présumé coupable de Vincent Garenq [1], récompensé par le Prix du meilleur film européen à la Mostra de Venise, montre ad nauseam le scandale de l’impossible acquittement que cherche pourtant un innocent acculé à prouver son innocence. Face à lui, un juge qui ne fait pas son travail de juge d’instruction, à savoir prouver la culpabilité de celui qu’il accuse. D’où le titre. Englué dans l’inflexibilité du jeune juge Burgaud (Raphaël Fernet) épris de son autorité, de sa fatuité cassante, Alain Marécaux se trouve un matin d’automne pris au piège d’une machine qui le broie sans pitié. L’huissier de justice qui avait prêté serment de la servir, elle la justice, est trahi par les siens.

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  • Le chant grégorien : gros plan sur Radio Vatican

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    C'est ici : http://www.oecumene.radiovaticana.org/fr1/Articolo.asp?c=520570

    Le chant grégorien fait de la résistance. Alors que depuis les années 70’ certains annonçaient sa disparition, voilà qu’il revient. Et il ne se cantonne pas seulement aux abbayes et monastères.
    L’adjectif « grégorien » vient du Pape Grégoire Ier -dit le Grand, Pape au VIème siècle. Il fut le premier à unifier le répertoire pour la messe. Marcel Pérès, compositeur de chant ecclésiastique, nous parle de ce chant grégorien RealAudioMP3

    Un sujet signé Marie-Agnès Georges

     

  • L'irréversibilité, un mythe qui a du plomb dans l'aile...

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    Il y a une plus de trente ans, avec une délégation d'enseignants, nous avions rencontré le ministre en charge de l'Education nationale pour lui faire part de nos objections concernant l'instauration du "rénové". Il nous avait répondu que c'était "irréversible" et qu'il ne fallait pas rêver de "retour en arrière".

    Constatons que cette "culture de l'irréversibilité des choses" s'est installée dans les esprits et que beaucoup se sont résignés avec fatalisme à une évolution inéluctable qui serait imposée par un prétendu "sens de l'histoire".

    Il faut bien prendre acte aujourd'hui que ce mythe de l'irréversibilité a du plomb dans l'aile. Ainsi avons-nous vu s'effondrer l'idéologie qui prétendait incarner l'avenir de l'humanité en accomplissant les prédictions de Karl Marx. Dans le domaine pédagogique, les théories novatrices des années '70 et suivantes sont de plus en plus remises en question en raison de leurs résultats désatreux : méthode globale, constructivisme, bannissement des savoirs au profit des compétences... tout cela est aujourd'hui largement discuté et l'on s'en réjouit. Sur le terrain institutionnel belge, ceux qui considéraient comme inéluctable la marche vers le séparatisme peuvent aujourd'hui constater que le monde politique lui-même se refuse à commettre l'irréparable. Enfin, ceux qui pensaient que l'Eglise avait opéré un tournant décisif et consommé une rupture définitive avec l'avant-concile s'aperçoivent aujourd'hui que le souci de la continuité l'emporte sur la manie des expériences et des remises en question, que ce soit dans la liturgie ou dans la doctrine.

    Libérés de ce fatalisme de l'irréversibilité, nous pouvons nous aventurer dans des initiatives et des expériences sans exclure celles qui ont fait leurs preuves, y compris celles de la Tradition, et c'est vraiment libérateur!

  • Journées du Patrimoine : investir dans le durable

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    P2220093.JPGDans le dernier numéro de l’hebdomadaire « Famille Chrétienne », Aymar Pourbaix écrit à propos des « Journées du Patrimoine » qui se développent un peu partout en Europe : « Le succès des journées du patrimoine ne se dément pas. Mais suffit-il de le restaurer pour préserver le bâti religieux ? Que seraient ces pierres sans la foi qui leur donne une âme ? contempler la richesse de notre patrimoine, en particulier religieux, ne suffit pas. L’avenir de toutes ces vieilles pierres n’a finalement qu’un intérêt limité, car après tout, le véritable temple n’est-il pas spirituel, et la véritable adoration, « en esprit et en vérité » ? La question n’est pas anodine, quand beaucoup de nos églises sont laissées à l’abandon, voire recyclées en musée, en discothèque, ou tout simplement détruites parce que trop coûteuses à entretenir (…). Il existe aujourd’hui de multiples initiatives pour faire vivre ce patrimoine religieux, et il faut les soutenir. Mais le faire vivre, c’est aussi visiter ces églises pour y prier, pour y adorer, pour y recevoir les sacrements, pour y lire le mystère de notre foi par les tableaux, les vitraux, les sculptures ». L’article est ici : Journées du patrimoine : investir dans le durable

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  • Le latin envahit les States

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    jpg_1349408.jpgC’est Sandro Magister qui le souligne: le « melting pot » américain absorbe aujourd’hui une dose massive  de latinos (latin en castillan) et ce n’est pas sans conséquence sur leur culture, notamment religieuse :

    « Parmi les nominations clés à la tête de diocèses importants qui ont marqué la phase récente du pontificat de Benoît XVI, il n’y a pas seulement celles d’Angelo Scola à Milan, de Charles J. Chaput à Philadelphie, de Rainer Maria Woelki à Berlin, d’André-Joseph Léonard à Malines-Bruxelles, de Timothy M. Dolan à New-York. Il y a aussi celle de José H. Gómez à Los Angeles (photo).

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  • Les chrétiens en Europe de plus en plus marginalisés

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    Sur Radio Vatican :

    Les Chrétiens en Europe sont de plus en plus marginalisés. C’est le constat de Mgr Dominique Mamberti, Secrétaire du Saint-Siège pour les Rapports avec les États. Ce lundi le prélat a fait part de sa préoccupation lors du sommet organisé à Rome par l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe sur le thème des violences antichrétiennes. « Nous observons une augmentation importante de l’intolérance envers les chrétiens » a expliqué Mgr Mamberti en rappelant que même dans les pays à majorité chrétienne ces phénomènes de discrimination et de xénophobie existent.

    La plupart des actes discriminatoires ont lieu hors de la zone de l’OSCE, cependant ces pays n’en sont pas totalement à l’abri. Au contraire, on assiste dans certains pays d’Europe à une montée d’incidents préoccupants : des violences et des agressions contre des prêtres et des religieux et des profanations d’églises et de cimetières, tandis que des sites internet incitent à la haine contre les chrétiens. Selon des statistiques de la Gendarmerie française, on recense tous les deux jours en France une attaque contre une église catholique ou un cimetière. Ces gestes sont habituellement attribués par les médias à des hooligans, mais de plus en plus souvent ces actes sont accompagnés de slogans idéologiques contre l’Église et les prêtres pédophiles.

    « La liberté est le premier des droits de l’Homme parce qu’il est historiquement le premier à avoir été reconnu et parce que il concerne une dimension constitutive de l’être humain c’est à dire sa relation avec le Créateur », a rappelé Mgr Mamberti en citant Benoît XVI. En réponse à ce phénomène, le prélat a invité à lutter pour garantir la liberté religieuse, dont le respect est étroitement lié à la présence ou non de discrimination et de crimes à l’encontre des croyants. Parmi les propositions concrètes du Sommet de Rome, selon Andrea Tornielli, figurent la création d’une banque internationale de données sur les crimes contre les chrétiens qui favorise la connaissance du phénomène et la collaboration entre les polices et le lancement de campagnes d’informations.

    Le reportage de Charles-François Brejon RealAudioMP3

    Parmi les initiateurs de l’évènement, Massimo Introvigne, représentant de l’OSCE pour la lutte contre le racisme, la xénophobie et la discrimination, en particulier religieuse. Un entretien réalisé par Charles-François Brejon RealAudioMP3

  • Les papes musiciens

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    130209_concert.jpgThéologien rigoureux, esprit d’une grande clarté d’expression mais aussi esthète, Benoît XVI fait partie de la lignée des papes cultivés, sensibles en particulier à la musique. On sait que  Pie XII, mélomane et musicien,  aimait interpréter  des partitas de Bach au violon. Benoît XVI apprécie particulièrement l’œuvre de Mozart et joue volontiers au piano des pièces du répertoire classique. Comme  Eugenio Pacelli, il vénère  aussi le grand art du « Cantor de Leipzig » :

    Lors d'une audience du mercredi, s’adressant aux pèlerins et aux fidèles rassemblés sur la petite place de Castel Gandolfo, Benoît XVI a parlé de la beauté de l'art comme "vraie voie vers Dieu qui est la Beauté suprême".

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  • Le n°1500 de l'Homme Nouveau

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    1500 numéros! Toutes nos félicitations à cette publication amie qui a su garder le cap sur cette mer agitée.

    Voici ce qu'écrit à ce sujet Denis Sureau (éditeur et journaliste) :

    Ce numéro 1500 est exceptionnement imprimé à 80 000 exemplaires afin de faire découvrir (ou redécouvrir) L'Homme Nouveau à des lecteurs potentiels. Nous espérons qu'il incitera un grand nombre d'entre eux à rejoindre la grande famille de nos abonnés qui, année après année, décennie après décennie, témoignent fidèlement de leur attachement à ce journal pas comme les autres. Né en 1946, L'Homme Nouveau n'a pas eu toujours exactement le même visage. Le Père Fillère, l'abbé Richard, Luc Baresta ou Marcel Clément l'ont marqué chacun à sa façon de leur forte personnalité. Et pourtant le code génétique de L'Homme Nouveau est resté le même.

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  • Michaël Lonsdale : l’artiste et le croyant

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    GMED_9F9D2BCD-CA57-45CD-B903-C49E12CB9694.JPGLe Progrès.fr publie une interview de Michaël Lonsdale :

    Depuis quand avez-vous la foi ?

    C’est le plus grand cadeau que j’ai reçu dans cette vie. Cela n’a pas de limite, c’est quelque chose d’immense. C’est arrivé très lentement. Ma mère m’a offert un livre sur Jésus quand j’avais 6-7 ans. Ca me plaisait. Cet homme avait l’air gentil. Entre 15 et 17 ans, j’étais très en recherche. J’ai rencontré un comédien musulman qui m’a parlé de Dieu, d’Allah, comme personne ne m’en a jamais parlé. J’avais aussi une amie qui m’amenait à la cathédrale à Rabat. Puis, rentré en France, j’ai entendu un père dominicain raconter ce que j’avais envie d’entendre : que l’on pouvait être artiste et croyant.

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  • "Motu proprio", liturgies et sagesse québecquoise...

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    Surfer sur le net réserve parfois de bonnes surprises... Ainsi avons nous découvert par hasard sur un blog d'Outre-Atlantique qui s'est tu depuis quatre ans une note assez approfondie consacrée au "Motu Proprio" par lequel Benoît XVI rendait droit de cité à la célébration du rite latin traditionnel, inaugurant ainsi la "réforme de la réforme".

    Nous prenons la liberté de reproduire ici cette note (http://users.skynet.be/lantidote/blog.html):

    ÉLÉMENTS DE RÉFLEXION SUR
    LE MOTU PROPRIO « SUMMORUM PONTIFICUM »
    par Jean-Philippe Martini

    (Publié le 19 juillet 2007)


    « Les traditions liturgiques, ou rites, actuellement en usage dans l’Église sont le rite latin (principalement le rite romain, mais aussi les rites de certaines Églises locales comme le rite ambrosien, ou de certains ordres religieux) et les rites byzantin, alexandrin ou copte, syriaque, arménien, maronite et chaldéen. Obéissant fidèlement à la tradition, le Saint Concile déclare que la sainte Mère l’Église considère comme égaux en droit et en dignité tous les rites légitimement reconnus, et qu’elle veut, à l’avenir, les conserver et les favoriser de toutes manières » (Catéchisme de l’Église catholique, Conférence des Évêques catholiques du Canada, 1992, p. 262).

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  • Journées du Patrimoine au Saint-Sacrement (Liège) - 10-11 septembre

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     LES 23e JOURNÉES DU PATRIMOINE EN WALLONIE

     

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    À L’ÉGLISE DU SAINT SACREMENT

    Boulevard d’Avroy, 132, à Liège

    (face à la statue équestre de Charlemagne)

     

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    Dans le cadre des 23e journées du patrimoine en Wallonie, placées cette année sous le signe « des pierres et des lettres », l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132 à Liège) accueillera, les samedi 10 et dimanche 11 septembre prochains (ouverture de 14h30 à 18h), une exposition « Mille ans d’écriture neumatique ». Cette exposition, réalisée par le Conseil général de la Sarthe pour le millénaire de l’abbaye de Solesmes, retrace sur panneaux polychromes l’histoire du chant grégorien et de son écriture musicale. Elle sera complétée par quelques beaux livres liturgiques du patrimoine liégeois (entrée libre).

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  • Faut-il diaboliser Harry Potter ?

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    Liberté Politique conclut la série d'articles consacrés à la saga d'Harry Potter. Mais le débat continue sur plusieurs sites et blogs...

    "Le débat fait rage chez les catholiques et n’est pas exempt de passions. Quelle que soit votre position, quels que soient vos propos, nul n’est à l’abris ! La toile est le théâtre d’un affrontement entre pro et anti Harry Potter qui n’a d’égale (et encore) que l’affrontement final de la célèbre saga littéraire entre les adeptes de Voldemort et les défenseurs de Poudlard…"

    lire la suite ici : http://www.libertepolitique.com/