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Spiritualité - Page 188

  • "Sans l'Eucharistie du dimanche, nous ne pouvons pas vivre" (Martyrs d'Abitène)

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  • Mgr Rey : « Le grand témoignage que le christianisme peut apporter au monde, c’est celui de l’espérance »

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    L’évêque de Toulon-Fréjus, Monseigneur Dominique Rey, a célébré lundi dernier la messe de clôture du pèlerinage traditionnel de Pentecôte Paris-Chartes, organisé par l’association Notre-Dame de Chrétienté. Le site web « Boulevard Voltaire » publie l’interview du prélat recueillie dans ce contexte par Iris Bridier :

    Rey E2BFQoLWUAQU4jm.jpg« Monseigneur, vous célébrez la messe de clôture du pèlerinage de Notre-Dame de Chrétienté lundi. Quel message adresserez-vous aux pèlerins qui auront marché ce week-end de Pentecôte ?

    En considérant cette magnifique flèche de la cathédrale de Chartres qui se dégage à l’horizon et qui entraîne le pèlerin marchant sur les routes poudreuses, cette flèche qui lui désigne le Ciel, je dirai que le grand témoignage que le christianisme peut apporter au monde, c’est celui de l’espérance. Dieu ne nous abandonne pas. Comme le disait Gustave Thibon, « pour n’espérer qu’en Dieu seul, il faut avoir désespéré de tout ce qui n’est pas Dieu ».

    Notre société traverse de nombreuses crises entraînant des inquiétudes pour l’avenir. Comment garder la confiance dans un monde où la violence, l’insécurité, le chômage, la peur du virus, les privations de liberté viennent troubler notre paix ?

    « L’espérance est un désespoir surmonté », écrivait Bernanos. Ces moments anxiogènes de culture hygiénique sont l’occasion de prendre de la hauteur, de rapporter tout cela à Dieu pour essayer de trouver un sens dans ce qui n’en a pas beaucoup aux yeux de nos contemporains. Comment cette crise, avec cette question de la mort et de la fragilité qui nous éclatent en pleine figure, nous amène à du réalisme et de l’humilité. C’est toute la question de l’espérance chrétienne qui est en jeu. Nous avançons vers Dieu quand nous sommes mis à terre. Cette crise que nous traversons est une opportunité de revenir à des essentiels. Le christianisme est né de la mort, il est sorti d’un tombeau. Le christianisme a changé le tombeau en berceau. Dans un monde qui manque d’horizon, le christianisme, en nous ramenant à l’essentiel, nous offre une perspective.

    La France, fille aînée de l’Église, est en proie à un double phénomène de déchristianisation et de montée de la radicalisation. L’islam, une menace ou un défi ?

    C’est d’abord un défi et cela peut devenir une menace. Un défi parce que géographiquement, sociologiquement, démographiquement, une réalité s’impose à nous incontestablement. Comment se frayer un chemin entre un relativisme et un fondamentalisme qui soumet Dieu à une image de violence ? C’est sur cette ligne de crête que se situe le témoignage chrétien, qui est pour nous un défi et une crainte si on ne prend pas l’exacte mesure de notre identité chrétienne et de notre mission de pouvoir témoigner à travers l’annonce et le dialogue.

    Certaines voix politiques s’élèvent pour reléguer le religieux dans la sphère privée pour lutter contre le séparatisme. Que pensez-vous de cette conception de la laïcité ?

    C’est une très mauvaise réponse car le religieux a une dimension publique. Être chrétien, ce n’est pas simplement dire sa prière ou faire son examen de conscience en privé. On veut soumettre le christianisme à l’individualisme ambiant. Le christianisme fait partie de la conscience personnelle, de l’intime de l’âme, mais il implique une relation à l’autre et il s’exprime, c’est sa vocation. Ce serait renier le christianisme que de le reléguer à la conscience individuelle. Ce serait l’amputer de son expressivité et, donc, de cette dimension de mission. Dans notre patrimoine, le grand nombre d’églises est une manifestation de cette foi dans la pierre. Il ne faut pas oublier que l’ADN du christianisme, c’est d’aller dans toutes les nations faire des disciples. »

    Ref. Mgr Rey : « Le grand témoignage que le christianisme peut apporter au monde, c’est celui de l’espérance »

    JPSC

  • Samedi dernier, 22 mai 2021, ordination à Rome de 27 nouveaux prêtres de la Prélature de l’Opus Dei :

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    En la Basilique Saint-Eugène, par l’archevêque Mgr Georg Gänswein, Préfet de la Maison pontificale et Secrétaire particulier de Benoît XVI

    JPSC

  • Ce 24 mai, prions pour les chrétiens de Chine

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    De KTO :

    Le 24 mai, prions pour les chrétiens de Chine

    À l’occasion de la Journée mondiale de prière pour l’Église de Chine, le 24 mai 2021, KTO vous propose une programmation spéciale pour prier et méditer pour les chrétiens chinois.

    Instaurée par Benoît XVI en 2007, la Journée mondiale de prière pour la Chine invite l'Église universelle à prier pour les fidèles catholiques chinois le 24 mai. Cette date marque également la fête de Notre-Dame de Sheshan, patronne de la Chine, dont le sanctuaire se trouve près de Shanghai. 

    Le pontife avait alors écrit une prière à Notre Dame de Sheshan pour soutenir « l'engagement de ceux qui, en Chine, parmi leurs travaux quotidiens, continuent à croire, à espérer, à aimer, afin qu'ils ne craignent jamais de parler de Jésus au monde et du monde à Jésus ». À la Vierge, il avait demandé d'aider « les catholiques à être toujours des témoins crédibles de l'amour, en restant unis au rocher de Pierre sur lequel l'Eglise est bâtie ».

    À 20h50, KTO diffuse un documentaire exceptionnel sur les sœurs de l'ombre, ces ordres religieux féminins présents en Chine, qui ont apporté une aide très concrète aux malades, aux pauvres, aux enfants abandonnés, et aux réfugiés souvent au péril de leur vie. 

    Sœurs de l'ombre, une coproduction KTO/Saison Cinq, réalisé par Sébastien Cassen.

    Le pape François porte une attention particulière à l'Église de Chine depuis le début de son pontificat. Après 70 ans de rupture et de tensions, la Chine et le Vatican ont signé en septembre 2018 un accord provisoire autorisant le Pape à nommer des évêques en concertation avec le Parti communiste chinois. « Il ne s'agit pas de nommer des fonctionnaires pour la gestion des questions religieuses, mais d'avoir des Pasteurs authentiques selon le cœur de Jésus, engagés à travailler généreusement au service du Peuple de Dieu », a écrit le Saint-Père dans son message aux catholiques chinois et à l'Église universelle, après la signature de l'accord.

    Pour célébrer cette journée, KTO donne la parole à des témoins du Christ dans l’Empire du Milieu.

    Des témoins du Christ en Chine

    L'artiste chinois Yin Xin, témoigne de son parcours et de son espérance pour la Chine, à travers la place qu'il donne au Christ dans ses oeuvres.

    Père Charbonnier : « Que l'amour fraternel entre les catholiques de Chine redevienne un témoignage

    Le père Jean Charbonnier, prêtre des Missions Étrangères de Paris, nous confie son expérience de l'Eglise en Chine en tant que missionnaire et son espérance pour les catholiques chinois.

    Père Lepeu : « Je suis émerveillé par la créativité des jeunes qui travaillent l'Église »

    Le Père Bruno Le Peu, prêtre des Missions Étrangères de Paris, coordinateur du service Chine des Missions Étrangères de Paris, nous confie son regard plein d'espérance pour l'Eglise de Chine face aux défis qu'elle doit relever.

  • "Comme des coeurs brûlants" : un livre très intime et bouleversant

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    De   sur le site du Point :

    Le feu sacré d’Alexia Vidot

    Éditions Artège

    Dans un livre très intime et bouleversant, la journaliste raconte sa conversion au catholicisme à l’âge de 20 ans. À contre-courant ?

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  • « Synodalité »: le pape François lance une nouvelle usine à gaz ?

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    Non, il ne s’agira  pas de singer l’esprit de l’actuel synode des évêques allemands mais d’ élargir la représentativité du synode romain, instance consultative du gouvernement pontifical composée d’évêques du monde entier, synode  dont la création par le pape Paul VI remonte à 1965 . Lu sur le site de « Vatican News » cet article de Salvatore Cernuzio (Cité du Vatican ») :

    « Tout partira des Églises locales. Les 9 et 10 octobre, une cérémonie solennelle en présence du Pape donnera le coup d’envoi d’un itinéraire de trois ans, divisé en trois phases (diocésaine, continentale, universelle), fait de consultations et de discernement, qui culminera avec l'assemblée initialement prévue en 2022, qui sera finalement organisée en octobre 2023 à Rome.

    «Chacun à l’écoute des autres ; et tous à l’écoute de l'Esprit-Saint». Pour rendre concrète et visible cette synodalité souhaitée par François depuis le début de son pontificat, le prochain synode des évêques, prévu pour octobre 2023, ne sera pas célébré uniquement au Vatican mais dans chaque Église particulière des cinq continents, suivant un itinéraire de trois ans, divisé en trois phases : diocésaine, continentale, universelle.

    Un processus synodal intégral

    L'itinéraire synodal, approuvé par le Pape, est annoncé dans un document de la Secrétairerie générale du synode qui affirme : «Un processus synodal intégral ne se réalisera de manière authentique que si les Eglises particulières y sont impliquées. Une participation authentique des Églises particulières ne peut être réalisée que si les corps intermédiaires de la synodalité, c'est-à-dire les synodes des Églises orientales catholiques, les Conseils et Assemblées des Églises sui iuris et les conférences épiscopales, avec leurs expressions nationales, régionales et continentales, y prennent également part».

    Pour la première fois, un synode décentralisé

    C'est la première fois dans l'histoire de cette institution créée par Paul VI pour poursuivre l'expérience collégiale du Concile Vatican II qu'un synode «décentralisé» est célébré. Précisément lors de la cérémonie de commémoration du 50e anniversaire de l'institution du synode, en octobre 2015, le Pape François avait exprimé son désir d'un parcours commun «laïcs, pasteurs, évêque de Rome».

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  • Liège : enregistrée et diffusée depuis l’église du Saint-Sacrement en direct ce matin du dimanche 23 mai 2021 à 10h, la messe traditionnelle (missel de 1962) de la Pentecôte :

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    Célébrant : Abbé M.-A Dor, Recteur

    Chants grégoriens (L. Schyns, G. Lahaye) : aspersion d’eau bénite « Vidi aquam », propre de la messe « Spiritus Domini », Kyriale de la messe I (Xe s.), credo I (XIe s.), Hymne « Veni Creator »  (IXe s.)

    Orgue : Patrick Wilwerth

    Pour suivre la messe, cliquez ici : https://youtu.be/SXtlSyT1a8M

    La messe de la fête de la pentecôte

    Pentecôte 3171349480969dc3c01bfe9d7b703590.jpgLa Pentecôte (d’un mot grec qui veut dire le cinquantième jour) est l’octave double et jubilaire de la fête de Pâques (7 X 7 + 1). C’est en même temps le second point culminant du cycle festif de Pâques. A Pâques, le Christ, le divin Soleil, s’est levé ; à la Pentecôte, il est à son zénith, il chauffe, mûrit et apporte la vie.

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  • L'inclassable Thibon

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    De Jacques de Guillebon sur le site de La Nef :

    Gustave Thibon © DR

    Thibon l’inclassable

    Gustave Thibon (1903-2001) nous a quittés il y a déjà vingt ans. Cet anniversaire est l’occasion de revenir sur cet immense philosophe, écrivain, poète, dont l’œuvre est plus actuelle que jamais.

    C’est l’une des grandes figures du monde catholique français du XXe siècle, si grande que parfois ça l’en rend intimidant, mystérieux ou même presque incompréhensible : qui fut Gustave Thibon ? Bien malin qui saurait le résumer entièrement, certes comme aucun être n’est résumable dans aucune littérature, mais aussi que chez Thibon cette énigme ontologique se double de sa volonté d’irréductibilité à quelque statut que ce soit, et se triple même de ce que l’on ne dispose aujourd’hui d’aucune biographie complète et fouillée du philosophe-poète-penseur-paysan ardéchois, même si Raphaël Debailiac lui a consacré, il y a quelques années, un court, dense et bel essai (1).

    Traversant presque entièrement le siècle de fer et de sang (1903-2001), le natif de Saint-Marcel d’Ardèche, quand bien même c’est d’un village perdu, ne vient pas entièrement de nulle part : sa famille y possédait de nombreuses terres et son père était un érudit. Aussi, si Thibon fut un autodidacte, c’est dans le sens où il ne suivit pas de cursus universitaire : mais son éducation familiale le mit très tôt, et pour jamais, au contact d’auteurs classiques, qu’ils fussent grecs, latins ou européens en général. Parti explorer le monde quelques années autour de la vingtaine, le jeune Thibon revint cependant rapidement sur la terre de ses pères, pour y vivre tel Ulysse n’ayant pas forcément conquis la toison le reste de son âge.

    Lui dont on dit que sa mémoire lui permettait de se réciter quotidiennement des centaines de vers, devient tertiaire du Carmel et voue une particulière dévotion aux deux grands fondateurs, Thérèse d’Avila et Jean de la Croix. À partir des années 1930, il publie dans de nombreuses revues : Les Études carmélitaines en particulier, mais aussi Orientations, La Vie spirituelle, Civilisation. Maritain lui ouvre à son tour les colonnes de ses revues, puis c’est Gabriel Marcel qui édite son premier ouvrage, Diagnostics, en 1940.

    Lire la suite sur le site de La Nef

    Plusieurs nouveaux articles de La Nef ont été mis en ligne récemment, ainsi que d'autres, inédits, exclusivités internet. Vous pouvez les lire librement en cliquant sur le titre de l'article :

    Faut-il commémorer Napoléon ?, par Patrice Gueniffey
    Napoléon, fils des Lumières, entretien avec Xavier Martin
    Napoléon : canevas pour un bilan, par Michel Toda
    Thibon l’inclassable, par Jacques de Guillebon
    Entre le chaos et le déclin : la renaissance, par Nicolas Kinosky
    Le Liban peut-il se relever ?, par Annie Laurent
    La « gueule » du progressisme, par Nicolas Kinosky
    A l’origine des « fake news », par Pierre Mayrant
    Revenir à Saint-Louis (à Strasbourg), par Nicolas Kinosky

  • Jérôme Lejeune, portrait spirituel au fil des vertus; 3 questions à Aude Dugast

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    3 questions à Aude Dugast : Jérôme Lejeune, portrait spirituel au fil des vertus.

    29 avr. 2021
    Avec son nouvel ouvrage, Jérôme Lejeune, portrait spirituel au fil des vertus, Aude Dugast offre un portrait plus intime du Professeur Lejeune, à la lumière des vertus de foi, espérance, charité, force, justice et tempérance, qu'il a pratiqué tout au long de sa vie et qui l'ont mené sur le chemin de la sainteté.
    Image
    (Famille Chrétienne)
  • Ouverture de l'année ignatienne

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    OUVERTURE DE L’ANNÉE IGNATIENNE

    Une année ignatienne s’ouvrira le 20 mai 2021, jour du 500e anniversaire de la blessure d’Ignace de Loyola, fondateur de la Compagnie de Jésus. De nombreux événements jalonneront cette année et rassembleront les chrétiens qui partagent la spiritualité ignatienne et tous ceux qui souhaitent la découvrir.

    Pour la France, la Belgique francophone et le Luxembourg, le temps fort aura lieu à la Toussaint 2021 : du 30 octobre au 1er novembre, près de 8000 personnes sont attendues à Marseille à l’occasion du rassemblement « Au large, avec Ignace ».

    Pourquoi une année ignatienne?

    Le 20 mai 2021, une année ignatienne s’ouvrira pour célébrer deux événements importants:

    • le 500e anniversaire de la blessure d’Ignace de Loyola, fondateur de la Compagnie de Jésus, le 20 mai 1521 à la bataille de Pampelune. A la suite de cette blessure par un boulet de canon, et pendant sa longue convalescence, Ignace commence un chemin de conversion et entre dans une vie nouvelle avec le Christ;
    • le 400e anniversaire de la canonisation de saint Ignace de Loyola et de saint François Xavier, le 12 mars 1622.

    Cette année ignatienne s’achèvera le 31 juillet 2022, jour de la saint Ignace. Annoncée par le Père Arturo Sosa, Supérieur général de la Compagnie de Jésus, elle aura pour thème « Voir toute chose nouvelle en Christ ».

    Les jésuites, et plus largement la famille ignatienne, souhaitent profiter de cette année pour:

    • faire mémoire de la manière dont l’Esprit Saint a guidé un homme dans sa décision de suivre le Christ;
    • inviter à « voir toute chose nouvelle » dans sa vie en s’inspirant de l’expérience d’Ignace de Loyola, en filigrane des Exercices spirituels.

    En cette année ignatienne, nous sommes tous invités à nous familiariser avec la figure d’Ignace pour mieux suivre Jésus, qu’il a choisi comme maître et ami. L’expérience d’Ignace de Loyola, qui a vu ses ambitieux projets de chevalier fracassés par un boulet de canon peut, en effet, rejoindre toute personne appelée à traverser un temps d’épreuve. Beaucoup de nos projets individuels et communs sont bousculés par une pandémie encore considérée comme peu probable il y a un an et demi.

    Saint Ignace nous enseigne ainsi qu’un temps d’épreuve, comme celui que nous traversons actuellement, peut-être, paradoxalement, un lieu de croissance intérieure et spirituelle.

    Les grandes dates de l’année ignatienne

    De nombreux événements jalonneront cette année d’anniversaire et rassembleront les chrétiens qui partagent la spiritualité ignatienne et tous ceux qui souhaitent la découvrir. Les grandes dates sont les suivantes :
    – 13 au 23 mai : lancement de la retraite en ligne « Prie en chemin avec Ignace » (cliquer ici pour en savoir plus).
    – 20 mai 2021 : ouverture de l’année ignatienne à l’occasion du 500e anniversaire de la blessure d’Ignace.
    – 23 mai 2021 à 20h00 : veillée de prière mondiale pour lancer l’année ignatienne.
    – 31 juillet 2021 : fête de saint Ignace de Loyola.
    – Du 31 juillet au 2 août 2021 : rassemblement des xavières, à l’occasion des 100 ans de leur congrégation.
    – 30 octobre au 1er novembre 2021 : rassemblement « Au large avec Ignace » de la famille ignatienne de France, Belgique et Luxembourg, à Marseille (plus d’info en cliquant ici).
    – 12 mars 2022 : 400e anniversaire de la canonisation de saint Ignace de Loyola et de saint François Xavier.
    – 31 juillet 2022 : clôture de l’année ignatienne à l’occasion de la fête de saint Ignace.

    Liste des évènements à venir

    Lettres du P. Arturo Sosa lors de l’annonce de l’ouverture de l’année ignatienne le 27 septembre 2019 et à l’occasion de la fête de saint Ignace le 31 juillet 2020 sur l’opportunité d’une année ignatienne (www.jesuits.global/fr).

    Anne Keller,
    Directrice de la communication
    Province jésuite d’Europe occidentale francophone

  • Une semaine mondiale de prière pour l'Eglise en Chine (23-30 mai)

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    Du site des Missions Etrangères de Paris :

    Le cardinal Charles Maung Bo inspire le lancement d’une semaine mondiale de prière pour la Chine

    12/05/2021

    Près de deux semaines avant la Journée mondiale de prière pour l’Église en Chine, célébrée le 24 mai à l’occasion de la fête de Notre-Dame de Sheshan, un groupe de laïcs chrétiens du monde entier a lancé une campagne de prière mondiale pour la Chine, en appelant à prier pour l’Église et le peuple chinois du 23 au 30 mai. Les membres de la coalition, parmi lesquels des personnalités politiques, avocats et militants pour la liberté religieuse et les droits de l’homme, expliquent s’inspirer d’un message publié en mars dernier par le cardinal Bo, appelant à une semaine mondiale de prière pour la Chine.

    Un groupe de laïcs chrétiens du monde entier a lancé une campagne de prière mondiale pour la Chine, en appelant les fidèles à prier du 23 au 30 mai pour l’Église et le peuple de Chine, y compris pour les Ouïghours persécutés au Xinjiang, pour les prisonniers d’opinion, pour les membres du clergé et pour les militants prodémocratie hongkongais détenus. Parmi les membres de la coalition à l’origine de cette initiative, on compte Chris Smith, du Congrès américain, Lord David Alton, un homme politique britannique, Garnett Genuis, un parlementaire canadien, Kevin Andrews, un député australien, Jane Adolphe, un professeur de droit, Nina Shea, une avocate américaine, et Benedict Rogers, un militant des droits de l’homme basé à Londres. Andrew Bennett, ancien ambassadeur du Canada pour la liberté religieuse (en tant que dirigeant de l’ancien Bureau pour la liberté de religion du Canada), est le porte-parole de la coalition. Leur campagne a pour but de fournir des informations sur les prisonniers politiques et religieux et sur la situation de la liberté religieuse en Chine.

    Prière à la Mère de la Chine et de l’Asie

    Leurs auteurs de cette initiative internationale cherchent également à organiser des veillées et des célébrations spéciales durant la dernière semaine du mois de mai. Ils expliquent s’inspirer d’un message du cardinal Charles Maung Bo, archevêque de Rangoun (Birmanie) et président de la FABC (Fédération des conférences épiscopales d’Asie), qui a lancé l’idée, en mars dernier, d’une semaine mondiale de prière pour l’Église et le peuple de Chine. La Journée mondiale de prière pour la Chine, établie par le pape Benoît XVI en 2007, est célébrée le 24 mai, le jour de la fête de Notre-Dame de Sheshan, également appelée « Marie Aide des Chrétiens », vénérée au sanctuaire marial de Sheshan, près de Shanghai. Afin d’expliquer les raisons de cette semaine de prière, le cardinal Bo a expliqué en mars dernier : « Je veux exprimer tout mon amour pour les peuples de Chine, mon respect pour leur civilisation multiséculaire et pour leur extraordinaire croissance économique, et mon espoir que leur pays continue de grandir en tant que puissance mondiale, pour qu’il devienne une force au service du bien et pour la protection des droits des plus vulnérables. » De même, le cardinal birman a invité les fidèles « à se joindre au pape François, au pape émérite Benoît XVI et à toute l’Église, pour demander, selon les mots de Benoît XVI, à la ‘Mère de la Chine et de l’Asie’ de soutenir les fidèles, afin ‘qu’ils ne craignent jamais de parler de Jésus au monde et du monde à Jésus’. Afin qu’ils soient ‘toujours des témoins crédibles de cet amour, les maintenant unis au roc qui est Pierre, sur lequel est construite l’Église’. » (Benoît XVI, Prière à Notre-Dame de Sheshan)

    (Avec Asianews)

  • Liège : enregistrée et diffusée depuis l’église du Saint-Sacrement en direct ce matin du 16 mai 2021 à 10h, la messe traditionnelle (missel de 1962) du dimanche après l’Ascension :

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    Célébrant : Abbé M.-A Dor, Recteur

    Chants grégoriens (L. Schyns, G. Lahaye) : aspersion d’eau bénite « Vidi aquam », propre de la messe «Exaudi Domine vocem meam », Kyriale de la messe I (Xe s.), credo I (XIe s.), antienne mariale « Regina Caeli » (XIIe s.) 

    Orgue : Patrick Wilwerth

    Pour suivre la messe, cliquez ici : https://www.youtube.com/watch?v=-ZoI8Xu34OU&t=51s

    Dimanche après l’Ascension :

    La célébration de l’octave de l’Ascension date seulement du XVe siècle et dans les documents romains antérieurs, ce dimanche est simplement appelé dominica de rosa. La station est assignée au temple de Sancta Maria rotunda, l’antique sanctuaire des Martyrs, jadis le Panthéon d’Agrippa.

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