Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Société - Page 839

  • France : faire le pari de la vie

    IMPRIMER

    Communiqué de l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon

    La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) révèle dans son dernier rapport que 225 000 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées en France en 2010[1].

    Contrairement aux pouvoirs publics qui semblent se satisfaire d’un « nombre stable d’IVG depuis 2006 », l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon s’alarme d’un taux de recours à l’avortement qui plafonne à un niveau très élevé, soit plus du double de celui observé en Allemagne (15,1 femmes âgées de 15 à 49 ans pour 1000 contre 6,5 de l’autre côté du Rhin). D’après la Drees, « 36,2% des Françaises auront au moins une IVG au cours de leur vie féconde » et ce « malgré la généralisation de la contraception ».

    L’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon rappelle que c’est justement l’injonction contraceptive qui pèse sur les Françaises, et ce dès le collège pour les adolescentes, qui rend précisément plus forte la propension à recourir à l’avortement en cas de « grossesse non désirée » : « la vie qui pourrait naître de la relation sexuelle devient l’ennemi à éviter absolument, et l’avortement devient l’unique réponse possible en cas d’échec de la contraception [2]».

    Lire la suite

  • La loi belge sur l’avortement n’est pas un tabou

    IMPRIMER

    Un de nos correspondants revient sur la question de l’avortement que nous avions traitée, notamment ici Sur le blog de Jeanne Smits :L’avortement : un droit humain ? et là : Avortement : jeunes socialistes et jeunes MR, même combat, en  nous demandant de faire écho au post qu’il vient de publier sur facebook. Voici :

    « La question de l'avortement est revenue discrètement dans les journaux depuis un avis du Conseil de la Jeunesse qui suscite la colère des Jeunes Socialistes et des Jeunes MR et, partant, de la ministre écolo, Evelyne Huytebroeck .

    Observant l'évolution de la question ces dernières années sur le plan purement politique, je ne résiste pas à écrire ici deux remarques :

    Lire la suite

  • « Pourquoi le nombre des catholiques diminue-t-il au Brésil? »

    IMPRIMER

    Réponse du Père Piero Gheddo, missionnaire au Brésil,  sur le site de l’agence Zenit :

    (…) Le 29 juin 2012, un communiqué de l’Institut brésilien de géographie et de statistiques (IGBE) a suscité un vaste écho dans la presse brésilienne et internationale. D’après le recensement de 2010, le pourcentage de catholiques, sur 190 millions de Brésiliens, est aujourd’hui de 64,6 % (123 millions). Lors du premier recensement brésilien de 1872, les catholiques étaient de 99,7 %, en 1972 ils représentaient 91,8 % et en 2000 73,6 %. Le Brésil risque de laisser en quelques années la palme du ‘premier pays catholique dans le monde’ au Mexique, qui a 112 millions d’habitants, dont 88 % se déclaraient catholiques en 2010.

    Les catholiques qui quittent l’Eglise suivent les Eglises protestantes traditionnelles ou les diverses dénominations évangéliques qui, en 1980, comptaient 6,6% des Brésiliens, 9% en 1991, 15,4% en 2000 et 22,2% en 2010 sur un total de 42,6% millions de croyants.  Dans le monde « évangélique » brésilien, les dénominations « pentecôtistes » attirent la majorité des fidèles, environ 25 millions, et sont en pleine croissance. Le nombre des athées, des agnostiques et des personnes sans religion définie augmente aussi ; il est passé de 4,7% à 8% sur un total d’environ 15 millions de personnes. La très grande majorité d’entre eux se déclarent sans religion spécifique, alors que les athées sont 615.096 et les agnostiques 124.436. En revanche, le nombre des Brésiliens qui se déclarent adeptes de la religion « spiritiste » est en baisse, tandis que seulement 0,3% adhèrent à des religions d’origine africaine comme le candomblé ou l’umbanda.

    Lire la suite

  • Débattre de l'euthanasie ?

    IMPRIMER

    On le sait, cette question fait la une dans l'Hexagone depuis que le nouveau président l'a mise à l'ordre du jour. Lors d'une rencontre récente entre Monsieur Hollande et le cardinal Vingt-Trois, l'euthanasie a été évoquée et il paraît que le président a été attentif aux observations formulées par l'archevêque. L'Esprit oufflant où Il veut et quand Il veut, on peut toujours espérer.

    Mais faut-il même en débattre. Si l'on suit Natalia Trouiller, sur son blog "nystagmus", la réponse est non car, pour débattre, il faut savoir penser et ce n'est plus guère le cas aujourd'hui, et car ce débat préalable ne pourra que donner un semblant de légitimité à une loi autorisant l'euthanasie. En revanche, "moi j'aime bien les débats" proteste Pneumatis qui croit en la vertu d'échanges qui permettraient à la vérité de triompher et à la loi de s'améliorer.

    Tout cela peut, de toute façon, paraître assez "décalé" parce que, qu'on y soit favorable ou non, le débat ne pourra pas être évité et, malheureusement, étant donné les tendances lourdes qui dominent les médias et l'opinion publique, l'issue ne pourra déboucher que sur un nouveau recul du respect de la vie.

    Pourtant, comme l'écrit Natalia Trouiller :

    "Mémé, on la soigne, on l'entoure, on dépense collectivement des sommes folles pour qu'elle souffre le moins possible, on l'accompagne comme on peut, avec ce que ça comporte de souffrance pour tout le monde, de sacrifices pour la collectivité, et quand elle ferme les yeux sans qu'on ait regardé sa montre, on a tous grandi en humanité."

  • En caisses !

    IMPRIMER

    IMG_5341.JPGJusqu’il y a peu, j’ignorais complètement ce que sont des barlotières.

    Il a fallu qu’une inspection des vitraux de mon église paroissiale constate le déscellement de ces éléments indispensables au maintien des « lumières », comme disent les maîtres verriers, pour que j'en découvre l'existence et le rôle déterminant. Ces barres transversales, scellées dans les montants, assurent la fixation des verrières. Lorsqu’elles se déscellent, les panneaux ne peuvent que se détacher, choir et se briser. Il faut donc les démonter au plus vite, les déposer et les entreposer en espérant pouvoir, qui sait?, les restaurer avant de les remettre à leur emplacement initial. En attendant, le jour pénétrera crûment dans des lieux désenchantés tandis que les vitraux séjourneront « en caisses » dans l’espoir d’une hypothétique résurrection. C’est ce à quoi il a fallu se résoudre et à quoi procèdent en ce moment des mains expertes.

    Ces vitraux de mon église paroissiale, tellement beaux par ailleurs, racontent notamment l’histoire de Julienne, une sainte du XIIIème siècle qui a attiré l’attention sur l’absence, au calendrier liturgique, d’une fête en l’honneur de l’Eucharistie. Grâce à elle, la Fête-Dieu a été instituée au pays de Liège en 1246. En caisses, donc. Cela tombe pile au moment où « le Père Curé » de la paroisse, sans y être contraint d’aucune façon, a décidé d’interrompre les célébrations eucharistiques dominicales dans cette église. Curieuse coïncidence…

    La mise en caisses de ces vitraux devrait soulager également ceux dont les noms y sont inscrits et dont les armoiries scintillaient lorsque l’avare soleil de nos contrées en faisait vibrer les couleurs. Une vraie aubaine, ça ! Plus personne ne découvrira les noms compromettants de ces généreux donateurs, notables locaux, eux aussi « en caisses », et dont la descendance a, au fil du temps, délaissé cette église d’un quartier jadis prospère. Ca, c’est du pot, parce que, quand même, c’était gênant de pouvoir lire sur les vitraux la liste de ces familles aux patronymes illustres et qui ont désormais.. abandonné ?, oublié ? déserté ? apostasié ? (Biffer les mentions inutiles.)

    Les caisses seront donc entreposées dans un bas-côté de l’église, protégées, m’assure-t-on, par une palissade cadenassée, et par un filet métallique par-dessus. C’est plus sûr, on ne sait jamais… Ainsi peut-on se réjouir de voir ces vitraux séjourner dans d’excellentes conditions de sécurité. Bien plus que lorsqu’ils étaient en place et que de joyeux vandales leur lançaient des pierres ! A se demander si l’idéal, pour des vitraux, ne serait pas de sommeiller "en caisses". Une vraie parabole, en somme.

    Sacrées barlotières, va !

  • Le débat sur l'euthanasie en France

    IMPRIMER

    France : l'urgence de promouvoir les soins palliatifs

    Réaction d'Alliance VITA aux propos du président français

    Source : ZENIT.ORG

    En France, Alliance VITA ( http://www.alliancevita.org/ ) réagit à l’intervention du président François Hollande sur la fin de vie, dans un communiqué intitulé : « Une prise de conscience, mais une dangereuse ambiguïté » où VITA fait observer que l’euthanasie est « incompatible » avec les soins palliatifs.

    Le président de la République française s’est en effet rendu ce 17 juillet au Centre de soins palliatifs pionnier de la Maison médicale Notre Dame du Lac, fondé à Rueil Malmaison de façon prophétique en 1946 par une congrégation de religieuses catholiques, les oblates de l'Eucharistie. L’établissement a été entièrement reconstruit en 2004, et il est depuis sa fondation ouvert à tous.

    Lire la suite

  • Sur le blog de Jeanne Smits :

    IMPRIMER

  • Bressoux : un loyalisme émouvant

    IMPRIMER

    Un communiqué du Conseil de quartier de Bressoux Droixhe :

    Cérémonies d’Hommage à l’occasion du 19ème Anniversaire du décès de Sa Majesté le Roi Baudouin

    Les marques d’affection et de sympathie avaient été nombreuses à Bressoux Droixhe lors du décès de Sa Majesté le Roi Baudouin.  Deux jours après l’annonce de la triste nouvelle, le Conseil de quartier faisait imprimer des photos du défunt souverain afin que les habitants du quartier qui le souhaitaient puissent les placer à leur fenêtre en hommage silencieux.   En deux jours, 1600 demandes furent enregistrées -c’est dire l’émotion des bressoutois-.

    Quelques jours plus tard, les habitants et personnes âgées du quartier qui ne pouvaient se déplacer à Bruxelles avaient la possibilité de signer le livre de condoléances ouvert dans le quartier.

    Fidèle au souvenir du défunt Roi Baudouin, et à l’occasion du 19e anniversaire de sa disparition, le Conseil de quartier de Bressoux Droixhe organise le jeudi mardi 31 juillet 2012, dès 17H00, des cérémonies commémoratives.  D’abord, un Office Religieux sera célébré en l’église N.D. du Saint Rosaire, rue Foidart. Ensuite suivra un dépôt de fleurs à la stèle commémorative, place de la Résistance par le Représentant du Ministre de la Défense Pieter De Crem et Patrice Lempereur, Président du Conseil de quartier, en présence des Associations Patriotiques.

    A l'issue de cette cérémonie, un vin d'honneur sera offert par la Ville de Liège.

    La Reine Fabiola vient de faire savoir au Président du Conseil de quartier de Bressoux Droixhe « qu’Elle venait d’apprendre avec émotion que le quartier organisait à nouveau une cérémonie d’hommage ». Sa Majesté s’y associera en pensées.  Elle a fait part de ses sincères remerciements pour ce nouveau témoignage de fidèle et affectueux attachement  des Bressoutois à leur défunt Souverain.  « Le 31 juillet prochain, la Reine Fabiola sera avec vous en union de prière » déclare le Conseiller à la Maison de la Reine Fabiola.

    Bressoux fut le premier quartier de Belgique à avoir inauguré, une plaque commémorative et un Monument à la Mémoire du Roi Baudouin. C’était en 1993, le 7 septembre 93, jour de la naissance du Roi Baudouin.

    Cette initiative avait aussi touché la Reine Paola et le Roi Albert II et l'ensemble de la famille Royale.

    Conseil de quartier de Bressoux Droixhe

    Rue Général de Gaulle, 117 - 4020 BRESSOUX (Liège)

    Tél : 0477 / 87.12.63 - Skyblog : www.bressouxdroixhe.skyblog.com

  • La DSE, un phare en temps de crise

    IMPRIMER

    La Doctrine sociale catholique, un phare en temps de crise, par le patriarche de Venise, Mgr Francesco Moraglia

    Luca Marcolivio - Traduction d’Océane Le Gall (ZENIT.org) –  

    La doctrine sociale n’est en rien une idéologie mais plutôt le résultat d’une réflexion sur les réalités complexes de l’existence humaine (…) et ses principes peuvent faire beaucoup pour  répondre aux défis de la crise actuelle, a déclaré en substance le patriarche de Venise, Mgr Francesco Moraglia, à l’occasion de la fête du Saint Rédempteur, fêtée dimanche dernier, 15 juillet.

    Mgr Moraglia, a évoqué, dans son homélie, les deux années d’épidémie de peste (1575-1576) que les habitants de Venise et le Sénat de la République ont su affronter en invoquant la protection de celui qui était le  « seul » à pouvoir les sauver, et en s’en remettant à la miséricorde de  Dieu, faisant le vœu solennel d’édifier une nouvelle Eglise.

    En 1577, après la fin de l’épidémie, qui causa la mort à 50.000 personnes, les travaux de construction  commencèrent, et  en 1592 l’Eglise du Rédempteur  vit le jour, et elle fut consacrée solennellement le 3e dimanche de juillet.

    « Pour les Vénitiens du XVIe siècle, a commenté Mgr Moraglia – avoir eu recours au Seul capable de les aider, quand tout autre réponse résultait insuffisante, revêt une signification qui appartient à l’homme de tout temps, homme emprunt de fragilités, faiblesses, limites dues à son état de créature, auxquelles s’ajoutent celles issues de la situation de péché qui – éliminé par le baptême – reste présent dans ses conséquences comme propension au mal ».

    Lire la suite

  • Le monde, avec ou sans Dieu

    IMPRIMER

    Tel sera le thème de la prochaine étape du "Parvis des Gentils", en septembre, à Stockholm :

    Source : Anne Kurian sur ZENIT.org

    La prochaine étape du "Parvis des Gentils", promu par le Conseil pontifical de la Culture, sera en Suède et traitera des nouveaux défis éthiques auxquels sont confrontés les hommes, notamment dans le domaine médical.

    Une rencontre du "Parvis des Gentils" aura lieu dans la capitale suédoise, Stockholm, les 13 et 14 septembre 2012, sur le thème: « Le monde avec ou sans Dieu ». L’évènement est organisé avec le soutien de l’ambassade de Suède près le Saint-Siège. Il se déroulera à l’Académie des sciences et au centre pour jeunes « Fryshuset ».

    Il traitera notamment du « rapport entre science et foi », indique un communiqué qui constate: aujourd’hui « les avancées dans le domaine médical et technique posent l’Eglise et l’éthique humaine devant de nouveaux défis ».

    Lire la suite

  • Passer d'une économie du profit à une économie au profit de l'homme

    IMPRIMER

    De l'économie du profit à une économie au profit de l'Homme

    Plan social PSA: déclaration de Mgr Pierre dOrnellas

    Source : ZENIT.ORG

    Réagissant au plan social chez PSA, qui concerne 8.000 emplois, Mgr d’Ornellas, archevêque de Rennes, invite au « courage de passer d’une économie de profit à une économie au profit de l’homme ».

    Communiqué de presse Mgr d'Ornellas :

    Lire la suite

  • Surréaliste...

    IMPRIMER

    Nous lisons sur le site de "Tetu" : "Uruguay: une rectrice d'université écartée pour homophobie"

    Pour Mercedes Rovira, l'homosexualité est une «anomalie». Pas pour l'université privée et catholique de Montevideo, dont l'Opus Dei est pourtant «le garant moral».

    A la veille de sa nomination comme rectrice d'un des établissements les plus côtés d’Uruguay, Mercedes Rovira avait déclaré dans la presse que l'homosexualité était une «anomalie» et que l'orientation sexuelle d'un professeur postulant «jouait évidemment» au moment de son embauche car celui-ci devait être «un référent» pour ses étudiants. Elle aura finalement été écartée avant sa prise de fonction…

    En lisant la suite, on verra que l'Opus Dei peut adopter de singulières postures...