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BELGICATHO - Page 1969

  • Quand l’Université s’intéresse au chant grégorien : de la théorie à la pratique

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    Doyen de la Faculté de Philosophie, Arts et Lettres de l’Université Catholique de Louvain , Paul-Augustin Deproost y enseigne la littérature latine et l’explication d’auteurs latins de l’antiquité à la Renaissance. Il est aussi un amateur et un praticien du chant grégorien puisqu’il préside l’Association Una Cum et dirige le chœur du même nom qui chante chaque dimanche la messe dans la forme extraordinaire du rite romain dans la chapelle du Sacré-Cœur de Lindthout à Bruxelles. Le professeur Deproost est interviewé ici par Jacques Zeegers, président de l’Académie belge de Chant grégorien (http://www.gregorien.be) pour la revue « Canticum Novum (année 2012, n° 60)

    Qu’est-ce qui vous attire dans le chant grégorien ?

    Je suis attiré à la fois par l’aspect spirituel et l’aspect esthétique du chant grégorien.

    Sur le plan spirituel, le grégorien est la prière chantée de l’Eglise. Pour les croyants, la liturgie est le plus grand hommage que l’on  puisse rendre à Dieu. Le grégorien fait partie de cette liturgie et s’y intègre parfaitement. Il confère un développement musical à la prière et à la louange. Dans toutes les religions, le culte que l’on rend à la divinité se fait à travers la prière chantée. Dans l’Eglise catholique, le grégorien est sans doute la forme la plus aboutie de cette prière qui monte vers Dieu. Ce qui m’attire aussi beaucoup dans le chant grégorien, c’est qu’il s’agit d’un texte chanté, celui dela Parolede Dieu. Il existe un lien ontologique entre la musique et ce texte. En tant que philologue, c’est évidemment une particularité à laquelle je suis spécialement attaché.

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  • France: La nouvelle religion d'Etat expliquée par Vincent Peillon, ministre de l'éducation nationale

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  • Mariage gay : en France, les opposants veulent accentuer la pression

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    Mais il y faudrait beaucoup de constance, plus d’unité dans la mobilisation et une vraie dimension politique : la « fronde des maires », si elle prenait une ampleur significative, pourrait être un pas en ce sens pour amener le gouvernement à « dialoguer ». On en n’est pas (encore ?)  là…   Reportage du « Figaro » sur les manifestations du week-end :

    Après le succès de leur mobilisation, les adversaires du projet cherchent à recueillir le soutien des maires. «Le succès appelle le succès» gagent les organisateurs de la «Manif pour tous» qui a réuni entre 100.000 et 200.000 personnes samedi dans une dizaine de villes, dont plus de 70.000 à Paris, contre le projet de loi ouvrant le mariage et l'adoption aux homosexuels.

    Après ce galop d'essai jugé concluant, l'heure est désormais au «débat pour tous» pour les opposants. Pour faire vivre cette mobilisation plus importante que prévu, les divers mouvements et associations impliqués dans cet événement misent sur un travail de terrain intensif.

    Autour de la médiatique Frigide Barjot, parodiste catholique, et de ses acolytes Laurence Tcheng, militante socialiste, et Xavier Bongibault, fondateur de Plus gay sans mariage, les membres des associations familiales catholiques (AFC), d'Alliance Vita ou du Collectif pour l'enfant vont se déployer dans les villes et les villages, investir les paroisses et les mairies pour «réveiller l'opinion, faire prendre conscience aux Français que ce texte qui bouleverse la filiation père-mère-enfants les concerne tous».

    «Il faut aller chercher les gens autour des maires, inciter ces derniers à prendre position et les assurer de notre soutien», préconise Antoine Renard, président des AFC. Le collectif des Maires pour l'enfance, qui a lancé une vaste consultation auprès des élus locaux, aurait recueilli près de 17.000 avis défavorables au projet de loi d'édiles ou de leurs adjoints

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  • Lettre à un membre d'une équipe paroissiale au sujet de la célébration des funérailles

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    Un ami nous communique la lettre qu'il a adressée à un membre de l'équipe paroissiale de son Unité pastorale (du diocèse de Liège) où il a été décidé de ne plus célébrer la messe lors des funérailles :

    Cher ...,

    Je m’adresse à toi mon ami en ta qualité de membre de l’équipe paroissiale de ...

    J’ai continué à être interpellé par plusieurs personnes concernant les modifications imposées dans ton unité pastorale à propos des célébrations des funérailles

    Tu sais que, ce qui choque, c’est le caractère obligatoire de l’absence de messe de funérailles et leur remplacement forcé par des liturgies sans Eucharistie.

    Dans l’information que l’unité pastorale a publiée à ce propos, je lis que  «  Il n’y aura plus  de messe de funérailles au jour de l’inhumation. L’Eucharistie est devenue pour la plupart des participants, venus d’horizons divers, une rèalité  trop étrangère. Ceci est particulièrement vrai pour les jeunes de nos familles. Nous pensons vraiment qu’une  liturgie de la parole digne, soignée, respectueuse de structure plus souple, mettant en valeur les symboles de l’espérance chrétienne conviendra mieux aux évolutions de la mentalité actuelle »

    Je ne souhaite pas mettre en cause la bonne volonté de beaucoup de laïcs qui prépareront des liturgies belles et profondes, ni nier qu’ils pourront souvent toucher le cœur des familles et proches des défunts qu’ils accompagneront pour le dernier voyage. Je ne puis non plus méconnaître que le nombre de prêtres qui diminue de plus en plus ne permet plus d’assurer des messes de funérailles  dans toutes les circonstances.

    Je  ne puis cependant accepter le caractère obligatoire de la mesure et te demande donc d’influer de tout ton poids pour permettre une flexibilité  que beaucoup d’autres unités pastorales et de prêtres tiennent à maintenir. La messe d’enterrement est pour bien des défunts et leurs familles un bien d’une très grande richesse et l’Eucharistie qui fut centrale dans leur vie doit en être le point central. Les familles doivent pouvoir choisir, faire appel s’il est disponible au curé de la paroisse ou à un autre de leur famille, de leur entourage ou d’une communauté dont ils sont proches.

    On ne peut priver d’Eucharistie et de Pain eucharistique ceux pour lesquels ce n’est pas une réalité étrangère, mais le cœur même de leur foi.

    On ne peut priver les familles de ce moment d’intense communion avec Celui qui accueille leur proche

    On ne peut priver les jeunes  mais aussi d’autres personnes plus éloignées de l’institution, de l’opportunité d’une rencontre à laquelle le Christ peut les convier

    On ne peut priver un prêtre du droit, voire du devoir de célébrer l’Eucharistie pour celui de ses proches, de ses paroissiens ou de sa propre famille qui tout au long de sa vie à vécu sa foi au rythme des Saintes Messes.

    On ne peut parler de structure plus souple et encore moins de mentalité actuelle face à la splendeur et à la simplicité du mystère eucharistique. Laissons aux célébrants le soin d’en expliquer la portée et la richesse.

    On ne peut priver notre Eglise européenne en repli, de ces moments  privilégiés qu’ont nos prêtres de se faire rencontrer les familles, leur défunt et notre Seigneur.

    On ne peut priver l’Eglise de ces moments d’exemplarité du prêtre  où peuvent naître ou se réveiller des vocations ou des appels à cet engagement radical

    On ne peut, au motif des horizons divers, capituler notre foi, nos symboles, notre attachement à ce qui en est le cœur. Aujourd’hui  moins que jamais.

    Les réactions témoignent de grosses déceptions. Elles pousseront aussi à des radicalisations ou à des découragements, et en tous cas à des énervements et à des combats..

    Nous ne pouvons en arriver à des réactions du genre de celle d’un de tes paroissiens qui a promis à un prêtre proche de le reprendre dans son testament s’il s’engageait à célébrer sa messe de funérailles.

    Dans la période d’après-concile, des erreurs ont été commises quand toute une richesse a été jetée par-dessus bord. Ne tombons pas dans le même excès en rapport avec ce qui reste un des moments les plus importants de notre pélerinage  terrestre.

    Pour ce qui me concerne et ma famille, je demeure dans l’absolue certitude qu’il y aura une messe de funérailles le jour de l’inhumation.

    Merci pour ton implication pour apporter cette flexibilité que beaucoup de chrétiens dont je me fais le porte-parole appellent de leurs vœux.

    J’adresserai copie de la présente à notre évêque et à notre archévêque en les priant d’œuvrer pour une application souple des mesures proposées.

    En union de prière..

  • Foi en Dieu et foi de Dieu

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    Une très belle page sur la foi sur Metablog :

    Ayez la foi de Dieu par 

    Hier samedi, fête de saint Grégoire le Thaumaturge, étonnant faiseur de miracle qui fait penser à Padre Pio.L'Evangile de saint Marc dans le texte latin fait dire à Jésus : 'Ayez la foi de Dieu" (Mc 11). Traduction habituelle des lectionnaires : "Ayez foi en Dieu". Le Christ se serait donné loa peine de nous dire une banalité pareille ! Pas la peine de s'incarner pour si peu ! Texte latin : Habete fidem Dei. Grec : echete pistin Theou. Français : Ayez la foi de Dieu, la foi qui appartient à Dieu.

    Nous sommes obsédés par notre foi EN Dieu, par sa faiblesse souvent vacillante et nous oublions "la foi DE Dieu", nous oublions que notre foi est une vertu théologale, qu'elle a Dieu pour "auteur" comme dit l'épître aux Hébreux (12, 2) et saint Paul ajoute : Dieu comme "consommateur", comme réalisateur. Fides Dei ! On comprend mieux. La foi, notre foi est divine, divine par son origine, divine par son objet, divine par son actualisation, par sa réalisation ultime. Cela devrait pouvoir nous unir : notre foi ne nous appartient pas. Nous sommes vétilleux sur la moindre expression de cette foi ? Nous critiquons le voisin quand il ne l'exprime pas exactement comme nous ? Ne nous sentons donc pas propriétaire de cette foi qui vient de Dieu. Ne nous érigeons pas trop vite en modèle normatif de la foi : Dieu seul est le modèle de la science nouvelle que cette foi nous donne. Et l'Eglise a la charge de nous le rappeler.

    Nous avons trop souvent peur que notre foi nous échappe, qu'elle se dissolve dans le matérialisme ambiant... Il faudrait que nous ayons peur que notre foi nous dépasse. Il faudrait que nous nous disions de temps en temps que nous n'en sommes pas dignes.

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  • Une lecture marxiste de la mobilisation contre le mariage pour tous de ce week-end

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    Nous avons trouvé sur un site communiste d'obédience maoïste une analyse de la mobilisation qui a eu lieu en France ce week-end. Il est assez plaisant de constater que ces "intégristes" d'un communisme des plus ringards s'émeuvent devant ce qu'ils appellent "une lame de fond réactionnaire" :

    "Ce week-end ont eu lieu des manifestations dans toute la France contre le projet de loi ouvrant le droit au mariage et à l'adoption pour les personnes gays et lesbiennes. Ces manifestations ont été l'occasion d'une mobilisation réactionnaire massive en regroupant plus de 100 000 personnes, Samedi 17 Décembre, auxquelles il faut ajouter les presque 10 000 personnes ayant manifesté Dimanche à l'appel du groupe fasciste Civitas et les personnes qui se mobiliseront le 8 Décembre à Bordeaux, Lille, Le Mans et Nancy qui sont des villes où l'influence catholique est très forte.

    On notera que le mouvement petit-bourgeois des « Femen » a appris à ses dépens que les temps ont changé et qu'il n'y a plus de place pour le « symbolique », puisque les militantes de « Femen » se sont faites violemment agresser à Paris lors du rassemblement de Civitas, pour avoir cherché l'impact médiatique en allant provoquer à coups de « Fuck God », etc. Par les temps qui courent, ce qui était auparavant prétentieux et ridicule peut s'avérer vite suicidaire.

    Car force est de le reconnaitre, de manière prévisible, cette mobilisation massive du week-end dépasse en ampleur celle qui avait eu lieu lors de l'adoption du PACS en 1999 pour le gouvernement social-démocrate de Lionel Jospin.

    Elle est le signe de la lame de fond réactionnaire qui travaille la France depuis plusieurs années à la faveur de la crise capitaliste. La société se replie sur elle-même et les quelques avancées démocratiques ayant pu profiter de « niches » dans la réaction générale.

    Ainsi, derrière l'aspect policé et « ouvert » des manifestations de Samedi se trouve une réelle attaque contre les droits démocratiques des personnes gays et lesbiennes.

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  • La manif pour tous à Paris le 17 novembre (KTO)

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    "Manif pour Tous" à Paris: le film par KTOTV

  • Egypte : Morsi est-il l'otage des salafistes ?

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    Le président égyptien pas à l'installation du patriarche copte (source)

    Le président égyptien Mohamed Morsi n'assistera pas à la cérémonie d'installation du nouveau patriarche de l'Eglise copte orthodoxe d'Egypte, a annoncé l'église vendredi, alors que les Chrétiens craignent d'être marginalisés par le nouveau pouvoir islamiste.

    Le patriarche Tawadros II, qui succède à Chenouda III, doit être installé officiellement dimanche au Caire. Les responsables chrétiens de nombreux pays doivent assister à la cérémonie ainsi que des personnalité publiques égyptiennes.

    "Nous ne savons pas pourquoi Morsi ne sera pas présent, mais c'est un événement très important et rien ne devrait l'empêcher d'y assister", dit-on au sein de l'église copte. "Les chrétiens ont toujours eu le sentiment qu'il ne voulait pas venir."

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  • L'Eglise doit se faire entendre sans relâche

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    source : http://fr.radiovaticana.va/articolo.asp?c=639723 

    39 évêques français des provinces du quart Nord-est de l’Hexagone ont terminé samedi leur visite ad limina entamée le 12 novembre dernier, en rencontrant Benoît XVI au Vatican. L’occasion pour le Pape d’aborder des sujets sensibles, comme la place de l’Eglise dans la société, son devoir de parler haut et fort, surtout quand l’actualité sociale et politique le réclame. Ainsi, le « mariage pour tous », ce projet de loi beaucoup discuté et qui doit être examiné à l’Assemblée en janvier prochain.

    « Plus l’Eglise est consciente de son être et de sa mission, plus elle capable d’aimer ce monde, sans céder à la tentation du découragement ou du repli ». Car, rappelait le Pape « dans les débats importants de société, la voix de l’Église doit se faire entendre sans relâche et avec détermination. » Certes, dans le respect de la tradition de la laïcité à la française. « Vous apportez dans ces débats une parole indispensable de vérité, qui libère et ouvre les cœurs à l’espérance. Cette parole, j’en suis convaincu, est attendue. »

    Prêcher à temps et contretemps

    « L’Église, ajoutait Benoît XVI, trouve dans sa mission divine l’assurance et le courage de prêcher, à temps et à contretemps, la grandeur du dessein divin sur l’humanité, la responsabilité de l’homme, sa dignité et sa liberté, – et malgré la blessure du péché – sa capacité à discerner en conscience ce qui est vrai et ce qui est bon, et sa disponibilité à la grâce divine. »

    Et le Pape partageait alors la préoccupation des évêques français pour la transmission de la foi aux jeunes générations. Assurée encore par de nombreuses familles, qui doivent être aidées, encouragées à prendre des initiatives dans le domaine éducatif. 

    Mais malheureusement l’on doit souvent constater une véritable rupture dans la transmission, parfois depuis plusieurs générations. Le défi est immense. Ce n’est pas le seul. « Il y a également l’énorme défi à vivre dans une société qui ne partage pas toujours les enseignements du Christ, et qui parfois cherche à ridiculiser ou à marginaliser l’Église en désirant la confiner dans l’unique sphère privée. » 

    Cohérence et fidélité à l'enseignement moral de l'Eglise

    Pour relever ces immenses défis, l’Église a besoin de témoins crédibles. Et les fidèles doivent sentir que « leur foi les engage, qu’elle est pour eux libération et non fardeau, que la cohérence est source de joie et de fécondité. Cela vaut aussi bien pour leur attachement et leur fidélité à l’enseignement moral de l’Église que, par exemple, pour le courage à afficher leurs convictions chrétiennes, sans arrogance mais avec respect, dans les divers milieux où ils évoluent. Ceux d’entre eux qui sont engagés dans la vie publique ont dans ce domaine une responsabilité particulière. »

    Et le Pape de rappeler, et nous sommes au cœur de l’actualité française, que « les politiques auront à cœur d’être attentifs aux projets de lois civiles pouvant porter atteinte à la protection du mariage entre l’homme et la femme, à la sauvegarde de la vie de la conception jusqu’à la mort, et à la juste orientation de la bioéthique en fidélité aux documents du Magistère de l’Eglise. »

    Aimer la vie monastique, et respecter les normes pour l'Eucharistie

    Le Pape n’a pas manqué non plus d’évoquer la beauté et l’importance de la vie monastique en France, et ses retombées spirituelles sur la vie de l’Eglise et la société. La grande tradition française aussi dans le soin apporté aux célébrations liturgiques. Le Pape a encouragé les évêques au respect des normes en la matière. « La beauté des célébrations, bien plus que les innovations et les accommodements subjectifs, a conclu Benoît XVI, fait œuvre durable et efficace d’évangélisation. »

  • BXL, 30/11 - 8/12 : Neuvaine en l'honneur de l'Immaculée Conception

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    NEUVAINE À L’OCCASION

    DE L’IMMACULÉE CONCEPTION 2012

    NOVEEN TER GELEGENHEID

    VAN MARIA ONBEVLEKT ONTVANGEN 2012

    DU VENDREDI 30 NOVEMBRE AU SAMEDI 8 DÉCEMBRE,

    LA MESSE SERA CÉLÉBRÉE EN

    L’ÉGLISE SAINT-JACQUES SUR COUDENBERG, PLACE ROYALE, BRUXELLES.

    EN SEMAINE : 12H30; SAMEDIS 1 ET 8 DÉCEMBRE : 11H; DIMANCHE 2 DÉCEMBRE : 18H.

    UNE DEMI-HEURE AVANT LA MESSE, POSSIBILITÉ DE SE CONFESSER.

    VANAF VRIJDAG 30 NOVEMBER TOT EN MET ZATERDAG 8 DECEMBER

    ZAL DE MIS OPGEDRAGEN WORDEN

    IN DE SINT-JAKOB-OP-KOUDENBERGKERK, KONINGSPLEIN, BRUSSEL.

    IN DE WEEK: 12.30UUR; OP ZATERDAG 1 EN 8 DECEMBER: 11.00UUR; OP ZONDAG 2 DECEMBER: 18.00UUR.

    EEN HALF UUR VÓÓR DE MIS, BIECHTGELEGENHEID

  • France : plusieurs centaines de milliers d'opposants au "mariage pour tous"

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    Alors que nos médias sont pris en flagrant déni d'information au sujet de cette mobilisation (cfr les quelques secondes que la RTBF y a consacré), on pourra se faire une idée de son ampleur sur le Salon Beige qui met en ligne chiffres et photos : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2012/11/plusieurs-centaines-de-milliers-de-manifestants-pour-d%C3%A9fendre-la-famille.html

  • Mariage gay en France : les catholiques en ordre dispersé, leurs chefs aussi…

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    Très franco-français: les « tradis », dimanche 18 novembre, les « anti-tradis » samedi 17. Ni le cardinal Vingt-Trois ni aucun évêque d'Ile-de-France ne seront dans la rue, ce samedi, pour manifester leur opposition au mariage gay. Et dimanche, n’y pensez pas. Extraits d’un billet de Jean-Marie Guénois, dans le « Figaro » du 16 novembre :

    « À Lourdes, il y a une semaine, lors de leur assemblée d'automne, un des évêques s'est levé dans l'Hémicycle pour appeler à la mobilisation de tous ses confrères contre le mariage homosexuel. Il sollicitait un «mot d'ordre» qui aurait pu être lancé par leur président, le cardinal André Vingt-Trois.

    Placide et prudent, ce dernier n'a pas aussitôt réagi mais a ruminé l'idée. Elle a abouti, en fin d'assemblée, non à un ordre mais à un mot, une formule (…). Voici sa phrase exacte: «Que les catholiques de notre pays sachent que leurs évêques les encouragent à parler, à écrire, à agir, à se manifester…» (…)

     À Lyon, le cardinal Philippe Barbarin défilera lui, «à titre personnel». Il sera notamment accompagné par Kamel Kabtane, recteur de la Grande Mosquée de Lyon. En revanche, aucun rabbin ne défilera un jour de shabbat (…).Autre modalité, un «colloque international pour la vie» de très haute tenue, organisé par le diocèse de Bayonne les 30 novembre et 1er décembre, a été présenté cette semaine à Paris à la Conférence des évêques. Son organisateur, Mgr Marc Aillet, explique son état d'esprit: «Notre démarche est apaisée. Ce n'est pas sous le feu de l'intimidation que l'on obtiendra un vrai débat.» (…)

    Très pragmatique depuis le début, l'Église de France fixe d'ailleurs son vrai rendez-vous au mois de janvier, lors d'une seule et grande manifestation nationale. Et si le gouvernement persistait à «confisquer» le débat et à «imposer en force» sa réforme du mariage comme entendu dans les rangs épiscopaux, des évêques pourraient alors se présenter ouvertement dans la rue. Et ce, malgré l'exemple espagnol qui a démontré qu'une manifestation massive contre le mariage homosexuel n'avait pas réussi à faire plier le gouvernement. »

    Ici: Mariage gay: certains évêques seront dans la rue

    Ah bon, ce serait donc de la  stratégie ? On jugera sur pièces, dès ce week-end. En Belgique (2003), ce fut plus simple : ni tactique, ni stratégie, l’absence réelle.