Couleurs de l’esclavage sur les deux rives de la Méditerranée (Moyen-Age - XXème siècle)
COULEURS DE L’ESCLAVAGE SUR LES DEUX RIVES DE LA MÉDITERRANÉE, Sous la direction de Roger Botte et Alessandro Stella, Paris, Éditions Karthala, 396 p.
Présentation de l’éditeur :
Si l’esclavage des Noirs présente une indéniable spécificité, il est tout aussi évident que l’institution esclavagiste a été aussi complexe et variée que la polychromie des phénotypes humains.
Sans remonter à l’Antiquité gréco-romaine, l’espace méditerranéen avant, pendant et après la traite transatlantique des Africains, est un observatoire de choix sur la fabrique d’esclaves. D’une rive à l’autre de la Méditerranée, nous pouvons observer la coexistence d’esclaves de différentes couleurs, origines, religions.
À côté d’Africains arrivés par les traites transsaharienne et atlantique, les marchés d’esclaves se nourrissaient de Slaves, Caucasiens et autres Orientaux, pendant que les clivages religieux alimentaient et justifiaient la capture et la mise en esclavage aussi bien de musulmans que de chrétiens et de païens. Le même statut d’esclave était appliqué à des individus qui, tout en partageant la domination servile, étaient souvent, de par leur origine ethnique, leur sexe, leur âge, leur apparence physique et leurs supposées qualités, destinés à des tâches diverses.
De Byzance au monde ottoman, de l’Europe chrétienne aux terres d’islam, la désignation des esclaves empruntait une large palette de nuances, la couleur se révélant pour ce qu’elle est : une vision subjective du contraste. C’est cet esclavage multiforme que tentent de dépeindre les textes réunis dans cet ouvrage.
(via passion-histoire.net)

Comme chaque année le 8 décembre en la fête de l’Immaculée, le pape a couronné la statue de Marie, place d’Espagne à Rome et, comme d’habitude, Benoît XVI n’a pas parlé à la foule pour ne rien dire comme font les politiciens et les sermonneurs du dimanche . Ecoutons sa voix modeste et timide qui s’adresse à chacun plutôt qu’à tous (source et traduction :
La lecture de Bilbo le Hobbit de JRR Tolkien (1892-1973) transposée à l'écran par un réalisateur de talent, le Néo-Zélandais Peter Jackson, auteur de l'excellente version du film Le Seigneur des Anneaux, arrivera dans les salles (italiennes) le 13 décembre, après une longue, longue attente. Il s'agira de la première partie, intitulée Un voyage inattendu, de trois blockbusters qui se suivront dans les années à venir. (...) ....ce sera un véritable succès, au-delà des gains et de l'écho médiatique, à la condition, sans être un doublon du livre (chose aussi impossible qu'inutile), de pouvoir en rendre pleinement la profondeur de l'inspiration. 