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Témoignages - Page 149

  • Les Eblouis ou les dérives sectaires du charismatisme

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    De Louis Daufresne sur La Sélection du Jour :

    « Les Éblouis » : glissement progressif du délire

    Depuis Grâce à Dieu de François Ozon, sorti en février, on sait que le clergé peut être complice des abus sexuels de ses prêtres. Avec Les Éblouis de Sarah Suco, c’est au tour des communautés charismatiques de « dérouiller ». Les voilà accusées de « dérive sectaire ». Il y a comme un décalage : des faits dont on ne peut mesurer l'ampleur et remontant aux années 80 sont présentés comme généralisables à une situation présente. La réalisatrice a beau souligner que « Ce n’est pas un film à charge contre l’Église catholique »l'institution prend quand même cher, par son absence de contrôle. Ici, la dérive sectaire advient sans que nulle autorité n'intervienne, un laxisme semblant relever d'une autre époque. Dans Les Éblouis, la communauté catholique ne ressemble pas au Temple solaire ou à une cellule djihadiste du Sahel. Sarah Suco le précise : la communauté agit « dans la paroisse du coin d’une ville de province », en l’espèce Angoulême. C’est sous cet aspect un peu subliminal que la responsabilité de l’institution catholique est engagée, à double titre :

    1. avoir confié une paroisse et ses fidèles à un loup « déguisé » en berger. Manque de discernement.

    2. Ne jamais s’être assuré qu’il s’agissait bien d’un berger et pas d’un loup. Manque d'autorité.

    Sarah Suco sait de quoi elle parle. Toute sa jeunesse (de 8 à 18 ans !), elle la vécut dans une communauté dont le nom n'est pas cité, ce qui permet de taper large. Camille met en scène sa propre histoire. Tout est filmé à la hauteur de son ressenti. Pour un premier rôle au cinéma, la prestation de Céleste Brunnquell est magistrale. Qu’il s’agisse de ses parents (Camille Cottin et Éric Caravaca) ou du berger/gourou (Jean-Pierre Darroussin), les autres rôles sonnent parfaitement juste.

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  • Les soignants en formation face à des choix éthiques difficiles

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    L'enquête dont il est question est française mais la situation est la même pour les étudiant(e)s en formation dans notre pays.

    D'Héloïse de Neuville sur le site du journal La Croix :

    En médecine, les dilemmes éthiques des étudiants catholiques

    Enquête 

    Internes et soignants en formation se retrouvent face à des choix éthiques difficiles, notamment sur l’avortement.

    le 25/11/2019

    Adèle, interne en gynécologie-obstétrique d’un CHU parisien, balaie du regard le planning du jour, affiché au bloc opératoire. La crainte dormante qui l’accompagne se réveille. Son nom y figure, accolé à une interruption de grossesse, prévue pour l’après-midi même.

    Pour éviter de procéder à cet acte qui heurte sa foi et sa conscience, elle va devoir négocier, « magouiller » comme elle dit, en échangeant son intervention avec un de ses collègues internes, « plus ou moins compréhensifs ». Quitte à bousculer une organisation déjà tendue par le manque de personnel. Comme l’illustre le quotidien de cette future médecin de 27 ans, l’internat et les stages constituent la période de « tous les dangers » pour les étudiants catholiques, sollicités pour participer à des interruptions volontaires et médicales de grossesse.

    « On marchande »

    Pour ces soignants en formation – internes en gynécologie et sages-femmes –, refuser de participer à ce qu’ils considèrent être la suppression d’une vie humaine n’est pas simple. En théorie, une clause de conscience spécifique aux interruptions de grossesse les protège, édictant qu’aucun soignant n’est forcé d’y participer.

    En pratique, c’est plus nébuleux. « Le terme” clause de conscience” sonne très formel et juridique mais ce n’est rien d’autre que la force de dire “non” à chaque fois que la situation se présente, décrit Adèle. Concrètement cela signifie marchander dans un couloir avec un co-interne ou un chef, en évitant de se faire remarquer et en espérant que cela ne pose pas trop de problèmes. » En période d’apprentissage, ces jeunes, qui ont tout à prouver, ne se sentent pas forcément légitimes au refus. Une autocensure entretenue par l’organisation même de leur formation à l’hôpital : « En stage, nous sommes notés sur chaque journée de garde et elles se déroulent à chaque fois avec un référent différent, ça ne favorise pas la confiance ou les confidences », explique Iris, étudiante sage-femme.

    Oser dire « non »

    Dans la majorité des cas où ils osent dire « non », ces étudiants font face à des réactions de bienveillante indifférence – aucun des étudiants interrogés par La Croix ne rapporte avoir été formellement discriminés en raison de leur refus de pratiquer un avortement. Mais il arrive aussi qu’ils se heurtent à de fortes incompréhensions. « Certains chefs nous font comprendre qu’en gynéco l’interruption de grossesse fait partie du “package” inhérent au métier et que si cela ne nous convient pas, il aurait fallu choisir une autre carrière », explique Clara, externe en stage de gynécologie-obstétrique.

    Étudiante en 5e année de médecine, elle hésite à se lancer dans cette spécialité. « J’en ai envie mais je ne me sens pas prête à livrer un combat perpétuel sur cette question. » D’autant que les divergences de vues ont parfois raison de la confiance entre collègues : « Aux urgences gynécologiques, je m’occupe de dater les grossesses des femmes qui demandent des IVG. C’est ma datation qui fait foi pour savoir si la patiente peut subir un avortement ou si elle a dépassé le délai légal », raconte Adèle. « Comme mes collègues connaissent mes convictions, ils vérifient que je ne sur-date pas mes échographies », souligne-t-elle, offusquée.

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  • Le déclin du christianisme nuit sérieusement à la société : ce sont des athées qui le disent

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    De Jonathon Van Maren via didoc.be :

    Les athées donnent l’alerte : le déclin du christianisme est en train de nuire sérieusement à la société

    26 novembre 2019

    Il y a à peine quelques années, le mouvement agressif des « nouveaux athées » était en marche. Parmi eux, il y avait des polémistes comme Christopher Hitchens et des biologistes renommés comme Richard Dawkins. Ceux-ci étaient en première ligne dans la charge menée contre la religion et les derniers vestiges de la foi chrétienne en Occident.

    La religion, selon une déclaration fameuse de Hitchens, « empoisonne tout » et ne pouvait être considérée au mieux que comme la « première et la pire » des tentatives de résoudre des questions existentielles. Si ces superstitions poussiéreuses pouvaient être balayées par les vents rafraîchissants de la raison et des Lumières, une société fondamentalement meilleure naîtrait de ses cendres, — c’est du moins ce qu’on pensait.

    Mais comme le christianisme s’estompe chaque fois plus dans le rétroviseur de notre civilisation, beaucoup d’athées intelligents commencent à réaliser que les Lumières pourraient n’avoir réussi que parce qu’elles ont exercé une influence sur une culture chrétienne. Dans une société vraiment séculière, dans laquelle hommes et femmes vivent leur vie sous un ciel vide et s’attendent à être recyclés plutôt que ressuscités, il n’y a pas de fondement moral solide pour le bien et le mal. Des antithéistes comme Christopher Hitchens se moquaient et vilipendaient l’idée que l’humanité avait besoin de Dieu pour distinguer le bien du mal, mais il a suffi d’à peine deux générations de Grande Sécularisation pour ne plus distinguer le masculin du féminin.

    Il serait intéressant de savoir comment feu Hitchens aurait répondu aux insanités qui ont proliféré depuis sa disparition, et s’il aurait finalement réalisé, comme l’ont fait certains de ces amis aussi impies que lui, que l’on ne doit pas trouver le christianisme crédible pour se rendre compte qu’il est nécessaire. Douglas Murray, qui s’est mis occasionnellement à se proclamer un « athée chrétien », a publiquement discuté avec le camarade de Hitchens, Sam Harris, un des « cavaliers de l’Apocalypse », sur la question de savoir si une société basée sur les valeurs des Lumières est tout simplement possible sans le christianisme. Harris maintient l’espoir qu’une telle société est possible. Murray est séduit par l’idée, mais sceptique.

    Murray a admis chaque fois plus qu’il jugeait le projet athéiste sans espoir. Quand il m’a rejoint récemment dans mon show pour discuter de son dernier livre, The Madness of Crowds, il a redit croire qu’en l’absence de la capacité séculariste d’élaborer une éthique sur des questions fondamentales comme la sainteté de la vie, nous pouvons être forcés de reconnaître que le retour à la foi est la meilleure option qui s’offre à nous. Il a fait remarquer qu’il y a une possibilité très réelle que notre conception moderne des droits de l’homme, basée comme elle l’est sur un fondement judéo-chrétien, peut très bien ne survivre au christianisme que l’espace de quelques années. Coupée de sa source, notre conception des droits de l’homme peut se dessécher et mourir très rapidement, nous laissant chercher notre chemin à tâtons dans l’épaisseur impénétrable de l’obscurité.

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  • Pourquoi pas Artège pour vos achats de livres pour Noël ?

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    Une librairie en ligne qui mène le bon combat :

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    https://www.editionsartege.fr/home

  • Bruxelles (Sainte-Catherine), 30 novembre : témoignage du Père Paul-Elie Cheknoun "De l'Islam au Christ"

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    Samedi 30 novembre à 15h30

    CONFÉRENCE-TÉMOIGNAGE

    PÈRE PAUL-ELIE CHEKNOUN
     
    Eglise Sainte Catherine, Place Sainte Catherine, 1000 Bruxelles,
    entrée libre
     
    LE PÈRE PAUL-ELIE CHEKNOUN
    Prêtre de la Fraternité Missionnaire Jean-Paul II 
    Diocèse de Fréjus-Toulon

    Le Père Paul-Elie donnera un témoignage sur sa conversion et son parcours. Kabyle d'Algérie, il a grandi dans une famille musulmane.
    Après s'être converti au catholicisme, il doit quitter l'Algérie en 2006 après avoir subi des menaces. Il entre au séminaire de Fréjus-Toulon où il sera ordonné prêtre en 2016.
    Sa mission le conduit à rencontrer beaucoup de musulmans, mais pas uniquement.

    Partisan d'un langage de vérité sur l'Islam, son témoignage nous aidera à prendre conscience des menaces que doivent affronter les chrétiens en terre d'Islam.  C'est aussi une invitation à témoigner de notre foi en Dieu par notre vie mais aussi par l'annonce de Sa Bonne Nouvelle.

    Depuis sa rencontre avec Jésus il y a 20 ans, le Père Paul-Elie cherche à L'annoncer aux musulmans pour leur dire que Dieu le Père les a tant aimé qu’Il a donné ce qu’Il a de plus précieux, sa propre chair : Jésus son fils unique, pour les sauver eux aussi, car Jésus a donné sa vie pour tous les hommes, y compris les musulmans.

    Question pratique 
    La conférence aura lieu au tout début du marché de Noël. Nous conseillons aux participants de venir en métro (Ligne 1,5 arrêt Sainte Catherine ou 2 et 4 arrêt Bourse).

    Préparation spirituelle
    Ce genre de témoignage suscite beaucoup de questionnements, soulève des peurs mais nous ouvre à l'espérance.
    Afin de préparer notre coeur et notre intelligence à cette conférence, prions pour que le Père Paul-Elie et nous-mêmes soyons remplis de l'Esprit-Saint, afin d'accueillir ce qu'Il veut créer en nous.

    Nous proposons de prier une dizaine de chapelet par jour à cette intention ou un chapelet pour ceux qui le peuvent.
    Gardons un esprit d'adoration et de prière en attendant le retour du Roi des rois.
    Viens Seigneur Jésus!

  • L’état d’esprit du cardinal Barbarin à la veille de son procès en appel

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    De Samuel Pruvot sur le site de Famille Chrétienne :

    Exclusif : l’état d’esprit du cardinal Barbarin à la veille de son procès

    26/11/2019

    À la veille de son procès, nous avons rencontré le cardinal Barbarin

    Le cardinal Barbarin a déjà été condamné, le 7 mars 2019, à six mois de prison avec sursis pour non-dénonciation d’agressions pédophiles. A la veille de son procès en appel qui va s’ouvrir le 28 novembre prochain il se confie à Famille Chrétienne.

    C’est dans un contexte lourd, parfois irrationnel et chargé de douleur, que nous avons pu rencontrer le cardinal. Sans évoquer avec lui le fond du procès, il est revenu sur cette longue période de retrait et aussi sur son état d’esprit en une heure si grave.

    Manifestement, le cardinal veut croire en la justice : celle des hommes et celle de Dieu. Mais il a bien noté que le climat était rude. Les attaques du Nouvel Obs ont donné le ton et les proches du cardinal s’attendent à tout.

    « Je remercie le bon Dieu parce qu’il m’a gardé en paix dans cette tempête » confie à Famille Chrétienne le cardinal Barbarin. Comment a-t-il réagi en découvrant l’enquête à charge parue le 20 novembre dans L’Obs ? Sans doute fut-il d’abord abasourdi par le nombre des attaques ad hominem contre lui. Frédéric Martel, l’auteur du livre Sodoma, jette en effet le soupçon partout à défaut d’apporter des preuves : « attrait pour le pouvoir », « immaturité affective », proximité avec le « le pénisme, la Franc-maçonnerie », « homosexualité refoulée », « amour de l’argent. » Mais l’avalanche ne s’arrête pas là. Frédéric Martel donne aussi la parole à un ancien séminariste du diocèse de Lyon, aujourd’hui marié, qui accuse le cardinal de « harcèlement moral et sexuel. » N’en jetez-plus… Les avocats du cardinal ont jugé la parution « abracadabrantesque » : « Nous regrettons la parution d’une “enquête”, ou se voulant telle (…) à quelques jours de l’audience d’appel devant la cour de Lyon » qui aura lieu le 28 novembre. Les plaignants eux-mêmes ont douté de la qualité de cet article à charge.

    Le cardinal a changé de vie depuis sa condamnation le 7 mars 2019 à six mois de prison avec sursis dans l’affaire Preynat. Il est désormais en retrait. « J’ai énormément de choses à ranger, explique-t-il, et je suis loin d’avoir terminé. Ces derniers temps, j’ai classé et organisé plusieurs milliers de livres pour les envoyer à Madagascar. » Une île de l’océan indien où il a laissé une partie de son cœur après y avoir passé quatre années comme prêtre fidei donum.

    Cet homme avide de contacts n’a pas renoncé pour autant à la vie sociale ou plus exactement à son ministère sacerdotal : « J’ai du temps pour recevoir et pour faire de l’accompagnement spirituel. Je peux aller voir des gens qui souffrent, des pauvres, des gens abimés par l’alcool ou la drogue, des victimes de pédocriminalités. »  A propos justement des victimes du père Preynat, il aime à répéter « Je suis plus sensible à leurs souffrances qu'à la mienne ». Il n’a donc pas varié de sentiment depuis son interview au journal Le Monde (12 août 2017) : « Pour elles, la souffrance est aussi brûlante qu'il y a trente ans, au premier jour, explique-t-il, pour elles, il est révoltant et inadmissible que le père Preynat ait pu continuer à être prêtre ».

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  • Inde : la hausse du nombre d'actes de violence commis envers des chrétiens se confirme

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    Une dépêche de l'Agence Fides :

    ASIE/INDE - Confirmation de la tendance à la hausse du nombre d’actes de violence commis envers les chrétiens

    25 novembre 2019  
     

    New Delhi (Agence Fides) – Du 1er janvier au 31 octobre 2019, les épisodes de violence à l’encontre de chrétiens indiens signalés sur le numéro vert gratuit mis en place par l’United Christian Forum (UCF) et par l’Alliance for Defending Freedom (ADF), organisations engagées dans la défense de la vie et des droits des communautés chrétiennes en Inde. Ainsi que cela a été communiqué à l’Agence Fides, des 275 cas de violence dénoncés au numéro vert, 192 ont consisté en intimidations et menaces de la part d’une foule de militants. En moyenne, il s’agit de 27 incidents par mois contre 20 en 2018. Selon les données reçues par Fides, 145 femmes et 106 enfants ont été blessés dans des cas de violence de masse.

    Parmi les épisodes les plus récents, enregistrés en octobre, le 24 de ce mois, dans un village de l’Etat de l’Orissa, un groupe de militants a fait irruption dans les maisons de neuf familles chrétiennes, brulant des exemplaires de la Bible et d’autres livres chrétiens devant la statue d’une divinité hindoue.
    Au Gujarat, le 22 octobre, une foule de 35 à 40 personnes a interrompu une réunion de prière pacifique à Fatehpur Tehsil, soulevant de fausses accusations de conversion religieuse, agressant et blessant grièvement le pasteur protestant qui conduisait la liturgie. Le 20 octobre, un groupe de 4-5 extrémistes a menacé et demandé de fermer un temple chrétien à Coimbatore, dans l’Etat du Tamil Nadu.

    Le 18 octobre de cette année, une foule de membres du Bajrang Dal, forum de groupes extrémistes hindous, a interrompu une Messe et profanée le Très Saint Sacrement, des Bibles et autres articles religieux à Nehru Nagar au Madhya Pradesh.

    Une plainte déposée le 13 octobre à l’ADF indique que les familles chrétiennes résidant à Raghunathpur, dans l’Etat du Jharkhand, font l’objet d’un ostracisme social et qu’elles sont privées des services de base du village.

    Dans ces épisodes comme dans bien d’autres, « la tendance à ne pas déposer de plainte (First Information report) à l’encontre des auteurs se poursuit puisque sur 275 incidents, seuls 32 ont été suivis d’un dépôt de plainte à l’encontre des agresseurs » remarque l’UCF. « Ceci démontre la compréhension tacite entre les auteurs des violences et la police, qui jouit naturellement de l’appui de responsables ou de fonctionnaires politiques locaux. Parfois, le défaut de dépôt de plainte est également dû à la crainte de représailles » indique à Fides A. C. Michael, activiste catholique et ancien membre de la Commission pour les minorités de l’Etat de Delhi.

    Selon les données enregistrés par l’ l’United Christian Forum (UCF) et par l’Alliance for Defending Freedom (ADF) depuis 2014, le nombre des attaques contre les chrétiens a constamment augmenté, passant de 147 cas en 2014 à 177 en 2015, 208 en 2016, 240 en 2017 et 292 en 2018.

    Tehmina Arora, Directeur d’ADF Inde, déclare à Fides : « Personne ne devrait être persécuté pour sa foi. Il est préoccupant de voir ces actes de violence illégale de masse se poursuivre encore même après une série d’indications fournies par la Cour Suprême au gouvernement. Les forces politiques doivent cesser d’encourager la violence et la police doit agir pour garantir la protection des minorités religieuses ». (SD) (Agence Fides 25/11/2019)

  • Contre l'idéologie écologiste

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    De Radio Notre-Dame :

    Le Grand Témoin

    Podcasts
    25/11/2019

    Bruno Durieux, polytechnicien, inspecteur des finances, ancien ministre, maire de Grignan (26). Auteur de « Contre l’écologisme » (Fallois)

    Louis Daufresne radio don

    Bruno Durieux, polytechnicien, inspecteur des finances, ancien ministre, maire de Grignan (26). Auteur de « Contre l’écologisme » (Fallois)

    Bruno Durieux

     

  • "Un prêtre dans les camps de la mort" : quand Franck Ferrand évoque le Père Kolbe

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    cover art for Maximilien Kolbe : un prêtre dans les camps de la mort
     
    21/11/2019

    Maximilien Kolbe : un prêtre dans les camps de la mort

    La figure héroïque du père Kolbe est toujours associée à l’enfer d’Auschwitz ; retour aujourd’hui sur l’ensemble de son parcours. 

  • RDC: homélie de Mgr Ambongo, nouveau cardinal-archevêque de Kinshasa

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    Une homélie prononcée à Kinshasa le 17 novembre dernier devant le président Félix Tshisekedi et le peuple rassemblé au stade des martyrs (qui remplace le stade Tata Raphaël, ancien stade Roi Baudouin).

    Ambongo cropped-IMG-20191005-WA0002.jpg

    Imaginerait-on un Mgr De Kesel, cardinal archevêque de Malines-Bruxelles, dans une telle posture devant le peuple et les autorités politiques belges réunies au stade Roi Baudouin de Bruxelles ? La Belgique de jadis a transmis à son ancienne colonie les germes de ce qu’elle a perdu aujourd’hui : la vigueur de sa foi.

    JPSC

  • Quand l'humoriste Jean-Marie Bigard fait don de 300.000 euros pour sauver un enfant malade du cancer

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    Du site de Valeurs Actuelles :

    Quand Bigard a donné 300 000 euros pour sauver un malade du cancer

    Vendredi 22 novembre 2019

    Invité de la chaîne KTO, l’humoriste a témoigné d’un épisode méconnu de sa vie. 

    C’est une facette du personnage qu’on ne connaissait pas. Invité de l’émission Une nuit au monastère le 16 novembre dernier, sur la chaîne catholique KTO, l’humoriste Jean-Marie Bigard, surtout réputé pour son langage fleuri et ses blagues en dessous de la ceinture, a livré un témoignage bouleversant au présentateur Charles Mercier. 

    L’enfant a guéri de son cancer

    En effet, celui qui figure sur la liste de Marcel Campion pour les prochaines élections municipales a révélé qu’il avait fait un don de 300 000 euros à un enfant malade afin qu’il puisse guérir. Tout commence lorsqu’il apprend que la concierge portugaise de son immeuble a un fils atteint d’un cancer de la gorge. Ruiné à l’époque, il se tourne vers une connaissance pour lui emprunter de l’argent. « Mais pourquoi tu vas donner de l’argent à cet homme que tu ne connais pas ? », lui demande l’homme. « Parce qu’il a tapé à ma porte », répond l’humoriste. Finalement, cette connaissance lui prête les 300 000 euros nécessaires. Trois mois après ce geste, le fils de la concierge l’appelle et lui dit « J’ai une rémission de mon cancer », raconte Jean-Marie Bigard, les larmes aux yeux. 

    Coup du destin, une semaine après cette bonne action, l’humoriste signe un contrat publicitaire qui lui rapporte… 400 000 euros. « Toutes mes actions me sont rendues à chaque fois. Je suis riche de ce que je donne. Je suis attentif. Je sais que derrière chaque chaise, chaque buisson, dans ton lit, il y a Dieu. Donc je fais attention », confie-t-il alors à la chaîne. 

  • La destruction de l'église : "un séisme dans notre localité"

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    De Fabrice Cecchi sur le site de RTL Info :

    L'église Sainte-Marie de Lodelinsart va être détruite: "Un séisme dans notre localité!"